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09/09/23
Présentation:  Ce soir nous fêtons nos 5 ans de mariage, mais mon mari ne vient pas seul.
Résumé:  Malgré ma réticence, mon mari réalise son fantasme.
Critères:  fhh copains caresses fellation cunnilingu pénétratio double fdanus fsodo -occasion
Auteur : Filippo            Envoi mini-message
Noces de bois

Noce de bois




Ce soir, c’est notre cinquième anniversaire de mariage. En attendant Jean, je me prépare et me fais une beauté. J’entends déjà sa voiture dans l’allée, mais je ne suis pas prête. Je descends quand même l’accueillir nue sous mon peignoir.


Le goujat, il est venu avec son ami, Alain. C’est sûr, il a oublié.


Je les salue et Jean me tend un paquet. Je crains le pire, car Jean a un humour spécial et les cinq ans, ce sont les noces de bois. Je me rappelle pour le premier anniversaire – les noces de coton – il avait recouvert le salon de boules de coton en couleurs. Aujourd’hui, au moins, il a fait un joli paquet. Une boîte, j’ouvre et découvre un médiator en bois, en forme de cœur avec 5 gravé au centre. Au moins, il a fait les boutiques, mais je ne joue pas de guitare.


Je souris, l’embrasse et m’excuse auprès des deux pour aller m’habiller.



Jean me connaît bien et sait que je suis en colère quand je lui réponds de la sorte. Malgré tout, je choisis une culotte blanche en dentelle et une robe sexy à bretelles, qui se porte sans soutien-gorge et que Jean ne connaît pas. Lorsque je descends, les hommes sont dans le canapé en sirotant un whisky.

En me voyant, ils restent bouche bée.



Alain n’ose pas broncher, mais ne se gêne pas pour me regarder sans pudeur. Je m’affaire à diviser en trois le repas que j’espérais en amoureux. Jean s’occupe du vin et mon verre se remplit par magie et est toujours plein. En mon for intérieur, j’admets que la soirée et plutôt sympa et qu’Alain a le même humour que moi.


C’est au dessert que je ressens l’effet du vin, mais j’arrive à me contenir. Jean s’occupe des cafés et j’apprécie de me détendre sur le canapé. Le mot détendre à tout son sens lorsque je m’aperçois que l’assise du canapé est assez profonde et que ma robe remonte à la lisière de ma culotte. En croisant les jambes, je suis plus décente. À ma grande surprise, je m’aperçois que ça m’amuse d’allumer Alain. Au final, je le trouve assez séduisant et j’aime son personnage. Il cherche subtilement à me séduire avec humour. Jean arrivera-t-il à ses fins ? Je ne suis plus sûre de ma résistance.



Café et digestif ingurgités, Jean met de la musique. Je ne peux m’empêcher de danser, alors je retire mes chaussures et commence à me déhancher. Jean et Alain ont dégagé la table basse et me voilà au centre de la piste à me dandiner. Ma robe mi-cuisse se soulève en suivant mes mouvements. L’alcool m’a désinhibée et je suis moins pudique et laisse ma robe libre. Je vois que les hommes me regardent et leurs yeux trahissent leurs désirs. Je m’en amuse et joue un peu à l’allumeuse.


Jean me prend dans ses bras et me fait danser un slow, collé à moi. Je suis bien et l’entoure de mes bras, la tête sur son épaule. Jean me caresse très sensuellement le dos et lorsque je suis dos à Alain, ses mains descendent sur mes fesses.


Le slow se termine sur un baiser langoureux de mon mari. Un autre démarre et Alain prend la place de Jean. Là aussi, je suis collée et je sens des caresses très subtiles sur mon dos. Je l’entoure également de mes bras. Jean vient se coller dans mon dos. Je sens alors des baisers d’Alain dans mon cou et je constate que j’apprécie et sans réfléchir, je lui caresse la tête.


Je sens les mains de Jean sur mes seins. Je suis forcée d’admettre qu’il a gagné et que j’ai envie de m’offrir à eux. Jean sait bien qu’il me tient.



Il me met au défi. Sans hésiter, j’offre ma bouche et nos langues se mêlent. Jean écarte mes bretelles et dévoile mes seins. Alain vient les embrasser l’un après l’autre. Je penche ma tête en arrière et embrasse Jean. Il me caresse les fesses, entre mes cuisses, puis mon pubis par-dessus ma culotte qui n’est plus très clean. C’est une main d’Alain qui se faufile sous ma culotte. Jean me déshabille complètement et me porte jusqu’au canapé.



Je ne dis rien, mais ferme les yeux.



À partir de là, je me suis attachée à prendre le maximum de plaisir. Jean est venu présenter son sexe à ma bouche et je l’ai englouti. Pendant ce temps, Alain me faisait un divin cunnilingus. J’ai alors joui une première fois. Puis, Alain qui s’était déshabillé et, muni d’un préservatif, s’est présenté devant ma grotte. J’ai pris son sexe en main et je l’ai dirigé en moi. J’avais tellement besoin d’être baisée. Il me faisait tant de bien que je ne pouvais ne pas l’exprimer et j’ai dû arrêter de sucer Jean. Alain se déchaînait dans ses va-et-vient et suçait mes tétons, ce qui me fit partir une nouvelle fois. Il faisait tout ce que j’aime comme s’il me connaissait depuis longtemps.


Il me fit pivoter pour que je l’enfourche. Visiblement il ne voulait pas laisser sa part à Jean. Mon homme me coucha et s’allongea sur mon dos. Je craignais qu’il me sodomise. Nous le pratiquions quelques fois, mais là, je n’étais pas prête. Dans un premier temps, il se contenta de suivre les mouvements. Puis, il s’attaqua à mon petit trou qu’il détendit avec un doigt. Ensuite, il me libéra d’Alain et, en levrette, me pénétra. Alain s’était dégagé et maintenant je le suçais. Je jouissais encore et ne voulais pas que ça s’arrête. Jean a joui en moi et Alain dans ma bouche. Je ne gâche jamais cette liqueur au goût un peu âcre et j’ai donc avalé.


Comme nous étions un vendredi soir, Jean, avec mon accord, a proposé à Alain de dormir avec nous. Après une bonne douche, nous voilà tous les trois, nus, dans notre lit king size.


Ayant repris des forces, Jean m’a prise dans la position de la cuillère. Je faisais donc face à Alain qui m’embrassa en triturant mes seins. Je jouis une nouvelle fois. C’est alors qu’à l’extrême de mon excitation, j’ai glissé un bras derrière moi et Jean put admirer mes doigts manucurés pénétrer mon anus. Discrètement, Jean prit le tube de gel dans la table de nuit et m’en enduisit les doigts et son sexe. J’en avais envie. D’ailleurs, c’est toujours moi qui décide d’être sodomisée. Je craignais d’être démasquée par Alain, car les femmes restent discrètes sur cette pratique. Mais Jean ne le voyait pas comme ça.



J’ai donc connu ma première double pénétration. C’est une sensation fantastique et nous avons joui à l’unisson.


Nous avons fini par nous endormir. J’étais dos à Alain, le cul tendu vers lui. Lorsque dans la nuit, je l’ai senti contre moi, je me suis collée à lui pour lui montrer que j’étais éveillée. J’ai pris son sexe et l’ai dirigé en moi. Pour ne pas rompre le charme, je le laissai me prendre sans préservatif. Lorsqu’il s’est dirigé plus haut, je lui ai refusé cet accès. Il n’insista pas et reprit l’autre orifice.


Au réveil, j’ai tout dit à Jean qui ne pouvait pas m’en vouloir puisqu’il m’avait mise entre les bras d’Alain.

Cette aventure transforma notre relation de couple. Nous faisons parfaitement la distinction entre amour et plaisir. Nous vivons en harmonie.