n° 21924 | Fiche technique | 8216 caractères | 8216 1387 Temps de lecture estimé : 6 mn |
01/08/23 |
Résumé: Un couple prend quelques jours de vacances au bord de l’eau. | ||||
Critères: fh vacances piscine campagne hsoumis fdomine pied caresses pénétratio -amouroman -couple | ||||
Auteur : SulfurousGuy Envoi mini-message |
Avec ma femme, nous avions réservé, pour quelques jours, une grande maison pour être seuls tous les deux. Ayant tous les deux des emplois du temps professionnels très chargés, nous n’avions généralement pas un instant pour nous.
La demeure, toute de plain-pied, avait un avantage non négligeable : une immense piscine privative cernée d’un gazon parfaitement tondu.
Bien évidemment, j’avais fait la surprise à Serena, tout en sachant ce qui lui plaisait. Quand elle aperçut l’endroit, elle sauta de joie en joignant les mains comme une petite fille et me prit aussitôt dans ses bras, tout excitée. Une fois le tant attendu baiser de remerciement échangé, elle retira sa robe, ses ballerines, et couru sur la pointe des pieds vers l’eau fraîche. Elle avait gardé son joli soutien-gorge aux lignes bombées par ce qu’il contenait.
J’étais un peu fatigué des derniers jours interminables de travail, mais la vision de ma femme au bord de la piscine, lançant des vaguelettes avec le bout des ongles, me faisait oublier toute ma lassitude. J’adorais l’observer se dandiner, se trémousser, et savourer la vue de sa poitrine frémissante de générosité.
Prenant très vite ses marques, elle choisit un endroit dégagé pour bronzer. En véritable diva, elle attirait souvent l’attention sur elle, où qu’elle aille. Je m’étais toujours senti chanceux de l’avoir comme épouse… et que nous soyons enfin seuls ce jour-là.
Elle s’allongea au bord de la piscine avec des gestes élégants, les seins en direction de l’astre de feu qu’elle aimait tant. C’était l’une de ses pauses légendaires. Comme toute diva, la belle avait ses exigences. Là, en l’occurrence, elle attendait quelque chose de moi. Je réalisais que c’était l’étape crème solaire. Ni elle ni moi n’avions envie que son joli épiderme brûle par négligence. Je m’approchai afin de pourvoir à ses désirs en ouvrant le tube.
Une fois enduite de baume, ma main caressa son cou, puis descendit doucement, pendant qu’elle ne me quittait pas du regard, les yeux plissés par le plaisir, comme une chatte qui savoure. Ma main fit des aller-retour langoureux et profonds pour bien étaler la pâte sur sa peau. Mes doigts palpèrent d’abord sa poitrine. Celle-ci était joliment ronde et rebondit sous mes pouces. J’effleurai à peine ses tétons. En général, elle n’était pas contre quelques flatteries supplémentaires sur ses seins. Ses flancs incurvés finirent entre mes paumes luisantes, puis son bassin que je cajolai amoureusement. Elle s’étira comme un chat sous les caresses pendant que mon caleçon subissait une pression interne de plus en plus forte. Je me penchai pour embrasser son téton droit, tandis que ses ongles gracieux frôlaient la surface de l’eau. Je sentis ses doigts humides déposer quelques gouttes fraîches sur ma nuque.
Ma sirène me faisait bander. J’étais prêt à tout pour elle. Mes lèvres titillèrent son oreille, puis mon visage revint en face du sien. En croisant son regard brûlant, je sus que c’était le bon moment. Je retirai mon short de sport pendant qu’elle caressait doucement son entrejambe épilé, un genou replié, m’adressant un sourire provocateur. Je me penchai vers elle, ajustai la hauteur et enfournai progressivement ma dure envie au sein de sa grotte luisante. Elle relâcha la tête en arrière dans un râle quand le plaisir envahit son corps. Je pouvais presque le deviner par ses doigts qui se tendaient et se relaxaient successivement et par son bassin qui serpentait entre mes bras.
Lorsque la dame s’allongea pour de bon sur le sol, je fis de même auprès d’elle, savourant le spectacle de son ventre plat qui se levait et s’abaissait graduellement.
La maison que j’avais choisie était à l’écart de la ville, dans une campagne verdoyante et fraîche. De là où nous étions, nous pouvions voir un couple d’oiseaux flirter sur l’un des arbres nous entourant. Serena posa une main sur son ventre en tournant la tête vers moi :
Je lui chuchotai à l’oreille :
Avec un sourire de satisfaction, elle se redressa sur les coudes et se pencha vers moi pour placer ses jambes de chaque côté de mes hanches. Le soldat était déjà bien dressé. Pour être honnête, je me masturbais rarement et préférais garder toute cette ardeur pour ma reine. Cela rendait ces moments à deux bien plus riches.
Ma patronne s’empala sur moi et, lentement, commença son mouvement de rameur dans ma direction. Je sentais dans mes veines des vagues de chaleur bienfaisantes à chaque fois qu’elle se tirait vers moi. Ses seins rebondissaient sous l’effort. Cela opéra une telle attraction sur moi que j’y posai les mains. Elle sourit.
Les secousses se firent plus profondes et longues jusqu’à nous faire mutuellement pousser un cri. D’abord timide, puis plus sauvage à mesure que le plaisir nous envahissait. En hurlant avec elle, je me remerciai une nouvelle fois d’avoir choisi une maison à l’écart de la civilisation. Mais ses yeux me tirèrent vers le présent.
Nous roulâmes dans l’eau. Ou plutôt, elle m’entraîna avec elle dans sa roulade. Nous fûmes séparés par la chute. La surprise liquide me prit un peu au dépourvu puis, une fois remis de mes émotions, je revins à la surface, je plaçai mes cheveux en arrière et la cherchai du regard. Elle était juste derrière moi, adossée à la paroi de la piscine.
Je me collai à elle. Elle referma ses jambes sur mon bassin et nous refîmes l’amour dans l’eau pendant qu’elle allongeait les bras sur le revêtement lisse du mur.
Nous avions roulé une bonne partie de la journée pour venir. La lumière commençait à disparaître petit à petit. Progressivement, nous allumions des lampes dans le séjour et autour de la piscine pour y voir mieux.
Vers 19 h, on sonna à la porte. Un livreur apportait les ingrédients pour le dîner. Il repartit avec un gros pourboire, pendant que je déballais le panier. Elle me regarda cuisiner, accoudée au bar. Lorsque ce fut prêt, les couverts étaient déjà disposés et quelques lumières tamisées supplémentaires avaient été allumées autour de nous par ma dulcinée.
Tout en mangeant, sous la table, elle me titillait la cheville du bout du pied. Au bout d’un moment, elle posa son talon sur mes genoux. J’interrompis alors mon dîner pour masser ses ravissants orteils. Mon pouce promenait sa vague sur la peau ferme. C’était un privilège de pouvoir être au service de cette femme. Mes caresses sur ses jolis petons furent tellement douces que la dame se leva subitement :
Et elle vint s’asseoir sur mes genoux, les jambes croisées, pour m’embrasser, les bras autour de mon cou. Ma langue toqua à la porte de ses lèvres et la princesse m’accueillit à l’intérieur. Nos appendices se retrouvaient enfin et je savourais le goût de sa salive dans ma bouche.
Je caressais ses doux cheveux qui se finissaient en ondulant sur ses épaules dénudées. Je pris ma reine dans mes bras avec une infinie précaution et l’emportai avec moi jusqu’au lit immense de notre chambre. Et là, dans la pénombre, nous fîmes encore l’amour. Une fois, deux fois, trois fois. Puis je perdis le compte de nos ébats. Nous dormîmes enlacés par la tendresse, nos odeurs ne faisant plus qu’un.
Je me réveillai la tête posée sur le doux tapis de ses cheveux, regardant avec elle le soleil se levant dans le ciel à travers la baie vitrée entrouverte. Je cajolai la toison de ma dulcinée, lui chuchotant des mots affectueux et la remerciant une milliardième fois d’être ma femme.
Elle avait mis un maillot de bain une-pièce recouvert de fleurs. J’aimais caresser le tissu sur la pente de son entrejambe, pendant qu’elle contemplait la scène, haletante. Nous profitâmes tout de même de l’eau claire pour nous baigner aussi.
Les jours suivants, les abords de la piscine devinrent notre endroit préféré. Notre petit séjour se rapprochait doucement de sa fin. Nous allions devoir retourner à nos affaires mutuelles, mais je n’oublierai pas cet endroit ni ce que nous y avions vécu. Nous quittâmes le lieu et remontâmes dans nos voitures respectives après un dernier baiser.