Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 21998Fiche technique10291 caractères10291
1588
Temps de lecture estimé : 7 mn
18/09/23
Présentation:  Nicolas et Corinne, un jeu érotique fait de silences et de soumission. Leurs échanges intenses culminent lors d’une rencontre nocturne dans un chemin forestier, où chaque geste et chaque regard amplifient le désir, jusqu’à un point de non-retour.
Résumé:  Corinne et Nicolas jouent un jeu silencieux de soumission dans une voiture, où le désir monte avec chaque seconde passée. Dans une forêt isolée, leurs fantasmes les plus intimes prennent vie, intensifiant leurs passions jusqu’à un climax inattendu.
Critères:  fh fagée forêt fsoumise hdomine cérébral odeurs -fellation
Auteur : Passions secrètes  (Histoire vécue)            Envoi mini-message
Le désir d’interdit fait naître de nouveaux fantasmes

L’échange entre Corinne et Nicolas avait une saveur sulfureuse, chacun de leurs mots était imprégné d’une tension électrique qui les poussait vers des territoires inconnus de désir. Leur correspondance était un ballet de provocations, une danse sensuelle où chaque échange les enflammait davantage.

Corinne était obsédée par ce pouvoir qu’elle ressentait, une influence presque hypnotique sur Nicolas, et lui se laissait volontiers prendre dans ce filet de séduction, désireux d’être poussé toujours plus loin dans leur jeu. Elle l’attirait, il la désirait ; c’était un cercle vicieux d’attraction mutuelle, mais ce qui intensifiait leur désir, c’était ce jeu audacieux avec les sous-vêtements échangés.


Corinne, en plein milieu de sa journée de travail, se permettait parfois le luxe de glisser la main dans sa poche pour sortir le slip de Nicolas, se laissant envahir par son odeur. Cette fragrance virile lui rappelait à quel point elle avait envie de lui. Elle l’effleurait, le respirait profondément, laissant chaque effluve lui rappeler les désirs inavoués qu’ils partageaient.

Nicolas, lui, n’était pas en reste. La culotte de Corinne, avec son parfum délicat et féminin, était une invitation constante. Il la gardait près de lui, laissant l’odeur de Corinne l’envahir, la sentir, une promesse constante de ce qui pourrait se passer s’ils étaient seuls.

Chaque échange, chaque mot, chaque effluve de parfum les poussait plus près du bord, les laissant tous deux en proie à un désir presque insatiable.


L’atmosphère entre Nicolas et Corinne était devenue électrique ces derniers temps, et leurs échanges débordaient d’intensité. Corinne avait avoué son désir de se sentir plus soumise à Nicolas, de n’être pour lui qu’un pur objet de désir, un fantasme vivant. Cet aveu avait conduit à l’élaboration d’un jeu qui repousserait leurs limites.


La situation était claire et simple, mais ô combien excitante ! Nicolas était chez sa grand-mère, à quelques minutes seulement de Corinne. Elle passerait le récupérer en voiture. L’un des éléments clés de leur scénario : une fois à bord, aucun mot ne serait échangé. Le silence était impératif, renforçant la tension et le jeu de domination et de soumission entre eux.


La pensée de cette rencontre, où les mots seraient remplacés par des actions, des regards, des frôlements, rendait Corinne fébrile. La vision de Corinne, roulant vers lui, remplissait Nicolas d’une anticipation presque insoutenable.

Chaque seconde les rapprochait de ce moment, chaque battement de cœur amplifiait leur désir.


La voiture de Corinne se gara devant la maison de la grand-mère de Nicolas. La scène était prête à se jouer. Le moteur ronronnait doucement, perturbant le silence de la nuit. La lumière tamisée des lampadaires faisait briller la carrosserie, et Corinne, le cœur battant, attendait impatiemment.

Nicolas sortit de la maison, sa démarche assurée. L’odeur fraîche du Ricard qu’il venait de boire se mêlait à l’arôme distinct de la cigarette, créant une ambiance envoûtante.

Corinne, à travers le pare-brise, observait chaque mouvement de Nicolas. Elle se perdait dans le détail de sa silhouette, de la manière dont sa chemise épousait son corps enrobé, la lueur de ses yeux, le mouvement rythmé de ses lèvres tandis qu’il expulsait la dernière bouffée de sa cigarette.


Il ouvrit la porte, s’installant silencieusement à ses côtés. Leur proximité amplifiait la tension déjà palpable dans l’air. Le monde extérieur semblait s’être effacé, laissant place uniquement à leurs désirs mutuels.

Corinne démarra doucement la voiture, cherchant un endroit isolé où leur fantasme silencieux pourrait se dérouler en toute intimité.


La voiture serpentait à travers les routes désertes, chaque tournant apportant une nouvelle sensation d’isolation et d’éloignement de la réalité quotidienne. Après une courte période, Corinne tourna sur un chemin forestier étroit, où les arbres, tels des gardiens silencieux, bordaient le passage, masquant tout avec leurs branches denses.

La lueur des phares éclairait le chemin devant eux, révélant les ombres dansantes des arbres. La lueur tamisée créait une ambiance presque surréaliste, comme si le temps s’était arrêté et qu’ils étaient les seuls êtres vivants.


Nicolas pouvait sentir l’humidité de la forêt, le doux parfum de la terre humide et des feuilles en décomposition. C’était un contraste avec la chaleur qui montait entre eux dans le confinement de la voiture.



Finalement, la voiture s’immobilisa dans une clairière, éloignée de tout sentier. Les arbres encerclaient cet espace comme les murs d’une chambre secrète. Le calme était presque palpable, seuls les bruits de la nature et leur respiration haletante résonnaient dans cette bulle isolée.

La lumière du clair de lune se frayait un chemin à travers les feuillages, éclairant faiblement l’intérieur de la voiture, renforçant l’atmosphère érotique qui les enveloppait. Ils savaient tous les deux qu’ils avaient trouvé le lieu idéal pour donner vie à leur fantasme.


Le silence entre eux était épais, presque tangible, mais loin d’être inconfortable. Chaque seconde qui passait amplifiait la tension, et l’anticipation était aussi palpable que l’obscurité qui les entourait. Leur arrangement précédent ne nécessitait pas de mots : tout avait été convenu d’avance, chaque détail minutieusement discuté.

Dans cet instant, le silence était leur langage, leurs respirations devenaient des phrases et chaque frisson, chaque mouvement, une déclaration. Les regards échangés en disaient long, traduisant leurs désirs les plus profonds, leurs attentes, et la promesse de ce qui allait suivre.

Le tic-tac de l’horloge de la voiture semblait amplifié, chaque seconde résonnant comme un compte à rebours vers l’inévitable. Ils n’avaient pas besoin de parler ; le scénario avait déjà été écrit par leurs échanges antérieurs. Dans cette clairière entourée d’ombres et de silhouettes d’arbres, le mutisme devenait leur plus grand allié, transformant chaque moment en une séquence érotiquement chargée.


D’accord, c’était clair : elle allait le sucer, et il n’avait pas le droit de la toucher. Nicolas s’empressa d’ouvrir son pantalon et sortit son sexe déjà durci par l’anticipation. Corinne s’approcha, le regard fixé sur son membre, puis sans aucune hésitation, elle engloutit son érection. Elle le prit profondément, ses lèvres serrant sa verge avec une envie brutale.

Les bruits humides de sa bouche travaillant rapidement étaient les seuls sons dans la voiture, avec quelques gémissements occasionnels de Nicolas. Il se retenait, mais l’envie de la saisir par les cheveux était presque insurmontable. L’intensité de sa fellation le rendait fou, chaque coup de langue et chaque aspiration le rapprochant du bord. Corinne le regardait par moments, cherchant à voir ses réactions, ses yeux brillants de malice.


Dans l’étroite intimité de la voiture, chaque respiration de Nicolas, lourde de tabac et d’un arrière-goût anisé du Ricard, s’infusait dans l’air. Corinne en était étonnamment enivrée, chaque bouffée de son haleine ne faisant qu’augmenter son désir brûlant de soumission. Le mélange toxique de ces odeurs combinées avec celle, plus crue, de leur excitation rendait l’atmosphère de la voiture presque suffocante.


Corinne pouvait sentir l’humidité entre ses jambes chaque fois qu’elle aspirait profondément sur le sexe de Nicolas, mais elle se rappelait constamment le deal. Il n’y aurait pas de toucher, pas de caresse en retour pour elle, pas même une main baladeuse pour la rassurer. Elle n’était là que pour satisfaire Nicolas, et c’était cette pensée qui la rendait encore plus humide.


Elle se concentrait sur sa tâche, utilisant sa bouche avec expertise, faisant tout son possible pour amener Nicolas à l’apogée le plus rapidement possible. Chaque gémissement, chaque frisson qu’elle sentait parcourir le corps de Nicolas, ne faisait qu’accroître sa propre excitation. Mais elle savait qu’elle devait tenir bon et respecter leur accord. Ce soir, c’était uniquement pour lui.


Avec une envie animale et une brusquerie qu’elle n’avait pas anticipée, Nicolas atteint son paroxysme. Ses hanches se pressèrent contre elle, il n’avait aucunement l’intention de lui laisser une seconde pour se préparer. L’intensité de son plaisir se manifesta par une éjaculation abondante, directement dans la bouche de Corinne. Elle, à la fois surprise et comblée par cette brutalité, fit tout pour ne pas en perdre une goutte, avalant avec une certaine gourmandise, chaque salve lui rappelant la puissance de sa soumission. Le goût salé, mélangé au parfum de tabac et de Ricard de l’haleine de Nicolas, était presque enivrant. Pendant ce temps, Nicolas, la tête renversée, laissait échapper des soupirs rauques, profitant du contraste entre la chaleur de l’acte et la fraîcheur de l’air forestier.



Après cet élan de passion, un silence lourd, mais intense, remplit l’habitacle de la voiture. Nicolas, repu et satisfait, se rhabillait lentement, savourant chaque instant de ce moment qu’ils avaient créé ensemble. Corinne, quant à elle, essuyait discrètement les coins de ses lèvres tout en essayant de reprendre son souffle. Elle regrettait presque que leur arrangement n’ait pas été plus réciproque, mais ce sentiment de frustration l’excitait d’une manière qu’elle n’avait jamais connue auparavant.


Nicolas, même s’il ne pouvait pas la toucher selon leur accord, posa doucement sa main sur le genou de Corinne, en signe de gratitude silencieuse pour la soumission qu’elle lui avait offerte. Les phares de la voiture éclairaient faiblement le chemin, et le clair de lune donnait à leur peau une teinte argentée. Malgré la lourdeur de l’atmosphère, ni l’un ni l’autre ne voulait rompre ce silence qui en disait tellement plus que des mots.


Ils restèrent ainsi, dans cet état semi-hypnotique, pendant plusieurs minutes, le moteur de la voiture émettant un doux ronronnement, jusqu’à ce que Corinne rompe le silence.



Nicolas, toujours silencieux, hocha la tête, sortit de la voiture, et disparut dans la nuit, laissant Corinne seule avec ses sensations et ses désirs inassouvis.


La voiture redémarra, emportant avec elle les secrets et les souvenirs de cette nuit intense, alors qu’ils retournaient chacun à leur vie, impatients de savoir quand leur prochain jeu commencerait.