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n° 22003Fiche technique9944 caractères9944
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Temps de lecture estimé : 8 mn
21/09/23
Présentation:  Les rêves romantiques peuvent parfois déraper avec tout ce qu’on aimerait faire...
Résumé:  Je rêve du soir où je pourrais enfin être avec toi. Si tu savais ce que j’aimerais te faire...
Critères:  fh couple amour revede caresses fellation nopéné -extraconj
Auteur : Dia__lia      Envoi mini-message
Un rêve qui devient très sensuel

Je m’égare dans ma rêverie : fantasme… Que tu deviennes enfin à moi !

Et dans l’espoir qui m’est permis, mes songes se transforment et se font sensuels…




La donne a changé depuis plusieurs semaines maintenant, mon mari a fini par changer d’avis et donner son « autorisation ». Il accepte enfin pleinement que je sois polyamoureuse.


Les événements sont passés, le rangement de l’atelier est fait, la période de calme commence au bureau.

Tu m’attires et me troubles toujours autant, sinon plus. Je t’aime toujours autant, sinon plus. La concentration est plus que jamais de mise pour effectuer mes tâches efficacement.


Mon esprit s’agite autour de « et si… » qui se multiplient sans cesse.

Il faut que je te parle.



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Mercredi soir, pas de cours à donner, pas de réunion, pas de sortie de groupe, et pour une fois, pas d’activité au local. Pas de rendez-vous le lendemain matin non plus.



Fin de journée, un dernier mail, un « à demain » à tout le monde, je file à la maison me faire une beauté rapide.

Douche, shampooing, séchage, brossage, habillage rapide : un jean patte d’eph, un joli haut avec décolleté légèrement plongeant, et en dessous mon plus bel ensemble de lingerie, en dentelle noire et rouge.

Rouge à lèvre anti-transfert, mascara, un soupçon de fard. Sandales à talons compensés.

J’ai envie de me sentir belle, de te plaire. J’ai besoin de te plaire.


Mon chéri n’est pas à la maison pour quelques jours, il sait que je sors, il sait avec qui. Je peux rentrer à l’heure que je veux, ou ne pas rentrer, ce soir.


dix-neuf heures cinquante, pour une fois je suis prête à temps, j’attrape une veste et je sors t’attendre devant. Je n’ai jamais été aussi contente qu’on ait déménagé pas loin.


Pas besoin d’attendre, tu es déjà là. Tu t’es changé aussi : chemise blanche, veste de costume. Visiblement, tu t’es lavé les cheveux, encore légèrement humides, rassemblés en chignon. Je meurs d’envie de les toucher.

Tu es éblouissant, mon cœur rate un battement.



Je rougis, je n’ai pas l’habitude que tu me complimentes comme ça. J’essaye d’ignorer le « il ne valait mieux pas »



Arrivés au resto, piles à l’heure. La serveuse nous guide à une table un peu à l’écart, tranquille, intimiste, une bougie allumée. On dirait un rendez-vous galant… J’avais préréservé il y a deux semaines pour être sûre d’avoir cette table (une discussion pareille, ça se prépare), mais je n’avais pas réalisé l’ambiance que cela créerait. Je suis troublée, nerveuse, j’espère que ça ne se voit pas.


Le repas est délicieux, la conversation intéressante, parfois drôle, parfois profonde. Le temps passe sans qu’on ne s’en rende compte, jusqu’au dessert.

Les cocktails désinhibent et heureusement, les paroles que j’ai tant répétées en mon for intérieur ont du mal à sortir.



Le temps de finir nos desserts, de régler l’addition et nous sommes sur la route, direction chez toi.

Est-ce que tu es aussi nerveux que moi ? Peut-être un peu, de ce que je sens, mais tu le caches bien. Tu as tellement plus l’habitude que moi. Dans la voiture, tu plaisantes avec tes airs de cabotin, sans évoquer le sujet autrement que pour te moquer de moi (adorable… !).

On monte chez toi et tu nous sers un de tes fameux mélanges jus de fruits/rhum, mangue pour ma part.

Après trois gorgées et quelques mots, la conversation revient vers le sujet principal :



J’ironise pour cacher mon angoisse, mais tu le sais déjà.



Tu souris en répondant.



J’ai le souffle coupé, je rougis comme une idiote. Je ne sais plus quoi dire, tes paroles résonnent dans ma tête. Je meurs d’envie de t’embrasser.

Le silence s’allonge, mon cœur bat la chamade quand que tu te rapproches sur le canapé.

Mon souffle s’accélère alors que nos lèvres se frôlent, puis s’enlacent dans un ballet doux et chaud, auquel nos langues viennent se mêler quelques instants plus tard.


Je sens tes mains qui prennent mon visage en coupe tandis que les miennes se posent sur ta joue et ton torse comme j’en ai souvent rêvé.

Le baiser s’intensifie, une de tes mains descend, traîne sur un sein au passage avant de se glisser sur ma taille, me tirant davantage à toi.

Mes vêtements, suivis des tiens, finissent très vite sur le sol.

Mes pensées s’égarent, tes caresses occupent tout mon corps selon tes envies, me rendent folle, et encore plus folle de toi.


Je veux te rendre ce bonheur et ce plaisir.

Ma bouche quitte la tienne, presque à regret, pour aller parcourir ton corps de baisers.

D’abord au coin de tes lèvres, puis ton cou, ton épaule, ton bras, jusqu’à l’intérieur du poignet où je m’attarde un instant avec la pointe de ma langue. Ta main, chacun de tes doigts, avant de jouer, le temps de quelques battements de cœur, à les lécher et les sucer doucement, en prémices de ce qui t’attend ensuite.

Je remonte ton bras jusqu’à ta clavicule, puis je redescends sur ton torse.


J’effleure les aréoles de tes seins en tournant autour, les aguichant du bout des lèvres.

Je feins de continuer ma descente vers ton ventre, puis je darde ma langue tendrement sur un téton déjà tendu. Ma langue passe et repasse, tantôt en petits coups rapides, tantôt en cercle juste autour de ces parties délicieusement sensibles, tantôt en longs mouvements langoureux.

D’une pointe à l’autre, j’alterne en les suçant et les léchant tour à tour.


Je t’entends gémir, c’est irrésistible, c’est tellement bon d’entendre que je te fais du bien, d’entendre que tu aimes quand je te touche.


Je me calme un instant, le spectacle n’est pas terminé, je n’ai pas fini d’honorer ton corps.


Je reprends ma descente, embrassant, léchant et mordillant ta peau.

J’atteins enfin la zone » dangereuse », tant désirée, tant fantasmée durant mes plaisirs solitaires.

Elle est magnifique et terriblement appétissante.

Je ne peux m’empêcher de la caresser… du bout des doigts au début, à pleine main ensuite, tout en semant de légers baisers sur ta verge. Si douce et si dure, elle m’attire et m’invite à aller plus loin, tout comme tes soupirs.


Ma langue se joint au bal, et mes baisers se font plus profonds, pour mieux déguster ta queue d’un bout à l’autre… mais sans toucher à ton gland : je garde le meilleur pour la fin.

Pendant que je te goûte, ma main va masser tes bourses en rythme.


Je ne tiens plus, je fais glisser ma langue vers ton méat déjà humide et je continue mon parcours tout le long de ton frein.

Ta respiration se fait plus rapide, je crois que tu aimes ça. Mes soupçons se confirment quand tu ne peux plus retenir tes gémissements :

Je commence à suçoter le bout de ton gland, puis j’enfonce petit à petit ta belle bite dans ma bouche au fil des va-et-vient. Ma langue continue de s’activer, gourmande, elle se délecte de ta peau si tendre sur toute la longueur, et tourbillonne autour de ton gland.

Toujours plus loin dans ma gorge, toujours plus excitée par ta voix que j’adore, j’intensifie ma pipe en ajoutant une gorge profonde.

Ta queue palpite et gonfle, je veux te sentir exploser dans ma bouche, j’accélère un peu le rythme.

Il ne faut pas longtemps avant que je ne t’entende crier et que je ne puisse goûter ton plaisir.


Je m’empresse de te nettoyer doucement avec ma langue et je viens me lover dans tes bras pendant que tu reprends ton souffle.

Je suis trempée d’excitation, mais comblée…




J’ouvre les yeux, je suis trempée certes, mais seule dans ma chambre…

Pourrais-je un jour te montrer à quel point je t’aime, Sweetie ?