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n° 21952Fiche technique20641 caractères20641
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Temps de lecture estimé : 14 mn
26/08/23
Présentation:  Scénario imaginaire inventé, testé en réel, puis écrit pour revebebe ;-)
Résumé:  Un entretien d’embauche.
Critères:  fh inconnu uniforme fsoumise hdomine soubrette contrainte hmast massage nopéné sm portrait
Auteur : Boonzardos      Envoi mini-message

Série : Le château Bienencourt

Chapitre 01 / 05
Justine et William

Justine et William





Dans les profondeurs d’un vieux château, se cachait une salle oubliée, comme délibérément écartée du reste de la bâtisse par ailleurs fastueuse. Il s’agissait d’une pièce sombre, poussiéreuse, et les quelques rayons de lumière qui se frayaient un chemin au travers des lourds rideaux laissaient entrevoir un mobilier d’époque. Des chandeliers ternis tentaient de briller, mais ne parvenaient qu’à souligner l’atmosphère lugubre permettant toutefois de constater les ravages du temps sur les tapisseries.


Au centre de la pièce, une table massive sertie de chaises hautes semblait attendre des invités qui ne viendraient plus…L’air stagnant avait comme suspendu les souvenirs du passé, figeant la pièce dans le temps. Et pourtant, malgré son état d’abandon, le salon déployait un charme mystérieux : l’écho lointain de l’Histoire qui avait jadis animé ces murs…


Le silence régnait en maître, à peine troublé par un tube des années 80 joué en sourdine sur une radio lointaine quelque part dans la bâtisse. Les talons de Justine effleuraient le sol afin de préserver le silence de cette pièce qui invitait au repos. Port altier, poitrine haute et jambes longues, elle portait une robe noire qui descendait bien au-delà du genou et qui contrastait étonnamment avec son teint pâle. La belle jeune femme, posant un regard alentour, imaginait le travail, ici, pour rendre cette pièce vivable. Elle se dirigea d’une démarche faussement assurée vers la table, puis demeura immobile, craignant que quelqu’un ne l’observe secrètement. Mais il n’y avait encore personne.


Son visage afficha un léger sourire et son regard, qui scrutait la pièce, brillait d’une lueur d’émerveillement. Avec ses beaux cheveux bruns encadrant son visage, sa silhouette élancée, elle dégageait, comme à son insu, un charme juvénile qui retenait immédiatement l’attention. Justine attendait. Elle attendait la venue de William, le majordome du château qui l’avait convoquée en vue de l’employer au service de Monsieur le Comte de Bienencourt comme première domestique.


Soudain, une lourde porte s’ouvrit, laissant apparaître un passage par lequel s’introduisit ledit majordome à la tenue irréprochable. L’homme referma la porte derrière lui, semblant sceller de la sorte son rôle de gardien du château. Il traversa le salon avec assurance, ses pas claquant sur le sol de pierre. Justine s’étonna du soin que l’homme avait accordé à sa tenue : quel contraste avec la pièce poussiéreuse. Le raffinement de sa mise, sa distinction l’impressionnèrent presque autant que l’expression impassible de son visage. Instinctivement, elle redressa ses épaules et lissa d’une main les plis de sa robe, ajustant de l’autre quelques mèches. Sentant ses mains trembler, elle les posa à plat le long de son corps.


William se dirigea vers elle, lui sourit légèrement puis tira une chaise et l’invita à prendre place. Il s’installa en face et la considéra longuement avant de commencer.


Justine n’osait lever les yeux vers lui. Il faut dire que les relations qu’elle pouvait entretenir avec les hommes -de surcroît d’une telle prestance - étaient bien plus compliquées pour elle que de s’occuper de la tenue d’une maison, aussi prestigieuse fut-elle. Son innocence et l’embarras provoqués par certaines subtilités de langage la faisaient parfois rougir et les compliments appuyés la condamnaient souvent au silence ou à un petit rire gêné.



Le majordome inclina légèrement la tête en signe de reconnaissance.



William avait baissé le ton pour cette dernière question et lui avait jeté un regard étrange. La jeune femme le regarda, et, redoutant de ne pouvoir décrocher le poste, se fit violence afin de répliquer d’une voix tremblante :



Le majordome observa attentivement son expression, notant la sincérité dans ses paroles.



La jeune femme sembla hésiter, comme si elle pesait soigneusement ses mots.



Un sourire bienveillant étira les lèvres du majordome.



Le visage de la jeune femme exprima furtivement de multiples émotions qui n’échappèrent pas à l’homme : surprise, fierté, embarras, gratitude…



Elle se tut et William, qui l’observait, pensa que Justine pourrait bien être la domestique qu’il recherchait. Elle se distinguait nettement des trois prétendantes au poste qu’il avait pu recevoir aujourd’hui. D’ailleurs, Monsieur le Comte avait été très ferme à ce sujet :


« Mon cher William, vous connaissez mes goûts, je veux une personne jeune, néanmoins dotée de solides compétences. Je la veux fraîche, fine, belle et disponible. J’en ai soupé de ces vielles chouettes trop sèches qui préparent si bien les tisanes… ».


Tu parles, autant décrocher le soleil, s’était dit William… Sauf que cette fois-ci, le soleil était peut-être là, devant lui ! Justine n’osait regarder son interlocuteur. Certes, elle avait tenté maladroitement de le convaincre, mais était-elle à la hauteur du poste : un château, la maison du comte de Bienencourt … ? Le majordome interrompit le fil de ses pensées et lui tendit une main chaleureuse.



Un sourire radieux illumina le visage de la jeune femme. Les battements fébriles de ses cils auraient pu passer pour une invitation mais ils témoignaient simplement de son émotion. William qui l’avait compris, demeura Impassible et enchaîna :



Trop heureuse d’obtenir ce poste, Justine souffla un oui qui se serait voulu plus assuré.



Justine se leva et se dirigea vers la petite pièce. Pendant ce temps-là, William réfléchissait, émettant moult suppositions. Et si Justine était vraiment la personne que tout le monde espérait ici ? Mais ne semblait-elle pas un peu trop pudibonde ? Une femme un peu plus assurée répondrait peut-être mieux aux exigences de Monsieur ? En le supposant, qu’en penserait Madame… ?


Quelques instants plus tard, Justine apparut.


Elle portait une robe noire à liseré blanc très courte et décolletée. Ses jambes gainées de bas, ajoutaient une touche de séduction à son allure. Une bande de peau blanche dévoilée entre les bas et la robe tranchait avec le noir des étoffes. De fines chaussures vernies à petits talons ainsi qu’un ruban ras le cou façon « je-ne-baise-plus » complétaient le tableau.


Surprise de trouver un tanga blanc en dentelle dans l’uniforme, elle l’avait passé avec un peu de réticence. Cette culotte de très bonne facture s’avérait au final douce et confortable, même si elle couvrait peu ses fesses. Elle préférait ses culottes ordinaires en dentelle - plus convenables à ses yeux. Son expression ingénue contrastait avec cet uniforme. Elle semblait mal à l’aise, contrariée, elle murmura : « C’est un petit peu court » en se présentant au majordome.


D’un œil connaisseur, William la jaugea et déclara en fixant le haut de sa poitrine au tiers dénudée :



D’une démarche hésitante, elle fit quelques pas. William qui avait l’air d’apprécier, lui fit signe d’arrêter.



Sur un ton dévoué, Justine acquiesça :



Alors qu’elle atteignait le livre et tendait la main pour s’en saisir, elle réalisa que sa robe, au ras de sa croupe, montrait plus qu’elle ne cachait ses fesses. Elle devint de plus en plus mal à l’aise, et tentant d’étirer l’étoffe, elle souffla, rougissante :



William, s’apercevant de son embarras, la questionna :



Lâchant à regret le bas de sa robe, Justine bredouilla :



William compréhensif, mais ne pouvant détacher son regard du postérieur de la soubrette, la félicita :



Justine se confondant en excuses du haut de l’escabeau :



William la rassurant :



Justine s’empara enfin de l’ouvrage :



Elle se tut, visiblement gênée.



William l’invita à s’asseoir :



Il marqua une pause. Justine se tenait droite, presque raide, absorbée par les recommandations du majordome. William poursuivit :



Justine hocha légèrement la tête :



William esquissa un léger sourire, approuvant sa réponse.



William poursuivit, son regard allant des yeux de Justine à sa poitrine qu’il détaillait ouvertement :



Justine prenait à peine conscience de la signification voilée de ces mots. Elle resta silencieuse, ses pensées tournant autour des implications que suggéraient les paroles du majordome. Elle avait apprécié la délicatesse de sa proposition – prendre le temps d’une pause récupératrice, ainsi que le choix des mots : « Tranquillité, félicité »

William enchaîna :



Justine répondit d’un léger sourire, exprimant sa reconnaissance tout en maintenant la réserve appropriée.



Justine se leva et s’approcha de la chaise de William. Celui-ci retira d’une de ses poches une pièce de tissu d’un blanc immaculé et la poussa à l’autre extrémité du plateau de la table.



Justine amorça un pas pour faire le tour de la table, mais William l’interrompit :



Justine commença à se pencher pour attraper le mouchoir, sentant sa robe remonter sur ses fesses. Elle s’arrêta brusquement, consciente de ce qu’elle dévoilait :



William, comme hypnotisé par cette croupe, lui dit en se relevant de sa chaise :



Il se plaça derrière elle en effleurant de son bas-ventre l’entrejambe de la jeune-femme :



Il posa une main sur le dos de Justine et pressa légèrement afin qu’elle se penche davantage, dévoilant ainsi un peu plus ses fesses séparées par la mince bande de dentelle de la culotte.



Elle allongea le bras ce qui eut pour effet de remonter encore un peu sa robe, la main de William toujours posée sur son dos.



Disant cela, William posa son autre main sur la hanche de Justine et l’attira délicatement vers lui, faisant glisser vers l’arrière le bassin de la jeune-femme, amenant leurs cuisses à se toucher. Le haut de la culotte de Justine était visible et un peu de peau apparaissait au-dessus de celle-ci.



Il interrompit ses lents mouvements, et les mains toujours posées sur le corps de la jeune femme déclara :



Il récupéra le mouchoir que Justine lui tendait en silence et le jeta à ses propres pieds.



Justine plia les jambes afin de ramasser le petit carré de tissu.



Il s’approcha d’elle et, se postant à ses côtés, une main de nouveau posée sur son dos et l’autre en haut de sa cuisse, à la limite de la fesse. La protubérance qui déformait un peu son pantalon faisait à peine crisser le bas de nylon de la jeune femme. Et Justine, tout à la fois décontenancée et soucieuse de satisfaire le majordome suivait ses instructions. Il la contraignit ensuite à adopter la position avec les jambes tendues, le buste penché, les fesses bien visibles à peine couvertes par le tanga.



Il remonta sa main sur sa fesse, semblant vouloir ajouter une dernière petite touche.



La jeune femme se redressa et eut un geste pour remettre en ordre sa tenue. Elle n’eut pas le temps de vérifier sa coiffure que William avait fait de nouveau glisser le mouchoir à l’autre bout de la table, l’invitant à retourner le chercher.

Ayant appris la leçon, elle alla au plus proche et inclina son buste sur la table, écrasant ses seins sur le plateau. William se positionna alors derrière elle et plaquant son corps contre le sien ordonna :



Ses yeux rivés sur les fesses découvertes de Justine, il s’empara de ses hanches en martelant :



Il opéra un petit mouvement de haut en bas et la jeune fille ne put cette fois ignorer le frottement contre sa culotte de la bosse présente au niveau du bas-ventre de William. Il la caressait. Il posa alors ses mains bien à plat sur les fesses de Justine comme pour les pétrir lorsque celle-ci tressaillit :



Il malaxait ses fesses, lentement. Justine, cambrure offerte, se taisait. Seuls les frottements de la peau contre la peau et leurs souffles étaient perceptibles. Il s’écarta un peu d’elle pour permettre à ses doigts d’aller plus bas en une douce exploration.



Justine, résignée, saisissait maintenant toute la portée des paroles de William. Le majordome s’écarta un peu et se défit de sa main restée libre, l’autre bien trop occupée à s’activer en douceur entre les jambes de la jeune femme. Son sexe était déjà dur et il se caressa lentement en contemplant l’arrière-train de Justine. Puis les va-et-vient de son pénis dans sa main prirent vitesse et vigueur, il commença à émettre de sourds grondements, sa respiration s’accélérait, de fines gouttes de sueur perlaient à son front. Le paroxysme du plaisir approchait.


Il lâcha enfin plusieurs jets de sperme qui atterrirent sur la cuisse de Justine, juste au-dessus de son bas avec un grondement rauque.


Après cela, le majordome recouvrit rapidement ses esprits. Il se rajusta et s’exclama :



Tournant les talons d’un pas vif, il disparut par la porte dérobée qui l’avait conduit ici, laissant Justine toute chavirée : avait-elle bien fait d’accepter ce poste ?