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Temps de lecture estimé : 9 mn
22/08/23
Résumé:  Cette fois-ci, c’est lui qui m’attend, chez lui, et je suis prête à tout.
Critères:  fh hplusag jeunes extracon profélève fsoumise fellation pénétratio attache baillon fouetfesse -prof -dominatio
Auteur : Blacksad22_      Envoi mini-message

Série : Dernier jour de cours

Chapitre 02 / 05
Cours à domicile

Cours à domicile





Résumé de l’épisode précédent :

Je pensais narguer un de mes professeurs en lui donnant une photo érotique de moi, mais je me suis fait prendre à mon propre jeu.



Ce soir. 18 H 15, rue du Chemin vert.


C’était comme ça que j’avais eu des nouvelles de mon ancien prof, avec qui j’avais eu une aventure particulière.

Juste ça. Il n’avait rien dit d’autre, nous n’avions pas parlé, ni avant ni après. Juste un jour, une heure et un lieu. J’avais l’impression qu’il avait aimé notre moment à l’université, surtout s’il en redemandait.

Même si j’en brûlais d’envie, de partir maintenant, et de passer les prochains jours là-bas, j’avais toujours un peu de honte. Déjà parce que c’était un ancien professeur à moi, qu’il était quand même plus vieux que moi, mais surtout parce que j’avais un petit ami, Tom. Et si j’y allais, ce soir, je ne pourrais plus me cacher derrière l’erreur passagère de la dernière fois.


Mais je n’y allais pas pour de l’amour, ou de l’attention, choses que j’avais largement et suffisamment avec Tom. J’y allais parce que je voulais me sentir soumise, aux ordres de cet ancien professeur. Je ne pensais plus à rien, et je le laissais s’occuper de moi, m’utiliser, et me diriger. Et ce n’était pas un tendre.

Mais ce jour dans l’amphithéâtre, je n’avais jamais ressenti quelque chose d’aussi fort. Jamais je ne m’étais abandonnée à quelqu’un comme ça.

Et lui, il avait sauté sur cette vulnérabilité. Et j’y retournai pour la retrouver.



Oui, monsieur.


Ça avait été la seule réponse nécessaire pour confirmer. Je brûlais déjà d’envie, la journée allait me sembler une éternité.

Et ce fut le cas. Chaque minute semblait des heures, mais finalement, arriva l’heure de se mettre en route, et de retrouver mon homme viril pour la soirée.

J’avais mis une belle robe de soirée en satin, vert sombre, qui glissait le long de ses formes, les mettant en valeur, suffisamment pour être sexy, et pas trop non plus. Une belle coiffure, mes cheveux blonds relâchés, un collier sur mon décolleté, des chaussures à talons, j’étais fin prête.


J’arrivai jusqu’à l’adresse prévue, une légère boule au ventre, comme si je ne savais pas ce qui m’attendait.

Je frappai à la porte, nerveuse, attendant quelques secondes qu’elle s’ouvre doucement.

La tête de l’homme qui m’attendait se réjouit de ma présence, et me fit signe d’avancer.



Il portait une chemise blanche, en lin, laissant deviner sa peau, un pantalon assez proche du corps, avec de belles chaussures en cuir. Il était d’une élégance surprenante.

Dès l’instant où la porte se referma, nous nous jetâmes sur nos lèvres respectives, nous embrassant avec passion, comme si nous étions deux amoureux réunis.


Sa fouge me poussa contre le mur, en faisant glisser des mains sur mon corps, déposant parfois des baisers sur mon cou. Mes mains parcouraient son dos et mes jambes s’étaient enroulées autour de sa taille, pour qu’il me maintienne contre lui, et le mur. Je le sentais se raidir entre mes jambes.

Ça ne venait que de commencer, j’étais déjà follement excitée.

Après encore quelques instants, mes pieds retrouvèrent le sol, et notre étreinte s’arrêta, nous laissant seulement nous faire face.



Il me sourit.



Il dévora mon sourire, glissant ses mains dans mon dos, pour faire tomber ma robe à mes pieds. J’étais en sous-vêtements : soutien-gorge, string, et bas, noir.



Ses mains passaient sur ma peau, prenant ma taille, mais aussi mes fesses, mon dos, mes seins dans ses paumes. Ses doigts couraient sur mes tétons, à travers le tissu.


Je retenais encore mes gémissements. Je ne voulais pas lui donner trop tôt la satisfaction de m’émouvoir.



Il me tentait. C’était excitant, de jouer sur les non-dits entre nous. Tout était allé si vite.



J’en eus un frisson.



Je tombai à ses genoux, les mains jointes. Je prenais beaucoup de plaisir à jouer son petit jeu.



Je sentais son regard sur moi. Son sexe poussait doucement son pantalon en tissus fin, je le voyais tendre la toile devant moi. Mon simulacre lui faisait de l’effet.

Mes deux mains implorantes se rapprochèrent doucement de son entrejambe, pour la caresser délicatement, au-dessus de son pantalon.



Il passa sa main autour de ma gorge, remontant mon menton pour que je le regarde. Il s’approcha un peu plus encore, collant son entrejambe devant moi, coincée contre le mur.



Oh, comme je savais l’utiliser, ma langue ! En souriant, je dégrafai son pantalon, le faisant tomber à ses pieds. Il m’attendait visiblement de pied ferme, il ne portait rien en dessous. J’avais son sexe, tendu, bandé devant moi, frémissant d’un début de stimulation.

Il s’avança d’autant plus, ne me laissant pas d’autre choix que de le prendre en bouche. Mes lèvres se posèrent sur sa peau, et ma langue s’enroulait doucement autour de son gland. Il émit un petit gémissement discret, comme si je lui avais manqué.



Je voulais tout faire pour qu’il soit fier. Que je sois sa chouchoute. Je le suçai avec une rare application, le laissant me plaquer au mur. Il recula, laissant son sexe plein de ma salive devant moi.



Je m’exécutai immédiatement, donnant mon allure la plus soumise possible. Il me souleva le menton, et approcha son visage du mien, me regarda en souriant, et me cracha dans la bouche. Je fus surprise, mais je ne pus m’empêcher de sourire. Sa salive coulait un peu le long de ma joue, et il semblait l’avoir remarqué. Il essuya la goutte avec son sexe, et me l’enfonça dans la gorge, cette fois-ci, suivant son rythme à lui. Il me prit les poignets, pour les plaquer contre le mur, en continuant d’aller et venir dans ma bouche. J’arrivais tout juste à respirer, les quelques fois où il se retirait complètement, laissant dégouliner de la salive et son fluide sur ma poitrine.


Il recula à nouveau, me laissant reprendre mon souffle, et me fit signe de rester immobile. Il se retourna, pour fouiller dans un tiroir, et en sortit une sorte de fil en cuir. Il s’approcha de moi, et passa derrière mes cheveux, pour m’attacher un collier, assez serré autour de ma gorge, et y attacher quelque chose. Il venait de me mettre une laisse. Je souris. J’étais excitée comme jamais auparavant. J’étais venue pour être entièrement à lui, et c’était ce qu’il se passait. Il recula d’un pas, et tira sur la laisse. Je le suivis à quatre pattes, jusqu’à ses pieds, remuant volontairement mes fesses. Il me mit une claque violente sur mon arrière-train, se baissa à la hauteur de mon oreille, et chuchota :



Il avança vers une autre pièce, me tirant à lui jusqu’à ce qui semblait être son bureau. Il me fit signe d’y monter à genoux, ce que je fis avec plaisir.

Il se plaça derrière moi, ses mains sur ma croupe, et déposait de doux baisers sur ma peau.

Chaque baiser s’approchait lentement de mon entrejambe, qui s’offrait à lui. Mes doigts serraient les bords du bureau de toutes leurs forces lorsque sa langue se glissa en moi, me faisant déjà frémir.

Ses doigts stimulaient mes lèvres, tandis que sa langue s’enroulait autour de mon clitoris. Chaque mouvement était exécuté avec savoir, et perfection.

Ses lèvres quittèrent les miennes lors d’un de mes gémissements bruyants, le laissant m’observer, vulnérable devant lui.


Il revint face à moi, pour fouiller dans un de ses tiroirs, et en sortit un bâillon. Une boule en latex, trouée, et deux sangles en cuir. Sans rien dire, il vint me la mettre en bouche, attachant les sangles derrière mon crâne, au-dessus de mes cheveux.

Je reprenais mon souffle.



Je hochai la tête frénétiquement, incapable de parler. Oui, j’étais toujours en couple, mais ça ne m’importait presque plus. Je repensais à Tom, à quel point je l’aimais, mais ça m’étais devenu égal. Je ne voulais plus que lui, mon professeur, devenu mon maître. Il jouait avec moi comme s’il avait toujours su que je lui appartenais.



Il m’asséna un grand coup sur une fesse, me faisant souffler un petit cri. J’étais une énième conquête pour lui. Combien avaient été sur ce bureau ? Combien avaient mordu ce bâillon ? Peu importe, je le voulais, lui.



Je secouai la tête. Jamais je n’aurais pu imaginer être comme j’étais aujourd’hui. Jamais. Il m’asséna une deuxième claque.



Je secouai à nouveau la tête. Impossible. Impossible de me combler de ce besoin animal que j’avais pour cet homme. Il sourit en me regardant. Il me retira la boule de la bouche, en la tirant juste pour qu’elle me libère.



Je m’étais écrié d’un coup, sans pouvoir plus me retenir. Il jouait avec moi, juste pour son plaisir narcissique. Mais je ne pouvais pas faire autrement. Il me remit mon bâillon en appuyant un peu.



Enfin. Enfin, j’allais le sentir en moi. Mon sexe dégoulinait presque pour lui, pour que je puisse le prendre en moi. Je tremblais de l’attente, si longue, que j’avais enduré. Enfin, j’allais avoir ce pour quoi j’étais venue.

Je sentis sa main se refermer sur mes cheveux, laissant les sangles glisser en dessous, lui permettant de m’agripper en queue de cheval. Il me tirait un peu à lui.

Et enfin, je le sentis contre moi. Son gland caressait mon sexe, prêt à me pénétrer. Et il le fit. Il glissa en moi, sans peine, entièrement. Mon gémissement fut étouffé par mon bâillon, mais il fut bruyant tout de même. Une fois en moi, il commença les coups de reins, glissant dans ma chatte, me faisant crier et trembler à chaque coup.

Ce manège dura une éternité, mais il aurait pu durer d’autant plus. Ses mains me serraient tantôt les cheveux et la gorge, tantôt les seins. Il me tenait en lui.


Puis il se retira, me libéra la bouche, et me souleva rapidement pour me plaquer, dos au mur, et m’embrasser passionnément. Je ne comprenais plus ce que je ressentais. C’était tellement d’un coup que mon cerveau et mon corps ne suivaient pas.

Il me souleva, pour que je puisse enrouler mes jambes autour de lui, et se replaça en moi. Cette fois-ci, c’était moi qui m’empalais toute seule sur lui. Mes jambes et mes bras autour de lui, je profitais de mon poids plume pour monter et descendre sur son sexe.

Et je jouis. Je sentis d’un coup tout mon corps se contracter, et une vague de chaleur m’envahir. Je criais, cherchant mon souffle en même temps. Il savait que j’étais en train de jouir, et il continuait ses mouvements, en gémissant lui aussi.


Je revins à terre, tremblante, pour tomber à genoux immédiatement. Je venais de vivre l’orgasme le plus intense de ma vie, je voulais qu’il vive la même chose.

Je m’allongeai au sol, jambes écartées à ses pieds.



Il se baissa, sans rien dire de plus, et me pénétra en m’embrassant. Il fit quelques va-et-vient, et se raidit à son tour, me remplissant soudainement d’un fluide chaud, qui vint m’enflammer. Tous les deux, comme à l’unisson, nous venions de gémir, en jouissant, lui pour la première fois et moi à nouveau. Il se retira lentement, en m’embrassant.

Je ne voulais pas que ça s’arrête. Je voulais le faire jouir en moi chaque seconde de ma vie. Je voulais qu’il m’embrasse comme il était en train de le faire chaque seconde de ma vie.


Il se redressa, et m’aida à me relever, pour me guider par la main à sa chambre, et m’étendre avec lui. Je me glissai sur ses draps, touchant sa peau. Je ne voulais plus jamais partir.