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n° 21982Fiche technique8558 caractères8558
Temps de lecture estimé : 7 mn
08/09/23
Présentation:  Redécouvrons les plaisirs simples de la fellation !
Résumé:  Deux hommes mariés s’adonnent à leurs pulsions homosexuelles à la piscine.
Critères:  hh hbi piscine sauna douche amour exhib caresses facial fellation 69 hdanus init -gay
Auteur : Statam38      Envoi mini-message
Piscine, sauna, hammam, cabine, découverte

Comme chaque jeudi soir, je me rends à la piscine pour faire quelques longueurs. J’aime bien aller nager et sentir l’ensemble de mes muscles se contracter après une bonne séance. De plus, cette piscine dispose d’un coin bien-être ouvert jusqu’à vingt-deux heures où sauna et hammam sont à disposition. Ce soir-là, je fais mes longueurs et sors de l’eau vers vingt heures quarante-cinq, complètement vanné.


Je décide de me faire un petit sauna. À l’intérieur de celui-ci, il y a déjà quelqu’un, un mec d’une quarantaine d’années à qui je dis bonjour. Je ne sais pas depuis combien de temps il est là, mais son torse presque imberbe est déjà tout transpirant. Je m’assieds à l’extrémité du sauna, car lui se trouve à côté de la porte. Nous sommes là tous les deux avec nos torses exhibés l’un et l’autre, munis bizarrement de notre serviette blanche autour de la taille. Il fait très, très chaud et décide qu’il va faire encore plus chaud puisqu’il remet de l’eau sur les pierres chaudes à l’aide du seau mis à disposition. La chaleur est étouffante, il ôte sa serviette pour se dévoiler en slip de bain noir moulant son entrejambe. Il est plutôt beau mec. Hétéro et n’ayant qu’une seule expérience de fellation dans mon plus jeune âge, du haut de mes quarante-cinq ans, je n’ai jamais récidivé même si j’avoue que j’y pense de temps en temps.


Avec cette température, j’ai du mal à tenir ma serviette et décide moi aussi de la poser sous mes fesses laissant mon boxer de bain bleu marine à sa vue. Pendant cette séance de relaxation, nos regards se croisent, mais personne ne dit rien. Je vois qu’il porte une alliance… Marié, comme moi. Nos corps sont ruisselants, je n’arrive plus à tenir, je sors pour faire une douche et filer au hammam, car j’aime bien finir par le hammam, je ne sais pas si cela est sain, mais je le fais de temps en temps. Avant de sortir, je lui demande « pardon », car ses jambes se trouvent devant la porte, je les lui effleure et m’en excuse. Il me répond :



Après être sorti, je prends une douche froide et rejoins le hammam où il n’y a là non plus pas un chat. Je referme la porte, m’allonge sur un des bancs recouverts de mosaïque et fermes les yeux.

Soudain, j’entends la porte qui s’ouvre, le hammam n’est pas très grand, je me redresse et m’assieds. Les yeux entrouverts, je distingue le même homme que tout à l’heure. Il s’accote à moi en me demandant si cela me dérange. Je réponds :



Assis l’un à côté de l’autre, mon dos se colle au mur avec une jambe au sol et l’autre repliée sur le banc pour de nouveau fermer les yeux. Quelques instants se passent et une main s’aventure sur ma cuisse, elle la caresse toute en douceur, dans la moiteur du hammam. Les yeux fermés, je ne dis pas un mot et me laisse faire tout en ondulant mon corps. La main remonte vers mon entrejambe pour venir toucher mon boxer. Mon sexe commence à être de plus en plus gonflé et ne demande qu’à sortir. Nous sommes seuls, mais à tout moment quelqu’un peut entrer. Toujours les yeux fermés, il continue, tire mon caleçon pour faire sortir mon sexe et me dit :



À cet instant, j’ouvre les yeux et vois que lui aussi bande. Nos yeux se fixent. J’approche mon visage du sien et lui susurre à l’oreille un tout petit « suis-moi » discrètement. Je lui appose un baiser langoureux avant de remettre mon caleçon comme il faut avec ma serviette par-dessus, façon bouchon, pour qu’on ne voie pas la grosse bosse sur mon boxer en sortant.

Je sors du hammam pour me diriger vers les vestiaires, il est vingt et une heures quinze, la piscine ferme à vingt-deux heures, mais à cette heure, il n’y a déjà plus beaucoup de monde. Je sens ses pas dans les miens.

J’arrive au vestiaire et choisis une cabine familiale, ces cabines sont plus grandes et plus à l’écart. En semaine, de toute façon, il n’y a aucune famille à cette heure. Je pénètre le premier dans la cabine et entends la porte se verrouiller derrière moi, je ne peux plus reculer devant ce désir si grand de retrouver un sexe similaire au mien. Je me retourne et lui dis :



Puis je l’embrasse fougueusement, nos langues s’entremêlent, nos corps se touchent, nos mains se baladent, nos sexes grossissent de nouveau et se dressent, l’un contre l’autre. Mes mains saisissent son visage et ma langue explore sa belle bouche pendant que lui me malaxe les fesses.



Nos mains parcourent nos corps et je m’agenouille pour lui ôter son beau maillot de bain noir. Lui aussi est imberbe, et sa tige est vraiment belle et sent très bon. Je le prends en bouche sans hésiter une seconde, comme une envie de manger son pénis, mais il m’interrompt.



Il décide de m’enlever mon boxer et nous voilà nus tous les deux. Je me remets à genoux et me penche suffisamment pour qu’il puisse voir la cambrure de mes fesses pendant que je l’engloutis. Je suis à genoux, les genoux posés sur ma serviette, mes mains malaxant ses fesses musclées, et fais des va-et-vient avec ma bouche… Hum ! son sexe dans ma bouche, je bande comme un âne. J’entends ses soupirs, pratiquant de longs va-et-vient, sortant de temps en temps pour lui lécher la longueur de sa bite, embrassant et aspirant son gland de temps en temps. La turgescence de sa queue est vraiment belle. Je le pompe encore et encore, il pose mes mains sur mon crâne.



Je m’exécute sans dire un seul mot, et fais de tout petits va-et-vient en posant de temps en temps un baiser sur sa jolie teub. Mes va-et-vient se font plus lentement comme pour lui faire signifier sans un mot de profiter de cet instant et, au fur et à mesure, mon rythme de succion s’accélère de nouveau.



Je m’applique à la tâche et continue de faire entrer et sortir son sexe, je peux le sentir à la rupture, il va bientôt lâcher. Mon sexe, mes fesses, mon corps, tous sont en feu et je veux me délecter de son jus.

Il vient dans ma bouche, le sperme coule par giclée, je le garde tout en continuant à malaxer ses fesses. Son foutre dans ma bouche, je noie ma langue dedans sans rien avaler pour l’instant. Je me redresse face à lui, j’ouvre la bouche et lui montre l’ensemble de son sperme.



Mais à cet instant, je referme la bouche et par des coups de langue de droite à gauche, avale son nectar. C’est à la fois visqueux, doux et bon. Je viens lui donner un baiser langoureux et nous entremêlons nos langues.



Et il se met lui aussi à genoux et commence à me sucer, de plus en plus vite, et va même jusqu’à introduire un doigt à l’intérieur de mon anus. C’est trop bon, mais je ne suis pas rassasié et veux encore son sexe dans ma bouche. Je m’allonge en l’invitant à faire de même et nous entamons un 69. Nous sommes sur le carrelage de la cabine, il me reprend en bouche et j’ai de nouveau son sexe à l’intérieur de mes lèvres, il durcit.



Je vais venir, Julien le devine aussi, avec une de ses mains il me fait comprendre qu’il veut aussi toute ma semence. Dans un soubresaut, je me lâche à l’intérieur de sa bouche, il nettoie ma verge pour ne pas laisser une goutte. Lui a repris de la vigueur. Je le suce encore, encore et encore, et il vient une deuxième fois.


Nous restons un instant sans rien dire avec le sexe de l’autre dans nos bouches respectives, nous nous positionnons assis afin que nos torses se collent et que nos sexes se touchent, nous nous embrassons de manière passionnelle. Julien me chuchote à l’oreille :



Nous nous rhabillons et partons chacun notre tour de la cabine pour regagner nos foyers. Sur le chemin, je me suis dit : « Certes, je suis hétéro, mais de temps en temps avoir un beau sexe en bouche, cela m’excite ».


Avec Julien, nous nous sommes revus et avons franchi d’autres paliers…