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n° 21927Fiche technique12561 caractères12561
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Temps de lecture estimé : 9 mn
02/08/23
Résumé:  J’essaie de faire avouer les aventures de ma complice, mais elle décide de me répondre d’une drôle de façon.
Critères:  fhh fagée candaul plage cinéma hsoumis fdomine caresses fellation pénétratio fsodo -extraconj -candaul
Auteur : MauriceBernard      Envoi mini-message
Les bons comptes font les bons amis



Décidément, je vais devoir renoncer à lui faire avouer, sinon le nombre de ses amants, au moins celui de ses aventures sexuelles au cours desquelles elle est parvenue à faire jouir ses partenaires d’occasion. C’est une sorte de jeu entre nous, mais, pour l’instant, elle gagne en conservant ce secret bien protégé.



Bien que je ne sois pas convaincu le moins du monde par son affirmation souriante et un rien goguenarde, nous nous engageons dans le recensement de ses conquêtes postérieures, alors que, dans le charmant restaurant où nous dînons aujourd’hui, les plats se succèdent au fil de la soirée.



Notre conversation osée m’a aussi ému, à tel point que je crains d’avoir à quitter la table en dissimulant difficilement l’érection que les confidences libertines de Patricia ont fait se dresser. J’y parviens toutefois et, après avoir réglé l’addition, nous nous dirigeons vers la voiture garée sur le parking, afin de nous rendre à un spectacle musical en plein air, à quelques kilomètres de là. Dès que nous faisons quelques pas dehors, mon adorable coquine se colle contre moi, marchant lentement en me serrant la taille, et arrivée près du véhicule dans l’ombre du parking, elle me pousse contre la portière avant que je ne l’aie ouverte. Alors, elle se comporte comme j’adore qu’elle le fasse : d’une part son allure de mince et élégante bourgeoise sexagénaire, de l’autre, son ventre qu’elle pousse contre le mien pour s’y frotter lentement et y chercher la forme de mon sexe tendu. Sa mince bouche ouverte sur la mienne, sa langue vient tournoyer autour de la mienne alors que, déjà, d’une main agile et souple, elle entreprend d’ouvrir mon pantalon pour en extraire ma pauvre bite bien trop confinée.



Levant ses beaux yeux rieurs, elle avale alors lentement toute ma queue et je suis, encore une fois, étonné par son talent de suceuse. Il est vrai qu’avec les expériences qu’elle a rappelées tout à l’heure au restaurant, elle a de quoi savoir y faire ! Ses deux mains manucurées jouent avec le membre et mes couilles alors qu’elle pompe profondément et aspire le gland au creux de sa bouche chaude. Trop excité par la soirée et la fellation qui s’en suit, tout en caressant les courtes mèches blanches sur sa tête, je la préviens que je ne saurai me retenir plus longtemps et, comme il ne faut pas que je tache son chemisier avant le concert, je m’abandonne au plaisir qu’elle m’offre une fois encore en me déversant dans sa gorge.



Et ce faisant, elle avale le tout en me regardant, puis nettoie mon gland du bout de sa langue.



Et de fait, nous partons pour le concert.


Quelques minutes plus tard, la soirée d’été étant un peu avancée, nous nous dirigeons à pied vers la zone extérieure réservée au spectacle, une aire engazonnée sur laquelle sont disposées des rangées de chaises accrochées les unes aux autres, face à une petite scène sur laquelle se produisent les groupes de blues inscrits au programme. Dans le bruit de l’excellente musique, Patricia me guide par la main vers les dernières rangées de chaises et semble chercher un peu, puis elle se dirige là où quelques places sont encore libres, passe devant moi et s’assied à côté d’un cinquantenaire assez quelconque, mais bien mis de sa personne. Je m’installe à côté d’elle et, comme le spectacle est déjà bien commencé, nous nous consacrons à l’écoute du groupe qui est en train de se produire.


À la fin du morceau en cours, je remarque que ma douce complice s’est installée confortablement sur son siège, croisant les jambes de telle sorte que l’une se trouve proche des jambes de son voisin, l’espace entre les chaises étant exiguë. Sans doute bouge-t-elle, car elle heurte légèrement du pied l’homme assis à ses côtés et s’en excuse avant de se redresser un peu. Intrigué par ses gestes, j’observe ma belle du coin de l’œil et je remarque que, le regard fixé sur la scène où jouent les musiciens, elle sourit légèrement de la lippe coquine de sa lèvre inférieure. De même, les petites rides qui ponctuent maintenant le coin de ses yeux attestent qu’elle est amusée par quelque chose, sans le montrer évidemment. De fait, en me penchant un peu, je remarque que son voisin effleure sa cuisse du dos de la main. Comme la légère jupe estivale est remontée par le croisement des fines jambes de ma belle, elle doit sentir passer le frôlement discret de l’homme et ne s’en offusque pas, au contraire, semble-t-il. J’imagine aisément que l’individu apprécie la situation qui s’offre à lui et, à défaut de réaction de rejet de sa jolie voisine, il tourne sa main pour la poser sur la cuisse dénudée, dont la peau luit doucement dans la pénombre.


Je laisse passer le temps en me concentrant sur la musique, mais je frémis intérieurement à propos de la scène discrète qui se déroule près de moi. Les deux complices ont avancé dans leur jeu et j’observe que Patricia a décroisé ses jambes et qu’elle les tient à présent entrouvertes, alors que la main de l’homme s’est glissée entre elles. La libertine n’a pas changé d’attitude et continue à rester fixée sur la prestation des musiciens, comme si rien ne se passait, alors que, manifestement, les doigts curieux ont atteint l’entrecuisse qui s’offre à eux ; les réactions de ma coquine ne trompent pas si j’en juge par les imperceptibles mouvements de son bassin qui accompagnent l’exploration menée par son voisin. Elle ne peut retenir plus le plaisir que cela lui procure et quelques soupirs viennent ponctuer les coups plus marqués de son ventre vers la main qui, à coup sûr, lui branle au moins le clito ! Elle se mordille alors la lèvre inférieure et jouit silencieusement, en m’ignorant toujours, comme depuis le début de l’aventure. L’homme retire très lentement sa main et, d’après ce que j’aperçois, déguste voluptueusement au bout de ses doigts, la liqueur que lui a offerte Patricia.


Celle-ci se penche à l’oreille du coquin, échange quelques mots qui m’échappent, et, toujours aussi délicatement, remonte complètement sa jupe droite pour pouvoir retirer son string. Étonné par son geste, je la regarde faire et, toujours sans me parler ni me regarder, elle me glisse le minuscule tissu chaud et mouillé dans la main, avant de se lever et de quitter la rangée en passant devant son voisin. Un instant après, il en fait de même et la rejoint au-delà de la zone du spectacle, la prend par la taille et s’éloigne avec elle, dans l’ombre, vers la plage éloignée de quelques dizaines de mètres. Très vite, je les perds de vue et reste interloqué par le comportement de ma douce complice. D’habitude, quand elle s’envoie en l’air en ma présence, nous partageons l’aventure sans retenue, mais, là, elle a fait exactement comme si je n’étais pas là, sauf l’abandon de son string trempé de sa mouille, que je glisse dans ma poche. Je décide donc d’attendre en poursuivant l’écoute de l’excellent concert de blues.


Une bonne demi-heure plus tard, la belle est de retour, souriante et seule, puis vient reprendre sa place à mes côtés, sans mot dire.



Et elle reprend l’écoute de la musique sans autre forme de procès. Mais, le temps est passé et le spectacle tire à sa fin, si bien que nous sommes amenés à quitter l’endroit avec les autres spectateurs. Alors, au lieu de se diriger vers la voiture, Patricia me prend par la main et m’entraîne délicatement vers la plage, comme elle l’a fait tout à l’heure avec l’autre homme. Quelques instants après, nous nous approchons d’une sorte de grande barque renversée sur la plage, devant laquelle, manifestement, des gens ont piétiné allègrement le sable.



Surpris, je la devine dans l’obscurité en train de dénuder sa poitrine et retirer sa jupe, avant de s’accroupir devant moi et me sortir la bite, déjà raide. Elle la mouille largement avec sa langue, puis s’en caresse les seins et les tétons, en gémissant de plaisir. D’une main agile, elle va recueillir sa mouille entre ses cuisses et vient la répandre sur mon gland avant de se relever, face à moi ; puis, relevant largement une jambe pour la poser sur mon bras, elle saisit résolument mon braquemart, s’en branle le clito avec un moment, avant de se l’enfoncer au fond du ventre.



Elle se dégage alors, se retourne en s’appuyant des deux mains sur la coque de la barque renversée et m’offre ses fesses douces et fermes. Trop excité par la situation et le comportement inattendu de ma complice, je fourre à nouveau mon sexe au plus profond de son vagin et je me branle littéralement au fond d’elle.



Et elle tend la main sous elle, entre ses cuisses, sort mon sexe chaud et trempé de sa chatte et le repositionne plus haut, sur son anus. Puis elle se plante elle-même la verge dans son petit cul, comme elle aime l’appeler, et d’autant plus facilement qu’il a évidemment été bien honoré quelques minutes plus tôt. Alternant, lenteur et vitesse dans nos aller-retour, nous jouissons bientôt ensemble…


Après avoir repris notre souffle, nous apprêtons à retourner à la voiture quand Patricia me lance :



Et elle m’entraîne à sa suite, d’un pas alerte et léger.