n° 21916 | Fiche technique | 26678 caractères | 26678 4722 Temps de lecture estimé : 19 mn |
26/07/23 |
Résumé: Un étudiant profite de l’été pour se remettre d’une année d’épreuves. Il s’isole pour une retraite spirituelle dans la cellule d’un couvent. | ||||
Critères: h fh jeunes religion grosseins hsoumis fdomine revede voir hmast fellation anulingus fsodo fouetfesse humour -humour -initiatiq | ||||
Auteur : Ellian Envoi mini-message |
Les vacances sont enfin arrivées. Que cette année fut difficile ! La prépa, c’est pas simple, c’est certain, mais le plus difficile n’était pas là où je l’attendais. Ayant fait toute ma scolarité dans des établissements non mixtes, je comprends maintenant à quel point cela fut une chance et un privilège ! Quelle souffrance que de côtoyer l’autre sexe. Au cours de l’année, les pensées n’ont cessé de s’accroître et d’envahir mes journées et mes nuits. Les voir presque tous les jours, dans leurs manières, leurs attitudes, leur peau, leur parfum… Le pire ce sont ces histoires de soirées, racontées par mes camarades. J’étais bien loin de m’imaginer tout ce que certains faisaient, ce d’autant plus en dehors du mariage !
J’ai heureusement bénéficié d’une éducation chrétienne très affirmée, qui m’a aidé à tenir jusqu’aux examens.
Néanmoins, pour affronter l’année prochaine, il m’est indispensable de me retrouver, de me recentrer et de me replacer dans ma foi. Une inspiration profonde avant de retourner dans cet univers… allez, je l’ose : débauché.
Beaucoup trop, même parmi les catholiques, ont cédé à ces tentations et ont fait preuve de faiblesse.
Moi-même il m’est arrivé, pour soulager mon tourment et chasser les pensées, de toucher mon sexe.
Je m’en veux terriblement. Cette pratique s’est installée : il faut que cela s’arrête, définitivement.
J’ai donc décidé de faire une retraite d’une semaine. J’ai contacté le couvent proche de mon Église, sur les conseils du Père Gaston. Ils mettent à disposition des cellules, sans contact autre que pour les prières. Exactement ce qu’il me faut !
Dans ma cellule, je ressens le calme, l’apaisement, le bien-être. Préservé de la chaleur de l’été par les épais murs en pierre, je baigne dans une béatitude infinie. Les pensées reviennent parfois. Surtout une. Une image plutôt, pas assez fugace. Celle de Marie. Elle est de mon village, née de bonne famille, très pieuse. Nous avons un cursus identique et nous sommes retrouvés dans la même prépa. Elle m’avait invité à une fête.
Connaissant ses origines, ses croyances et la droiture de sa famille, je ne me suis pas méfié. À cette soirée, les tenues provocantes et inadaptées ont par la suite longtemps envahi mon esprit, mais le pire c’est ce tableau, païen, d’une perversité infinie. Ce tableau qui a violé ma vue lorsque j’ai ouvert la porte de cette chambre pensant y retrouver mon manteau. Marie, allongée sur un lit, les jambes écartées, la tête d’un mâle en rut entre les jambes. Pire : son visage béat, les yeux révulsés, la bouche grande ouverte et la langue légèrement sortie. Cela n’a duré que quelques secondes, mais encore maintenant, je dois prendre mon sexe en main pour qu’enfin cette vision me quitte. Je dois le faire, c’est la seule façon.
J’ai tout essayé : les prières, les gifles, même sur mon sexe, rien n’y fait. Même ici, dans cette cellule, j’y suis contraint. Quelle humiliation, quel échec ! Ma main le saisit fermement et l’astique fort, il faut que cela se termine rapidement. Il est encore plus dur, mais je sais d’expérience qu’une fois le sommet atteint, tout rentre dans l’ordre. Alors je branle plus fort. Les images se succèdent, de plus en plus honteuses et cochonnes. Des mots entendus : chatte, cul, baise, seins, enculer… comment cela est même possible ? Non, n’imagine pas, tu ne ferais pas ça à Marie. Non, ne mets pas ta bite là. Non, tu ne vas pas te répandre en elle, tu ne vas pas la souiller ! Ça y est, oui !
Un bruit sourd retentit trois fois et me fait sursauter. Je viens juste de finir, ai-je bien entendu ? Personne ne frapperait à la porte. Je n’ose me relever. Je me retourne dans mon lit pour m’endormir.
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Le lendemain matin, je constate les dégâts. Il va falloir que je parvienne à nettoyer les draps. Le petit-déjeuner est servi en cellule, je l’avale goulûment.
Me voilà dans les couloirs du couvent à la recherche d’une bassine ou d’un bac pour laver mes draps.
Je trouve rapidement, et tout proche, une pièce servant de lingerie. Une sœur semble affairée à trier les draps.
Le ton est très lointainement cordial. Elle est occupée, je peux comprendre que ma venue n’est pas opportune.
Elle ne laisse pas de place à une autre alternative. De toute façon, je ne vois pas où je pourrais laver mes draps à la main ici.
Elle désigne un bac déjà bien rempli, j’y enfouis mes draps en profondeur, m’assurant qu’ils seront cachés par les autres.
Elle se lève et se dirige vers le bac de linge. Mon cœur s’accélère, je voudrais tourner les talons, mais m’en sens incapable. Elle sort le linge et après quelques instants de recherche, retrouve mes draps et les inspecte. Les pointant vers moi :
Je ne sais si je suis livide ou rouge cramoisi. Je balbutie :
Elle retourne s’asseoir sur sa chaise.
Elle pose sa main sur sa cuisse, m’indiquant la place à prendre.
À tâtons, je m’avance, et, lentement, me positionne à plat ventre sur ses cuisses. Je sens sa main agripper mon pantalon et me l’abaisser à mi-cuisse.
Une forte claque retentit sur mes fesses, je me tortille de surprise.
Je trouve son tutoiement très inapproprié, mais guère plus que la fessée qu’elle vient de me donner.
Sa main ferme s’abat à nouveau.
Une salve s’abat sur mon derrière, d’une telle violence que j’en tombe par terre. Je me relève aussitôt, aussi rouge des joues que des fesses.
Elle se lève en furie. Elle est plus grande que moi, elle me fait un peu peur.
Elle s’adoucit soudainement et se rapproche. Elle retire sa soutane, dévoilant des seins lourds et généreux. Je remarque une petite culotte blanche en dentelles. D’une main elle approche ma tête de son sein, de l’autre elle en dirige la pointe dans ma bouche. Quelle sensation merveilleuse d’excitation et de bien-être que ce téton bien ferme entre mes lèvres !
J’aspire, délicatement d’abord puis plus goulûment ensuite. Parfois, trop affamé, je m’y prends mal et laisse échapper de ma bouche son bonbon délicieux. Elle l’y replace à chaque fois, non sans avoir préalablement tapoté mes lèvres avec.
Tout en dévorant son sein, je tâtonne pour saisir ma verge. Je n’ose reproduire exactement les mouvements qui me font jouir habituellement. Elle donne une petite tape sur ma main et saisit fermement mon sexe. Elle me branle avec vigueur.
Ça m’excite qu’elle m’observe. Je n’aurais jamais imaginé que quelqu’un aime me voir faire ces choses-là. Je ne ressens pas de honte cette fois, juste du plaisir et même de la fierté. Elle ne quitte pas des yeux mon sexe, bien gros, plus dur que jamais. Elle me regarde encore lorsque jaillit le jus, en longs jets épais qui décollent avant de s’écraser sur le carrelage.
Elle me garde un peu contre sa poitrine en me caressant les cheveux. Je lâche son sein, repu.
Elle fait de même.
Je suis au bord des larmes. Comment le désespoir peut-il succéder si rapidement à l’extase ?
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J’ouvre la porte de la chambre. Marie est là, mais cette fois elle est entièrement nue. Je ne peux voir son sexe, masqué par la tête de ce garçon qui lui fait des choses qui m’intriguent. En revanche, je découvre ses gros seins blancs qui se balancent au rythme des soubresauts de son corps. Elle m’appelle.
Sa bouche, que je vois toujours grande ouverte, m’aspire vers elle. Mon gros gland se rapproche inexorablement de l’abysse. J’entends ses gémissements de plus en plus fort. Que lui fait-il, en bas ? Ma bite est trop grosse, elle ne rentrera jamais, elle va lui défoncer la bouche. Ses lèvres sont trempées, sa langue dégouline.
Ça y est, je vais rentrer. Pardon, Marie, pardonne-moi. Je n’ai pas su résister. Sa langue tourbillonne autour de mon gland. Marie couine comme un animal. De souffrance, de plaisir ? Que suis-je en train de lui faire ? Sa tête entre mes mains, je me branle entre ses lèvres. Ses yeux basculent. Ce visage je le reconnais, alors c’était celui de la jouissance ? Elle était en train de jouir lorsque j’ai ouvert la porte ? Mais cette fois, il n’y a pas que lui, moi aussi je lui donne du plaisir, moi aussi je lui donne ce qu’elle veut. Tiens, Marie, tu la voulais, je te la donne. Prends-la bien tout au fond. C’est ça que tu voulais, que j’étanche ta soif de mon bon foutre ? Je ne me retiens plus, je pilonne sans relâche, jusqu’à l’agonie de son plaisir. Ses pointes appétissantes perlent de petites gouttes de lait, son corps se tend, se contracte, et se relâche en mettant fin à un gémissement interminable.
Tout se brouille, devient noir, seule reste la tension dans mon sexe et cette chaleur humide qui l’entoure. J’entrouvre péniblement les yeux. Où suis-je ? Je commence à reconnaître ma cellule. Marie ? Non. C’est…
Elle ne répond pas et continue son œuvre. Elle fait preuve d’une dextérité surprenante : elle coordonne admirablement les mouvements de sa main et de sa bouche sur ma verge. Tantôt rapide, tantôt plus douce. Si j’osais… Je ferme les yeux et imagine Marie. C’est elle que je baise maintenant. Quelques coups de reins suffisent pour que je jouisse tout au fond de sa gorge. Elle déglutit à chaque jet de telle sorte que mon sexe finit par ressortir, une fois apaisé, parfaitement immaculé.
Elle se retire furtivement sans un mot.
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Plongé dans ma bible, c’est sans grand plaisir que je me lève pour aller ramasser un petit bout de papier déposé sous ma porte : confession, fin d’après-midi au bout du couloir. Des temps de confession réguliers sont prévus afin d’aider à la retraite. Il est fréquent que des péchés deviennent envahissants et perturbent la prise de recul et l’apaisement. Ces péchés, parfois anciens, peuvent revenir à l’esprit lorsque l’on se retrouve face à soi-même.
L’heure venue, on frappe à ma porte. Je comprends qu’il est temps. J’appréhende de me retrouver face au curé. Devrais-je lui parler de la sœur ? Ma confession risquerait de lui porter un grave préjudice. Dois-je alors mentir au représentant de notre Seigneur pour ne pas nuire à autrui ? Je pourrais supporter la honte proportionnelle à la gravité de mes péchés, mais la souffrance d’une âme si charitable…
J’entre dans le confessionnal.
À ma grande surprise et mon grand soulagement, c’est la voix de la sœur qui m’interroge.
J’ai du mal à avaler ma salive.
Je sens mes yeux s’embuer. Un chagrin infini m’envahit. Je m’enfonce dans un puits sans fond.
J’entends un cliquetis puis la porte du confessionnal s’ouvre et se referme aussitôt derrière la sœur.
Elle ôte sa soutane et enlève aussi, cette fois, sa culotte.
Je l’écoute, docile. Ai-je un autre choix ?
Elle s’assied sur mes genoux et enfonce ma tête dans sa poitrine accueillante. Ma verge se gonfle d’envie, jusqu’à venir frotter une zone humide inconnue. Elle y entre presque. La sœur réagit en entamant un balancement lent, mais appuyé de ses reins. Elle souffle à mon oreille :
D’un coup, elle enfonce mon sexe tout au fond d’elle, je la sens se contracter sur moi.
Pour seule réponse, elle plaque sa main sur ma bouche et s’active en une danse endiablée, se servant de mon organe comme d’un outil de plaisir. À mon oreille, elle soupire, gémit, râle.
Je m’exécute et empaume ses deux globes bien fermes.
Je ne sais pas si j’ai vraiment le choix, vu la cadence, je sens la perte de contrôle très proche.
Elle se recule un peu et sans semonce, me donne une grande gifle.
Une deuxième gifle, un peu moins forte, heureusement.
À ces mots, elle redouble d’ardeur. J’ai peur qu’elle ne brise le banc sur lequel je suis assis. Sa main prend appui sur mon cou et me presse suffisamment pour que je ne puisse plus dire un mot. Elle semble perdre son souffle, halète. Son fourreau m’enserre de plus en plus fort, de plus en plus vite. Alors enfin le cri de sa jouissance déclenche la mienne et me fait répandre ma semence au fond de son chaleureux foyer.
Nous restons de longues minutes immobiles, enlacés, avant qu’elle ne se relève, groggy, remette sa culotte et sa soutane et quitte le confessionnal.
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Avant-dernier jour de ma retraite, déjà, un mot a été glissé sous ma porte :
À la nuit tombée, prends à droite puis à gauche et toque à la troisième porte à droite. Trois coups longs, trois coups courts.
La question d’y aller ou pas ne se pose pas. Je parcours à la hâte les couloirs sombres et toque à la porte. Elle s’entrouvre. La sœur me fait entrer précipitamment.
Dans le même temps, elle me prend la main et m’attire vers le mur d’en face. Elle tire un livre de la bibliothèque, ce qui active un mécanisme et dévoile un passage dérobé.
Nous descendons un long escalier en colimaçon jusqu’à atteindre une autre porte en chêne. La sœur tourne une clé et m’ouvre la porte. Je découvre une grande pièce sans autre lumière que deux grands cierges. Entre eux, une femme visiblement en pleine prière : à genoux, penchée en avant sur ses coudes, sa tête en appui sur ses mains jointes. Ballerines noires, chaussettes hautes blanches comme sa jupe plissée, haut bleu clair pastel, et serre-tête qui maintient les mèches de sa chevelure blonde coupée au carré : que fait Marie ici ?
Elle ne répond pas, sans doute en transe, en communion avec Dieu.
Une petite voix douce et frêle se fait entendre.
La sœur me tend un fouet.
Je m’approche de Marie. Elle ne bouge pas d’un cheveu, même lorsque je lui relève la jupe. Ces fesses parfaites, si lisses, si innocentes. Je devrais les abîmer pour les purifier ?
La sœur semble hésiter, puis se reprend.
Je ne dois pas le regarder. Ce cul bombé, cette petite fente luisante entre ses lèvres rebondies. Est-elle excitée ? Et si je n’étais pas assez fort pour refréner tant de luxure. Non, je dois y croire, pour elle. Je dois me battre.
L’autre chemin ? Peut-elle vouloir dire ? C’est encore pire que ce que je pensais : existe-t-il au monde pire pécheresse ? Je ne dois pas reculer.
Je m’approche, saisis les lobes à pleine main et ouvre la voie comme Moïse le fit jadis. Le joyau palpite, mais semble fermé à toute intrusion. Je ne vais jamais pouvoir…
Comment peut-elle avoir de telles idées ? Dans ce domaine, je suis malheureusement contraint de suivre son expertise. Ma langue tâtonne, apprivoise, parcourt le chemin tracé, de bas en haut. En bas, un délicieux parfum me pousse à descendre toujours un peu plus, jusqu’à goûter au doux miel. En haut, la porte commence à s’entrouvrir. En insistant un peu, je parviens même à y enfoncer la pointe de ma langue. Subissant ce traitement, Marie commence à se tortiller et pousser quelques discrets gémissements : probablement de souffrance.
Je poursuis la préparation alors que la sœur me vient en aide en baissant mon pantalon et en branlant fermement ma queue. Je suis prêt.
Le démon qui pervertissait son corps a atteint son esprit et ses paroles. Le remède ne peut plus attendre. Je positionne mon gland luisant devant l’orifice. Je pousse un peu, il résiste. Je ne renoncerai pas ! Je force le passage. La voie est étroite, mais accepte de me laisser passer. Le gland est presque entré. Un dernier effort et ma queue entre d’un coup tout au fond de son petit trou, arrachant à Marie un râle terrible. Je dois ressortir un peu : j’agrippe ses fesses pour reculer et mieux me replonger dans ses entrailles.
Je ne voudrais pas lui infliger cette souffrance plus de temps qu’il n’en faut, je redouble donc d’ardeur et pilonne sans relâche, ne me souciant plus de ses cris et de ses couinements. Je lui bourre le cul avec autant de force et de vitesse qu’il m’est possible.
Ah putain ! Putain ! Ça y est enfin, je te remplis, ma petite salope, ma petite chienne, ma petite sainte. La lumière m’envahit, je lève les bras en croix. J’ai réussi ! Je l’ai sauvée ! Qu’il est bon d’aider son prochain !
Je… Quelque chose ne va pas.
Son corps s’allonge, s’épaissit, ses vêtements se déchirent sous la pression. Deux excroissances noires poussent sur son crâne. Sa peau rougit, devient incandescente. Un bruit à la fois sourd et strident, de plus en plus perceptible : un rire qui me transperce le corps. Des ailes noires immenses se sont formées dans son dos. Elle se relève, démesurément grande. C’est impossible ! Elle se retourne : plus de doute !
Pour seule réponse, un éclat de rire profond et terrifiant. Je me tourne vers la sœur. Ses yeux sont rouge feu, son sourire est empli de satisfaction et de cruauté.
Elle se tourne vers Satan.
Elle éclate de rire.
Je ne peux finir ma phrase, je ne peux plus parler ni bouger. Des douleurs insupportables n’épargnent aucune parcelle de mon corps. Je ne peux résister. Je dois m’abandonner. Je tombe à genoux. Je suis perdu.