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Temps de lecture estimé : 29 mn
07/09/23
Présentation:  Une "petite" histoire fort classique, au début. Bonne lecture :)
Résumé:  Début juillet, l’histoire se déroule sur la Côte d’Azur, dans une villa cossue nichée au fond d’une crique. Je suis arrivée la veille par le train, en attendant que mon chéri me rejoigne d’ici quelques jours dans la demeure de son oncle.
Critères:  fh hplusag alliance vacances fellation cunnilingu 69 pénétratio fsodo init
Auteur : Patrik  (Carpe diem diemque)            Envoi mini-message
Tonton, bonbon, ronron et grands flonflons

Une petite histoire fort classique, au début.

Bonne lecture : )




Plantons le décor



Début juillet, l’histoire se déroule sur la Côte d’Azur, pas loin du lieu favori d’une certaine BB amatrice d’animaux, dans une villa cossue nichée au fond d’une crique. Je suis arrivée la veille par le train, en attendant que Jean, mon chéri, me rejoigne d’ici quelques jours dans la demeure de Grégoire, son oncle paternel.


Je m’appelle Lydie, et je suis ce qu’on appelle communément une petite blonde aux yeux clairs. Je ne suis ni trop petite, ni trop grande, ni trop grosse, ni trop fluette, je suis normale, voire banale, parfois plus jeune que mon âge, ceci à mon grand regret, même certaines de mes copines adoreraient avoir mon physique.


En parlant de physique, quand je compare mon petit ami à son tonton, je me demande parfois s’ils sont de la même famille, bien que je sache qu’il s’agit du frère de son père. En cherchant bien, on distingue une vague ressemblance au niveau du bas du visage.


Mais si mon chéri est normalement constitué pour un jeune homme de bientôt vingt ans, plutôt dans le genre intello, son oncle est carrément un taureau ! Tout en lui appelle à cette comparaison, et encore plus avec ce que je viens de découvrir !



Je viens de l’apercevoir tout nu sur sa terrasse, après qu’il ait fait un petit tour dans sa piscine. Il est vraiment massif, plein de muscles, un look de baroudeur, sans oublier l’énorme « machin » qui pendouille entre ses jambes solidement plantées sur le carrelage bleuté.


Je rougis, mais j’ai du mal à détourner la tête :



Ostensiblement, je frissonne malgré moi, ce qui l’amuse :



Sans complexe, il s’allonge, toujours complètement nu, sur un transat, afin de se sécher au soleil. Installé, il tourne la tête vers moi :



Entendant cette proposition exprimée sur un ton badin, je m’exclame :



J’ai peut-être parlé trop vite. J’édulcore un peu :



Je ne réponds pas. Main sur le front, je regarde le sud-ouest, en direction du soleil et de la mer qui scintille légèrement. Oui, un peu de bronzette ne me ferait pas de mal.



Nonchalamment, il me désigne une armoire bleue sous la pergola :



Je déniche une crème solaire qui me convient, puis je pars me changer dans ma chambre. Quelques minutes plus tard, je reviens sur la terrasse, habillée d’un bikini à triangles verts, avec à la main un chapeau de paille.


Me voyant arriver près de lui, Grégoire s’exclame :



Je souris, assez flattée. Ce que l’oncle ignore, c’est que son neveu n’est pas toujours au summum de sa forme, moi qui pensais ingénument qu’un jeune homme n’avait jamais de panne. J’ai la nette impression que ça ne doit pas être le cas de Grégoire, même s’il approche la cinquantaine, si je calcule bien, sachant que c’est le frère aîné du père de mon copain. En tout cas, il ne fait pas vraiment son âge, je lui donnerai volontiers dix ans de moins.


Chapeau sur la tête, je m’allonge presque à angle droit de Grégoire, avec la ferme intention de ne pas rester trop longtemps. Je n’ai pas envie de passer ma nuit à gémir parce que je suis carbonisée et que j’ai mal partout ! J’irai ensuite piquer une tête dans la piscine, ça me fera du bien !


Alors que je devrais fermer les yeux ou contempler le bleu du ciel ou de la piscine, mon regard est trop souvent attiré vers une certaine partie charnue de mon voisin. C’est plus fort que moi. Encore heureux que mes yeux soient cachés du regard de Grégoire ! Pour détourner mon attention, je regarde aussi le reste de l’anatomie de Grégoire, ce qui n’est pas mieux. Décidément, c’est pratique, une salle de sport à domicile ! Cet homme doit sans doute multiplier les conquêtes. Je parie que ça doit être dans les gènes de beaucoup de femmes que d’aimer se faire « papatouiller » par un homme tel que cet oncle !


En tout cas, on dirait que c’est dans les miens ! Pourtant, j’ai déjà rencontré Grégoire au moins deux fois avant de venir chez lui. Mais il était habillé avec un gros pull, puisque c’était en hiver. J’avais bien senti que c’était sans doute un homme à femmes, mais sans plus. Normalement, les hommes qui pourraient être mon père, ça ne me branche pas trop. Les trop jeunots non plus. Il faut un juste milieu.



Je sursaute. Il repose sa question :



Évitant de trop regarder cette grosse saucisse de chair qui m’aimante, je rétorque de façon amusée :



Soulevant un peu mon chapeau, j’acquiesce :



Soudain, baissant les yeux, je m’aperçois avec horreur que je suis en train de mouiller ! Je remonte légèrement les jambes afin de cacher la tache humide qui est en train de se faire jour sur mon maillot vert !


Et en plus, mes tétons sont carrément durs ! Mon Dieu, mais qu’est-ce qu’il m’arrive !?




Glissement et dérapage



J’espère que rien ne se voit ou ne se sent, car je sais qu’en pareil cas, ma chatte dégage parfois une certaine odeur. J’essaye de rester impassible, mais mes yeux sous mon chapeau s’égarent toujours, là où il ne faut pas, ce qui n’arrange pas ma tranquillité d’esprit et de corps. J’aurais dû rester à l’intérieur !


J’ai lu, je ne sais plus où, une histoire sur les phéromones. L’oncle de mon petit copain doit être un distributeur de ce genre de chose. Et moi, je dois être réceptive. Je ne sais pas si c’est lié, mais j’ai une aptitude pour humer certaines fragrances, là où la majorité des personnes ne sentent rien du tout. Souvent, c’est pratique, mais parfois, c’est une malédiction, surtout auprès de quelqu’un dont l’hygiène est douteuse !


Soudain, Grégoire se lève posément et vient vers moi. À ma grande surprise, il relève un peu mon chapeau de paille, plantant ses yeux dans les miens :



Il se penche vers moi :



À ces mots, je deviens cramoisie. Je le deviens encore plus quand il me la met presque sous mon nez. Son engin commence à se redresser, c’est à la fois effrayant et fascinant.



Sa colonne continue son ascension.



Grégoire désigne son sexe de la main :



Goguenard, il enchaîne :



Il s’approche légèrement plus, son sexe se redressant lentement mais sûrement :



Visiblement, je m’étais fait des illusions en croyant qu’il n’aurait rien vu. Durant ce temps, son sexe est de plus en plus raide, le gland bien décalotté. C’est bien la première fois que je vois de si près une telle sucette en puissance !


Malgré moi, ma main tremble un peu. Bien sûr, Grégoire l’a remarqué :



Sans que je réponde, mes doigts effleurent cette belle verge, puis se referment dessus. J’adore ce contact palpitant sous mes phalanges. Ce n’est pas la première fois que j’ai en main un sexe masculin, mais c’est la première fois que ça me fait ce genre d’effet, comme une sensation de tout jeter par-dessus les moulins.



À ma grande surprise, j’obéis. Je m’empare avec délicatesse de cette colonne de chair si intrigante ! Elle semble si imposante entre mes fins doigts ! Je ne peux m’empêcher de murmurer :



Grégoire soupire :



Je suis surprise par cette affirmation :



Durant ce temps, ma chatte dégouline de mouille, à la limite de faire une flaque, si je n’avais pas encore mon maillot sur moi ! Assez fascinée, je branle mon hôte durant une bonne minute. Ma main semble même trop petite !


L’oncle est très content de la tournure des événements :



Je n’arrive pas à formuler ma pensée, mon cerveau commence à lâcher prise devant ce flot de nouveautés pas très habituelles. Toujours debout devant moi, Grégoire explique :



Je proteste timidement :



Il pose son gland tout chaud contre mes lèvres :



Sans toutefois repousser l’intrus, je me mets à rire :



Je comprends fort bien pourquoi. Je me mets à la place de ces femmes tiraillées entre envie et devoir, pensant aussi à l’opinion que les autres peuvent avoir d’elles. Sans trop réfléchir, j’ouvre la bouche et je commence à m’occuper de cette belle sucette qu’on m’offre si généreusement.


Pendant que je m’emploie autour de sa verge, Grégoire dénoue le haut de mon maillot. Je me retrouve seins nus devant lui. Mes petits lolos sont capturés dans ses grandes paluches. Dieu que je me sens toute petite ! Mais ses caresses me font du bien !


Oui, cet homme sait s’y prendre ! Rien qu’en me tripatouillant délicatement les seins et les tétons, il arrive à générer en moi des ondes de plaisir, c’est fou !


Un peu plus tard, sans que j’aie pu réaliser comment, il est allongé à ma place. Pour ma part, agenouillée de côté, je suis en train de le sucer comme je peux. Il est vrai que son engin est volumineux ! Je ne suis pas habituée.


Tandis que je suis penchée sur lui, il en profite pour abaisser mon dernier vêtement. Je suis à présent toute nue devant lui, et curieusement, ça ne me gêne pas. Il caresse mes fesses dénudées et j’aime. Peu de temps après, je cueille du bout de la langue une première goûte de sperme qui suinte de son méat. Le goût est différent de ce que je connais. D’habitude, ce n’est pas terrible, mais aujourd’hui, c’est plutôt musqué et agréable.




Presque soixante-dix



Dans un faible éclair de lucidité, je me traite de folle pour m’être embarquée dans une telle situation, mais je dois avouer que c’est très excitant, beaucoup plus que tout ce que j’ai pu connaître dans ce domaine. Je commence à mieux comprendre certaines choses que j’ai pu lire au sujet des femmes qui abdiquent leur libre arbitre devant un homme. Il y en a même qui se prostituent, mais ça, très peu pour moi !



Moqueur, il détaille :



Même si c’est tentant, j’hésite :



J’obéis, allongé sur son corps bronzé, sa verge sous mon nez et sa bouche dans mon intimité. Il me donne un premier coup de langue qui me rend toute chose. Admiratif de ce qu’il voit et goûte, Grégoire dit :



J’aime qu’on me fasse des cunnis, c’est normal. Mais plein de garçons sautent les préliminaires. Je comprends les filles qui s’amusent entre elles. Au moins, elles savent ce qui est bon pour leur partenaire !


Grégoire est carrément en train de me dévorer ! J’ai plein de sensations à la fois dans le ventre, dans la chatte, partout ! C’est dingue. J’essaye de lui rendre la pareille en commençant à sucer délicatement sa grosse colonne, mais j’ai du mal à m’appliquer sur ce mâle !



Ôtant sa verge de mes lèvres, je gémis. Non, je ne vais pas réussir à le sucer comme il se doit ! Tout au plus, le lécher. Ma langue caresse cette puissante tige du mieux qu’elle peut, mais je sais que je vais perdre la bataille, Grégoire s’y prend trop bien, même si j’ai l’impression d’être une gazelle dévorée toute crue par un tigre !


Et en plus, tandis qu’il me lèche abondamment, ce gros cochon joue joyeusement avec mes fesses et il s’offre même le luxe d’effleurer mon petit trou ! Mais je me laisse faire, je me laisse complètement aller, on dirait même que je suis une autre femme…


Un peu de sperme s’évade du méat, je le lape avec application. J’aime ce goût musqué, celui d’un homme, d’un mâle. Je me sens toute femelle, une sensation que je n’avais jamais éprouvée jusqu’à ce jour, pas même devant un film.



Un autre coup de langue, je décolle irrésistiblement par-delà les nuages, la chatte en feu, les sens exacerbés, mon corps étant devenu un océan de jouissance !


Maintenant, je sais ce que signifie réellement le verbe jouir ! Oh oui !




Lâcher prise



Descendant de mes nuages si cotonneux et douillets, un peu hagarde et déboussolée, je réémerge petit à petit dans le monde réel, sur cette terrasse avec piscine, près de la mer. Il y a pire endroit… J’entends Grégoire me dire :



La réponse tombe, annonciatrice :



Sans que je puisse m’y opposer, en un tour de main, je me retrouve allongée de dos sur le matelas, avec Grégoire par-dessus mon corps. Cet homme me manipule comme si j’étais une simple poupée, c’est effrayant !


Je me retrouve les jambes largement écartées, mon hôte s’étant glissé entre elles, son énorme sexe posé sur mon pubis. Encore heureux qu’il soit en appui sur ses mains, sinon je serais transformée en crêpe ! Je proteste faiblement :



Je proteste devant cette mauvaise foi :



J’y vais ? J’y vais pas ? Je me tâte. Je reconnais que la proposition est tentante, ce n’est pas tous les jours que je peux m’envoyer en l’air avec un homme de cette carrure :



Alors, je sens un portail s’ouvrir en moi, avec des chaînes qui tombent au sol. Libérée, délivrée, je me lâche :



Sa verge glisse plus bas, cognant à présent à l’orée de ma fente. Je suis fébrile, je vais me faire posséder par un taureau ! Néanmoins, quelque chose me chiffonne :



Grégoire prend mon rougissement pour un oui. Il n’a pas tort…


Sûr de lui, mon initiateur se positionne au mieux, et son gros gland entre en moi. J’ouvre de grands yeux étonnés de constater que le bout rouge s’est enfoncé en moi avec facilité, alors qu’il est plus près de la taille d’une balle de ping-pong que d’une bille ! Sans oublier l’effet aphrodisiaque qui irradie mon corps de la tête aux pieds !



Si c’est ça faire l’amour avec un taureau, je signe tout de suite pour un long bail ! Mais je vais peut-être trop vite en besogne, car la totalité de la tige n’est pas encore entrée en moi, et là, vu l’épaisseur du machin, ça risque d’être moins… euh… évident.


Grégoire coulisse lentement en moi, allant jusqu’à mi-garde dans ma vulve. Mon Dieu que c’est bon ! Rien qu’avec la moitié, j’ai l’impression d’être magistralement occupée. Qu’est-ce que ça va être s’il enfourne tout en moi !



Je me pâme, l’excitation grandit férocement en moi. Je ne me contrôle plus :



Sans répondre tout de suite, il se retire de quelques centimètres. Peut-être pour mieux s’enfoncer en moi ! Mais les paroles que j’entends me surprennent :



Subjuguée, j’obéis, je me positionne comme il me l’a demandé. C’est bien la première fois que je suis si docile ! Il s’installe derrière moi.



Je frissonne malgré moi :



Je reconnais que ce programme me tente, mais je ne suis pas prête à le crier sur tous les toits ! Je minaude comme je sais si bien le faire, je sais que ça plaît aux hommes :



À ces mots, je frémis :



Cet homme veut ma totale reddition. Je tergiverse, je tangue :



J’hésite, puis je murmure :



Je marque une légère pause avant de dire à voix plutôt basse :



Je me sens toute chaude et fiévreuse d’avoir avoué tout ça. Maintenant, j’ai trop envie, j’en meurs d’envie, j’en crève d’envie ! La puissante verge vient cogner contre mes lèvres intimes détrempées. Derrière moi, Grégoire exulte :



Puis avec une facilité qui me déconcerte malgré le diamètre, il enfonce une bonne partie de sa colonne de chair en moi.




Consommation



Par deux fois, j’ai déjà eu droit à des gros calibres, un étudiant en mal de baise et un gode surdimensionné prêté par une copine (oui, ça arrive), mais aujourd’hui, je crois que c’est l’apothéose en la matière !



Je mets quelques secondes avant de répondre :



Il se met à rire, puis je sens qu’il se penche sur moi, une main toujours sur mes hanches et l’autre en train de cueillir un sein pendouillant qu’elle caresse et malaxe. Je ne sais pas comment décrire ce que je ressens qu’être prise de la sorte, c’est un étrange mélange, mais le résultat final m’excite terriblement ! Derrière moi, sa grosse tige coulisse lentement, mais fermement, je suppose que la grande chevauchée va bientôt commencer…


Je ne croyais pas si bien dire !


Je miaule, je gémis, je hulule sous l’effet complètement hors norme qui est en train de m’assaillir. Cette grosse chose me fait découvrir de nouvelles sensations. Je crois que le contexte aide aussi beaucoup. Je parie qu’un homme moins membré, mais tout aussi… euh… viril et dominateur, m’aurait fait la même sensation globale.


L’effet taureau, je suppose… Je comprends mieux pourquoi certaines légendes mythologiques parlent d’union contre nature !


Je me sens toute petite dans cet océan de plaisir, ballottée comme une simple feuille dans la tempête qui m’enveloppe. J’ouvre la bouche pour mieux aspirer l’air et en même temps, je veux la fermer pour serrer les dents pour mieux résister à cet immense tourbillon qui m’entoure.



Derrière moi, j’entends distinctement les grognements de Grégoire, tandis qu’il secoue mon corps. Je mêle mes petits cris aux siens. J’ai l’impression d’être au bord d’un toboggan géant qui culmine à des centaines de mètres de hauteur, et que bientôt, je vais dévaler la pente pour décoller vers le septième ciel.


Ça vous semble incohérent ? À moi aussi, on dirait que la raison s’est envolée ailleurs.


Soudain, je glisse, je dévale la pente raide dans une tornade de jouissance. Je m’entends crier de plaisir. Je suis à la fois dans mon corps et ailleurs. Grégoire explose à la fois en râle et en éjaculation. Aussi étrange que ça puisse être, je vois, je sens son flot de sperme m’envahir telle une grande vague pour venir tapisser les moindres recoins de mes entrailles !


Je croyais être arrivé à l’apogée de ma jouissance, je découvre qu’il y a encore une marche supplémentaire que je franchis avec une facilité déconcertante ! Ce n’est pas la première fois que je m’envoie en l’air avec des hommes, je veux dire, un à la fois, mais aujourd’hui, je découvre que mes expériences passées étaient carrément de la gnognotte !


C’est l’esprit en bouillie, le corps brûlant et vibrant, la bouche remplie de cris que je vais me perdre dans un paysage insolite, informe, ardant et cotonneux, à presque toucher du doigt le vide, le néant…


Le rien, l’absence, où je flotte, sans me souvenir qui je suis…


La vacuité, le nirvana, je ne sais pas…


Non, je ne sais plus…




Intermède



Du plus profond de mon brouillard, j’entends une voix, puis des mots.



Je ne réponds rien, je suis trop fatiguée. Je jonche la tête et les bras sur le matelas, tandis que mon bassin est toujours en buse, bien en évidence. Je suis très impudique, mais je m’en fous complètement, j’essaye de remettre pied sur terre, après cette incroyable jouissance. Oui, je comprends tous ces mythes sur les taureaux !



Sans trop y croire, j’avais un mince espoir que Grégoire oublie, mais il est évident que c’est peine perdue… Je vais aussi passer à la casserole, côté pile !




Une nouvelle façon d’envisager les vacances



Par deux fois, j’ai déjà eu droit à des gros calibres, mais je crois l’avoir déjà dit. Dans la chatte, c’est quelque chose, mais dans le cul, c’est totalement inédit !


Un peu inquiète, malgré le fait que ça se soit bien passé, il y a quelques minutes, je fais une requête à mon initiateur en gros volumes :



Tapotant légèrement sur mes fesses, il se met à glousser :



Je préfère ne pas répondre. Quelques secondes plus tard, je sursaute : agrippé à mes hanches, Grégoire vient d’introduire son gland poisseux en moi.



Toujours agrippé à mes hanches, il se positionne autrement :



Un peu cruelle, je dévoile une partie de la vérité :



Forçant le passage avec fermeté et lenteur, Grégoire ricane :



Ses larges mains me tiennent plus fermement encore :



Le mot me fait frémir, mais dans la bouche de Grégoire, ça résonne plutôt comme un compliment. Je fais remarquer un gros point de détail :



Sans complexe, Grégoire vient cueillir du sperme qui s’évade de ma fente pour sans doute badigeonner sa colonne. Je me demande combien de femmes ont eu droit à ses viriles faveurs ? Je comprends mieux pourquoi il est resté célibataire, il ne doit avoir que l’embarras du choix ! Combien de minettes a-t-il initiées ? Combien d’épouses déçues a-t-il comblées ? Combien de femmes a-t-il fait décoller vers un petit paradis sur terre ?


L’oncle déroule son planning :



Il s’enfonce un peu plus loin en moi. J’ai la curieuse impression que sa verge est plus fine, c’est sans doute ça que Grégoire voulait dire par malléable. Mon hôte poursuit son discours et sa pénétration :



Il se ravise :



Sa colonne poursuit son intrusion en moi. Si le début est fin, la suite semble grossir, comme s’il s’agissait d’un triangle. Ses mains rivées sur mes hanches, Grégoire continue son énumération :



Je souffle, son engin continue sa progression infernale en moi. Soudain, je sens quelque chose venir de l’extérieur pour venir coulisser lentement en moi, en plus de la verge fichée dans mon sombre tunnel. Je comprends confusément que la malléabilité reprend sa forme d’origine. Je me sens totalement remplie !


Derrière moi, Grégoire poursuit la liste de ses exigences :



Je sens ses lourds testicules contre mes fesses, tout est entré en moi, je ne me savais pas si permissive en ce qui concerne les gros machins ! L’oncle assène péremptoirement :



Bien qu’il soit totalement enfoui en moi, Grégoire cherche à mieux se positionner :



L’énorme intrus toujours rivé dans les profondeurs, je soupire :



Puis il commence à me ramoner sur toute la longueur de sa colonne ! La sensation est puissante, dévastatrice. À ma grande surprise, je décolle presque aussitôt ! Je sais donc jouir du cul ? Je n’aurais jamais cru ça de moi ! Décidément, je me révèle à moi-même avec Grégoire comme instructeur !




Finalement



Non, je ne vais pas décrire tout ce qui s’est passé. Mais après la sodomie qui fut une réelle découverte pour moi, et après un nettoyage de rigueur, nous avons enchaîné avec une autre position, moi sur lui. Là aussi, ce fut une révélation, une déflagration !


Ce type m’a pénétrée trois fois, et chaque fois, j’ai joui comme pas possible ! Sans oublier le cunni ! Donc quatre décollages vers le septième ciel… Et pas des petits décollages en ULM, mais carrément en fusée interplanétaire !


Fatiguée, épuisée, je repose sur le ventre, les fesses à l’air. Je parie que du sperme est toujours en train de s’évader de mes profondeurs. Je parie que c’est ce spectacle un peu étrange que Grégoire contemple. Je trouve ça très excitant !


J’ai confirmation en entendant mon amant dire :



Puis il embrasse mes fesses avec voracité. J’adore ça ! Après une claque sur mes fesses qui les fait vibrer, je le vois s’éloigner vers la pergola. Intriguée, je le suis des yeux. Très vite, Grégoire revient avec quelque chose en main, puis il me tend un crayon et une carte postale :



Prenant d’abord le crayon, je réplique :



Allongée nue sur le matelas, les fesses toujours à l’air, excitée par ce jeu d’écriture un peu immoral, je commence le compte-rendu de la première séance. Les mots défilent très facilement. Je termine ma prose en rédigeant ces dernières phrases :


Et après la sodo, puis un petit repos et nettoyage, je me suis complètement empalée sur son gros chibre bien pointé vers le ciel. Sa bonne grosse queue m’a remplie à nouveau jusqu’au fond… J’étais vraiment comblée, envahie, saturée !

Je remuais dessus comme une petite folle ! C’était incroyable ! Je n’ai jamais été baisée comme ça, mon chéri !


Ayant fini, un peu honteuse malgré tout, je tends la carte postale à mon nouvel amant qui la lit soigneusement :



Comme convenu, Grégoire me la rend. Songeuse, je fixe le texte qui relate sans détour ce qui vient de se passer entre cet oncle et moi. Je me dis que le prochain épisode sera sans doute très excitant à vivre !


Dieu sait jusqu’où j’irais ainsi !



Je me détends, tout s’est bien passé, le réalisateur est content, nous n’avons pas dû faire trente-six prises. C’était la dernière scène, bien qu’elle sera montée en tout début de film. Eh oui, on ne tourne pas forcément les scènes dans l’ordre chronologique.


Galamment, Nicolas (le réalisateur, entre autres) s’empare de ma main et y dépose un baiser comme dans l’ancien temps en disant :



Puis il se tourne vers l’acteur qui joue le rôle du tonton :



Tonton dépose un bisou sur mon front, puis il se sauve. Tandis que les opérateurs commencent à tout ranger, Nicolas continue la conversation avec moi :



Tout en me relevant, je rétorque du tac au tac :



Il ne se fâche pas, il se contente de sourire :



Nicolas lève les bras au ciel :



Baissant les bras, il soupire :



Le réalisateur affiche un grand sourire coquin :



Tout en minaudant, je lui souris perversement :



Poitrine bien dardée en avant, je pose mes poings sur mes hanches :



Puis avec retenue, il claque ma fesse :



Je m’éloigne en riant. J’ai bien fait d’oser franchir le pas il y a quelques années et d’être tout de suite tombée sur Nicolas, joignant l’utile à l’agréable !