n° 21993 | Fiche technique | 26103 caractères | 26103 4360 Temps de lecture estimé : 18 mn |
15/09/23 |
Présentation: Entre Clémence et Guillaume, c’est le coup de foudre. Leur amour va être mis à rude épreuve. | ||||
Résumé: Comment la pratique de la randonnée peut changer le cours d’une vie. | ||||
Critères: fh fhhh vacances sport nudisme gangbang init -groupes | ||||
Auteur : Rincop Envoi mini-message |
Dix minutes après, Guillaume est enfin prêt !
En effet, arrivés à la gare, le départ du train est encore vingt minutes plus tard et Guillaume a encore le temps de s’acheter un paquet de cigarettes.
Mais revenons six ans en arrière. Guillaume a alors vingt ans et vient d’obtenir sa licence 2 en génie civil à Paris. Pour fêter son diplôme, il est parti une semaine en rando dans le Lubéron avec trois « potes ». Le dernier soir, ils s’offrent un resto avant de repartir chacun de leur côté.
Clémence, âgée de vingt-deux ans, a terminé son Master 1 de gestion à Lyon. Pour l’été, elle travaille dans ce restaurant, en tant que serveuse, pour contribuer au financement de ses études.
C’est comme cela qu’ils se rencontrèrent. Ils s’aimantèrent au premier regard, lorsque Clémence apporta la carte. Ce soir-là, elle était vêtue d’une sage robe en jean qui lui arrivait au-dessus du genou. Bien que ne dévoilant pas grand-chose, elle mettait en valeur sa belle poitrine (90C) et ses longues jambes fines, mais musclées. Ses cheveux bruns mi-longs étaient attachés en chignon, laissant ainsi toute leur place à ses yeux bleus et à ses traits fins. Guillaume, lui, était encore en tenue de randonneur, short et tee-shirt, laissant apparaître sa forte carrure et ses jambes musclées.
Clémence vint plus qu’elle n’aurait dû à leur table, s’enquérir si tout allait bien. Guillaume la suivait du regard à chacune de ses allées et venues. En fin de repas, Clémence offrit les « pousse-café » aux quatre garçons… Cela les emmena bien tard.
Guillaume entendit la patronne s’exclamer « avec tout ce qu’il reste à faire, on va encore finir à pas d’heure ». C’est vrai qu’il y avait beaucoup de clients ce soir-là.
Guillaume s’avéra d’une redoutable efficacité, aussi bien pour débarrasser les tables que pour la plonge.
C’est là où Clémence intervint.
Arrivés dans la chambre, ils tombèrent dans les bras l’un de l’autre. Ils se retrouvèrent rapidement nus (Guillaume constata que Clémence ne portait rien sous sa robe) et allongés sur le même lit. La nuit fut bien occupée et le sommeil de courte durée. Clémence se révéla particulièrement expressive pendant l’amour. La chambre des patrons était contiguë…
Le lendemain matin, Guillaume constata avec étonnement que Clémence se rendait nue jusqu’à la salle de bain. Il lui en fit la remarque.
Ils se retrouvèrent tous les quatre autour du petit déjeuner.
Le rythme fut rapidement pris. Guillaume s’intégrant sans difficulté dans « l’équipe », se partageant entre, le plus souvent la cuisine, et parfois le service à table. Yolande et Jean étaient ravis. Ils avaient pu ajouter des tables en terrasse et n’avaient plus à refuser des clients.
Un lundi (jour de fermeture), Jean leur proposa de les emmener chez les parents de Clémence qui étaient aussi leur fournisseur en olives, huile, vin, fruits et légumes (il avait une commande à prendre).
Guillaume fut bien accueilli.
Après le déjeuner, Clémence fit découvrir le pays de son enfance à Guillaume. Arrivés au bord d’un ruisseau, ils se baignèrent, nus tous les deux… Ils étaient seuls au monde.
L’été se passa ainsi. En fin de saison, Yolande et Jean leur annoncèrent qu’ils leur versaient une prime de quarante pour cent, car le chiffre d’affaires avait été excellent. Une bonne aide pour financer leurs études. Chacun retourna chez lui, Guillaume à Paris et Clémence à Lyon. Ils se retrouvaient parfois chez l’un ou l’autre à l’occasion de vacances ou de périodes de révision. Licence en poche, Guillaume décida tout naturellement de poursuivre ses études à Lyon. Ses résultats lui avaient permis d’être admis dans une grande école de cette ville. Clémence, elle, avait obtenu son master 2 et embauchait dès août dans une entreprise où elle avait fait un stage. Elle accompagna Guillaume chez Yolande et Jean en juillet, mais ne put venir que deux fois en août. Mais ils avaient toute la vie devant eux…
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Dans le train, ils récapitulèrent leur rando, pas trop dure, dans les Alpes voisines de Lyon. Comme à leur habitude, Guillaume s’était chargé de l’itinéraire et Clémence de l’intendance.
Le soir, ils dormaient dans une petite auberge, avant de démarrer le lendemain. Ensuite, c’était en refuge pendant une semaine.
Dès le samedi matin, les voilà en marche sur les chemins et sentiers. Le pique-nique du midi était prévu au bord d’un petit lac. En vue de celui-ci, ils s’aperçoivent qu’il y a déjà du monde.
Ils perdirent le lac de vue, caché par des arbres, et ne le revirent presque arrivés au bord. Là, surprise, toutes les personnes étaient nues ! Certaines en train de se baigner et d’autres en train de pique-niquer.
À la grande surprise de ce dernier, Clémence, sans pudeur ni hésitation, se dévêtit et rentra dans l’eau (elle qui avait toujours refusé de se rendre sur une plage naturiste).
Guillaume se dévêtit à son tour pour aller se baigner. Il constata que le groupe était constitué de six hommes et sept femmes dans la trentaine et d’un couple plus âgé, dans la cinquantaine. Après s’être baignés, c’est tout naturellement qu’ils déjeunèrent, en compagnie des autres personnes, dans le plus simple appareil. Ils échangèrent, et se rendirent compte qu’ils suivaient le même itinéraire.
C’est ainsi qu’ils continuèrent leur périple. À l’abord d’un village, ils se rhabillèrent, les hommes enfilant un short et la plupart des femmes, juste un long tee-shirt. Vêtements enlevés dès le village passé. Ils rencontrèrent quelques autres randonneurs qui ne parurent pas plus surpris que cela.
À un moment, se retrouvant à l’écart du groupe, Guillaume demanda à Clémence :
Finalement, Guillaume trouva que ce n’était pas si mal toutes ces femmes nues, d’autant que par moments, les chemins escarpés dévoilaient des vallées profondes juste devant ses yeux. Par ailleurs, le groupe se montra très sympathique et toujours prêt à échanger. La rando s’avéra très agréable.
Arrivés au refuge, ils eurent la bonne surprise de constater qu’ils étaient les seuls occupants. Un homme d’une trentaine d’années les attendait avec une voiture.
Cela expliquait qu’ils étaient tous équipés de petits sacs à dos.
Un torrent voisin permit une toilette rapide (il était gelé). Tout le monde s’installa puis se mit à la préparation du repas. À la fin de celui-ci, une petite blonde filiforme dit :
Nul ne s’opposa. Tout le monde se mit à débarrasser, nettoyer et faire la vaisselle. Une demi-heure après, tout était propre. Deux femmes apportèrent un tapis de sol et un sac de couchage et les disposèrent sur la table. Émie s’allongea alors dessus sur le dos. Elle fut rapidement entourée par les autres femmes qui commencèrent à la caresser et la masser. Le cou, les cuisses, le ventre, puis les seins et la vulve. Certaines lui firent un cunnilingus, allant même jusqu’à un « 69 » saphique. Après vingt bonnes minutes, l’une d’elles annonça :
Ils l’entourèrent. Rapidement, l’un la pénétra, un autre se fit faire une fellation pendant que les autres hommes la caressaient à leur tour. Certains se permirent une sodomie et il y eut même une double pénétration. Guillaume se tenait un peu à l’écart. L’un des hommes l’invita à venir participer et il ne sut refuser. La « séance » dura pas loin d’une heure et demie, à l’issue de laquelle chacun dit :
Tout le monde, après un bon rafraîchissement, alla se coucher, chacun avec sa chacune.
Le lendemain, départ matinal malgré tout, ils partaient pour l’une des étapes les plus longues. Clémence et Guillaume apprécièrent de ne plus être chargés de leurs gros sacs à dos. Ils n’en avaient même pris qu’un petit pour eux deux. Guillaume profita d’un moment pendant lequel ils étaient seuls pour demander à Clémence :
Guillaume s’avoua vaincu et ne sut que répondre.
À l’arrivée, ils eurent à nouveau la bonne surprise d’avoir le refuge pour eux seuls. Vincent les attendait et avait prévu des grillades. Tout le monde partit à la recherche de bois mort. Le repas, pris à l’intérieur, car la soirée était fraîche, fut accompagné de quelques bonnes bouteilles de vin. À la fin de celui-ci, Guillaume, avec stupeur et effarement, entendit Clémence dire :
Personne ne s’opposa.
C’est ainsi que Clémence se retrouva allongée sur la table. Les femmes prirent un soin particulier à la « préparer », enduisant même ses parties intimes avec du lubrifiant. Pour la première fois, Guillaume la vit avoir des relations avec d’autres femmes.
Ils s’approchèrent et commencèrent en la caressant à leur tour, avec une attention particulière pour ses seins (qu’elle avait fort beaux) et son pubis. L’un d’eux se présenta devant son vagin. Clémence d’un mouvement du bassin vint à son contact. Elle prit en main un autre, et lorsque celui-ci approcha son membre de son visage, elle ouvrit la bouche et l’enfourna, au grand étonnement de Guillaume auquel elle avait toujours refusé cette pratique.
Ses seins se balançaient sous les coups de boutoir et tout son corps était en mouvement. Bientôt, un deuxième homme prit place dans son vagin. Le troisième la fit pivoter pour la positionner dans la largeur de la table. Ainsi sa tête penchait dans le vide. Un autre vint se placer devant sa bouche qu’elle ouvrit toute grande. Il la baisa littéralement par là aussi. Guillaume ne put que constater qu’elle ne recracha rien…
Un autre encore vint se positionner entre ses seins et se soulagea sur son visage.
Le quatrième demanda à deux autres de lui tenir les jambes en l’air, écartées. Il se positionna devant son anus. Quand il commença à la pénétrer, Clémence ne refusa pas, au grand désarroi de Guillaume. Elle lui avait toujours refusé cette pratique-là aussi !
L’homme s’immisça peu à peu jusqu’à arriver à la garde puis accéléra le mouvement pour finir, au bout d’un quart d’heure, par exploser au plus profond. Une fois ressorti, il dit :
Les deux suivants suivirent le même chemin. Les premiers avaient eu le temps de retrouver la forme. L’un d’eux fit descendre « Honorée » de la table avant de prendre sa place puis de l’attirer sur lui. Un autre se plaça derrière. C’est ainsi que Clémence connu sa première double pénétration. Une fois qu’ils eurent fini, on l’entendit dire.
Elle trouva sans difficulté deux volontaires pour la satisfaire.
Celui-ci ne put que s’exécuter, à la vue du sperme s’écoulant du vagin le long des cuisses, sans hésiter, il l’encula d’un coup jusqu’au fond de ses entrailles. Clémence poussa un cri qui se transforma rapidement en gémissements de plaisir. Guillaume, lui, constata que le conduit avait été bien lubrifié et était un peu gluant. Au bout de quelques minutes, il se répandit à son tour. Après qu’il se soit retiré, Clémence dit doucement :
En fait, deux se succédèrent et firent durer le plaisir, car ils n’en étaient pas à leur premier « passage ». Les gémissements et cris de plaisir de Clémence étaient continus, son visage radieux respirait la plénitude. Après quoi, elle murmura :
Tous allèrent se coucher et trouvèrent rapidement le sommeil.
Le lendemain, lors de la rando, Guillaume trouva rapidement l’occasion de se retrouver seul avec Clémence.
Guillaume se sépara alors d’elle et poursuivit l’étape avec les uns et les autres.
À son grand soulagement, Vincent vint à leurs devants les avertir qu’un autre groupe était déjà installé. Après tractation, il fut convenu que chaque groupe occuperait un dortoir et qu’ils partageraient la grande salle pour le dîner. Une fois celui-ci pris, chaque groupe se retira. Guillaume espérait bien avoir un peu d’intimité avec Clémence, mais à peine furent-ils installés sur leur couchette que deux membres du groupe les rejoignirent.
L’un s’allongea et attira Clémence et l’autre se positionna pour une « double ». À peine eurent-ils terminé que deux autres prirent leur place. Clémence attira alors Guillaume par la main et lui offrit une fellation, rythmée par sa sodomie. Pour finir, un dernier se fit offrir à son tour une « pipe ».
Le mardi et le mercredi, ils durent à nouveau partager l’hébergement…
Le jeudi soir, le groupe fut rejoint par deux jeunes hommes qui venaient partager la fin du périple. À nouveau, ils durent partager le refuge, et leur dortoir manquait visiblement de places.
Les autres se repartirent par trios sauf Martin et sa femme qui eurent le privilège d’en avoir une pour eux seuls.
Pour autant, les deux nouveaux venus devaient être « morts de faim », à en croire les bruits qui venaient de leur emplacement. Guillaume n’eut que peu de temps pour ruminer sa jalousie. Une main vint caresser son torse, une autre son pubis, une troisième son cou… Rapidement, l’une de ses deux compagnes vint s’allonger sur lui et se pénétra sans qu’il n’ait rien à faire. L’autre continuait à lui caresser les testicules. Il ne tint pas longtemps. Il fut alors pris en bouche, ce qui lui redonna vigueur, la « lécheuse » avait un grand savoir-faire… Elle s’empala alors pour une sodomie de longue durée. Tous les trois s’endormirent ensuite rapidement. Pendant ce temps, nul ne pouvait ignorer les activités qui se déroulaient du côté d’Honorée, et cela jusque tard dans la nuit…
Le lendemain pendant la rando, Guillaume passa l’essentiel de son temps avec ses deux compagnes de la nuit. Honorée-Clémence, elle, allait des uns aux autres.
Le soir, ils eurent le refuge pour eux seuls, mais Martin décréta :
La dernière étape n’était pas longue, tout le groupe en profita pour musarder et par trois fois se baigner dans des plans d’eau. Cela les fit arriver chez Mario à vingt heures.
Les randonneurs se répartirent rapidement les chambres et petits dortoirs, et n’éprouvèrent pas le besoin de passer par les douches, compte tenu des nombreuses baignades de la journée. Ils redescendirent, habillés comme ils étaient arrivés, le dîner chez Mario se faisant toujours comme cela. Tout le monde se retrouva rapidement autour de l’apéro et amuse-gueule. Ensuite Garbure, arrosée d’un bon Madiran, et pour finir des fruits. Mario, comme à son habitude, avait bien prévu les choses. Cela les emmena jusqu’à vingt-deux heures. Ils débarrassèrent tous ensemble, mais Mario leur indiqua qu’il ferait la vaisselle le lendemain avec ses deux aides.
Deux femmes s’approchèrent de Clémence et la déshabillèrent.
Une femme prit Mario en bouche et le mit « en forme ».
Depuis que Clémence rêvait d’une deuxième séance ! Elle alla au-devant des caresses et autres préliminaires. Pendant ce temps, le « travail » sur Mario était terminé, et Guillaume constata avec effroi que la nature l’avait gâté. Son sexe faisait plus de vingt centimètres, avec un diamètre en conséquence !
Mario prit alors l’Honorée par la main et la fit descendre de la table. Il lui mit ses mains en appui sur le bord de celle-ci et recula ses jambes, qu’il écarta, jusqu’à ce que son torse soit à l’horizontale. La croupe était ainsi particulièrement bien exposée. Il présenta alors son sexe devant la rosette et encula Honorée d’un coup.
Celle-ci poussa un grand cri de douleur. Mario n’en tint pas compte et entama un pilonnage en règle. Peu à peu, les cris se transformèrent, puis furent remplacés par des ahanements et gémissements. Au bout de plus d’un quart d’heure, il poussa, en même temps qu’Honorée, un grand cri, de plaisir celui-là. Il venait de se vider tout au fond de ses entrailles. Ses deux aides prirent, chacun leur tour, leur place et la même voie. Honorée sut vraiment ce qu’était un orgasme anal. Les deux hommes suivants passèrent par le vagin. Suite à quoi, Honorée demanda à s’allonger, car la position était fatigante. Il est vrai qu’elle l’avait tenue presque trois quarts d’heure ! La soirée se poursuivit jusque tard dans la nuit. Toutes les positions et pratiques furent utilisées. De temps à autre, on entendait Clémence murmurer :
Tout le monde participa (sauf Guillaume, c’était trop pour lui) trois fois plutôt qu’une, ce qui les entraîna jusque tard dans la nuit ou plutôt au petit matin. Guillaume, lui, avait préféré aller se coucher, pour autant il ne trouva pas le sommeil.
Le petit déjeuner fut pris tard, tout le monde se dit au revoir. Dans le train du retour, Guillaume dit :
Clémence, encore sur son nuage, lui répondit de façon ingénue.
Elle le prit autour du cou et l’embrassa voluptueusement. Guillaume ne répondit que peu.
Dans le mois qui suivit, Clémence multiplia les fellations et sodomies. C’était toujours elle qui prenait les initiatives. Guillaume « subissait » pratiquement. Il avait toujours en tête les « soirées rando-nue », et en particulier l’image du sexe de Mario sodomisant Clémence. Au bout d’un mois, il annonça à cette dernière qu’il la quittait, ne supportant pas les souvenirs de sa débauche.
Il fréquenta pendant quelque temps l’une de ses deux compagnes nocturnes. Le conjoint de celle-ci n’était pas jaloux du tout… Puis il tourna la page complètement et se retrouva seul. Dans son travail, il prit tous les gros chantiers, qui le tenaient éloigné de son domicile pendant un mois, voire davantage. En échange, il avait de longs congés et en profita pour multiplier les voyages. Machu Picchu, grande muraille de Chine, trek au Népal, pyramides d’Égypte… Au cours de ce dernier, il rencontra une femme de son âge. Ils s’entendirent très bien et finirent la croisière sur le Nil dans la même cabine… Mathilde était calme et douce. Elle le modérait dans ses emportements. Ils partagèrent leur vie et étaient très heureux tous les deux.
Un vendredi soir, en rentrant d’un de ses chantiers, il tomba nez à nez avec Clémence à la gare. Sa beauté lui fit un choc. Il eut l’impression qu’elle avait encore embelli pendant ces quatre années.
L’idée lui tourna dans la tête, il se remémorait tous les bons moments passés avec Clémence. Et puis la baiser une dernière fois…
Il finit par se décider.
Guillaume fut tout étonné de ne pas rencontrer plus de résistance et d’interrogations, mais il est vrai qu’ils fréquentaient parfois les plages naturistes.
Le groupe comportait une vingtaine de personnes. Guillaume y retrouva un certain nombre de personnes connues, en particulier Martin qui à nouveau avait tout organisé. Vu l’importance du groupe, il avait réservé chaque fois l’hébergement pour eux seuls.
Comme attendu, le premier soir, Clémence demanda à être l’Honorée. Sa demande fut acceptée. Guillaume participa sans arrière-pensées.
Le lendemain, Mathilde lui demanda s’il était au courant de ces soirées particulières. Guillaume bafouilla un peu et ne répondit pas vraiment.
Mathilde n’insista pas. Elle parla avec les uns et les autres pendant la marche.
Le soir après le dîner, elle annonça :