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n° 21989Fiche technique28367 caractères28367
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Temps de lecture estimé : 20 mn
14/09/23
Présentation:  Cette collection est née d’une gageure : révéler les confidences échangées entre deux complices, dans une exhibition virtuelle satisfaisant les penchants de chacune.
Résumé:  Vice ou péché mignon, l’exhibitionnisme est un penchant partagé entre l’auteure et sa lectrice. Elles s’y livrent volontiers pour leur seul plaisir, mais la visite de l’amante de la première incitera la seconde à réclamer plus.
Critères:  ff fplusag jeunes cérébral revede voir exhib fmast caresses uro
Auteur : Dyonisia  (Souvenirs et confidences…)      Envoi mini-message

Collection : Marie-Chantal
Tripotages

Tripotages




Cette collection est née d’une gageure : étaler au grand jour les confidences échangées entre deux complices, sans s’encombrer de retenue ou de pudeur. Une exhibition virtuelle en quelque sorte, qui satisferait les penchants de chacune, au gré de leurs envies.





L’année universitaire s’était achevée avec succès pour la « Filleule », malgré ses inquiétudes latentes. Elle avait également – enfin – republié son premier texte et si l’auteure en herbe n’était pas aussi blonde que le blé, son récit avait reçu l’accueil prédit par la « Marraine ». Des auteurs confirmés avaient émis des commentaires chaleureux et encourageants, voire laudatifs, et des anonymes s’étaient parfois enthousiasmés. De quoi, comme prévu, mettre à distance l’avis pédant et méprisant d’inévitables sabreurs, à probables tendances masos, et promouvoir au bout du compte un essai qui ne demandait qu’à être renouvelé et confirmé.



Ces échanges de caractère académique et littéraire s’étaient évidemment truffés de libertinages coquins, sinon carrément libidineux, sans vergogne aucune. L’aînée n’était pas la dernière à flirter avec l’obscène, mais la cadette lui donnait hautement la réplique. Il n’y a pas de mal à se faire du bien, fut-ce de part et d’autre d’un téléphone ou d’une messagerie. Quand on est cérébral, rien ne vous freine, surtout si le medium utilisé vous assure une parfaite discrétion. Le mois de juillet fut cependant une période d’occupations bassement matérielles pour l’une comme pour l’autre et il était déjà à son mitan lorsque les préoccupations universitaires refirent surface.




Quelques jours plus tard, nouvelle émergence du stress.




Le lendemain, la situation n’avait guère évolué.




Tout se dénoua heureusement à la grande satisfaction de la Filleule autant que de la Marraine, qui pouvaient envisager dès lors d’autres sujets de conversation. Et donc, le soir suivant :




Mais les grandes lèvres sont, comme je te l’avais dit je crois, épaisses. Je n’ai pas une énorme craquette, pourtant. Elle n’est pas très longue. Mais elle est bombée et plutôt dans la largeur vers le haut.

Ah, tiens, ça sert cette description de craquette : j’ai comme un poil qui ne veut pas sortir et qui me fait un peu mal. Il faudrait que j’enlève tous les poils pour y voir plus clair ! Donc, ça serait l’occasion de mieux observer et te décrire.




Je me suis fait épiler les lèvres, tu as de la chance, elles sont bien visibles. Ma fente est plutôt courte, mon périnée est large du coup. Il porte une cicatrice d’épisiotomie. On la voit à peine, maintenant.

Mes grandes lèvres sont épaisses, elles font deux replis très nets qui s’affinent en haut et en bas. Mon capuchon couvre bien le clitoris. Tu sais déjà qu’il n’est pas plus gros qu’un petit haricot. Il faut retrousser la capuche pour le voir. Au début bien sûr, parce qu’il pousse jusqu’à la taille d’une fève si je suis très excitée.

Mes nymphes débordent de la fente. Elles sont très festonnées, comme froissées, et leur ourlet dépasse sur mes lèvres. Si on les étire, elles prennent la forme d’ailes de papillon autour de l’entrée du vagin.

Pour la couleur, tout ce qui est peau est rose pâle, peut-être un peu plus foncé sur le bord des petites lèvres. Mes muqueuses internes sont d’un rose plus accentué, presque rouge, sauf l’orifice de l’urètre qui tend vers l’ivoire.

Est-ce que tu peux te faire une idée plus précise, à présent, ma petite cochonne curieuse ?




La conversation se termina sur ces réconfortantes paroles, source de satisfactions sexuelles des deux côtés de la ligne. Mais moins d’une semaine après, la Filleule se trouva aux prises avec de nouveaux ennuis, loin des questions universitaires pour ceux-ci. Elle s’en ouvrit, ainsi que des solutions qu’elle avait mises en œuvre, à sa Marraine. Le ton triste de sa voix autant que les tourments qu’il révélait émurent cette dernière qui se promit de trouver un moyen de rendre la joie à sa protégée.




Mon trou du cul ressort comme un petit cratère. Oui, les bords sont un peu relevés et marqués de petits plis. J’accepte deux doigts, trois à la rigueur, mais au-delà ou si le plug est trop gros, je souffre.

Voilà, ma Puce, tu connais le plus intime de moi. Tu es contente de pouvoir visualiser mon cul ? Moi je suis heureuse de te l’avoir décrit !




____


Le mois de juillet s’étant achevé dans la joie partagée, le mois d’août débuta dans l’allégresse. Des soirées se prolongèrent tard dans la nuit, des fantasmes égrillards s’avouèrent, des projets de visites se communiquèrent et des anecdotes croustillantes s’échangèrent. La chaleur partout accablante protégeait les culottes en les rendant superflues, mais les draps ici et la chaise ou le fauteuil là, firent les frais des conversations éhontées.



Quand la mi-août s’annonça, un appel téléphonique de la Marraine relança les spéculations.




Bien évidemment, la Filleule ne manqua pas de se signaler dès son retour. Sans se soucier des conséquences éventuelles de sa précipitation.




Je reste principalement sur mon clitoris. J’ai les doigts trop courts je crois. Pourtant j’aimerais bien mettre mes doigts dans ma craquette. Mais j’atteins difficilement les zones que je recherche. Il faudrait que je trouve quelque chose à y mettre un jour. Du coup, je reste sur le clitoris la plupart du temps. J’aime bien quand même aller chercher du jus plus bas. Et remonter avec le long des lèvres. Ça me fait frémir, en plus.

Sur le bouton, donc, j’avais l’habitude d’y aller de bas en haut. Mais maintenant, j’apprécie aussi de frotter de gauche à droite ou de tourner dessus. Avant, encore une fois, j’avais le clitoris beaucoup trop sensible. Je faisais mon possible pour rester sur le capuchon. Maintenant je le maltraite un peu plus. Je crois que ces nouveaux mouvements me permettent de le faire un peu sortir.

Pendant ces branlettes, je respire fort, et je m’agite. Mais le pire est lorsque je jouis enfin. Je n’y vois plus rien et je tremble de façon incontrôlable ! Impossible de rester en place. Maintenant, je me contrôle un peu plus quand même. Mais bon…

Une fois que c’est terminé, j’aime bien rester cul nu avec la mouille toujours sur les grandes lèvres. C’est rafraîchissant, il faut le dire ! Mon ventre est tout détendu. Mis à part que j’ai généralement envie de faire pipi à ce moment-là. Même un tout petit peu. Si l’envie est plus grande, ça me donne envie de recommencer. Ce n’est pas rare que je me branle plusieurs fois d’affilés, une fois que j’ai commencé.

Tu ne voudrais pas connaître mon record de branlette dans la même journée, il est honteux !

Mais bon, j’étais bien jeune quand c’est arrivé ! C’est peut-être pour ça.




Qu’est-ce que c’est que ce prétexte de « doigts trop courts » ? Même des petits doigts peuvent aller titiller le clito interne à l’orée du vagin. Dis-moi, ne serait-ce pas un reste de pudeur qui t’en empêche ? D’ailleurs, la première idée qui vient pour « y mettre quelque chose », c’est le manche rond d’une brosse à cheveux. C’est ce que j’ai fait. Ne me dis pas que tu n’y as pas pensé.




Un contretemps familial, dont il eut été toutefois mal venu de se plaindre, perturba assez vite les appétissantes conjectures que caressait la Filleule. Elle en informa sa Chérie, tiraillée entre le regret de remettre à plus tard leurs intéressantes conversations et le secret espoir que celle-ci lui apportât quelque consolation.




Là, j’écarte ses grandes lèvres roses. Elles sont bien gonflées ! On voit son bouton qui dépasse de la capuche. Il est tout dur et rouge, tu as raison. Quand on le touche, les petites lèvres frissonnent et l’intérieur devient plus brillant. Oh, la, la ! Sa mouille, qu’est-ce qu’elle sent !

Et là j’écarte bien, pour exhiber l’entrée du vagin. Il est large, tu pourrais y glisser ta main… Et je ne te parle pas de son trou à pipi. Si je le gratte avec l’ongle, il y a de petites gouttes qui sortent… Tu aimerais goûter, non ?

Tu peux te masturber si tu as envie. Je vais te montrer son petit trou… Ah, zut !




Passons sur les deux ou trois demi-douzaines de minutes nécessitées par les papotages et autres souhaits de bonne nuit entre le duo des plus jeunes et le duo des moins jeunes.




Andréa est dans ma chambre qui est juste à côté, elle doit entendre aussi. Je suis sûre de la trouver genoux en l’air sur le lit, en train de se doigter le cul et le con.




J’imagine bien Andréa les quatre fers en l’air… Je pourrais l’aider avec mes doigts, ha, ha, ha !




Les toilettes étaient occupées (ça arrive ! ) et par discrétion je n’ai pas demandé par qui. De toute façon, pas grave : il y a le bac de douche. Et là, qui arrive dans la salle de bain ? Sandrine ! J’ai pissé devant la copine de Oriane, ma Puce… Elle m’a bien regardée faire, elle avait l’air ravi.




Je commence par de petits mouvements d’avant en arrière en appuyant des deux côtés du clito. Puis j’accélère et je serre et j’appuie de plus en plus. Quand le gland grossi et sort de sa cachette, je prends un peu de mouille pour mettre dessus.

Si je n’ai pas l’autre main libre, je me débrouille pour y arriver avec l’auriculaire sans trop ralentir les frottements et les pressions.

Avec la mouille, le gland est moins irritable et je peux le frotter directement. J’arrive à jouir comme ça, en écrivant. Sinon, avec l’autre main j’alterne seins et chatte, pour me pincer les tétons et me doigter.

Ma Filleule est satisfaite ? Andréa m’a surveillée pour vérifier que je t’explique bien.




Tirons un rideau pudique sur la fin de cette conversation. Celles qui suivirent s’effectuèrent en grande partie par SMS.

____



Le premier émanait de la Marraine :

Coucou ma Puce. Une amie d’Andréa nous a prêté sa maison pendant son absence pour la semaine. C’est dans l’arrière-pays : le réseau ça va, mais la connexion n’est pas très bonne.



La réponse ne fut lue que dans la nuit :

Bonsoir ma Chérie ! Profitez bien de la maison et j’imagine que Oriane et Sandrine s’amusent bien aussi, si elles ont invité chez toi d’autres amies.



De telles suppositions méritaient d’être confirmées :

Bisous ma Puce. Oui, ici, nous bullons, et là-bas, la jeunesse s’amuse. Hi, hi, hi !



La Filleule était discrète, ou occupée, mais elle tenait malgré tout à rappeler la promesse faite :

J’attends ton compte-rendu complet de ces quelques jours et dis-moi comment ça se passe en rentrant, ma Chérie !



La Marraine n’envisageait aucunement d’esquiver ses engagements. Toutefois, diverses contraintes lui imposèrent un délai pour signaler son arrivée, et encore de manière succincte :

Retour sans problème hier et rentrée agitée, ma Puce. Dormi jusqu’à dix heures, et spectacle amusant ce matin, dans le salon… Les filles partent cette après-midi, Andréa demain. Encore une soirée à deux, seules, en perspective… Je t’appelle demain soir. Bisous



Il n’a pas été consigné si la Filleule passa les quelque trente-six heures imposées dans les affres de l’impatience. On peut supposer que oui. En tout cas, elle décrocha dès que son téléphone sonna.




____



Quand on s’engage, on s’engage. Il n’y a rien à ajouter, sinon que la Marraine, entre deux renseignements sur les hammams, ne se priva pas de relancer sa Filleule sur la suite de son premier récit et sur son idée de Salon de toilette pour dames.