n° 21970 | Fiche technique | 75413 caractères | 75413 12489 Temps de lecture estimé : 50 mn |
05/09/23 |
Résumé: L’histoire se déroule dans les beaux quartiers de Bruxelles. Une association, composée d’hommes et de femmes, initie ses membres aux découvertes de l’informatique. Certains d’entre eux vont finir par se rapprocher au gré de différentes situations. | ||||
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Auteur : Legeo01 Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : L’association des plaisirs Chapitre 01 / 02 | Fin provisoire |
Je me prénomme Pierre, j’ai cinquante-cinq ans, je travaille dans l’enseignement, un mètre soixante-dix-sept, je suis un bon vivant comme on dit. Il y a quelques années, que dis-je au courant des années 2005-2007, j’offrais bénévolement mes services au sein d’une ASBL (Association Sans But Lucratif), dans le but d’aider des personnes à se familiariser avec les outils numériques. Il faut souligner que la majorité des participants étaient âgés de plus de cinquante ans, une génération qui n’avait pas grandi avec l’internet et qui, souvent, avait longtemps résisté à l’idée de maîtriser ces outils. Leur résistance provenait généralement d’un certain confort, mais aussi d’un rejet de cette société moderne qui met l’accent sur la rapidité et l’immédiateté.
Notre ASBL était nichée au cœur du quartier du Prince d’Orange, l’un des quartiers les plus prestigieux de la capitale belge. L’endroit dégageait un air de distinction qui semblait s’imprégner dans chaque recoin de ses rues soigneusement entretenues.
Les maisons bourgeoises, majestueuses et parfois même grandioses, s’alignaient le long des avenues arborées. Elles démontraient par leur architecture variée et raffinée l’histoire et la richesse de leurs propriétaires. Chaque demeure, qu’elle soit de style traditionnel ou contemporain, avait son charme propre, avec des jardins soigneusement aménagés et des façades impeccables qui se démarquaient par leurs détails uniques.
Les rues, bordées d’arbres matures et de parterres de fleurs délicatement entretenus, évoquaient une sérénité presque pastorale, contrastant avec l’agitation habituelle de la ville. La végétation luxuriante offrait des espaces d’ombre bienvenus, rendant les promenades d’été agréables.
Les boutiques haut de gamme et les cafés élégants peuplaient les rues principales, offrant une gamme de services et d’expériences de qualité pour les résidents privilégiés avec de quelques antiquaires et galeries d’art.
Les résidents du quartier du Prince d’Orange étaient majoritairement des familles aisées, des professionnels et des personnalités influentes du pays. Malgré sa réputation d’élite, le quartier avait une atmosphère accueillante, où les voisins se connaissaient et où l’on pouvait souvent voir des enfants jouer dans les parcs verdoyants.
En bref, le quartier du Prince d’Orange était un véritable joyau de la capitale belge, alliant la tranquillité et la beauté d’une banlieue résidentielle haut de gamme à la commodité et à l’accessibilité d’un emplacement urbain. Sa réputation n’était pas usurpée et il était facile de comprendre pourquoi il était si recherché.
Au début du mois de septembre, je me retrouvai en charge d’un groupe de vingt-cinq personnes, composé d’hommes et de femmes, ces dernières étant en plus grand nombre. Quelques-uns étaient à la retraite et assistaient à cette formation par simple divertissement. Ils étaient généralement issus d’une catégorie socioculturelle favorisée, la bourgeoisie belge.
Parmi ces femmes, plusieurs avaient manifestement conservé un sens aigu de leur féminité et de leur apparence. Elles prenaient soin d’elles et affichaient un certain raffinement. Leur présence dégageait une élégance toute en subtilité et leur apparence soignée était le reflet de leur attention portée aux détails. Leurs coiffures étaient toujours impeccables, leurs vêtements soigneusement choisis et leur maquillage discret, mais parfaitement appliqué.
Ces femmes, en dépit de leur âge, démontraient une grande vitalité et une attitude résolument positive. Leur intérêt pour la formation numérique témoignait de leur désir d’évoluer avec le temps et de rester en phase avec le monde moderne, tout en conservant leur style et leur féminité.
Avec le temps, le nombre de participants à mon groupe diminua. En novembre, nous n’étions plus que quinze, âgés de cinquante-cinq à soixante-huit ans. Il ne restait plus que deux hommes, Albert et Patrick, avec lesquels je sympathisais. Nous avions pris l’habitude de nous retrouver pour prendre un verre à la fin de la formation et de discuter de tout et de rien. Nos conversations s’orientaient toutefois souvent vers les femmes de notre formation, et plus particulièrement trois d’entre elles : Nadine, Michelle et Nathalie. Elles étaient respectivement âgées de cinquante-neuf, soixante-deux et soixante-cinq ans.
Pourquoi tant de discussions sur ces femmes ? Tout simplement parce qu’elles étaient incroyablement séduisantes. Leur élégance bourgeoise, alliée à leur sex-appeal indéniable, suscitait notre admiration.
Nadine, la plus jeune, était une femme très féminine, souvent vêtue de jupes qui s’arrêtaient juste au-dessus du genou, dévoilant des jambes galbées habillées de bas et retenues par des porte-jarretelles discrets. Ses chaussures à talons hauts accentuaient l’élégance de sa démarche. Sa lingerie était souvent perceptible à travers ses chemisiers semi-transparents, donnant un aperçu de sa féminité audacieuse.
Michelle, quant à elle, avait une préférence pour les décolletés généreux, qui laissaient entrevoir sa lingerie raffinée. Sa chevelure blonde, entretenue avec soin, brillait de mille feux et son maquillage, subtil et sophistiqué, mettait en valeur ses yeux bleus pétillants et son sourire éclatant. Ses manières délicates et son aisance naturelle nous séduisaient tous.
Nathalie, la doyenne du groupe, dégageait une sensualité mature. Ses cheveux argentés encadraient un visage au maquillage soigné, mettant en valeur ses traits fins et son regard malicieux. Ses jupes crayon et ses talons hauts soulignaient ses courbes toutes en subtilité. Sa lingerie, visible à travers ses blouses légères, ajoutait une touche d’érotisme discret à son allure raffinée.
Toutes trois, malgré leurs âges respectifs, démontraient qu’elles pouvaient rivaliser en matière de séduction. Leurs manières raffinées, leurs attentions aux détails de leur apparence et leur capacité à maintenir une aura séduisante étaient source de fascination pour nous.
Ce jour-là, Patrick commença, un sourire malicieux aux lèvres.
Il a poursuivi en décrivant avec précision les chaussures qu’elle portait.
La voix de Patrick a baissé, ses yeux se perdant dans le souvenir.
- — Le cuir verni brillait sous l’éclairage tamisé de la voiture, le design classique des chaussures rehaussant le glamour intemporel de Michelle. Elle les portait avec une aisance décontractée, comme si ces talons hauts étaient une extension naturelle de sa personne. C’est à ce moment-là que j’ai réalisé l’ampleur de mon attirance pour cette femme.
Contournant rapidement le véhicule, j’avais regagné ma place derrière le volant. À peine avais-je pris place que je fus surpris par la tournure que prenaient les événements. En effet, Michelle, pour se protéger de la pluie, avait revêtu un imperméable qu’elle venait d’ouvrir. Sous l’imperméable, elle portait un tailleur élégant qui, à cause de la position dans laquelle elle était assise, s’entrouvrait légèrement.
Et là, mon regard a été captivé par une vue inattendue. Le décolleté de sa robe, jusqu’alors dissimulé, était maintenant exposé de manière audacieusement suggestive. Le tissu délicat moulait parfaitement les courbes de son buste, mettant en valeur une silhouette féminine qui, je devais l’admettre, avait toujours suscité mon admiration.
La scène était d’un érotisme subtil, intensifié par le battement incessant de la pluie sur le toit de la voiture. Le parfum doux et féminin de Michelle envahissait l’habitacle, ajoutant à l’ambiance sensuelle. Tout en gardant mon calme, je ne pouvais m’empêcher de reconnaître la séduction indéniable qui se dégageait de cette femme, dévoilant alors un autre aspect de sa personnalité que je ne soupçonnais pas jusqu’alors.
La maison de Michelle est un joyau architectural caché dans le prestigieux quartier du Prince d’Orange. Sa splendeur se dévoilait au fur et à mesure que je guidais ma voiture le long de l’allée pavée, chaque détail de la façade renforçant son charme.
C’était une villa majestueuse, avec une façade élégante faite de pierre naturelle qui se mêlait harmonieusement au paysage environnant. Le toit à la française, orné de tuiles vernissées, ajoutait une touche de raffinement supplémentaire. L’allée menait à une large entrée, encadrée par une terrasse élégante qui donnait sur un jardin paysager, œuvre du célèbre architecte René Pechère.
Malgré la pluie battante, je me souviens avoir été fasciné par la beauté de la demeure, son charme intemporel et son allure aristocratique. Mais ce qui a vraiment captivé mon attention ce soir-là, c’était Michelle, continua Patrick.
Dans le confort confiné de la voiture, Michelle dégageait une aura de féminité qui enflammait l’atmosphère. Assise à côté de lui, elle avait défait son imperméable pour révéler un tailleur ajusté qui mettait en valeur ses courbes. Sa jupe, légèrement remontée à cause de la position assise, laissait apparaître le haut de ses bas, une vision qui stimulait l’imagination de Patrick.
Son parfum envoûtant remplissait l’espace restreint de la voiture, créant une ambiance intime. Son décolleté, audacieusement révélé par son tailleur, laissait entrevoir une lingerie fine.
Chaque respiration qu’elle prenait faisait gonfler sa poitrine et la tension montait, transformant ce court trajet en un moment de séduction intense, conclut Patrick, son regard lointain trahissant l’impact de ce souvenir vivace.
Patrick poursuivit son monologue, nous plongeant dans le souvenir du premier baiser qu’il avait partagé avec Michelle. Sa voix devint plus douce, comme si chaque mot recelait un secret précieux.
- — Arrivés devant chez elle, nous nous sommes garés sous l’ombre protectrice des grands arbres qui bordaient sa propriété. Il y avait un silence… un de ces silences lourds de non-dits, de tension qui crée une atmosphère presque irréelle.
Il marqua une pause, perdant son regard dans le vague, comme si chaque détail de ce moment revenait avec une clarté étonnante.
- — Michelle ne semblait pas pressée de sortir de la voiture. Au lieu de ça, elle s’est rapprochée de moi. Nos regards se sont croisés et j’ai su, j’ai su qu’elle ressentait la même chose que moi.
Il prit une grande inspiration avant de continuer :
- — Nous nous sommes penchés l’un vers l’autre pour échanger une bise d’au revoir. Mais alors que nous nous éloignions, Michelle s’est tournée vers moi une nouvelle fois. Nos visages étaient si proches que je pouvais sentir le doux parfum de sa peau.
Son sourire s’élargit alors qu’il revivait ce moment.
- — Et puis, elle a posé ses lèvres sur les miennes. Ce n’était pas juste un baiser… c’était un mélange de passion et de douceur, une exploration mutuelle qui semblait durer une éternité. Un baiser qui m’a laissé sans voix, qui a fait battre mon cœur plus vite que jamais.
Il finit sa phrase avec un soupir rêveur.
- — Nos regards se sont croisés à nouveau quand nous avons fini, remplis d’un désir évident. C’était une promesse silencieuse, un prélude à ce qui pourrait être. Sa voix s’estompa, laissant flotter dans l’air l’écho de ce souvenir intime.
Albert était un personnage unique dans notre groupe. À soixante-huit ans, cet homme robuste avait conservé une énergie juvénile et une curiosité insatiable pour les femmes. Il était veuf, mais sa passion pour la gent féminine ne s’était jamais estompée. En fait, elle semblait même s’être intensifiée au fil des années. Albert aimait les femmes, toutes les femmes, et ne se privait pas d’afficher ce penchant.
Assis dans cette brasserie du Prince d’Orange en face de Patrick, Albert l’écoutait avec une intensité captivante, savourant chaque détail de l’histoire comme s’il s’agissait d’un met délicieux. J’avais appris qu’Albert s’était fait surprendre par Patrick dans les toilettes en compagnie d’une participante, qui depuis avait quitté la formation. Albert n’était pas du genre à refuser une invitation, surtout lorsqu’elle venait d’une femme. Bien que la situation ait été plutôt gênante, Albert n’avait montré aucune honte. Pour lui, c’était juste une autre aventure, une autre histoire à raconter.
Avec un sourire canaille sur le visage, Albert interrompit Patrick.
Sa voix était empreinte d’impatience, comme celle d’un enfant attendant la fin d’un conte de fées. Il était clair qu’Albert n’avait pas perdu de son appétit pour les récits coquins, même à son âge avancé.
Patrick a clairement pris plaisir à raconter la suite de son aventure avec Michelle.
- — Lorsque notre premier baiser s’est terminé, a-t-il commencé, le sourire aux lèvres, Michelle était toujours à moitié dans la voiture, la portière grande ouverte. Sa position offrait une vue parfaite sur ses longues jambes, ses cuisses pressées l’une contre l’autre dans une tension délicieuse.
Il a pris une gorgée de sa bière, prolongeant le suspense avant de poursuivre.
- — Sa poitrine était lourdement appuyée contre le tissu de sa veste, le chemisier à peine capable de contenir sa générosité. On pouvait deviner ses tétons durcis à travers le tissu, trahissant son excitation.
Et puis, il a fait une pause, son regard se perdant dans le souvenir :
- — Elle a saisi ma main gauche et l’a placée entre ses cuisses. C’était une invitation claire, sans ambiguïté. Sa voix, terriblement séduisante, a achevé de me convaincre.
Patrick a imité la voix de Michelle, une lueur malicieuse dans les yeux.
- — Ne voudrais-tu pas venir te réchauffer à l’intérieur, mon mari est absent jusqu’à la semaine prochaine ? m’a-t-elle demandé.
Inutile de vous dire que je n’ai pas hésité une seule seconde, ma main prise dans son étau tout doux et humide était une invitation très excitante !
En sortant de ma BMW, je me suis engouffré dans le sillage de cette femme sublime. Elle avançait, telle une féline, sur ses escarpins, ses pas délicatement déséquilibrés par les graviers de l’allée. Elle laissait traîner sa main dans une invitation tacite à la prendre, une invitation à laquelle je n’ai pas résisté.
Arrivés devant la porte, juste avant d’insérer sa clé dans la serrure, elle s’est tournée vers moi et m’a murmuré, un sourire en coin :
- — Nous allons vivre une expérience inoubliable, mon chéri !
Sa paume s’est alors insinuée vers mon entrejambe, ses ongles effleurant délicatement ma hampe déjà tendue. Sans cérémonie, elle a ouvert la fermeture éclair de mon pantalon, glissé sa main à l’intérieur et saisi mon sexe.
- — Tu seras mon fécondateur ce soir ! a-t-elle annoncé, ses yeux brillant de désir. J’étais sidéré par cette transformation, de la femme sage qui assistait aux cours à la panthère déchaînée qui se tenait maintenant devant moi.
Elle a finalement ouvert la porte et m’a guidé par le sexe à travers un long couloir fait de pierre de France, tant au sol que sur les murs. Des tableaux, des toiles et des aquarelles étaient harmonieusement disposés sur les murs, démontrant un goût sûr et raffiné.
Nous sommes finalement arrivés dans un grand salon où trônait en son centre une cheminée, faite de la même pierre que celle du hall d’entrée. Une bibliothèque bien garnie et un piano à queue complétaient l’agencement. Sur le piano, une série de photos de famille, dont un portrait d’un homme, le même qui figurait sur une autre photo du couple. Cet homme dégageait une aura austère.
Au milieu du salon, deux canapés Chesterfield en cuir aubergine et des fauteuils assortis formaient un coin convivial et invitant. Là, dans ce cadre somptueux, j’étais prêt à vivre une nuit d’exception avec Michelle.
D’un geste très doux et très tendre, elle prit ma tête entre ses mains et m’entraîna dans un bal de nos langues, un baiser si chaud, si profond que je me délectais de toutes ces torsions de ma langue en contact avec la sienne.
Elle prit une sonnette sur un guéridon et la fit teinter.
Un homme, d’origine africaine, très grand, se présenta dans le salon, il était affublé d’un costume de majordome.
- — Bonsoir, Madame, que puis-je faire pour vous ?
- — Grégoire, pouvez-vous préparer un apéritif pour mon ami et l’installer pour mon plaisir.
- — Pour ton plaisir, Michelle, j’étais surpris par cette phrase et par la venue de cet homme.
- — Oui, pour mon plaisir, mon chéri et le tien, laisse-toi faire, ai confiance en moi, je te laisse avec Grégoire juste un petit moment.
Je la regardai prendre la direction de la porte et restai là dans ce salon, la braguette ouverte. Le majordome me servit un French 75.
- — Prenez votre temps, Monsieur, une fois que vous aurez terminé, je vous demande de vous déshabiller complètement !
Dans ce récit, Albert interrompit Patrick et me lança dans un grand éclat de rire :
La rigolade de nous trois était brillante, au milieu de cette brasserie.
- — Il m’a indiqué un genre de chaise où m’installer, elle était disposée dans une pièce adjacente au salon, pourvue de collier de serrage pour les chevilles, et dans le dos de celle-ci, il m’entrava les mains. Un trou au milieu de l’assise laissait libre accès à mes couilles.
Je n’en menais pas large les gars, je ne savais vraiment pas pourquoi je me retrouvais dans cette situation, l’envie, la curiosité. Bref, à un moment Grégoire me dit :
- — Monsieur, vous devez savoir que je suis au service de madame et de madame uniquement, je suis tenu par un devoir de grande discrétion et d’obéissance totale. Vous n’avez donc aucune crainte à avoir de ma part.
Il finit par quitter les lieux et me laissa seul totalement nu sur cette chaise au milieu de ce cadre luxueux.
Au bout d’un certain temps, ma patience fut récompensée, j’entendis le claquement significatif des talons qui grattaient le sol. Dans l’escalier en pierre de France qui me faisait face, Michelle m’apparut enfin.
Quelle image, mon Dieu !
Elle portait un bustier à balconnet qui s’arrêtait juste au-dessus de son nombril, une longue robe de chambre légèrement transparente complètement ouverte sur sa silhouette, chaussée d’escarpins aux fameuses semelles rouges d’une bonne quinzaine de centimètres. Ceux-ci lui conféraient un galbe et une cambrure parfaite, matant en musique toute la sensualité forte de ces courbes délicieuses. Ses jambes étaient couvertes pas des bas de soie retenus par un porte-jarretelles.
Étant un grand connaisseur, j’avais directement reconnu le modèle !
Le Chenonceau qu’elle porte est tout simplement splendide. Le détail est partout : six jarretelles délicates se mariaient à deux boucles disposées en un élégant Y, avec des attaches en métal et un dos en tissu renforcé. Il présentait trois rangées de trois agrafes, permettant un ajustement précis à sa silhouette, quelles que soient ses courbes. Deux coutures discrètes ornent le devant, créant un vêtement sans baleine, confortable et naturel sur sa peau, une épinglette discrète, portant la mention « CERVIN depuis 1920 ». Cette petite touche d’authenticité donne à chaque pièce un cachet d’élégance et d’histoire.
J’écoutais depuis un long moment Patrick nous raconter son histoire, j’observais Albert de plus en plus agacé par les détails et désirant qu’il en arrive au fait. Par contre, moi, j’adorais cette mise en situation, l’impression de vivre le moment vécu par notre camarade. Je découvrais qu’au fil des mots et des images produites dans ma tête, je pensais également à Michelle en l’imaginant dans cette situation, et certainement comme Albert qui en avait presque la bave aux lèvres, je bandais dur !
Ses cheveux blonds une cascade de boucles, ses yeux bleus parfaitement mis en valeur par le choix des couleurs de sa palette de fond de teint rehaussé de longs cils noirs, et son sourire maquillé d’un rouge profond, tout comme ses mains parfaitement manucurées.
Elle s’approcha de moi et me dit :
- — Tu vas me féconder ! Tu es là pour ça, tu me fais gronder et jouir plusieurs fois ce soir, je veux tout de toi, je veux que tu vides tes couilles au plus profond de mon ventre.
- — …
- — Je vais être ta pute, ta salope, ta maîtresse, ta drogue !
- — …
- — Et ma chatte, ta seconde résidence, tu vas voir comme on y est bien !
Accroupie devant moi, elle passe sa main entre mes cuisses et profitant du trou dans la chaise pour venir flatter mes bourses.
Sa longue robe de chambre transparente s’ouvrant de part et d’autre sur ses deux obus qu’elle me présentait. J’en devenais dingue, ses seins étaient lourds, terminés par deux grosses tétines, des tétines grosses comme mon pouce.
Elle en prit un en main et me dit :
- — Goûte, mon chéri, une mise en bouche avant le festin de roi.
Dans la pénombre tamisée de la pièce, je suis assis, entravé sur une chaise. Je ne peux pas bouger, mais je n’en ai pas envie. Devant moi, Michelle tient une petite fiole d’huile. Un frisson d’anticipation me parcourt alors que je la regarde, ses yeux brillant d’une lueur sauvage.
Elle ouvre la fiole et l’arôme enivrant des huiles essentielles de clou de girofle et d’ylang-ylang se répand dans l’air. Elle verse l’huile dans la paume de sa main, la chaleur de sa peau intensifiant encore plus l’odeur aphrodisiaque. Elle approche ses mains de moi, l’arôme flotte vers moi, éveillant mes sens.
Avec une lenteur délibérée, Michelle commence à enduire mon torse avec l’huile. Ses mains glissent sur ma peau, la chaleur de l’huile se mêlant à la chaleur de mon corps. Elle masse l’huile sur mon bas-ventre, ses mouvements doux et rythmés créant une tension palpable dans l’air.
Elle remonte ensuite vers ma poitrine, ses doigts traçant des cercles lents et délibérés autour de mes tétons. Je frissonne sous ses caresses, la sensation de l’huile sur ma peau amplifiant chaque toucher.
Michelle se penche ensuite pour déposer quelques gouttes d’huile le long de ma colonne vertébrale. Elle masse l’huile dans ma peau, ses mouvements fermes et assurés provoquant un frisson de plaisir le long de mon dos.
Tout en continuant son massage, Michelle approche la fiole d’huile de mes narines. J’inspire profondément, l’odeur de l’huile essentielle de clou de girofle et d’ylang-ylang envahissant mes sens. J’expire lentement, me laissant emporter par une sensation de relaxation profonde.
La pièce est remplie d’une tension érotique intense, chaque toucher, chaque mouvement, chaque respiration amplifiant le désir entre nous. Michelle continue à enduire mon corps avec l’huile, chaque goutte ajoutant à l’intensité de la scène.
Finalement, Michelle se recule, me laissant respirer l’arôme de l’huile et ressentir la chaleur de ses mains sur ma peau. La pièce est silencieuse, seule ma respiration brise le silence. Je suis complètement à sa merci, mon corps vibrant d’anticipation pour ce qui va suivre.
Elle revient se positionner, accroupie, place deux doigts entre son string, l’écarte et plonge dans son intimité, sans perdre le contact de nos regards. Son souffle est court et très suave, je distingue la moiteur de son sexe sur le bout de ses doigts.
Mon envie à ce moment-là, arracher mes liens pour me saisir de la belle et la prendre avec force !
Mes yeux sont rivés sur elle, captivés par la lueur sauvage dans ses yeux. Il y a une tension palpable entre nous, un désir non dit qui charge l’air d’électricité.
Elle ouvre à nouveau la fiole, libérant l’arôme enivrant des huiles essentielles de clou de girofle et d’ylang-ylang. Elle verse l’huile dans la paume de sa main, la chaleur de sa peau intensifiant encore plus l’odeur aphrodisiaque. Elle approche ses mains de ma barre de chair, l’arôme flottant vers moi, éveillant mes sens. Nos regards se croisent, un frisson d’anticipation me parcourt.
Avec une lenteur délibérée, Michelle commence à enduire mon sexe avec l’huile. Ses mains glissent sur ma peau, la chaleur de l’huile se mêlant à la moiteur de ma queue. Elle masse l’huile sur la barre, ses mouvements doux et rythmés créant une tension palpable dans l’air. Je la regarde, mon désir pour elle grandissant à chaque mouvement de ses mains.
Mon gland brille sous l’effet de l’huile, chaque veine ressortant sous l’effet de la lumière tamisée. Je peux voir la concentration sur le visage de Michelle, ses joues légèrement rougies par l’effort. Nos regards se croisent à nouveau, un éclair de désir non dissimulé dans ses yeux.
Elle remonte ensuite vers le haut de la barre, ses doigts traçant des cercles lents et délibérés autour du gland. Je frissonne en la regardant, la sensation de l’huile sur la peau amplifiant chaque mouvement. La chaleur de ses mains sur ma peau, mon désir pour elle devenant presque insupportable.
Tout en continuant son travail, Michelle approche la fiole d’huile de mes narines. J’inspire profondément, l’odeur de l’huile essentielle de clou de girofle et d’ylang-ylang envahissant mes sens. J’expire lentement, me laissant emporter par une sensation de relaxation profonde. Nos respirations se synchronisent, le rythme de nos cœurs battant à l’unisson.
La pièce est remplie d’une tension érotique intense, chaque toucher, chaque mouvement, chaque respiration amplifiant le désir entre nous. Michelle continue à enduire ma queue avec l’huile, chaque goutte ajoutant à l’intensité de la scène.
Finalement, Michelle se recule, me laissant respirer l’arôme de l’huile et observer ma queue maintenant luisante sous l’effet de l’huile. La pièce est silencieuse, seule ma respiration brise le silence. Je suis complètement à sa merci, mon corps vibrant d’anticipation pour ce qui va suivre. Nos regards se croisent une dernière fois, un éclair de désir non dissimulé dans ses yeux.
Ses doigts effleurent mes bourses, ils rentrent dans mon cul, ce qui me provoque instantanément des sursauts de ma queue, avant de me tendre une pilule bleue en disant :
- — Tu en auras besoin, car je suis affamée d’une passion dévorante.
Elle poursuit et en me fixant, elle ouvre la bouche et décrit de petits cercles avec sa langue, comme si elle désirait m’embrasser. Elle prend son auriculaire et du bout, elle essaye de l’enfoncer dans mon urètre, je suis au bord de l’explosion, elle termine par prendre mon sexe en bouche en prenant soin de serrer mes testicules et la base de ma queue pour m’empêcher de jouir.
Elle libère ensuite mes liens et me guide en me tenant par mon sexe, sans que je ne résiste, nous nous dirigeons vers sa chambre. Ses Louboutins résonnent, telle une lueur pour maintenir mon attention.
Toujours tenu par la queue, comme un chien en laisse, nous arrivons dans sa chambre,
Le lit, king size, trône au centre de la pièce, drapé de riches tissus et d’une literie luxueuse. Les oreillers moelleux invitent à la détente et offrent un confort absolu.
Les murs sont ornés de magnifiques miroirs aux cadres dorés, qui reflètent la lumière et agrandissent l’espace. Des tableaux artistiques, soigneusement sélectionnés, ajoutent une touche de sophistication à l’ensemble.
La pièce regorge de petits détails qui la rendent unique. Des chandeliers en cristal diffusent une lueur étincelante, créant une atmosphère romantique. Des rideaux en velours encadrent les fenêtres, filtrant doucement la lumière du jour. Un tapis épais et moelleux recouvre le sol, offrant une sensation agréable sous les pieds.
Dans un coin de la chambre trône une télévision grand format, prête à diffuser des images captivantes. Une douce musique de <i<soul se fait entendre, créant une ambiance relaxante et envoûtante.
Cette chambre somptueuse est un sanctuaire de luxe et de confort, offrant un havre de paix dans cette maison bourgeoise digne d’un manoir.
Devant ce grand lit, le contact de nos lèvres m’a enflammé instantanément. Alors que je m’approche de Michelle, une vague de désir s’empare de moi. Son regard brûlant me dit tout ce que je veux entendre.
Le baiser commence lentement, avec une douceur délibérée. Mes lèvres se mêlent aux siennes, explorant chaque contour avec une passion dévorante. Nos souffles s’entremêlent, courts et précipités, trahissant notre excitation mutuelle.
Mes mains ne peuvent résister à l’attraction magnétique qui m’attire vers Michelle. Je laisse mes doigts se perdre dans les boucles blondes de ses cheveux, tandis que mes mains explorent chaque centimètre de sa silhouette enivrante. Chaque caresse, chaque contact éveille en moi un désir sauvage et insatiable.
Je sens la chaleur de son corps se presser contre le mien, nos peaux brûlantes fusionnant dans une étreinte passionnée. Chaque sensation, chaque frôlement, amplifie mon envie de l’explorer encore plus profondément.
Le baiser devient de plus en plus envoûtant, nos langues s’entrelacent dans une danse intime et sensuelle. Je me laisse complètement emporter par cette fusion de plaisirs, mes sens enivrés par le goût, l’odeur et la texture de Michelle.
Chaque instant devient une extase brûlante, une fusion de corps et d’âmes qui transcende le temps. Nous succombons à nos désirs les plus profonds, nous perdant dans cette étreinte torride qui fait vibrer chaque fibre de notre être.
Michelle et moi nous abandonnons à cette passion dévorante, laissant nos instincts nous guider vers des sommets d’extase. Chaque baiser, chaque effleurement, est imprégné d’une sensualité débordante, d’un amour qui nous consume tous les deux.
Dans cet échange charnel, nos corps ne font plus qu’un, se mouvant avec une harmonie sensuelle qui nous transporte au-delà des limites de la réalité. L’union de nos âmes et de nos désirs crée une symphonie ardente, une expérience inoubliable qui restera gravée en nous pour toujours.
Je la bascule sur le lit, rehausse ses jambes et d’autorité plonge en avant dans sa vulve luisante.
Contemplant la vulve devant moi, je sais que ce n’est pas une chatte, elle a de très grandes lèvres et un clito d’une taille peu commune, comme une petite bite. C’est une expérience, une indulgence, un plaisir que je m’apprête à savourer.
Je plonge la langue dans son sexe, la texture crémeuse cédant facilement sous la pression. Fermant les yeux pour mieux apprécier le moment. La première sensation, une chaleur douce dans ma bouche, puis vient le goût, doux et riche, une explosion qui envahit mes papilles.
Je laisse Michelle fondre lentement dans ma bouche, chaque goutte libérant plus de cette saveur de femelle en attente. Elle crie, donne des jambes sur mes épaules, elle crie de plus en plus fort. Son clito est entre mes lèvres, je joue avec lui comme une sucette. Puis elle me repousse et dit :
- — Maintenant, baise-moi, baise-moi, Patrick, ta queue dans ma grotte, dans ma chatte, je te veux là !
Je prends mon sexe et l’introduis dans sa cavité toute chaude, toute douce.
- — Oh, que c’est délicieux de te sentir en moi, libre au fond de moi, je ressens toute la grosseur de ton sexe, j’ai une sensation d’être remplie, les tensions dans mon bas-ventre étaient intenables.
Nous sommes tous les trois à regarde la serveuse, le silence est assommé et lourd de cette intrusion dans le roman de Patrick.
La serveuse reprend, en pointant Albert du doigt :
En effet, Albert avait une grande auréole sur le haut de son pantalon crème.
Après un éclat de rire, le rouge sur les joues de notre ami Albert et la gêne notable de la serveuse, ce qui a eu pour effet de nous amuser encore plus.
Patrick reprit le cours de son histoire.
Michelle devenait complètement dingue, je l’ai prise à de multiples reprises, toujours le plus profondément de cette somptueuse chatte. J’avais terriblement envie d’elle.
J’ai passé un moment interminable à jouer avec ses seins, en les suçant, en les mordillant, en tirant sur la pointe à lui en faire mal, de cette douleur jouissive. Car oui, la salope jouissait des seins !
J’étais complètement subjugué, par la taille de son clito, il était tellement gros que je pouvais le masturber comme une petite bite.
Dans son fourreau tout chaud et humide, je me suis répandu tellement de fois, que je vous assure, les amis, j’en ai mal au sexe durant plusieurs jours.
Je dois la revoir bientôt, mais avant cela, elle m’a confié quelque chose.
Il me tend une enveloppe et me dit :
Nous nous sommes quittés en nous promettant de nous retrouver la semaine suivante. J’avais pour mission de transmettre ma réponse à Patrick qui, curieusement, servait d’intermédiaire.
En rentrant chez moi et après m’être laissé tomber dans mon canapé, je pris le temps d’ouvrir la lettre, un verre de Hautes Côtes de Nuits à la main.
La lettre commençait ainsi :
Cher Monsieur,
Nous ne nous connaissons pas. Je suis l’époux de Nathalie, l’une des amies du cours que vous donnez à Michelle et à ma femme. J’aimerais, après de nombreux échanges avec ma femme, faire votre rencontre en toute discrétion. C’est pourquoi ma femme m’a permis de transmettre ce courrier à Michelle, qui le ferait suivre.
Nous avons besoin de votre aide, ou plutôt, ma femme a besoin de votre aide. Je ne suis ici que comme l’homme au service de sa chère et tendre épouse. Je ne peux en dire plus, mais si vous acceptez de me rencontrer et d’échanger dans un endroit discret, je vous en dirai plus.
Cordialement, Jean.
Transmettez votre réponse à l’ami de Michelle, qui est également le vôtre si mes informations sont correctes. Il vous donnera plus d’informations.
Quelques jours plus tard, me voici devant ma classe. L’histoire de Michelle et Patrick me trottant dans la tête, mais surtout la lettre énigmatique de l’époux de Nathalie. Je regardais tout ce beau petit monde, et essayais de garder une certaine contenance, ou une contenance certaine. Je remarquais, les apartés entre Michelle et Patrick, rien par contre de la part de Nathalie, sauf peut-être quelques regards appuyés, et si je ne me trompe, principalement à la hauteur de mon bas-ventre, mais je devais certainement me faire des illusions.
Le cours terminé, changement d’endroit pour le verre de fin de soirée, Albert était absent, ce soir-là, un match de foot retenait son attention.
Après m’être garé, je retrouvai Patrick au Bar Parallèle à Ixelles. Il avait pris une table un peu en retrait et m’accueillit avec un grand sourire.
Après avoir pris notre commande, je ne tenais plus, je voulais en savoir plus.
Patrick éclata de rire, et prit la parole.
Je pris mon GSM, composant le numéro sous le regard amusé de Patrick. Une voix un peu rauque me répondit :
Bizarre, me dis-je, cela fait plus d’une heure trente que ce cours a pris fin. J’affirmais mon autorité immédiatement dans la discussion et lui dit d’emblée :
Je raccrochai sans attendre sa réponse. Patrick resta interloqué par ma prise d’ascendant de cette manière.
Je rigolais et lui dis :
Avant de quitter Patrick, je lui demandai d’être également présent, et précisai que je voulais qu’il prenne une table de manière à pouvoir m’asseoir à la table voisine. N’ayant jamais rencontré Jean, je souhaitais avoir un témoin de la suite des événements.
Le lendemain, j’entrai dans l’établissement de la veille et m’installai juste à la table voisine de Patrick, sans lui dire un mot.
Quelques minutes plus tard, un homme d’une bonne septantaine d’années fit son entrée. Il avait les cheveux gris et très dégarnis, et était un peu bedonnant. Il portait un pull orangé, une chemise blanche et un pantalon en velours côtelé de couleur verte. Aux pieds, une paire de Richelieu. Bref, l’archétype du vieux bourgeois de la capitale.
Le serveur arriva, je commandai pour nous deux des Cuba libres.
Dans la discussion qui suivit, je compris qu’il avait été le patron d’une grande chaîne de magasins d’alimentation en Belgique. La presse belge relatait que cette chaîne d’alimentation avait été dirigée d’une main de fer. Une grosse multinationale qui n’a aucun remords à licencier du personnel quand il s’agit d’encaisser des dividendes pour les actionnaires.
Tout cela me donnait encore plus envie de le faire suer à grosses gouttes.
Il m’expliqua que depuis leur mariage dans les années octante, sa femme avait toujours été honorée par lui, qu’elle n’était jamais allée voir ailleurs, mais qu’elle avait des besoins, des besoins de plus en plus importants.
Elle se refusait à aller voir ailleurs pour satisfaire sa sexualité, elle se refusait à le tromper. De son côté, il n’arrivait plus à avoir la forte bandaison utile pour combler celle qu’il aimait depuis toujours. Ils avaient eu de nombreuses discussions sur le sujet, et depuis que Nathalie avait entamé les cours, elle avait changé de vision sur le fait de prendre un amant, certainement que Michelle a eu une influence bénéfique sur elle.
Ceci dit, ils désirent que cela se passe chez eux, Jean voudrait être là pour « au cas où… »
Jean était la bouche ouverte, je crois que personne n’a jamais osé parler de la sorte au patron qu’il a été.
Je terminai en lui disant :
Au revoir Monsieur Pierre, j’avais réussi en quelques instants à transformer ce bloc de glace en un homme totalement soumis, j’avais ce large sourire de celui qui avait vu juste, qui avait le dessus sur ce type, stoïquement, comme un robot il quittait l’établissement, non sans au préalable avoir envoyé un message à sa femme pour lui dire que j’étais d’accord et que je serais là samedi midi.
Patrick me rejoint à table, nous avons eu un fou rire communicatif, tout l’établissement des tables voisines riait avec nous, sans savoir exactement pourquoi.
Nous avions tous les deux un très large sourire, Patrick me proposa de téléphoner à Michelle pour qu’elle prenne des nouvelles de son amie Nathalie, mieux, de la préparer pour le fameux samedi.
J’entendais les questions et les rires de Michelle à l’autre bout du fil, elle s’engagea à la convaincre de certains achats pour mon plus grand plaisir. Et que dès le lendemain, elles seraient toutes les deux dans quelques boutiques de Waterloo et de Bruxelles.
Le samedi arriva, je me préparai, un jeans, une chemise blanche, un blazer en lin beige et une paire de Reppeto, voilà le look décontracté chic. Je passai à la galerie de la Reine prendre une boîte de macarons de chez Marcollini et un superbe bouquet de roses.
Je rentrai dans une allée, située au chemin des Nones à Rhode-Saint-Genèse, qui me mena devant un vieux manoir fait d’un toit en chaume. Je parquai ma voiture devant cette superbe propriété faite de différentes dépendances.
J’ouvris mon coffre pour y prendre un sac et me présentai devant la porte d’entrée, je n’ai pas eu à sonner, la porte s’ouvrit sur une petite dame âgée avec un léger accent néerlandophone.
Qui me proposa de prendre mon sac, ce que je refusai et de la suivre, dans un décor magnifiquement agencé, je me dis, les primes et le « golden parachute » sont donc bien investi. Elle m’installa dans un salon, en me demanda de bien vouloir attendre Jean qui ne saurait tarder. J’étais là à admirer un tableau quand j’entendis dans mon dos la voix de Jean.
Je me retournai sur le gaillard, le regardai de ce regard glacial qui ne laisse aucune chance de réponse et lui balançai :
En sortant de la pièce, j’entendis une sonnerie, des pas se faisaient entendre. Puis, il ordonna au personnel de quitter les lieux, de prendre leur week-end.
À ce moment-là, mes yeux sont restés grand ouverts, on devait certainement remarquer ma surprise, elle était totale, j’ai eu des difficultés à retrouver ma contenance.
Secrètement, je remerciai Michelle de cette aide, de cette formation, non que dis-je, de cette initiative qu’elle a eue en prenant Nathalie sous son aile. On distinguait toute l’influence de la maîtresse qu’elle était dans le choix et l’attention portée aux achats en compagnie de Nathalie.
Nathalie était là, devant moi, son mari en retrait, elle portait une superbe paire d’escarpins à très fins talons, d’un rouge éclatant pourvu d’une petite broche argentée sur le devant. Ses jambes, dont les courbes arrondies étaient sublimes d’emblèmes de soie du plus bel effet, la soie on la reconnaît immédiatement, elle plisse légèrement. Une jupe en cuir fendue sur l’avant-cuisse, qui laissait entrevoir le porte-jarretelles. Tout comme Patrick, je suis un féru de cet accessoire féminin.
Elle avait un chemisier noir transparent, et l’on pouvait voir ses deux superbes obus, il n’y pas d’autre mot, car à vue de nez, je me demandais comment un redresse seins pouvaient tenir une si grosse poitrine, un 115G certainement. L’aréole brune était très large, surmontée de deux belles tétines qui pointaient outrageusement vers un collier de perles.
Son maquillage était plus appuyé que durant nos soirées de cours, avec des cils d’une longueur qui aurait pu laisser croire en d’autres lieux qu’il était question d’une dame au travail tarifé.
Le vert de son regard était souligné par un ombrage des paupières choisi avec goût, son visage arrondi était sublimé et mis en valeur par son carré allongé et la teinture noire de jais qu’elle avait fait faire.
Je m’approchai d’elle et lui offris les fleurs et les macarons.
Jean et Nathalie se regardaient. Je sentais qu’ils perdaient légèrement pied tous les deux. Et je repris mes ordres de manière plus autoritaire.
Et aussi étrange que cela puisse paraître, ni l’un ni l’autre ne refusaient mes ordres.
Jean disparut et je me rapprochai de Nathalie, debout au milieu de la pièce, je pris ses mains entre les miennes, sans perdre le contact avec ses yeux. Ses mains étaient ornées de différents bijoux, dont son alliance que je saisis entre mes doigts et la fis tourner.
À ce moment-là, Jean nous apparut tout nu, comme demandé. Bedonnant, le sexe complètement recroquevillé. Il était là debout juste derrière Nathalie.
Nathalie prit la parole et me dit :
De mon index, je la fis taire en le plaçant sur ses lèvres, j’en fis le contour, cela la troubla énormément.
1. Il n’y aura pas de discussion possible à mes ordres.
2. Vous trouverez le moyen d’arranger votre temps quand je le demanderai.
3. Je suis le maître jusqu’à nouvel ordre.
Trois règles simples, avez-vous compris tous les deux ?
Jean ne disait rien, alors j’ai insisté.
En gardant toujours mes yeux fixés dans ceux de Nathalie, je retirai sous le regard de mes deux partenaires, l’alliance de Nathalie et la fis glisser dans la poche de mon jean.
J’ai ouvert mon sac et pris un petit tablier de soubrette que j’ai lancé à Jean, en lui ordonnant de le mettre. Une fois fait, j’ai pris mon téléphone pour une petite photo, je ricanai de ce rire moqueur. Je le trouvais si minable dans cette situation, et pris un malin plaisir à ajouter :
Devant son époux, je repris les mains de Nathalie, l’attirai vers moi, la collai tout contre moi, je profitai de son parfum et de ses formes à pleine main. En remontant de ses fesses, j’attrapai sa nuque pour rapproche ses lèvres des miennes.
Nous avons entrepris un très, très long baiser. Bon Dieu ! que cette femme était sensuelle, son corps vibrait sous ce premier baiser. Ma langue virevoltait dans sa bouche, j’allai chercher sa langue et elle enfonça la sienne dans ma bouche, un baiser interminable avec mes mains qui couraient dans sa chevelure.
Je sentais la chaleur de son corps contre le mien, ses seins énormes, dont les bouts, étaient devenus d’une dureté incomparable. Son mari n’en perdait pas une miette. Et pour vérifier sa totale soumission, je partis entre les cuisses de son épouse afin d’y glisser la main, je découvris sa moiteur importante, elle était trempée, elle eut même le réflexe de légèrement fléchir les jambes pour m’en faciliter l’accès.
Puis sans prévenir, elle me repoussa et en me regardant droit dans les yeux me dit :
Je souris en regardant la scène devant moi, Nathalie avait une dernière barrière de pudeur, de pudibonderie, cette fameuse morale judéo-chrétienne.
D’autorité, je la rapprochai à nouveau de moi, en la tenant par une main, et en tendant mes doigts pleins de mouille vers sa bouche.
D’abord elle résiste, cela ne dura que l’espace d’une seconde « rire ». Elle a léché, comme on lèche une glace dont on ne veut pas perdre une goutte.
Je demandai à son mari de vaquer aux tâches pour le repas et nous d’apporter un apéritif, sans oublier de reprendre Nathalie dans mes bras, en la faisant tourner sur elle-même, je me délectai de ce que me renvoyait comme image cette femme si fidèle durant des années.
Elle avait des courbes que j’adorais, sa jupe en cuir lui moulait si bien le cul, et les deux obus en avant sous le tulle me faisaient bander comme un dingue.
Bien maladroitement, Jean arriva avec les apéritifs, nous avions pris place dans le salon, je me levai du canapé, pour prendre les coupes de champagne et m’interrogeai, pourquoi a-t-il pris trois coupes, je pense qu’il n’a pas encore bien compris tout le sens de son rôle.
Pour marquer le coup, j’en versai une sur sa tête.
Sa femme voulut intervenir pour l’aider à s’essuyer.
Pour bien marquer le coup, je forçai Nathalie à s’accroupir sur ses talons, en posant mes mains sur ses épaules.
J’ouvris mon pantalon et lui tandis mon sexe
Nathalie ouvrait ses grands yeux verts et hésitait quelque peu. Je me rendais compte que, malgré sa faim de retrouver des sensations, comme l’avais expliqué son mari, ces pratiques devaient certainement être très peu classiques et prendre le sexe de son homme en bouche n’était pas dans leurs habitudes. Eh bien, voilà un beau défi comme je les aime !
Jean était là à moins d’un mètre, il bandait, cela me fit également bander plus dur de le voir, le regard hagard devant ce spectacle.
En bonne élève, elle s’exécuta. Je gardai cette position un bon moment, jusqu’à l’arrêter.
Nous nous retrouvions dans une splendide salle à manger qui était dotée d’une table moderne de très grande taille, habilement mariée à un mobilier plus ancien, conférant à l’espace un chic indéniable.
Les propriétaires fortunés de ce manoir avaient fait preuve d’une minutieuse attention aux détails pour préserver l’authenticité de la demeure tout en y incorporant une esthétique contemporaine. Les chaises, de style Louis XV, rénovées et recouvertes d’un cuir italien de qualité supérieure, formaient un étonnant contraste avec la table de verre et d’acier inoxydable.
Des lustres en cristal de Murano, suspendus au plafond, renvoyaient la lumière des multiples bougies sur les boiseries cirées, créant un scintillement presque surnaturel qui illuminait le riche tableau de la salle à manger. Leur lueur se reflétait sur l’argenterie posée sur la table, un jeu d’ombres et de lumières constamment changeant au gré des flammes dansantes.
Le parquet, en chêne massif, avait été restauré et poli jusqu’à un brillant profond qui lui conférait une élégance intemporelle. Les tapis persans éparpillés, aux motifs complexes et colorés, apportaient une chaleur visuelle et texturale au sol.
Le long des murs, des buffets anciens en acajou contenaient une précieuse collection de porcelaine de Limoges, témoignage du goût raffiné des propriétaires pour les arts décoratifs. Ces buffets étaient surmontés de miroirs à l’ancienne, dont les cadres dorés étaient ornés de motifs floraux délicats, ajoutant une touche romantique à la pièce.
L’ensemble, conjuguant avec subtilité la majesté d’antan et la modernité du design contemporain, offrait un environnement à la fois accueillant et luxueux, où chaque repas devenait une célébration du raffinement et de l’art de vivre
Durant le repas, je fis véritablement connaissance de Nathalie, elle me parla de sa vie, de ses enfants, tous déjà mariés et installés très loin de la capitale. Elle me raconta que Jean était l’unique homme de sa vie, et que dernièrement, il n’arrivait plus à la satisfaire. Elle ne lui en voulait absolument pas, malgré son manque, mais lui était frustrée de ne pouvoir la combler comme elle le désirait. La proposition de faire rentrer un autre homme dans leur couple, elle s’y refusa au départ, mais par la suite, l’idée fit son chemin, elle se dit très peut experte, mais a véritablement envie d’apprendre.
Elle en est venue à parler l’unique fois où ils ont failli se séparer, car Jean entretenait une liaison avec la femme d’un de ses amis. Elle lui a pardonné depuis bien longtemps. C’était à la fois étrange de me retrouver dans cette situation, à table avec cette superbe femme aux rondeurs si sensuelles, ses seins ballottant de temps en temps dans les gestes qu’elle faisait. Mais surtout son mari planqué là comme un homme de maison, debout, nu comme un ver, affublé de ce petit tablier de soubrette.
Le repas terminé, je lui demandai de nous guider vers la chambre.
Je la sentais mal à l’aise et je voyais que cela embêtait Jean également. Je pris un ton bien plus autoritaire pour ma demande.
Je pris Nathalie par la main et nous suivîmes Jean dans les escaliers jusqu’à ladite chambre.
Un magnifique lit, facilement large de deux mètres, trônait dans l’ambiance singulière créée par le mur du fond d’un vert chasseur, contrastant avec la teinte crème du reste de la pièce, le tout reposant sur un parquet clair. La chambre baignait dans une lumière généreuse, offrant tout le confort caractéristique de ces grandes demeures luxueuses.
L’ameublement, d’une modernité raffinée, conjugue l’épure des lignes et la richesse des matériaux. Une coiffeuse en acajou, parsemée d’accessoires en argent, reflète le lustre doux de l’éclairage indirect. Une commode assortie, aux tiroirs ornés de poignées en cristal, dévoile une collection de linges délicatement pliés.
Une technologie haut de gamme vient s’intégrer à ce décor somptueux. Sur l’un des murs, un grand écran démontre une discrétion impressionnante lorsqu’il est éteint. Cependant, allumé, il devient un vidéoprojecteur d’une qualité remarquable, offrant une expérience cinématographique privée, directement depuis le confort de cette chambre.
Le tableau est complété par un grand miroir mural, encadré de laiton, qui agrandit l’espace et multiplie les sources lumineuses. Pour la touche finale, des rideaux de soie crème tamisent la lumière naturelle, créant une atmosphère apaisante, propice au repos et à la détente.
L’adjonction d’une salle de bain attenante offre un ultime signe de raffinement. Équipée d’une douche à l’italienne, aux parois de verre transparent, elle présente un jeu sophistiqué entre l’opaque et le transparent, entre l’intimité et l’ouverture. Le choix des carrelages en marbre poli ajoute une note d’élégance durable.
Ce design luxueux offre une chambre moderne qui invite à la sérénité dans un cocon de luxe discret, et qui transforme le quotidien en une expérience hors du commun.
Jean, dont le visage porte les stigmates du temps, pose délicatement un sac fatigué sur le lit grandiose de la chambre.
Malgré le fait qu’il soit nu, Jean, ce chef d’entreprise à la main de fer d’ordinaire, semble parfaitement à l’aise dans cet environnement raffiné. Il ouvre le sac avec une respectueuse circonspection, comme s’il était sur le point de découvrir un trésor de grande valeur. Ses doigts aguerris en extraient le contenu, dévoilant deux caméras digitales soigneusement emballées ainsi qu’un assortiment d’équipements de tournage.
La surprise laisse Jean silencieux, son regard oscille entre les deux caméras posées devant lui. Un instant de perplexité marque son visage buriné, mais il la dissipe rapidement par un sourire désarmé. Il semble trouver cette situation énigmatique, intrigante même.
Il finit par secouer la tête, un sourire s’inscrit sur son visage. La surprise, semble-t-il, fait partie intégrante de la vie de Jean. Après tout, il a connu des succès et des défis tout au long de sa carrière d’entrepreneur.
Il se saisit d’une des caméras, sa main familière enveloppant instinctivement la poignée. Peu importe comment ces objets ont atterri ici, ils présentent désormais une nouvelle opportunité, une nouvelle histoire à raconter. Et Jean, avec son esprit aiguisé et sa curiosité insatiable, est prêt à embrasser cette nouvelle aventure.
Jean courut, le terme est exactement celui-là, il courut pour partir, en effet, il y a une bonne vingtaine de minutes de chez eux à la place Stéphanie et un samedi après-midi beaucoup de monde en route. Il se dépêcha, car il ne voulait pas manquer le début.
À peine entendu le bruit que les graviers faisaient sous les roues de son Austin, que j’étais déjà occupé à embrasser la charmante Nathalie. Mes mains parcouraient ses formes arrondies, je ne me lassais pas devant ce grand lit qui allait nous soutenir dans toutes les petites perversions que j’avais envie de partager avec elle.
Elle frémissait de ce jeu, de ce plaisir partagé, de ma manière d’exalter ses sens. J’avais une main posée sur son cul, et mes doigts malaxaient sans gêne chacune ses deux belles fesses, comme si elle était devenue ma chose.
L’autre main, je la faisais glisser d’un sein à l’autre, sur le tulle de son chemisier. Je jouais, prenant ses deux mamelles, puis plus doucement, je décrivais de petits cercles autour des aréoles mammaires.
Si seulement elle savait que j’ai réalisé tout cela uniquement pour elle. Que mon expérience de la domination était très limitée !
Je regardai ses doigts fins s’affairer à mon déshabillage. J’imaginai en même temps Jean, au volant de sa voiture dans le trafic, qui devait être dans une grande frustration. Cela provoqua un petit rire de ma part.
J’étais presque nu, quand elle tira sur mon boxer. Mon sexe jaillit au garde-à-vous devant son visage.
Je l’aidai à s’étendre, habillée, sur son lit. Je me couchai sur elle et m’empressai de prendre sa bouche pour unir une nouvelle fois nos lèvres. Mon désir de la prendre sans attendre était important, mais il me fallait résister à la tentation. Je pris entre mes mains chacun de ses seins et les tétai au travers du tissu, pour finir par défaire chacun des boutons de son chemisier transparent. Elle se releva un peu pour nous dégager.
Dans un même temps, nous nous sommes débarrassés de sa jupe. Elle avait gardé le redresse-seins, les bas et son superbe porte-jarretelles. Sa culotte trempée avait rejoint le reste de nos habits sur le sol. Je me laissai glisser sur elle, en prenant soin au passage de jouer encore un peu avec ses deux superbes seins. J’arrivai entre ses cuisses pour humer son odeur de femelle. Je découvrais sa chatte complètement glabre, toute lisse.
Je ne sais quel lait corporel elle emploie, mais c’est un rendez-vous avec le sublime, une célébration de la féminité dans toutes ses nuances. Chaque fois que je le respire sa peau, c’est comme si j’entrais dans un rêve d’une beauté sereine, où la douceur des fleurs se rencontre avec la chaleur apaisante du bois. C’est une véritable expérience sensorielle qui séduit, qui charme, qui captive. Une histoire écrite sur la peau, avec les notes parfumées les plus exquises. C’est le lien invisible qui unit la femme qui le porte à celui qui est assez proche pour le sentir. C’est la promesse d’un instant de beauté, d’une étreinte de douceur, d’une danse de parfums sur la peau.
Ce mélange et l’odeur poivrée de son sexe, me rendent complètement dingue de désir. Je commence par approcher doucement mon nez et ma bouche, m’attardant un moment dans cette position. Je remarque qu’elle se presse pour venir en contact, pour coller son intimité à ma bouche ; mon souffle lui provoque quelques soubresauts. De mon autre main, je me délecte du plaisir de caresser un sein, puis l’autre, cherchant à multiplier les points de contact sensoriels et érotiques entre nous.
Alors que ma main savoure et joue avec cette poitrine généreuse, mon index droit commence à dessiner délicatement le contour de ses lèvres intimes. Je passe du bas de sa raie fessière jusqu’à la partie supérieure de son sexe, l’effleurant à peine. Ses gémissements deviennent de plus en plus forts.
Mes doigts, pinçant le haut de ses lèvres comme pour les garder fermées, entament un mouvement de va-et-vient très lent. Je remarque que la cyprine est de plus en plus présente, ses gémissements se transforment en petits cris, elle attend que je poursuive.
Je déploie ma langue et je décris à nouveau tout le dessin de ses lèvres vaginales. Je finis par y glisser légèrement un doigt, accompagné de ma langue, je lape le liquide qui se répand dans ma bouche.
Son corps se cambre, se tend d’un seul trait, sa peau est irisée par ce plaisir qui la transperce. Et je n’en suis qu’au début de ce que je lui réserve. Je suis presque convaincu qu’à soixante-cinq ans, Nathalie découvre le plaisir du cunnilingus. J’imagine que les seules pratiques avec son mari sont le missionnaire et rien d’autre.
J’en profite pour saisir ma télécommande et allumer les caméras. Deux vues séparées apparaissent sur leurs écrans : une vue générale et un plan rapproché de nos corps. Quand son mari sera en place, il aura les mêmes vues sur son petit écran. Je m’étonne d’ailleurs qu’il ne soit pas déjà arrivé, mais je m’en fiche complètement.
Je ne dis rien, juste un petit ricanement et je poursuis ma progression. Cette fois, ma bouche a complètement ouvert ses lèvres, mon index s’est introduit dans son sexe et mes lèvres emprisonnent son clitoris. Je fais tourner ma langue tout autour, comme je le ferais avec sa bouche dans un long baiser. Mon index vient au contact des parois intimes et glisse d’avant en arrière tout en dessinant de petits huit sur le haut. Peu de gens le savent, mais il y a cinq zones érogènes dans le sexe d’une femme, cinq raisons de pousser Nathalie dans ses derniers retranchements, et je m’attarde sur la plus sensible en ce moment.
Elle n’arrive plus à parler, transpercée de toutes parts par de multiples orgasmes. À ma surprise, je reçois un jet puissant de liquide sur le visage. Quel plaisir de la voir dans cet état.
Elle se lève et disparaît de la chambre quelques instants. Grâce à l’excitation, et à notre position, elle a labouré mon dos avec ses talons. Puis, à son retour, elle dépose quelques préservatifs sur le lit. Tout excitée, elle en ouvre un et me positionne d’autorité sur le dos. C’est à ce moment-là que les caméras émettent un petit bruit, signalant que son mari est en place dans sa chambre d’hôtel.
Je jubile à l’idée de l’imaginer seul dans sa chambre, observant sa femme à côté de mon sexe. À genoux, les jambes repliées sur ses escarpins, elle dégage une élégance sensuelle avec son superbe porte-jarretelles et son redresse-seins, certainement de marque de luxe, vu la finition. Je ne connaissais pas la marque, mais je reconnais les conseils de cette perverse de Michelle.
Elle déroule le préservatif et tente, plutôt maladroitement, de me le placer sur le sexe.
Cela a le don de m’exciter fortement de la voir faire. Je garderai cette image dans ma tête pour toujours ! Avec beaucoup de délicatesse, elle finit par y arriver. Je la saisis par les poignets et la tire sur moi. À l’aide de nos mains, nous guidons mon sexe tendu dans son antre. Et au même moment, nous entendons de loin un « Nooon » prononcé dans un souffle rauque.
Nathalie ne répond plus, elle est là sur moi, les seins ballottant, se dandinant sur mon sexe. J’empoigne ses seins et l’attire pour un nouveau baiser langoureux et profond, comme deux amants qui prennent un immense plaisir.
Elle se renverse en arrière, la main sur son ventre, pour un nouvel orgasme libérateur de toute cette tension sexuelle accumulée. Je bande tellement fort qu’il m’est de plus en plus difficile de me retenir de jouir.
Elle se dégage et, d’une main rageuse, retire le préservatif. J’imagine le regard de son mari, sa surprise doit être totale.
Elle remonte sur moi et d’un coup sec, je m’enfonce en elle. Je lui chuchote à l’oreille :
Je regarde sur le grand écran, qui renvoie notre image accouplée dans cette étreinte fusionnelle.
J’entends dans la voix de Jean ses halètements, il se masturbe, le cocu. Il est en train de comprendre son rôle et ma domination est devenue incontournable. Mon ventre s’inonde une nouvelle fois du liquide de Nathalie. Décidément, elle n’arrête plus. En la prenant contre moi, sa poitrine durcie écrasée contre la mienne, dans un baiser intense, je lâche tout mon sperme dans son ventre. Nous jouissons ensemble dans une fusion charnelle intense.
Je regardai la caméra et, à l’aide de la commande, je faisais un zoom sur nos visages.
Un grondement sourd me fit comprendre qu’il venait de se répandre seul dans sa chambre d’hôtel. Quelle situation incroyable ! Nathalie se dégageait. Je sentais mon sexe glisser lentement du sien. En m’enjambant, je voyais les fils de notre étreinte s’étirer et couler de son sexe. Nos corps étaient couverts de transpiration, ce symbole de notre union passionnée. D’initiative, je me levai, prenant la main de Nathalie. Ses doigts croisés dans les miens, comme deux amants très complices, je l’entraînai sous la douche. La pluie du pommeau central nous fit le plus grand bien. En faisant attention de ne pas trop mouiller ses cheveux, je me collai derrière elle et lui déposai quelques baisers sur la nuque. En saisissant le gel douche, je commençai à pratiquer un massage sur son corps, m’attardant sur ses seins, je descendis sur son ventre et caressai son mont de Vénus. Je la laissai finir sa toilette intime seule. Et pour finir, je m’accroupis, écartant ses fesses, j’y introduisis un doigt pour atteindre son anus.
Je ne répondis pas, mais après ce nettoyage intime du bout des doigts, qui s’enfonçaient les uns après les autres dans son cul, je me délectai de finir par le bout de ma langue pour adoucir mes caresses. Elle s’occupa de moi à son tour, par une fellation d’enfer, avec ce regard vert saphir profond et si rare. Après ce nettoyage intime et profond, je repris amoureusement la main de Nathalie et l’entraînai vers le lit. Avant de nous coucher, nous avons partagé un baiser, juste devant la caméra, savourant le plaisir de l’interdit, sachant quel effet pervers cela aurait sur son mari. Tout en poursuivant par une multitude de baisers, je lui chuchotai :
À quatre pattes sur le lit, courbée avec le visage en bas, je zoomai la caméra sur son visage. La scène que je voyais sur l’écran était parfaite. Me plaçant derrière elle, j’écartai ses deux lobes fessiers.
J’adorais cet instant. Elle prenait le dessus sur son mari, elle devenait à son tour maître de ses envies et non contrainte. Passant à nouveau ma langue sur son petit trou, je commençais par enfoncer un doigt, puis deux, écartant son anus le plus possible.
Elle coulait encore. Je la saisis par les hanches et m’enfonçai lentement en elle avant de me caler au plus profond. Je ne commençai à bouger qu’après un long moment de préparation, pour qu’elle prenne toute la mesure et le plaisir.
Dans une forme de sanglot, Jean dit un « nooon ! » intense, pris d’un désarroi profond et peut-être de certains regrets.