n° 21984 | Fiche technique | 11466 caractères | 11466 1939 Temps de lecture estimé : 8 mn |
10/09/23 |
Résumé: Texte présentant la rencontre et la découverte du corps d’une jeune femme et d’un jeune homme. | ||||
Critères: fh jeunes amour voir odeurs caresses intermast fellation nopéné init -prememois | ||||
Auteur : Gasparion Envoi mini-message |
Je m’appelle Gaspard, enfant d’une famille bourgeoise, j’ai toujours eu la chance de partir en vacances dans les maisons de ma famille : l’hiver aux sports d’hiver et l’été aux bords de l’Atlantique ou de la Méditerranée. Je n’étais jamais parti en vacances avec des inconnus, des jeunes de mon âge de divers horizons à rencontrer.
Au cours d’un été du début des années 2000, à la veille de mes dix-huit ans, j’avais décidé de partir en colonie de vacances pour sortir du cocon familial. Bien que la destination n’était pas exotique, ce séjour me permit de faire une rencontre qui me bouleversa.
En train, lors du voyage de Paris à Limoges dans le wagon réservé, une jeune femme de dix-sept ans vint s’asseoir en face de moi pour retrouver son petit frère dans notre compartiment. Une jolie brune aux yeux marron prénommée Fanny, souriante. Je fus tout de suite frappé par le charme qu’elle dégageait.
Au cours des quinze jours de colonie, nous eûmes peu de temps pour nous connaître, mais échangeâmes nos adresses à la fin de notre séjour avec le profond désir de nous revoir.
Les semaines passèrent, puis les mois, au cours desquels nous échangeâmes de plus en plus souvent, le soir après les cours, sur MSN. Le temps passant et nos dix-huit ans soufflés, nos conversations devinrent de plus en plus intimes. Petit à petit, il devint évident que nous éprouvions un fort désir l’un pour l’autre.
Au fil du temps, nous nous mîmes à parler de nous et de ce qui nous plaisait chez l’autre. Assez naturellement, nous commençâmes à parler de sexe.
Tous les deux encore vierges, nous commençâmes à nous raconter ce qui nous excitait. Nous nous racontâmes nos caresses solitaires. Fanny m’envoya des photos d’elle en maillot de bain en échange de photos de mon sexe en érection. Quelques fois, le soir, nous échangeâmes des SMS pour nous exciter et nous masturber ensemble avant de nous retrouver dans nos rêves.
Malheureusement, nous ne trouvâmes pas l’occasion de nous revoir.
Pourtant, un jour de novembre, Fanny m’annonça qu’elle serait sur Paris un mois plus tard pour une journée avec sa mère et son frère. Nous décidâmes de nous rencontrer le matin pour passer la journée ensemble.
Le rendez-vous fut fixé au Trocadéro vers dix heures. Pressé et un peu nerveux, j’arrivai avec de l’avance, trop d’avance… Je dus attendre encore une heure dans le froid avant que ma belle arrive. Lorsqu’elle arriva enfin, elle me présenta à sa mère qui nous fit quelques recommandations avant de nous laisser passer la journée ensemble. Nous prîmes le métro et lorsque je lui posai la question, elle me dit avec empressement qu’elle voulait aller chez moi.
Il nous fallut presque quarante-cinq minutes pour rejoindre ma chambre d’étudiant. Pendant ce temps, nous discutâmes de tout comme si de rien n’était, le regard plein d’envie. Assis dans le métro, nos mains se frôlèrent timidement, nous n’osâmes pourtant pas nous embrasser.
Arrivé dans ma petite chambre d’étudiant, je lui proposai de regarder un film : « Garden State ». Nous nous installâmes sur mon lit en face de l’écran.
Quelques secondes après le lancement du film, nos regards se croisèrent et plus rien d’autre n’exista pour moi dans l’heure qui suivit. Mes lèvres furent attirées comme des aimants vers les siennes. Nos langues se trouvèrent pour de longues et douces caresses. Mes mains parcoururent son corps pendant qu’elle m’embrassait. Je pus enfin sentir ses seins contre moi, ses fesses sous mes mains.
Très rapidement et n’y tenant plus, nos mains s’aventurèrent sous nos vêtements. Je sentis une des siennes passer sous mon polo pour me caresser le ventre et le torse pendant que sa langue caressait la mienne, les miennes glissèrent sous son jean pour sentir ses fesses à peine revêtues par un string. Impatiemment, je dégrafai son jean pour le glisser à ses pieds, découvrant un string rouge. Je laissai traîner quelques instants mes mains sur la peau de ses cuisses douces et tièdes avant de revenir l’embrasser. Elle ne tarda pas à me faire comprendre que son haut la dérangeait et ce fut avec plaisir que je le lui ôtai.
Elle me déshabilla ensuite. Me retrouver en sous-vêtement contre le corps de Fanny fut pour moi un moment d’intense émotion. Après deux ans de conversations érotiques et alors que nous n’avions que quelques heures devant nous, il était clair que nous nous voulions l’un l’autre.
Fanny passa sur moi pour continuer de m’embrasser et parcourir mon corps de ses mains en frôlant mon sexe encore enfermé dans mon boxer. Je lui caressai le dos et le haut de ses seins. Maladroitement, je finis par lui retirer son soutien-gorge.
Je lui demandai de se redresser quelques instants pour admirer ce merveilleux spectacle : de beaux seins blancs, fermes, pulpeux et fiers, une belle poitrine ; ses tétons rosés dardaient de plaisir et d’envie… deux jolies pointes qui appelaient les mains et la bouche. Je restai interdit quelques instants devant eux puis les pris délicatement dans mes mains tremblantes.
Nous prîmes plusieurs minutes pour nous embrasser, caresser nos corps, nous découvrir l’un l’autre… puis vint le moment où je pus enfin lui retirer son string rouge. Fébrile et plein de désir, je commençai par glisser quelques doigts pour l’attraper, le soulever à peine et, soudainement, l’odeur de son sexe excité m’enivra. Une odeur puissante, forte, sauvage et entêtante. Une odeur que je n’avais encore jamais sentie. Cette odeur de chatte trempée de désir me fit lui retirer rapidement son dernier rempart.
Je découvris alors une chatte poilue, parfaitement taillée pour ne rien laisser paraître lorsqu’elle était en string. Une fourrure dense et longue, digne d’une forêt vierge. De longs poils bruns couvraient intégralement son sexe. Cette vision, associée à la forte odeur de mouille, me fit bander encore plus. Mon gland tressauta dans mon boxer.
Fanny me laissa admirer son sexe, que j’avais tant désiré, allongée, nue sur le dos en ouvrant doucement ses cuisses. La voir totalement nue, les jambes ouvertes et légèrement repliées pour me permettre d’être à genoux devant elle, devint pour moi le plus beau spectacle. Une vision fut si excitante, si belle qu’elle m’empêcha de bouger.
Après quelques instants d’émerveillement et hébété par cette odeur si puissante, je sentis Fanny retirer mon boxer. Nus, l’un devant l’autre, nous prîmes le temps de nous observer, plein de désir dans les yeux.
Je m’allongeai contre Fanny, recommençant à l’embrasser à pleine bouche, ivre de désir. Mes mains pétrirent avec passion ses seins pulpeux. Pour la première fois de ma vie, ma main caressait une chatte. Sous mes timides caresses de sa jolie touffe de poils pubiens, Fanny ouvrit ses cuisses et mes doigts découvrirent son sexe ouvert et dégoulinant de mouille. Mes doigts caressèrent ses lèvres trempées de cyprine, puis passèrent délicatement sur son clitoris. Je me pressai contre ses seins et ses tétons aussi durs que du diamant, ma bouche contre la sienne, nos langues emmêlées. Doucement, puis plus rapidement, mes doigts excitèrent son clitoris. Fanny me serra plus fort dans ses bras et m’embrassa avec plus de passion. Son corps se mit doucement à onduler et sa respiration se fit plus forte.
J’abandonnai quelques instants son clitoris pour glisser tout doucement mon majeur dans son sexe. Je découvris une chatte douce et brûlante. Mon doigt était comme happé par ce minou si trempé de mouille et dont l’odeur me mettait dans un état second. Les baisers gourmands et passionnés de Fanny, sa langue douce et vive dans ma bouche, me firent perdre la tête. Délicatement, je fis des va-et-vient avec mon majeur puis insérai mon index. Enivré des odeurs, des caresses et des baisers de Fanny, je commençai à bouger très lentement mes deux doigts dans son vagin. Fanny, haletante de plaisir, mamelons durs pointant contre mon torse, regardait sans trop la voir ma main dans son sexe brûlant qui l’emmenait vers le plaisir.
J’augmentai doucement le rythme et vis Fanny fondre de plus en plus de plaisir. Ses yeux se fermèrent. Sa respiration devint des gémissements et son corps brûlant ondula légèrement. Je poursuivis mon œuvre en admirant son corps se remplir peu à peu de plaisir. Elle m’encouragea en chuchotant mon nom.
D’un coup, elle me prit dans ses bras, rapprocha ma tête de la sienne, et son corps se contracta, son vagin serra fortement mes doigts. Fanny fut parcourue de plusieurs spasmes, puis retomba inerte sur le matelas. Je sortis mes deux doigts trempés, ma main était tout humide. Je laissai Fanny reprendre ses esprits. Surpris de la violence de cet orgasme, je regardai sans trop comprendre son sourire sur son visage, ses yeux encore dans le vague.
Je caressai de ma main humide les seins de Fanny encore tendus de plaisir et l’embrassai sur les joues, dans le cou et sur les seins, goûtant un peu à son sexe. Après quelques minutes, l’un contre l’autre, Fanny m’embrassa délicatement, sa langue douce retrouva la mienne.
Elle me fit comprendre que je devais me mettre sur le dos. Une fois sur moi, elle commença à m’embrasser dans le cou puis à descendre progressivement sur mon torse. Elle couvrit chaque centimètre de ma peau de ses baisers chauds pour arriver à mon sexe. Elle me regarda et me demanda de la prévenir avant de jouir. Je la rassurai et, à genoux entre mes cuisses, elle se baissa pour prendre mon sexe en bouche.
D’une main, elle tenait la base de mon sexe et faisait de lents va-et-vient, de l’autre elle caressait mes cuisses et mon ventre. Je sentis furtivement sa langue sur mon gland. Enfin, je sentis une douce chaleur envelopper mon gland. Elle venait de mettre mon sexe en bouche.
Timidement d’abord, puis de façon gourmande, elle commença à me sucer. De petits va-et-vient avec sa bouche puis sa langue qui caressèrent mon gland. Ce fut ma première fellation. Une sensation unique, un plaisir de plus en plus intense, je me laissai envahir par ces sensations presque irréelles. Elle me suça pendant une dizaine de minutes pendant lesquelles je découvris ce plaisir encore inconnu. Mon plaisir monta et je sentis que je n’allais plus tenir très longtemps. Mes mains caressèrent sa tête et je pus voir sa bouche monter et descendre sur mon sexe, puis son corps nu avec la forme arrondie de son petit cul ferme.
Malheureusement pour moi, Fanny fut prise d’une crampe à la mâchoire et ne put continuer à me prodiguer cette douce et intense fellation. Embarrassés tous les deux par cet incident, nous nous remîmes l’un contre l’autre pour un câlin. Fanny était détendue et repue de plaisir contre mon corps et mon sexe humide de sa salive et encore dur de désir. Je n’osai pas lui demander de me masturber ou de me laisser me masturber en regardant ses formes magnifiques et son sexe si poilu pour me laisser jouir sur son corps. Nous restâmes dans les bras l’un de l’autre et nous embrassâmes de longues minutes encore avant de nous apercevoir qu’il était temps de retrouver sa mère dans Paris.
Je la raccompagnai. Nous nous embrassâmes une dernière fois.
Depuis, je n’eus plus l’occasion de revoir Fanny. Nous gardâmes contact bien sûr. L’été suivant, elle rencontra le copain avec qui elle est toujours. Il eut le plaisir de la déflorer et de subir avec plaisir ses merveilleuses fellations.
De temps en temps, nous nous parlons, espérant nous revoir un jour, mais cette fois il ne sera plus question de sexe.
Quant à moi, j’eus plusieurs conquêtes, mais aucune ne sut me sucer comme Fanny, personne ne me suça aussi bien et avec autant de gourmandise.