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n° 21997Fiche technique16096 caractères16096
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Temps de lecture estimé : 10 mn
18/09/23
Présentation:  Il s’agit d’une histoire vécue entre un jeune homme et l’amie de sa mère.
Résumé:  D’un échange de mails anodins, une rencontre inattendue et torride se déroulera entre les deux amants avec près de vingt ans d’écart d’âge. Le jeune homme sera comme envoûté par l’odeur de l’intimité de sa maîtresse.
Critères:  fh fplusag odeurs fetiche pénétratio hdanus -rencontre
Auteur : Passions secrètes            Envoi mini-message
L’interdit.

La première fois que Nicolas entendit parler de Corinne, c’était à travers les anecdotes de sa mère. Bien qu’il ne l’ait jamais rencontrée en personne, son image commença à se dessiner dans son esprit comme une femme mystérieuse et intrigante.


Leur première interaction directe eut lieu suite à un échange de mails initié par une simple question sur l’ésotérisme. Au fil de leurs discussions, ils partagèrent leurs propres expériences ésotériques, évoquant des rêves prémonitoires, des rencontres avec l’au-delà et des énergies mystiques ressenties à des moments spécifiques de leur vie. La profondeur et l’intimité de leurs échanges créèrent un lien inattendu entre eux.


Ces échanges, qui avaient commencé par une simple curiosité partagée sur des sujets ésotériques, avaient révélé une complicité et une attraction mutuelle inattendues. Une alchimie qui semblait annoncer que leur relation était destinée à aller bien au-delà d’une simple amitié virtuelle.


Leurs conversations, à l’origine centrées sur l’ésotérisme, prirent rapidement une tournure plus intime. Chaque jour, un nouveau mail émergeait, chacun dévoilant un peu plus les profondeurs de leurs âmes, leurs désirs les plus cachés et leurs fantasmes les plus audacieux. Corinne, avec son assurance et sa maturité, partageait des expériences passées et des envies qu’elle n’avait jamais osé réaliser. Nicolas, lui, découvrait avec émerveillement cette liberté d’expression, libérant des pulsions et des désirs qu’il n’avait jamais osé avouer.


Il était évident pour eux deux qu’ils avaient trouvé en l’autre un confident, une épaule sur laquelle se reposer. Ils se sentaient en sécurité, sachant que chaque secret dévoilé, chaque fantasme partagé, ne serait jamais jugé. Bien au contraire, ces confessions ne faisaient qu’alimenter leur attirance mutuelle et leur désir de se découvrir, de s’explorer.


Chaque mail était attendu avec impatience. L’excitation de découvrir de nouveaux messages, de plonger dans les mots de l’autre était presque palpable. Ils étaient enivrés par cette danse épistolaire, ce ballet de mots et de sensations qui les rapprochait inexorablement. Il était clair que cette correspondance, loin d’être banale, allait les mener sur un chemin d’intimité et de découverte mutuelle sans précédent.


Nicolas, malgré sa timidité initiale, se laissait emporter par cette vague de désir et d’anticipation. Chaque mail de Corinne était comme une caresse, chaque mot, une invitation.


Au fil des jours, cette correspondance audacieuse se transforma en une source d’excitation et d’anticipation pour Nicolas. Chaque soir, après avoir lu les derniers mots de Corinne.


Les deux amants franchirent un cap lorsqu’ils échangèrent leurs sous-vêtements portés.


Inlassablement, Nicolas prenait délicatement le tissu qu’elle lui envoyait. Le parfum de Corinne, enivrant et addictif, le transportait dans un monde de fantasmes. C’était comme si chaque inhalation rapprochait davantage leurs deux âmes, malgré la distance physique qui les séparait.


Le simple geste de porter à son nez la culotte de Corinne devenait pour lui un rituel, une promesse de ce qui allait advenir. Ces moments solitaires, bercés par l’odeur de Corinne, faisaient naître en lui une passion qui dépassait l’entendement. Une passion qui le poussait à imaginer chaque détail de leur future rencontre. Comment serait son toucher ? La chaleur de sa peau ? La douceur de ses lèvres ? Ces pensées enflammaient son désir et intensifiaient son impatience.


Plus d’une fois, il se retrouva seul dans sa chambre, la culotte de Corinne à proximité, à revivre mentalement chaque échange, chaque confession. Il s’imaginait sa voix, son souffle, ses murmures.


La fragrance enivrante de Corinne, emprisonnée dans ce tissu délicat, exacerbait ses fantasmes. À chaque inspiration, il était transporté, se retrouvant à ses côtés, ressentant son souffle chaud, ses mains exploratrices. Ces moments de solitude et d’autosatisfaction étaient ses seuls répits face à l’envahissante présence de Corinne dans son esprit.


Ces échanges électroniques étaient devenus pour lui une sorte de rituel. Après avoir lu et relu les mots de Corinne, il se laissait aller à ses envies, se perdant dans ses pensées, se laissant guider par les émotions et les sensations que ces échanges éveillaient en lui.


Il était évident que cette distance, ce jeu d’attente, ne faisait que renforcer leur désir mutuel. Chaque jour qui passait sans qu’ils ne se rencontrent physiquement ne faisait qu’augmenter l’anticipation, l’envie de concrétiser leurs fantasmes partagés, de goûter à la réalité de l’autre. Ils savaient que leur rencontre, lorsqu’elle se produirait, serait explosive.




La rencontre :



Dans l’étroite ruelle, les ombres semblaient murmurées des histoires de désir interdit. Nicolas approchait de la demeure de Corinne avec un mélange d’appréhension et d’excitation. Elle l’attendait, la silhouette moulée dans un jean serré et un chemisier léger, son regard bleu pénétrant déjà l’âme du jeune homme.


Avant même qu’il puisse franchir le seuil, elle l’attrapa par le col et l’embrassa avec une ardeur sauvage, une faim longtemps réprimée. Ses lèvres goûtaient à la jeunesse, à la passion brute de Nicolas. Ses mains, presque instinctivement, glissèrent le long de ses hanches, caressant le denim, jusqu’à sentir la bosse dure du jouet intime qu’elle portait. Elle gémit dans sa bouche, le faisant presque trébucher d’envie.



Nicolas, bouillonnant de désir, la poussa doucement à l’intérieur. Leur liaison secrète commençait, la promesse d’une nuit inoubliable et débridée.


Dès que la porte se referma derrière eux, un silence lourd s’installa. L’air était frais dans la maison, ce qui contrastait avec la chaleur qui montait entre eux. Le cliquetis lointain d’une pendule rythmait ce moment de tension.


Corinne, sous le regard intense de Nicolas, se dirigea vers le salon. Elle s’assit délicatement sur le canapé, l’invitant d’un signe de tête à la rejoindre. Il s’assit à ses côtés, la tension était palpable entre eux. Corinne se tourna vers lui, un sourire en coin.



Avant qu’il puisse répondre, elle plaça sa main sur sa cuisse, remontant lentement vers son entrejambe.



Nicolas, le souffle court, captura ses lèvres dans un autre baiser passionné. Ses mains glissèrent sous son chemisier, explorant la douceur de sa peau. Elle frissonna sous son toucher, et en réponse elle défit sa ceinture.


Leurs corps se rapprochèrent, la passion les submergeant. Chaque geste, chaque caresse était une découverte. Corinne guida Nicolas vers sa chambre, où les ombres dansaient sur les murs, promettant une nuit d’intimité et d’exploration.


La froideur de la chambre contrastait violemment avec la chaleur qui émanait de leurs corps. La pièce était plongée dans une pénombre, interrompue seulement par la douce lumière d’une lampe de chevet. Les draps blancs et lisses du lit allaient bientôt se froisser sous leur passion.


Corinne, avec ses yeux bleus, brillant d’envie, commença à déboutonner lentement le chemisier de Nicolas. À chaque bouton dévoilé, elle s’attardait pour humer la peau révélée, traçant une carte olfactive de lui. Elle pouvait sentir l’effluve salé de sa sueur, mêlé à l’odeur douce et terreuse de sa peau. Nicolas, immobile, la laissait faire, chaque respiration devenant plus lourde, chaque battement de cœur plus rapide.


Lorsque Nicolas fut complètement nu, Corinne recula légèrement pour l’admirer. Elle posa ensuite ses mains sur sa poitrine délicate, dont la petite taille la rendait d’autant plus attrayante. Descendant lentement, ses doigts effleurèrent son ventre plat jusqu’à son sexe fraîchement épilé. L’odeur musquée qui s’en dégageait était un aphrodisiaque puissant pour Nicolas.


Corinne se pencha et l’embrassa passionnément. Sa bouche quitta ensuite celle de Nicolas pour voyager le long de son cou, de sa poitrine, s’attardant sur chaque centimètre de sa peau. Nicolas gémissait doucement à chaque contact de ses lèvres, se perdant dans le désir et l’anticipation de ce qui allait suivre.


La suite fut un mélange d’exploration et de découvertes, chaque toucher, chaque baiser amplifiant leur désir mutuel.


Alors que l’atmosphère de la pièce se faisait plus électrique, Corinne dirigea Nicolas vers le lit, le poussant doucement pour qu’il s’allonge sur le dos. Elle se positionna à genoux entre ses jambes, ses yeux fixés sur lui avec une lueur coquine et un sourire espiègle.


Corinne caressa les cuisses de Nicolas, s’approchant lentement de son intimité, mais dévia soudainement son attention vers ses fesses. Elle écarta doucement ses jambes et se pencha vers son anus. Nicolas se crispa, un mélange d’anticipation et de nervosité. C’était une zone qu’il n’avait jamais explorée de cette manière auparavant.


Corinne, sentant sa gêne, le rassura d’un doux baiser sur sa cuisse. Elle commença à lécher délicatement la zone, explorant chaque pli avec sa langue. L’humidité et la chaleur de sa bouche contrastaient agréablement avec la froideur de la pièce, faisant frissonner Nicolas. Corinne inséra doucement un doigt, le faisant gémir de plaisir. L’initial sentiment de gêne s’était transformé en une vague d’excitation intense.


Nicolas était complètement sous son charme, se laissant emporter par cette nouvelle sensation, tandis que Corinne prenait un malin plaisir à découvrir cette nouvelle facette de leur intimité. Après quelques instants d’exploration, elle remonta pour l’embrasser, lui faisant goûter son propre arôme. Ils étaient maintenant prêts à aller plus loin dans leur danse passionnée.


Après cet échange intense, les deux amants se regardaient profondément, leurs respirations s’accélérant. Les yeux de Corinne brillaient d’une lueur malicieuse. Elle se mordit la lèvre inférieure, signe d’une envie insatiable.


Nicolas, maintenant en confiance totale, attrapa Corinne et la fit basculer sous lui. Leur proximité était électrique. Il embrassa ses seins modestes, prenant le temps d’apprécier la douceur de sa peau, avant de se diriger vers son sexe. L’odeur musquée le captivait, lui rappelant leur correspondance épicée et les sous-vêtements échangés.


Corinne se tortillait de désir sous lui. Ses doigts se frayèrent un chemin dans les cheveux de Nicolas, le guidant, l’encourageant. Il la goûta avec appétit, cherchant à la faire gémir, à la faire trembler de plaisir. Ses mains parcouraient le corps de Corinne, cherchant à la rapprocher de l’apogée.


Finalement, Corinne attrapa le visage de Nicolas, le ramenant à la hauteur du sien.



Nicolas, répondant à l’appel, la pénétra doucement, leurs deux corps fusionnant dans un ballet de passion.


Chaque mouvement, chaque souffle, chaque gémissement était un témoignage de leur attraction mutuelle. Les deux amants, perdus dans leur monde, étaient insatiables, cherchant à prolonger chaque instant de ce moment volé.


Soudain, dans l’épaisseur de leur désir mutuel, Nicolas s’arrêta un instant, regardant profondément dans les yeux de Corinne. Sans prononcer un mot, une question silencieuse flottait entre eux : allaient-ils franchir ce pas sans la barrière protectrice d’un préservatif ?


Les yeux de Corinne, brillants d’une combinaison de désir et d’audace, répondirent pour elle. Ce risque qu’ils étaient sur le point de prendre ajoutait à l’excitation, à l’intensité du moment. C’était comme une déclaration mutuelle de confiance totale.


Respirant profondément, Nicolas entra lentement en elle, chaque centimètre les rapprochant davantage. Le plaisir de leur union était décuplé par la sensation de peau contre peau, le risque qu’ils prenaient ensemble. Chaque mouvement était délibéré, chaque sensation amplifiée.


La chambre résonnait de leurs gémissements, de leurs murmures étouffés et du doux clapotis de leur union. La froideur de la pièce contrastait fortement avec la chaleur qui émanait de leurs corps en fusion. Le risque qu’ils avaient pris, loin de les freiner, ne faisait qu’augmenter leur passion.


Le temps sembla s’arrêter alors que leurs rythmes s’accéléraient, chacun cherchant à emmener l’autre au sommet du plaisir.


La tension, l’excitation, tout ce qui s’était construit entre eux avaient culminé en cet instant précis. Chaque toucher, chaque murmure, chaque sensation était décuplé par l’anticipation et le désir interdit. Lorsque Nicolas entra en Corinne, il fut immédiatement captivé par la sensation d’étroitesse de son intimité, le faisant se sentir profondément emprisonné, intensifiant encore davantage leur union.


Chaque contour et chaque frémissement de Corinne amplifiaient le plaisir de Nicolas, le poussant rapidement vers le bord de l’extase. Malgré ses tentatives pour se maîtriser, il ne put résister à l’irrésistible attrait de la jouissance. En quelques mouvements puissants, il se libéra profondément en elle.


Corinne, sentant la chaleur de Nicolas en elle, sourit. Elle comprenait l’ampleur de l’attraction qu’elle avait sur ce jeune homme. Leur union avait été brève, mais portait en elle l’intensité d’une passion longtemps contenue.


Reprenant son souffle à côté d’elle, Nicolas chercha ses mots, mais Corinne le fit taire avec un doux baiser.



Leur secret, l’écart d’âge, et le lien avec sa mère ne faisaient que renforcer la puissance de leur connexion.


Ils restèrent enlacés, leurs corps mêlés, savourant le calme après la tempête.


Allongé à côté de Corinne, Nicolas sentit une vague d’émotions l’envahir. Ce n’était pas seulement du désir ou de la passion, mais quelque chose de plus profond, plus poignant. Le regard qu’ils échangèrent en dit long sur ce qu’ils ressentaient l’un pour l’autre. Il y avait une reconnaissance mutuelle, comme si leurs âmes s’étaient toujours connues.


Dans le silence de la pièce, leurs yeux se parlèrent. Corinne, avec ses yeux bleus pétillants, semblait communiquer une affection profonde, une acceptation totale de ce qu’était Nicolas. Il pouvait sentir une connexion qui transcendait les mots, une compréhension qui n’avait pas besoin d’être exprimée.


C’était étrange et merveilleux à la fois. Même s’ils venaient de se rencontrer, il y avait cette sensation d’éternité entre eux. Leur relation n’était pas seulement physique, mais aussi émotionnelle. Chaque toucher, chaque regard échangé renforçait le lien qui les unissait.


Nicolas se blottit contre elle, se laissant envelopper par la chaleur de Corinne. Ils savaient que leur histoire était unique, faite de secrets et d’interdits. Mais à cet instant, tout ce qui comptait était le monde qu’ils venaient de créer ensemble. Une bulle hors du temps, où seuls leurs cœurs battaient à l’unisson.


La nuit avait enveloppé la pièce, ne laissant filtrer que quelques éclats de lumière lunaire à travers les rideaux entrouverts. Dans cette semi-obscurité, Nicolas et Corinne se trouvaient allongés côte à côte, épuisés par la passion dévorante qui venait de les consumer.


Le silence était si épais qu’il en était presque palpable, rompu seulement par le doux rythme de leur respiration. L’odeur de Corinne imprégnait l’air, s’insinuant dans chaque recoin de la pièce, ainsi que dans l’esprit de Nicolas. Chaque inhalation lui rappelait l’intensité de leur union, l’enveloppant d’une sensation enivrante.


Couché à ses côtés, Nicolas se perdait dans ses pensées. Tout en elle l’avait bouleversé. Cette union n’était pas comme les autres. C’était bien plus que de la simple passion ou de l’attirance physique. Nicolas sentait au plus profond de lui que ce moment, bien que secret, marquerait un tournant dans sa vie. L’idée qu’il commençait à tomber amoureux se dessinait clairement dans son esprit, bien qu’il ne puisse exprimer cette révélation à haute voix. La peur de briser le charme de cet instant le retenait, mais chaque battement de son cœur le rappelait à cette réalité : quelque chose de fort, de profond, était en train de naître.