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n° 21967Fiche technique18479 caractères18479
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Temps de lecture estimé : 13 mn
03/09/23
Résumé:  Une mauvaise nouvelle fissure l’armure de gentleman de Julien pour laisser exploser sa frustration. Il va décevoir Magali qui demandera réparation...
Critères:  #vengeance fh extracon hépilé hotel hsoumis fdomine reconcil strip facial fellation cunnilingu pénétratio glaçon
Auteur : Conteurreveur  (Gentleman, les femmes sont belles lorsqu’elles sourient)      Envoi mini-message
Magali se fâche, Magali se lâche



En cette fin de journée, j’ai rejoint Magali après avoir longuement hésité. Un peu plus tôt dans l’après-midi, j’ai reçu une très mauvaise nouvelle de mes partenaires financiers qui annonçaient mettre fin à tous nos projets en Europe. Pour moi c’était le couperet, la mise à la poubelle de près de trois ans de travaux intenses et difficiles. Je suis dégoûté, écœuré, désabusé. Je pensais annuler notre rendez-vous, mais d’un autre côté je voulais aussi me prouver que j’avais la force de rebondir, de penser à autre chose et de passer un bon moment avec Magali. Malgré son regard que j’aime tant, son accueil chaleureux, sa voix apaisante, je n’ai pas su dissimuler les tracas qui encombrent mon esprit. D’un autre côté, c’était peine perdue, car nous nous connaissons par cœur et nous ne nous cachons rien.



En joignant le geste à la parole, Magali est venue se serrer contre moi et m’a pris par la taille. Ses yeux me regardent avec ce mélange de douceur, de bienveillance, mais aussi de désir et de passion. Rapidement, ses mains parcourent mon corps, me caressent la nuque, effleurent mes pectoraux au travers de ma chemise puis glissent sur mes hanches. Sa bouche vient chercher la mienne pour un baiser long et humide sans équivoque. Je me perds dans les effluves de son parfum, la douceur de ses cheveux et sa poitrine collée contre la mienne. Magali s’offre à moi, se propose pour que je dispose.


Les pensées négatives qui hantent mon esprit fondent comme neige au soleil au bénéfice d’un désir, d’une pulsion qui monte en moi et que rien ne pourra arrêter. Désormais c’est moi qui prends la bouche de Magali. Je l’embrasse fougueusement, mes paumes glissent derrière elle pour saisir ses fesses et les prendre à pleine main. Puis elles passent sous le tissu de sa robe pour sentir le contact de la peau directement. C’est très inhabituel, mais Magali porte un string minimaliste et je m’amuse à jouer avec. Mes doigts passent dessous, testent son élasticité, suivent sa trajectoire le long de ses deux globes. Ma bouche devient fiévreuse, glisse sur le menton de Magali puis vient embrasser son cou, le creux de son épaule. Elle n’est d’ailleurs pas insensible, car je sens sa respiration s’accélérer, son souffle devenir plus saccadé et surtout sa main qui sans gêne caresse mon érection au travers de mon pantalon.


Je ne sais pas ce qui se passe à cet instant, mais je perds un peu le contrôle de moi-même. Est-ce la tension et la frustration accumulées ces dernières heures, ou bien cette capacité dont dispose Magali à faire sauter le couvercle de la cocotte-minute pour libérer la pression, mais je me sens tel un animal qui va croquer sa proie.


Brusquement je saisis Magali par la taille pour la faire pivoter et la positionner dos à moi. La bouche reprend possession de sa nuque, vient mordiller le lobe de son oreille, redescend sur le creux de son épaule. Magali tourne la tête sur le côté pour venir chercher mes lèvres. Je suis collé dans son dos, mon érection est calée entre ses fesses et mes mains parcourent sa poitrine pour en saisir les tétons et les malaxer sans ménagement. Magali gémit sous ce traitement, car elle adore que je m’occupe de sa poitrine. L’heure n’est pas à la délicatesse, car je la pousse fermement vers le canapé qui nous fait face. Sans la forcer, mais sans lui laisser le choix non plus, je la positionne à quatre pattes sur le canapé juste devant moi. Tout va désormais plus vite et je me montre impatient. Je relève sa robe jusqu’à sa taille pour dévoiler la peau de ses fesses sous mes yeux. Je me redresse et en deux temps trois mouvements, je baisse mon pantalon et mon caleçon pour laisser jaillir mon sexe dur comme de la pierre. Sans plus de précautions, j’écarte la ficelle du string et viens pénétrer Magali jusqu’à la garde.


Un « han » de surprise s’échappe de sa bouche. Je ne l’ai même pas préparée ni lui laissé le temps de s’habituer à ma largeur. Un bref instant je m’assure tout de même de ne pas lui faire mal puis rapidement j’attrape sa taille fermement pour entamer de longs et profonds va-et-vient. Je sens son sexe s’habituer à ma présence et se faire plus accueillant. C’est pour moi le signal et l’autorisation d’accélérer franchement et sauvagement. Magali respire fort désormais, je suis implacable et puissant. Je ne lui laisse pas de répit, serrant toujours plus fort ses hanches pour venir me planter au plus profond d’elle. Mes cuisses musclées claquent sur ses fesses et mes testicules viennent toucher son clitoris à chaque pénétration.


Je la baise bestialement, brutalement, comme une chienne. Et Magali ne se dérobe pas sous mes coups de boutoir. Elle assure et encaisse chacun de mes mouvements avec un gémissement qui se fait de plus en plus rauque. Ses bras plient sous la charge et elle enfouit sa tête dans les coussins du canapé. Ainsi cambrée, j’ai désormais une belle vue sur son petit trou et l’idée d’en disposer selon ma volonté me traverse l’esprit. Mon pouce vient s’y ficher sans préambule et imprime des va-et-vient au même rythme que mes coups de reins. Je songe à lui défoncer son petit cul, mais je sens Magali qui ondule devant moi, s’agite, frémit. Ce sont les signes annonciateurs de son orgasme à venir.


D’ailleurs sa jouissance éclate et comble mon ego de mâle dominant. Je ne résiste pas longtemps à cette vision et ce sentiment pour quitter son fourreau accueillant, enjamber son dos et venir me masturber au-dessus de son visage. Avant qu’elle ne réalise, une première salve vient éclabousser son front, son nez et sa bouche. Elle détourne immédiatement la tête et les salves suivantes viennent se perdre sur ses joues, son cou, ses cheveux. Apaisé, libéré, délivré, je prends seulement conscience des dégâts causés par cette faciale non proposée donc non partagée. Magali tourne à nouveau la tête vers moi et ses yeux laissent paraître de la déception, de la tristesse, peut-être même de la colère. Ce seul regard me pétrifie de honte et de remords. Finalement je suis un blaireau comme les autres, je ne vaux pas mieux et vraiment je regrette ce que je viens de faire subir à Magali.


Quelques jours plus tard sur WhatsApp…



  • — Hello, ça va ? (Je cherche une formule un peu neutre, car je suis hyper mal à l’aise).
  • — Ça va.


Le retour glacial me serre le ventre. J’ai tout gâché. Notre confiance, notre symbiose, notre immense respect. Quel connard !



  • — J’aimerais m’excuser et me faire pardonner pour l’autre soir.
  • — Oui, tu peux en effet.
  • — Je ne sais pas ce qui m’a pris, j’ai perdu le contrôle.
  • — Je ne sais surtout pas pour qui tu m’as prise. Une vulgaire pute ?
  • — Mais non, jamais je n’ai voulu te manquer de respect.
  • — Eh bien, c’est raté.
  • — Dis-moi ce que je peux faire pour réparer ça ? Je suis prêt à tout.
  • — Ah oui ? Laisse-moi du temps, j’ai besoin de réfléchir.


Est-ce une lueur d’espoir ? Aucune idée, mais je reçois un nouveau WhatsApp quelques jours plus tard.



  • — Rendez-vous dans quinze jours à Paris. Si tu tiens à moi comme tu le dis, je te demande de respecter les consignes ci-dessous sans poser de questions :

• Trouve un appart avec un grand lit à barreaux.

• Prépare un seau à champagne avec des glaçons.

• Sois épilé nickel et en forme.

Last but not least : interdiction absolue de te masturber pendant quinze jours.


Je mets un temps à digérer ce message et j’avoue qu’il m’intrigue. Qu’il m’excite même… et puis ce que femme veut, Dieu le veut.



  • — OK, j’accepte les conditions. Hâte de te revoir.


Mon dernier message reste sans réponse et me prouve que Magali me tient. Il va falloir que je me plie à ses volontés si je veux regagner ses faveurs.

Dire que les quinze jours m’ont paru longs est un euphémisme. Quant à l’abstinence, je me suis saoulé de boulot et de sport pour ne pas y penser. Mais j’ai tenu et le jour J, je suis au rendez-vous.


Magali se présente au lieu indiqué et lorsqu’elle entre dans l’appartement, je suis cloué par sa beauté, son charme, sa puissance érotique. Je réalise combien j’ai eu peur de la perdre. Je m’approche d’elle pour l’embrasser, mais elle m’offre qu’un chaste baiser sur le coin de sa joue. Elle ne baisse pas la garde. Pire, elle semble jauger l’ensemble des conditions émises et je comprends instantanément que je vais passer à la casserole. À sa sauce.



Je me perds un peu entre ses yeux brillants d’un regard que je ne lui connais pas et son décolleté qui met en valeur ses seins volumineux. Je n’ai pas compris ou pas saisi ce qu’elle m’a dit et lui demande pardon.



Je ne discute pas, je retire mes vêtements consciencieusement.



Magali me mate sans vergogne des pieds à la tête. Elle s’est installée confortablement dans le petit canapé et ne boude pas son plaisir de ce petit strip-tease improvisé. Arrivé au caleçon, elle ne manque pas de me faire signe de l’index de me rapprocher et c’est elle qui tire sur l’élastique pour faire sortir ma verge déjà gonflée d’excitation. Très méthodiques, ses mains passent sous mes testicules pour tester leur douceur et leur plénitude, s’insinuent entre mes cuisses, puis remontent sur mon pubis. Elles manipulent mon sexe d’un côté puis de l’autre et enfin décalottent mon gland pour s’assurer que mon sexe est prêt à l’usage, son usage.



Je me sens un peu con, là, au garde-à-vous devant Magali. Mais je joue le jeu. Elle en vaut la chandelle.

Je lui sers une coupe que je lui tends cérémonieusement puis je me prépare à me servir la mienne.



J’ai feint l’assurance, mais je bande déjà comme un cerf après ces quinze jours d’abstinence et j’espère être capable de me contrôler. Je commence une lente masturbation sous les yeux de Magali qui n’en perd pas une miette. Ses yeux me semblent d’ailleurs pétiller. Effet du champagne ou de l’excitation, ou bien les deux… Toujours est-il que j’essaie de penser à autre chose pour ne pas avoir envie de jouir trop vite. Magali sourit lorsqu’elle voit la première goutte perler au méat. Elle sait que j’ai respecté les consignes à la lettre et que vulgairement parlant, j’ai les bourses pleines. Elle pose son index pour récupérer le trop-plein de qui commence à s’échapper en continu pour s’amuser à l’étaler sur tout le pourtour de mon gland. Ce premier contact m’a littéralement électrisé et cela semble beaucoup l’amuser. Puis d’une traite, elle finit sa coupe et, attrapant ma verge à pleine main, me dit :



Je la suis comme un toutou suit sa maîtresse et Magali m’emmène dans la chambre attenante. Sans discussion aucune, elle me fait allonger sur le dos sur le grand lit.



Vingt secondes plus tard, je vois Magali qui réapparaît dans mon champ de vision avec deux foulards dans une main et le seau à champagne dans l’autre. J’attendais ce moment depuis que j’avais lu la consigne du grand lit à barreaux.



Je m’exécute en silence, beaucoup moins fier et sûr de moi qu’à l’habitude. Magali attache chacun de mes poignets à un barreau et désormais mes bras sont complètement immobilisés. Je suis à sa merci. Cela ne fait d’ailleurs aucun doute, car ses mains parcourent mon corps et son regard se fait de braise, concupiscent et fiévreux. Elle insiste désormais entre mes jambes et vient cajoler, soupeser, jouer avec mes testicules. Mon sexe coule littéralement.



Magali me masturbe désormais, joue avec mon sexe, fait monter le plaisir puis lorsqu’elle me sent à point me laisse redescendre tout doucement. Je suis sur les nerfs. J’ai envie de jouir bestialement, abondamment.



En disant cela, elle fait descendre les bretelles de sa robe pour faire ressortir sa magnifique poitrine.



Magali attrape deux glaçons dans le seau et vient les faire glisser sur mes testicules lisses. La sensation est électrique, inédite. J’ai l’impression que la peau se rétracte et vient encore plus comprimer mes bourses pleines et dures. Puis elle remonte le long de ma tige brûlante d’excitation, sentiment de neige et de feu qui se transforme en eau. Elle termine sur le haut de mon gland, si sensible qu’il tressaute naturellement sous ce contact froid et humide. Enfin, elle me glisse dans la bouche les restes des deux glaçons qui ont bien fondu.


Magali recommence l’opération deux fois et je dois avouer que je commence à me tortiller malgré les liens qui entravent mes mains. Je n’en peux plus, tel un volcan, j’ai besoin de gicler, d’expulser tout mon sperme accumulé et chauffé à blanc.



Magali se penche sur mon sexe et gobe littéralement ma queue. Le contact de sa bouche douce et chaude après les glaçons durs et froids est divin. J’ai les sens en ébullition, le sang gonfle ma verge de plus belle, de nouveau brûlante, prête à exploser. Sa langue tournoie sur mon gland et elle me branle très vite. Terrassé par tant de sensation, de tension, de frustration, je ne résiste que quelques secondes et j’explose pour remplir la bouche de Magali. L’éjaculation me semble interminable, je décharge littéralement tout mon jus entre les lèvres de Magali. Appliquée, elle tourne la tête vers moi et pousse le vice jusqu’à presser son index le long de mon urètre pour m’essorer jusqu’à la dernière goutte.


J’exprime un souffle de satisfaction et me dit in petto que si c’est ça sa « vengeance », je veux bien recommencer quand elle veut.


Magali ne dit rien, se glisse le long de mon corps et, avec un drôle de regard, saisit mon visage et vient coller ses lèvres contre les miennes. Je comprends immédiatement que j’ai crié victoire trop vite et la tournure des événements ne va pas me plaire. Mais trop tard, il faut assumer. D’abord sur le bout des lèvres le baiser se fait plus torride et Magali force mes lèvres pour me faire partager mon sperme qu’elle a gardé en bouche ces quelques secondes. Je ne suis pas fan et cherche à me détourner, mais l’emprise de Magali est ferme et ne souffre pas la contestation. D’ailleurs elle semble très excitée par ce baiser baveux, mélangeant nos salives et mon foutre. Lorsqu’il s’en échappe à la commissure de mes lèvres, elle s’amuse à le récupérer du bout de l’index pour le glisser entre nos bouches. Enfin, l’étrange ballet se termine et nous reprenons nos respirations. Je suis un peu déboussolé, mais j’ai ressenti une grande excitation chez Magali.



En disant ça Magali se redresse finit de se déshabiller et vient poser ses genoux de chaque côté de mes bras. Sa main saisit ma tête et vient glisser un oreiller dessous pour que ma bouche soit au contact de son sexe sans effort, charmante attention…


Puis elle commence à bouger son bassin d’avant en arrière. Je n’ai aucune peine à comprendre qu’elle veut que je la lèche consciencieusement, méthodiquement. D’ailleurs, ma langue darde pour laper son sexe déjà humide d’excitation. Ses grandes lèvres s’ouvrent pour me permettre de venir glisser sans entrave du haut de son clitoris jusqu’au bas de sa vulve. Magali semble m’oublier un peu pour se concentrer sur son plaisir. Celui d’être littéralement mangé par un homme à sa disposition, plus encore à sa botte. Elle bouge d’avant en arrière pour me permettre de faire aller ma langue partout, au plus profond d’elle. Je vois sa poitrine gonflée d’excitation et ses seins monter et descendre au rythme de sa respiration.


Parfois Magali agrippe mes cheveux me faisant ainsi comprendre qu’elle veut que j’insiste ici ou là. Elle mouille abondamment et j’accepte sa douce liqueur avec plaisir, car elle remplace le saveur âcre et salée de mon sperme restée en bouche. Son plaisir monte et cela m’excite de la voir m’imposer son rythme. Parfois son bassin avance tellement que ma langue dépasse sa vulve pour titiller son œillet plissé, toujours accueillant. Mais bien vite Magali revient coller son clitoris sur ma bouche, plus précisément sur ma langue que je fais intrusive et destructrice. Son orgasme arrive imparablement et dans un dernier coup de reins Magali jouit sur ma bouche. Elle semble rester en suspens au-dessus de moi quelques secondes puis réattérit et me libère de son emprise. Elle se glisse le long de mon corps et caresse ma bouche comme on flatte un animal qui a bien travaillé.



Magali détache mes mains et avise mon pénis de nouveau bandé et dur.



Tout en douceur, elle vient me chevaucher et me fait pénétrer au plus profond d’elle. Elle prend le temps d’apprécier la sensation. Puis lentement, progressivement elle bouge sur mon sexe. Mes mains libérées, je caresse sa poitrine, le creux de ses reins, ses fesses. Nos regards se croisent et naturellement nos bouches viennent se souder pour un baiser passionné. De nouveau nous sommes en symbiose, connectés. La suite n’est qu’une longue série d’envies, de désirs comblés par l’écoute et l’attention de l’un envers l’autre. Magali se laissera aller et donnera libre cours à son plaisir pour déclencher un orgasme qui sembla ne pas s’arrêter. Puis je me retirerai délicatement pour jouir à nouveau sur ses seins et enlacerai Magali de mes bras protecteurs.


Comment ne pas prendre soin d’une si belle muse ? Son pardon me ravit de bonheur et renforce l’immense estime que j’éprouve pour elle…