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n° 21995Fiche technique16279 caractères16279
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Temps de lecture estimé : 12 mn
17/09/23
Présentation:  Grâce à leur amour, Lucie et Damien vont parvenir à surmonter tous les obstacles qui se dressent.
Résumé:  C’est le coup de foudre, mais la vie leur réserve bien des épreuves dans leur intimité.
Critères:  couple amour hmast -couple
Auteur : rincop      Envoi mini-message
L'amour au dessus de tout

Ils se rencontrèrent autour d’un verre, par l’intermédiaire d’une amie commune. Ce fut le coup de foudre. Au bout de quelques minutes déjà, leurs pieds, leurs jambes, leurs mains se trouvèrent sous la table. Consciente de la chose, leur amie prétexta un rendez-vous pour les laisser seuls. Peu de temps après, ils quittaient le bar main dans la main et échangèrent un long baisé dès qu’ils furent seuls dans la rue.


Damien invita Lucie chez lui, et celle-ci s’empressa d’accepter. En arrivant, il lui proposa de prendre une douche.



Il ne se fit pas prier. Ils se retrouvèrent rapidement nus et chacun s’occupa de savonner l’autre. L’effet sur Damien ne se fit pas attendre et Lucie découvrit avec bonheur un sexe de belle taille (19 cm de long pour 13 de circonférence, elle l’apprit plus tard). Damien lui se régalait à la vue des formes généreuses de Lucie.

Il l’entraîna ensuite sur le lit, ils échangèrent des caresses, sans oublier une seule partie du corps et ce qu’ils appelleraient plus tard des « bisous sexous ». Vint le moment de la pénétration.



Lucie fut touchée par cette délicate attention et son amour en fut renforcé. « Un gars bien », pensa-t-elle.


Leur étreinte fut passionnée, mais brève (ils étaient tous deux célibataires depuis de longs mois), et lorsque Damien se retira pour éjaculer sur son ventre, Lucie était loin de l’orgasme. Elle ne lui en voulut pas et fut au contraire reconnaissante de cette marque d’attention. Et elle s’était tellement bien sentie « remplie ».

Ils « remirent ça » le lendemain au réveil, et lorsqu’il se retira, Lucie était au bord de l’orgasme, sans pour autant l’avoir atteint.

Ils passèrent la journée du samedi ensemble et décidèrent d’un commun accord de ne pas sortir. Ils en profitèrent pour mieux se connaître. Le soir, ils se retrouvèrent bien entendu dans le même lit et leur étreinte connut la même fougue, sans orgasme pour Lucie, le coït interrompu était toujours un peu court…

Cet état de fait se répéta pendant tout le mois qui suivit. Damien ne s’en rendit pas trop compte, car elle simulait de belle façon. Pour autant, ils décidèrent d’utiliser des préservatifs, mais abandonnèrent rapidement, car ce « n’était pas terrible ».


Un soir, Damien déclara :



Damien prit tout son temps et se montra très doux et à l’écoute de ses réactions. Lorsqu’il fut complètement rentré, Lucie entama de lents va-et-vient. Il l’accompagna et ils accélérèrent de concert. Quand Damien se lâcha, Lucie avait connu un grand plaisir, sans pour autant pouvoir parler d’orgasme. Elle connut enfin celui-ci un mois après, à l’occasion de leur cinquième pénétration anale.

Peu de temps après, elle constata qu’elle avait des saignements de ce côté-là. Elle en parla à Damien et lui dit qu’elle allait prendre la pilule pour essayer d’avoir plus de plaisir.



Lucie mentit un peu.



Celle-ci lui donna une micro dosée, mais lui conseilla d’attendre quelques jours pour être sûre de l’effet. Lucie, qui avait toute confiance et une certaine complicité avec sa gynéco, lui parla de ses saignements.



Elle utilisa un spéculum spécifique puis demanda.



En rentrant, Lucie rapporta à Damien le résultat de sa visite. Puis elle sortit sa boîte de pilules et en prit une.



Malheureusement, deux jours après, elle connut une éruption cutanée, en particulier sur le visage. Elle lut sur la notice que cela faisait, rarement, partie des effets indésirables et qu’en ce cas il était conseillé d’arrêter de la prendre. Ce qu’elle fit. Retour à la case départ : « plus de sodomie et coït interrompu », se dit-elle.

Pendant les deux mois qui suivirent, Lucie ne connut pas l’orgasme. Damien se retirait le plus souvent juste un peu trop tôt. Mais elle ne lui en voulait pas et n’y attachait plus d’importance, elle avait malgré tout un peu de plaisir de temps à autre, et elle l’aimait tellement et son amour était partagé, c’était le plus important. Ils réessayèrent la sodomie, et à nouveau elle connut des saignements. Elle retourna chez la gynécologue.



Lucie avait pu mesurer « l’engin » et lui communiqua les dimensions.



Malheureusement, la pilule refit les mêmes effets…


La vie continua ainsi, et malgré l’absence d’orgasme, leur vie sexuelle était riche et fréquente. Au bout d’un an, ils eurent envie d’avoir un enfant. Lucie voulait d’abord être mariée. Deux mois après, ils firent une belle fête, et leur amie qui les avait fait se connaître fit bien entendu partie des témoins. Leur nuit de noces fut une vraie catastrophe, Damien avait un peu trop arrosé le mariage.

Enfin, ils n’avaient plus besoin de faire attention ! Au premier rapport, Lucie était tellement heureuse qu’elle contracta fortement les muscles de son vagin. Damien ne tint pas longtemps. Au deuxième, elle fit plus attention et au bout de dix minutes, elle partit dans un grand râle et s’écroula littéralement. Elle venait de connaître son premier véritable orgasme, après un an et demi, avec celui qui était maintenant son mari.


Quelques jours après, elle eut des nausées, et connut quelques vomissements. Le test confirma qu’elle était enceinte. Ses nausées durèrent trois mois et elle eut même un arrêt. Sa libido était proche de zéro et sa vie amoureuse connut elle aussi un arrêt. Puis elle reprit et connut quelques orgasmes. À nouveau, à six mois de grossesse, sa libido retomba et elle se refusa. Damien la comprit et accepta. Une nuit, elle le surprit en train de se masturber. Elle lui en parla le lendemain et lui indiqua que pour elle ce n’était vraiment pas agréable.



Pour autant, elle constata que les draps étaient régulièrement souillés. Un matin, en rentrant dans la salle de bain, elle le surprit en train de se masturber.



Trois jours après, dans la nuit, il recommença. Elle fut réveillée cette fois-ci. Elle lui prit la main.



Le samedi matin suivant, elle lui présenta une cage de chasteté.



Damien, surpris, ne sut que répondre. Une heure après, après avoir été épilé, il se retrouva enfermé.



Un mois après, Lucie accoucha d’un beau bébé qu’ils appelèrent Simon. La sage-femme avait été obligée de faire une épisiotomie pour qu’il passe sans problème. Pendant tout son congé parental de deux semaines, Damien garda sa cage. Il demanda à Lucie de lui retirer, mais elle refusa.



Celle-ci mit un mois et demi à se cicatriser complètement, et Lucie décida que même pour aller au travail, Damien resterait en cage, car finalement « ça ne se voyait pas sous son pantalon ». Elle lui retirait juste de temps à autre pour entretenir l’épilation. Damien râla un peu et Lucie lui fit remarquer qu’ils avaient fait le bébé à deux, et qu’il était donc normal qu’ils en subissent les conséquences à deux aussi.


Un soir, elle le prit amoureusement par le cou.



Elle lui retira sa cage. Ils s’enlacèrent, multiplièrent les câlins, mais au moment où Damien la pénétra, Lucie poussa un grand cri de douleur et le repoussa. Ils réessayèrent trois jours plus tard, l’effet fut le même. Verdict de la gynécologue : un point était trop serré et situé trop haut. Il fallait rouvrir, cette fois-ci sous anesthésie, et recoudre proprement. La cicatrisation dura plus longtemps pour atteindre presque trois mois. Pendant tout ce temps, Damien fut en cage…

La gynécologue constata que tout allait bien et parla à Lucie du stérilet. En rentrant, elle indiqua à Damien qu’elle s’en ferait poser un lors de ses prochaines règles.



Le premier rapport fut bref. Damien, malgré tout ses efforts, ne tint pas longtemps. Depuis le temps qu’il attendait ça… Le lendemain, par contre, ce fut somptueux. Ils partirent tous les deux dans un puissant orgasme simultané. Ils eurent encore deux relations très fortes dans les jours qui suivirent, puis Lucie ressentit une douleur dans le bas ventre. Sa gynécologue lui indiqua qu’elle faisait un rejet et que cela arrivait parfois.



Encore un mois et demi d’abstinence, et retour en cage pour Damien. Lucie connut le même phénomène de rejet avec le nouveau stérilet qui ne leur autorisa qu’un seul rapport complet. La gynécologue indiqua qu’elle n’avait plus d’autre solution de contraception à proposer. Lucie libérait Damien de temps à autre, mais ils se contentaient de gros câlins et de sexe oral. Elle refusait maintenant toute pénétration, car elle avait avoué qu’elle « n’y trouvait pas son compte ». Damien, toujours très amoureux, accepta.

Ils décidèrent de faire un deuxième enfant, ce qui leur permit de connaître à nouveau quelques moments de grand plaisir. Une fois enceinte, Lucie remit la cage de chasteté à Damien et lui dit.



Damien le prit en pleine face. Il pesa le pour et le contre : deux enfants, une femme dont il était toujours amoureux… Il décida de sacrifier sa vie sexuelle.


Leur vie se poursuivit ainsi, centrée autour de leurs enfants et des loisirs. Pour autant, ils restaient très complices et toujours amoureux.


Dans le cadre de son travail, Lucie dut suivre une séance de formation de trois jours. Elle pouvait ainsi espérer une promotion. Les horaires étaient les mêmes que ceux du travail. Le soir du deuxième jour, Damien reçut un SMS.


Ne m’attends pas pour le dîner, j’ai un after work imprévu


Les encadrants leur expliquèrent que cela faisait partie de la formation. Cela permettait d’évaluer leur façon de réagir. Certains avaient préféré malgré tout rentrer chez eux, Lucie, et d’autres, de rester. Cet after work débuta autour d’une sangria (peu alcoolisée) puis d’un « repas buffet ». Les formateurs leur demandèrent de se répartir par groupes de huit, en fonction des affinités qu’ils avaient pu découvrir au cours des ateliers des deux jours passés. Ensuite, il y eut quelques activités : blind test, jeu de rôle, chanson en chaîne… Lucie commençait à regretter d’être restée. Pour finir la soirée, ce fut « toute la vérité ». Parmi dix questions cachées, ils devaient en tirer cinq et répondre sans mentir. Leur meilleur souvenir de voyage, la pire anecdote au travail, leur meilleur souvenir personnel. La quatrième était beaucoup plus intime « Quel est votre pire regret dans votre vie sexuelle ? ». Le premier, fanfaron, répondit « aucun ». La deuxième éluda : « de ne pas avoir commencé plus tôt ». Le troisième indiqua qu’il était très satisfait de sa vie sexuelle, mais qu’il était frustré que sa compagne refuse la sodomie. La quatrième prit la parole en riant. Moi, c’est le même et l’inverse, mon mari refuse de me sodomiser bien que j’en ai grande envie. Il dit que c’est sale et que ce n’est pas fait pour ça. Le premier se permit d’intervenir « eh bien, vous avez peut-être une solution à vous deux ». Le goujat ! Les cinquième et sixième ne dire que des banalités. Puis ce fut au tour de Lucie. Hésitante, elle finit par avouer que malgré de nombreuses années de vie commune, elle ne connaissait pas l’orgasme, mais qu’elle était en partie responsable, car elle ne supportait aucun moyen de contraception. Pour autant, ils continuaient à s’aimer comme au premier jour. Le dernier à intervenir fut Pierre. Il prévint qu’il risquait d’être un peu long.



Depuis, je suis seul.

En sortant de cette soirée, Lucie dit à Pierre : et si moi aussi je vous faisais redevenir un homme ?

Damien reçut un nouveau SMS.


J’ai un after after work. À demain soir, je t’expliquerai. N’oublie pas d’emmener et d’aller rechercher les enfants à la garderie.


Il fut abasourdi, Lucie, pour la première fois, découchait !


Le lendemain soir, Lucie raconta son after work. Ensuite, nous avons pris une chambre à l’hôtel dont nous avons partagé le prix. Malgré son « handicap », il m’a fait jouir presque autant de fois que toi depuis que nous nous connaissons. Je te propose la chose suivante : je passe une nuit toutes les deux semaines avec lui, il ne peut pas plus, et le lendemain c’est ton tour. Damien se sentait dans une impasse, alors il accepta. Depuis, à chacun de leurs rapports, Lucie connaît l’orgasme malgré le coït interrompu…