n° 22002 | Fiche technique | 15720 caractères | 15720Temps de lecture estimé : 11 mn | 20/09/23 |
Résumé: Confession publique. La pénitence est passée de mode. Mais quand une marraine s’y engage auprès de sa filleule, elle ne peut faire autrement que s’exécuter. | ||||
Critères: ff jeunes vacances plage sauna voir exhib odeurs fmast massage intermast 69 uro | ||||
Auteur : Dyonisia (Où rien n’est totalement vrai, ni tout absolument faux) Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : Autour du 15 Août Chapitre 01 / 04 | Épisode suivant |
Une marraine qui ne tiendrait pas sa promesse n’aurait pas droit à ce qualificatif affectueux. Et même si certaines des confidences qu’elle s’apprête à révéler lui coûtent plus que d’autres, l’honnêteté lui commande de respecter ses engagements. Si sa filleule a souhaité que sa confession soit publique, il est de son devoir de satisfaire ce désir. Advienne que pourra !
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Avant de te raconter in extenso la visite dont m’a gratifiée Andréa, il faut, ma chère filleule, que j’évoque une anecdote que je ne t’avais pas encore avouée, du moins dans tous ses détails. Elle s’est déroulée la dernière nuit de mon séjour dans la coloc d’Oriane, à la fin du printemps. Tu te souviens qu’Andréa était venue m’aider à réaménager la chambre d’Oriane pendant l’absence de l’une des colocataires. Andréa et moi occupions sa chambre afin de pouvoir travailler plus commodément. Oriane dormait dans celle de Sandrine, l’autre coloc, et, bien sûr, avec elle, ce qui fut le début de leur idylle. En somme, un parfait arrangement.
Nous avons eu ainsi tout le temps et toutes les facilités pour mener au bout, achats nécessaires et décorations souhaitées. Le nouveau lit d’Oriane, choisi en cent soixante pour le confort, a été livré et monté le samedi, sans que nous changions la répartition des chambres pour laisser vingt-quatre heures de plus à l’aération des émanations de colles et peintures. Andréa est repartie le dimanche, tandis que mon retour était prévu le lendemain. Mais Alida, la troisième coloc était revenue, et ni Oriane ni Sandrine ne voulait lui montrer de but en blanc leur relation nouvelle. Chacune chez soi leur paraissait préférable dans un premier temps.
J’ai donc étrenné son lit avec Oriane. Il faut que je te dise que quand elle était plus jeune, elle avait les tétons invaginés, ses mamelons faisaient des creux au bout des seins. Ça la gênait parce qu’on voyait tout de suite quand elle était excitée : les pointes sortaient ! Maintenant, il n’y a que le gauche qui a le bout un peu rentré, ce qui disparaît toujours avec l’excitation. Bref, quand on la connaît, on le sait tout de suite, avant même que les deux ne durcissent. Eh bien, ce soir-là c’était le cas, et les miens aussi étaient gonflés.
Nous étions allongées côte à côte, et nos tétons bandaient. Je m’en suis aperçue, elle aussi, c’était un peu gênant… Je lui ai confessé que je me languissais déjà de Andréa. Elle m’a confié que Sandrine lui manquait. J’aurais aimé m’isoler, elle aussi, mais ce n’était guère possible car il n’y avait que le salon de disponible. Que ce soit elle ou moi qui aille s’y branler, nous risquions d’être surprise. Par Sandrine, bien sûr, ce n’aurait pas été si grave, mais par Alida… Je ne la connaissais pratiquement pas, et Oriane avait peur de la choquer.
Nous étions nues, c’est notre habitude à l’une et à l’autre pour dormir. Pas de drap sur nous, il faisait déjà trop chaud. Et nous ressentions chacune une tension qui nous aurait empêchées de dormir. Alors…
Nous avons éteint la lumière et, oui, nous nous sommes caressées ensemble. Oh, pas en nous touchant mutuellement – deviner nos gestes était déjà troublant – mais en nous masturbant l’une près de l’autre, comme des collégiennes. J’en ai pourtant passé l’âge depuis longtemps ! Le clapotis de nos mouilles respectives nous parvenait distinctement aux oreilles, comme nos gémissements retenus qui ont fini par s’accorder.
J’ai joui à côté de Oriane, elle a joui à côté de moi. J’aurais dû en avoir honte, elle aussi, je pense, mais ce sentiment ne nous a même pas effleurées dans l’orgasme. Au contraire, nous nous sommes étreint les mains, à son paroxysme.
Un bisou chaste pour conclure et nous avons bien dormi. Il n’avait évidemment pas été question d’aller dans la salle de bain pour réveiller la maison. Nous ne sommes fontaine ni l’une ni l’autre, mais le drap de dessous était bien mouillé au matin.
Disons que c’était la transpiration…
Nous nous sommes dit au revoir au petit-déjeuner. Elle partait au boulot, j’avais mon train à prendre. Nous n’en avons pas reparlé depuis. Elle a été très prise par son nouvel emploi et j’avais des dossiers à boucler avant l’été, quelques prestations aussi qui m’ont tenue occupée. J’ai retrouvé le calme en juillet, tandis qu’elle savait n’avoir que quelques jours pour la mi-août. Ensuite, j’avoue m’être surtout investie dans la préparation du séjour d’Andréa dès qu’elle m’a annoncé sa venue, pour distraire mon impatience de la revoir.
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Andréa est arrivée plus tôt que prévu, à ma grande joie. Le cinq Août au soir a été une grande fête. Je ne lui ai pas laissé le temps de prendre une douche, je l’ai déshabillée dès qu’elle est sortie de sa voiture (enfin, pas dans la rue, ça n’aurait pas été correct vis-à-vis des voisines, quoique…). De toute façon, j’étais déjà à poil à cause de la chaleur.
Je l’ai serrée dans mes bras, câlinée, caressée de partout, et nous nous sommes embrassées à pleine bouche, en fouillant bien nos salives avec nos langues. J’ai négligé ses seins, pourtant déjà bien gonflés par son excitation de me retrouver. J’ai plongé sur sa chatte, j’avais besoin, moi, de retrouver son odeur. Et de l’odeur, j’en ai eu ! Avec la transpiration du voyage, le pipi en route mal essuyé, la mouille par anticipation à l’idée de me revoir, et la nouvelle cyprine de nos premières papouilles, sa moule débordait d’une marée à la senteur de crevette malpropre.
J’ai tout léché et tout bu. J’ai nettoyé toute sa vulve, sucé ses petites lèvres, extirpé son gros bouton en l’aspirant comme un bébé au téton de sa mère, rentré ma langue aussi loin que j’ai pu dans son con, entré mon doigt dans son cul (tant pis pour l’hygiène), et l’ai branlée jusqu’à ce qu’elle coule dans ma bouche en criant, les mains crispées dans mes cheveux. J’ai joui de l’avoir fait jouir.
Après, nous avons pris la douche ensemble, ou plus exactement on s’est pissé dessus. Je me suis assise dans le bac, elle au-dessus de moi, jambes écartées, pendant que j’ouvrais sa fente pour voir jaillir et recevoir tout son jet. Ensuite, elle m’a rendu la pareille, avant qu’enfin nous ouvrions le robinet pour nous rincer. Nous nous sommes savonnées mutuellement, avec nos mains. C’est plus sensuel. Nous avons bien passé le savon et les doigts partout, sous les aisselles, sous les seins, sur les genoux, les mollets, les chevilles et les pieds, entre les orteils, dans la raie, dans le petit trou, dans les aines et dans la chatte. Nous nous sommes branlées le clito au savon et nous avons encore joui deux ou trois fois.
Puis, nous sommes sorties dans le jardin, toujours à poil, pour profiter du coucher de soleil en prenant un apéritif bien mérité !
Je passe sur la nuit d’amour, émaillée de tendres et goûteux 69 et d’un ciseau endiablé au réveil. J’aime particulièrement ces caresses de chatte à chatte, surtout avec le bourgeon d’Andréa qui se glisse entre mes lèvres et écrase mon clito dans nos mouvements de bassin. Gros pipis au matin, histoire de donner une saveur forte au thé du petit-déjeuner…
Non, je plaisante, nous ne faisons pas notre thé au pipi. Mais « compagnes de lit, compagnes de pipi » !
Andréa aurait voulu passer la journée à la plage, mais le Mistral soufflait toujours. Il y aurait eu moins de monde, certainement, sinon quelques habituées de longue date, mais le sable soulevé par le vent, c’est désagréable, et la mer est froide quand l’eau de surface est repoussée au large. À la place, je lui ai proposé de profiter du jardin et du tuyau d’arrosage (as-tu déjà mis un tuyau d’arrosage dans ta craquette ? Ça
fait des sensations folles), pendant que nous organiserions une tournée des hammams de la région d’après la liste que j’avais relevée.
Il y avait notamment un nouveau hammam, avais-je vu, sur la presqu’île près de chez moi. Je pensais que c’était plutôt un sauna, mais il était ouvert le dimanche (un autre aussi, mais trop loin). Nous avons décidé de le tester le lendemain. Il s’appelle Vénus Institut, tout un programme ! Et si le vent continuait lundi, nous irions en explorer un autre un peu plus éloigné : le Eithne Spa, plus original, non ? « Hammam femme », dit l’annonce…
Nous avons été déçues par ce fameux « Vénus Institut ». Local : comme je le craignais, c’est juste un sauna avec spa. Il est bien situé, on voit la mer et la côte, mais le public est du genre bobo, pudique en plus : serviettes dans le sauna et maillot dans le spa… De belles gamines par contre, on faisait tache avec nos culs et nos lolos. Pas une qui soit sympa, cependant, ou un peu « nature ». Bref, c’est neuf, chichiteux et pas donné. À rayer de la liste ! On s’est consolées en rentrant, comme tu l’imagines.
Au moins, le sauna nous avait fait une peau encore plus douce qu’à l’ordinaire. On s’est bouffé les seins et les fesses avec délices. J’ai titillé le trou à pipi d’Andréa, elle m’a donné une fessée, nous avons fait un concours de tire-tétons avec quatre pinces à linge et deux chaînettes. Andréa a gagné. J’ai eu ma revanche au jeu de tire-lèvres. C’est aussi douloureux, un peu plus même, mais très excitant. À tel point, que nous avons ajouté une séance de tire-clitos, tire-capuches pour être honnête parce que ma fève est trop petite pour que la pince tienne. Une soirée tranquille, en somme, avant d’aller dormir en 69 pour calmer nos chattes enflammées.
Le lundi, le vent continuait à souffler, donc direction le Eithne Spa, et les espoirs de Panthéon celtique… Eithne est la déesse de la féminité dans la mythologie irlandaise, peut-être assimilable à Vénus. Je l’ai imaginée comme une grande rousse, aux formes affirmées. Un peu le genre de Andréa. J’espérais de ce fait autre chose que le premier faux hammam. On s’est dit qu’on verrait bien.
Ça a failli mal commencer : on s’est mis en retard à cause des embouteillages pour traverser la ville. Andréa a téléphoné pendant que je conduisais pour en avertir Eithne qui nous a gentiment décalées d’une heure. Heureusement, parce qu’en plus l’endroit n’était pas facile à trouver quand on vient pour la première fois.
La patronne, plutôt qu’une simple gérante, je crois, nous a accueillies à la réception. Une femme dans la cinquantaine, blond vénitien soutenu effectivement, avenante, en kimono et visiblement nue dessous. L’ambiance était clean, le décor sobrement léché, et le premier contact sympathique. Elle nous a précisé que la nudité était de rigueur. Un bon point d’entrée !
Le hammam, un vrai, est exclusivement féminin ; un autre bon point ! Il y a possibilité de se faire masser, mais ce n’est pas le cœur de métier de l’établissement. Il y a malgré tout trois petits box destinés aux massages. Ils sont séparés par de simples rideaux, que l’on peut replier « si des amies veulent se parler » a ajouté la dame en souriant.
La fréquentation était bon chic bon genre. Pas des jeunettes, plutôt des femmes mûres. Côté âge, nous étions dans les clous. Côté silhouette, pas du tout ! Nous n’avons pas eu de remarque, mais les regards… Tant pis ! Nous avons quand même demandé un massage, rideaux ouverts bien sûr.
On s’est regardée masser l’une après l’autre. Il n’y avait qu’une seule masseuse, une jeune femme, blond roux aussi apparemment (pas de racines brunes et pubis lisse, donc…), jolie, appliquée, mais probablement pas diplômée. Elle était nue, sous une courte et légère blouse qui en s’entrouvrant m’a laissé voir son mont de Vénus. Elle nous a dispensé à chacune un massage très sensuel, mais sans un geste sexuel, malgré la brillance de nos lèvres qu’elle n’a pu manquer de remarquer.
L’atmosphère était identique pour le hammam. Les filles étaient nues, sans pudibonderie, à l’aise avec le regard sur soi ou sur une autre, mais aucun geste de caresses entre elles. Ou alors, c’est parce que nous n’avions pas l’accent britannique. Certaines l’avaient. Évidemment, nous ne nous sommes pas laissées aller à nous tripoter la chatte ni même à nous embrasser. Ce n’était pourtant pas l’envie qui nous manquait pour l’une et l’autre.
En conclusion, j’ai eu l'impression que c’est une sorte de club informel. On y accepte volontiers les clientes de passage, mais on préfère rester entre soi. Nous sommes sorties de là, massées, détendues des muscles, mais excitées comme des puces de la mounine ! Andréa s’est branlée pendant le retour. Moi je n’ai pas pu, je conduisais. J’ai juste eu droit à un doigt pour me faire patienter. On s’est rattrapées en arrivant chez moi.
Le jour suivant, nous avions prévu la plage s’il y avait confirmation d’absence de vent. Sinon, nous essaierions d’avoir un rendez-vous chez Sonia Parfum (cabine duo, hammam privé, dixit la pub), un établissement qui s’affiche « de mère en fille » … une allégation intrigante ! De toute façon, j’avais pris une réservation pour le mercredi au Ama Center, un institut en pleine nature, avec hammam privatif et tout et tout, selon l’annonce.
En effet, mardi plage ! Gros gougnottage au réveil et petit déjeuner dans un bar sur la route. La télé était allumée. Nous avons vu quelques minutes d’un match de foot entre africaines ou sud-américaines. D’après les images, il semblait que beaucoup de joueuses n’avaient pas de culotte sous le short : il rentrait nettement entre les fesses. C’était amusant.
Donc, pas de « hammam de mère en fille » – on s’est dit qu’on irait plus tard – mais une journée de plage à poil, super malgré le monde. Plus que d’habitude en saison, je pense. Il parait que le naturisme est à la mode. Beaucoup de marques pâles trahissant d’anciens textiles, en effet. Nous avons quand même bien profité du soleil et de l’eau, de la vue aussi : de jolies nymphes aux tétons pointus et jeunes gays bien membrés (le côté « homo » est le plus tranquille). Nos exhibitions n’ont pas intéressé ces derniers, mais quelques jeunes biches nous ont bien observées… Que c’est agréable d’ouvrir ses cuisses bien larges quand une jeunesse de vingt ans te regarde !!
Nous avons eu droit à des sourires de remerciement, mais il n’est malheureusement plus possible de se faire une branlette, même discrète. C’est l’horreur, hélas : ils ont mis un panneau tous les cinquante mètres rappelant que « plage familiale… comportement correct… et gnagnagna… ». Finis les temps heureux !!!
On s’est doigté dans l’eau. On a pied très loin et quand tu es dans la mer jusqu’aux épaules, tu peux faire ce que tu veux dessous. Et l’eau de mer avec des doigts dans la moule, c’est super ! Bon, on a dû rincer en rentrant… Du coup, nous avions les épaules bien rouges, surtout Andréa, la pauvre ! Je l’avais bien tartinée, pourtant. Nous avons espéré qu’il y aurait des soins de corps proposés au susdit Ama Center, mais en attendant je me suis concentrée sur sa vulve afin de ne pas aggraver l’état de ses seins et de ses fesses.
Pendant qu’on se mignotait délicatement le troufignon, je me suis soudain souvenu avoir lu que l’urine calmait les piqûres d’orties. Peut-être que ça marchait aussi avec les coups de soleil ? On a essayé. Je lui ai pissé sur la poitrine et sur le dos. Ça n’a pas fait grand-chose, ça n’a pas calmé ses rougeurs, en tout cas. Pour me faire pardonner, j’ai ouvert la bouche entre ses cuisses et j’ai avalé son pipi. Il n’y a pas beaucoup de monde avec qui je ferais ça…
Nous avons été sages, cette nuit-là, parce que nous devions partir tôt le lendemain. Il y avait une bonne heure de trajet et nous avions prévu de nous ressourcer en forêt (une vraie forêt, ce qui est rare dans la région) le matin, avant d’aller découvrir le Ama Center qui est situé à proximité de là, « en pleine nature » comme ils disent.
C’est cette fameuse après-midi, que nous avons rencontré deux charmantes Néerlandaises, avec qui nous avons, entre autres, pris une bière et conversé dans un sabir multilingue !
À suivre