| n° 21994 | Fiche technique | 11755 caractères | 11755 1959 Temps de lecture estimé : 8 mn |
15/09/23 |
| Présentation: Un texte assez court inspiré d’une photo vue sur le web. Bonne lecture :) | ||||
Résumé: Ce soir, Monsieur le Directeur Thomas Gaufray dîne en compagnie d’une fort belle femme que les hommes présents dans le même restaurant huppé lui envient. | ||||
Critères: fh extracon caférestau voir -extraconj | ||||
| Auteur : Patrik Envoi mini-message | ||||
Un texte assez court inspiré d’une photo vue sur le web.
Bonne lecture : )
Ce soir, Monsieur le Directeur Thomas Gaufray dîne en compagnie d’une fort belle femme que les hommes présents dans le même restaurant huppé (situé dans les étages inférieurs d’un gratte-ciel) lui envient, au grand désappointement des dames qui les accompagnent. Le récent premier essai nucléaire de la France, exécuté au fin fond du sud de l’Algérie, fait figure de bombinette face à l’aura que dégage cette somptueuse Dame.
Sa magnifique invitée, Nadège Desprez, n’a pas lésiné sur les moyens. D’un point de vue beauté pure, elle est assurément dans le haut du panier. Plus jeune, elle a même posé pour divers photographes et a eu le plaisir de se voir affichée dans les pages de la presse féminine. On lui a même proposé de jouer les starlettes en bikini sur la Côte d’Azur. Mais elle a préféré abandonner, le milieu lui semblait malsain, et l’envers du décor n’était pas tout rose, loin de là.
Ce soir, la jeune femme a relevé ses cheveux châtains aux reflets légèrement roux en un chignon artistiquement arrangé, ce qui met bien en valeur l’ovale parfait de son visage avenant, sous un chapeau planté artistiquement sur le côté. Des pendentifs scintillants ornent ses oreilles. Ses yeux verts sont aussi largement mis en évidence par un maquillage qui évoque un peu les Égyptiennes du monde antique, sans oublier sa bouche écarlate qui attire irrésistiblement l’œil.
Mais ce qui attire encore le regard est situé plus bas.
Nadège porte une robe jaune canari assez osée, dos nu, attachée au cou et qui descend en triangle vers sa taille. L’avant est percé d’un grand ovale partant à cinq centimètres du cou jusqu’en dessous des seins, exhibant sans complexe les deux belles masses de sa poitrine presque uniformément bronzée.
On comprendra sans problème l’émoi bien compréhensible des hommes qui peuvent contempler ce spectacle. Et encore, comme Nadège est assise, ils ne peuvent pas contempler la totalité du bas, ce qui ajouterait encore plus à leur émotion…
Consciente de son pouvoir sur la gent masculine, Nadège boit une petite gorgée de son apéritif. Étrangement, une de ses mains est restée gantée, mais ça ajoute un « je ne sais quoi » à sa personne qui n’a pourtant pas besoin de ce genre de détail. L’autre détail est le petit sac à main assorti à la robe, accessoire posé sur la nappe blanche. Sa lanière est composée d’une chaînette dorée, et non de tissu ou de cuir comme c’est souvent le cas.
De ce fait (et de tous les autres), bien naturellement, la jeune femme, qui lui fait posément face, trouble énormément Thomas qui n’est pourtant pas un jeune perdreau de l’année en ce qui concerne les affaires et les femmes, les deux allant souvent de concert, de façon étroitement imbriquée et souvent horizontale.
Bien qu’il éprouve une furieuse envie de s’éponger le front, Thomas essaye de rester imperturbable, il y va de sa réputation :
En réalité, Thomas ne voit pas bien, exception faite du décolleté qu’il a sous les yeux en ligne droite et en panoramique. Délaissant son verre, Nadège se penche volontairement vers Thomas afin d’expliquer certaines choses :
En plus d’une belle vue sur son décolleté, Nadège affiche un beau sourire :
D’un doigt dans le col, Thomas desserre sa cravate :
Se sentant devenir bouillant, Thomas se dit que ce dîner restera gravé dans sa mémoire durant un bon bout de temps :
Sa phrase achevée, il en profite pour vider la moitié de son verre. Une fois le verre reposé sur la table, la jeune femme lance son atout majeur :
Sidéré, Thomas n’en croit pas ses oreilles :
Visiblement très satisfait de la tournure des événements, Thomas reprend du poil de la bête :
Louchant malgré lui dans le profond décolleté, le directeur dit :
Positivement ravi, se disant qu’il ne faut jamais remettre ce qu’on peut faire tout de suite, Thomas annonce :
N’en pouvant plus, Thomas s’éponge le front et finit son verre.
Peu après, tous les deux s’éloignent, sous l’œil affamé des autres hommes qui n’en peuvent plus d’admirer les longues jambes à la démarche chaloupée, ainsi que le séant dandinant de cette femme hors du commun, dont la robe ne cache pas grand-chose de ses charmes.
Dans l’ascenseur, Nadège appuie sur un bouton en commentant d’une voix suave :
L’ascenseur commence son ascension, idem pour une certaine partie anatomique masculine qui n’en finit plus de pointer vers le plafond. Essayant de rester calme en attendant que la porte de la chambre soit refermée derrière eux, Thomas se permet quelques questions :
Presque adossée contre le tableau de bord de l’ascenseur, Nadège explique :
La réponse tombe, mutine :
Le directeur se demande s’il n’est pas en train de rêver. Tout ceci est trop beau, un fantasme éveillé. Il désire avoir un peu de lumière sur un point de détail qui le concerne :
Thomas n’en croit pas ses oreilles :
Ludique, Nadège continue son énumération :
Imaginant la chose, Thomas réplique d’une façon semi-sérieuse :
Le dos toujours tourné aux boutons de l’ascenseur, Nadège met sa main devant sa bouche :
Thomas n’en revient pas. Lui aussi caresse cette fantaisie depuis longtemps :
Coquine, Nadège demande :
Soudain, Thomas réalise que l’ascenseur n’est toujours pas arrivé à destination. Intrigué, il demande :
Les portes de l’ascenseur s’ouvrent.
Tandis que le couple est dans la salle de bain, Daniel Desprez s’adresse à sa femme en nuisette qui est en train de se démaquiller avant d’aller se coucher :
Nadège se lave la figure, puis se met ensuite de l’eau de rose. Admiratif malgré les années qui passent, son mari la contemple dans le reflet du miroir. Il n’oublie pas de zieuter copieusement les deux belles fesses peu dissimulées par la nuisette.
Sans cesser de contempler sa femme, il se gratte la tête :
Sans se retourner, Nadège fait remarquer un point de détail :
Ayant terminé, Nadège se retourne, puis elle jette ses bras autour du cou de mon époux :
Son épouse adorée plaquée contre lui, Daniel ne cherche plus à comprendre. Il n’a qu’une seule envie : faire l’amour comme un fou à cette adorable femme dont il s’étonne toujours qu’elle ait accepté de l’épouser.