n° 21925 | Fiche technique | 16423 caractères | 16423 2767 Temps de lecture estimé : 12 mn |
01/08/23 |
Résumé: Une chambre, un lit, une femme et un homme allongés tous les deux nus sur le côté. | ||||
Critères: fh caresses fsodo init -extraconj | ||||
Auteur : Patrik (Carpe diem diemque) Envoi mini-message |
Un texte classique pas trop long.
Bonne lecture : )
Une chambre, un lit, une femme et un homme allongés tous les deux nus sur le côté. L’homme est légèrement enfoncé entre les fesses de la femme qui lui tourne actuellement le dos, son popotin posé de chant sur un gros coussin, afin de faciliter les choses.
Menant les agapes, étant revenu de sa surprise concernant le souhait de sa toute nouvelle maîtresse, Stéphane demande :
Elle dodine de la tête :
Aurélie pose sa main sur la cuisse de son nouvel amant :
À la fois amusée et agacée, la jeune femme réplique :
Elle tapote sur la cuisse masculine :
Stéphane caresse délicatement à deux mains la poitrine offerte :
Soupesant les deux douces masses, il s’en étonne :
À cette explication, Stéphane n’en revient pas :
Sans cesser de jouer avec la poitrine offerte, l’homme fait remarquer à juste titre :
Stéphane joue délicatement avec les tétons dressés :
Coquine, Aurélie remue un peu du popotin :
Se laissant toujours patiner et caresser, Aurélie demande :
L’homme s’enthousiasme :
Stéphane devient plus directif :
La jeune femme proteste faussement :
Obéissante, Aurélie écarte mieux les cuisses, afin que son nouvel amant puisse la caresser de façon nettement plus intime. Très vite, elle soupire d’aise, n’hésitant pas à tortiller ostensiblement du popotin. Une claire invitation pour Stéphane qui ne se prive pas de s’enfoncer lentement mais sûrement dans des profondeurs dites interdites.
Parfois, il se retire légèrement pour mieux avancer à nouveau dans l’étroit tunnel. Arrivé au milieu du chemin, Stéphane dit :
Passant de la parole à l’acte, Stéphane se retire doucement, sans à-coup, sa verge coulissant délicatement vers la sortie pour venir bientôt émerger au grand air.
Aurélie ayant poussé un petit cri insolite et étouffé, son amant s’alarme :
L’homme injecte un peu de liquide à l’orée de l’anus resté dilaté, puis se badigeonne copieusement. Stéphane se repositionne, puis il entre à nouveau en Aurélie de façon plus aisée. Investie, celle-ci s’exclame :
Appuyant ses dires, sa main déjà en train de taquiner un bouton rose fort sensible, Stéphane se fait un plaisir de s’enfoncer à nouveau dans le sombre tunnel, sous les nombreux soupirs d’Aurélie.
Aurélie halète de contentement quand la totalité de la verge occupe à nouveau son ténébreux tunnel. Soulevant de la main sa fesse droite, elle facilite elle-même cette intromission dans ses profondeurs, par la porte de son petit trou devenu fort accueillant.
Stéphane s’empare d’un sein qu’il caresse, le pétrissant, le possédant sans vergogne, tandis que sa verge commence un long mouvement de ramonage. Puis il abandonne la poitrine pour venir titiller un clitoris bien à l’abri dans une fente déjà assez humide, se disant que le cerveau participe beaucoup, car contrairement aux hommes, il n’y a pas de prostate chez une femme pour aider à la stimulation, même si l’anus est assez innervé.
Les choses sont bien faites, pense-t-il, tout en coulissant voluptueusement dans le sombre conduit.
De son côté, Aurélie découvre qu’elle aime être prise de la sorte, qu’elle soit possédée entièrement de cette nouvelle façon qu’elle découvre. Toute la longueur est fichée dans ses profondeurs intimes et obscures. Cet homme est totalement en elle, au chaud dans son intimité interdite.
Vicieusement, Stéphane coulisse d’une façon de plus en plus ample, extirpant sa queue à moitié avant de la réintroduire sans relâche. Il entend la femme respirer à grands coups sous ses assauts. Il continue à la masturber, afin de compenser. Il force un peu la dose par devant, pour compenser par-derrière.
Après un long silence, Aurélie murmure :
Soulevant toujours sa fesse, elle répond :
Agrippant les hanches de sa maîtresse, Stéphane se retire partiellement, puis prenant appui sur son genou, il se redresse lentement. Aurélie proteste :
Quelques secondes plus tard, Aurélie se retrouve à quatre pattes sur le lit, position de la levrette, la verge de son amant toujours fichée dans son petit trou. Elle se demande comme Stéphane a pu réussir son changement de position sans sortir ! Une certaine expérience en la matière ?
À moitié couché sur sa partenaire, il se positionne au mieux, une main allant se nicher dans l’entrejambe féminin. Puis, projetant son bassin vers l’avant, Stéphane enfourne en elle la totalité de la longueur afin de bien se caler dans ses entrailles. Aurélie gémit :
Puis Stéphane amorce des plus petits mouvements de va-et-vient, sans oublier de la masturber. Son autre main saisit à présent son sein, le tirant vers l’arrière, puis il commence à jouer avec un téton bien érigé. Elle geint doucement, elle vibre légèrement. Elle accompagne les coups de queue en elle par des ondulations de bassin. Oui, elle a envie de cet homme en elle, de le garder captif !
Stéphane respire à grands coups pour continuer à se contrôler, sinon il éjaculerait trop vite. Elle accélère le mouvement. Délaissant le téton, il en fait de même, aussi bien derrière que devant. Le rythme devient de plus en plus bestial, brutal, elle tend plus encore les fesses, comme si elle n’avait pas assez de queue en elle ! Pourtant, Stéphane a largement de quoi la remplir !
Elle pousse des petits cris, ses mouvements s’accélèrent encore, encore. Elle n’aurait jamais cru que ce puisse être si… si bon ! L’effet de la nouveauté ? Stéphane serait-il bon amant ? Ou son mari si peu doué ? Elle ne sait pas trancher et elle s’en moque, elle adore le fait que son amant la pistonne sans vergogne, impudiquement !
Elle se débat, se remue dans tous les sens, secouant ses seins, des tas de petits cris rauques en bouche, puis soudain, elle se raidit, une longue plainte discordante explose alors en mille halètements éraillés !
Abandonnant son clitoris, Stéphane se redresse pleinement, agrippant férocement les hanches frémissantes. Il accélère considérablement ses va-et-vient, tel un piston en folie, son bas-ventre claquant contre les fesses rondouillettes de son amante.
Dans l’atmosphère moite remplie des cris de jouissance d’Aurélie, le temps semble suspendu.
Puis, à son tour, Stéphane se laisse aller ! Tandis qu’elle jouit impudiquement, remuant lascivement du bassin, pivotant autour de la tige rivée en elle, il force le passage plus loin encore afin d’expulser tout son sperme, pour la remplir, la combler, l’envahir, pour être au plus profond d’elle, au plus lointain, laisser sa marque en elle, elle, son adorable chose à plaisir, sa belle salope !
Voluptueusement, il se laisser aller totalement en elle ! Il adore l’avoir à lui, rien qu’à lui, tout à lui, la posséder pleinement, entièrement, totalement ! Avant de décrocher et de s’exiler vers les blancs nuages cotonneux, Stéphane songe qu’il a vraiment tiré un bon numéro avec Aurélie !
Dans les deux sens du terme !
Alanguis et enlacés l’un dans l’autre, après avoir récupéré, Stéphane prend la parole :
Aurélie enfouit son nez dans le torse velu de son nouvel amant :
La jeune femme minaude :
Elle se met à glousser :
La serrant un peu plus fort, l’homme devient très affirmatif :
Se relevant, il dépose plein de baisers voraces d’abord sur le visage et le cou de sa conquête, puis il descend sur les seins aux tétons toujours dressés :
Se laissant faire, la jeune femme glousse :
Au ton employé par sa nouvelle maîtresse, Stéphane s’inquiète un peu :
Tandis que Stéphane dévore ses seins aux tétons à nouveau bien pointés, Aurélie soupire :
Amusée, elle s’exclame :
Se redressant à moitié sur ses coudes, Aurélie le rabroue :
Stéphane embrasse le bout du nez de sa maîtresse qui répond avec une petite moue :
Sans tenir compte de sa réponse, il l’embrasse, elle répond à son baiser. Leur fougueuse étreinte dure longtemps, avec des mains avides qui caressent, qui câlinent, qui cajolent. Les nouveaux amants ne semblent pas se lasser. Quand leurs lèvres se séparent, elle soupire :
Il dépose un furtif baiser sur les lèvres roses qui lui font face :
Yeux grands écarquillés, Aurélie s’exclame :
Stéphane capture le menton d’Aurélie :
Pour toute réponse, Stéphane se jette sur Aurélie afin de l’embrasser fiévreusement, avec la ferme intention de profiter une fois de plus de l’adorable corps de sa nouvelle maîtresse qu’il compte garder très longtemps.