Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 22034Fiche technique21368 caractères21368
3854
Temps de lecture estimé : 16 mn
04/10/23
Résumé:  Une relation sexuelle entre une femme mature et un voyageur inconnu dans un TGV.
Critères:  fh candaul inconnu sales train toilettes voir exhib photofilm lingerie pied chaussures fmast fellation pénétratio fdanus fsodo coprolalie fouetfesse confession -totalsexe -candaul
Auteur : Philippe1968      Envoi mini-message
L’aventure du TGV Strasbourg Lyon

Je m’appelle Brigitte quarante-huit ans femme mariée à Philippe cinquante-et-un ans, nous sommes un couple libertin et je vais vous racontez une histoire vraie qui remonte à 2017.


Mon mari Philippe commercial devait se rendre à Lyon durant deux jours pour son travail. Il avait rendez-vous le lundi matin très tôt avec un client. Il avait décidé de partir dimanche dans l’après-midi.


C’est la semaine précédant son départ que je lui proposais de l’accompagner et de passer le week-end ensemble à Lyon. En avançant le départ à vendredi matin, cela nous allongerait notre séjour.


Philippe dut s’organiser dans son emploi du temps, modifier les dates de son billet aller et me prendre un billet. Malheureusement, nos billets en première classe pris tardivement, nous n’avions pas de place côte à côte, moi j’avais une place sur un siège isolé face à face, et Philippe avait un siège côté couloir à deux rangées du mien, mais nous nous faisions face. Notre TGV partait de Strasbourg à neuf heures et arrivait à Lyon peu après treize heures.


Nous sommes très complices avec Philippe et nous aimons faire évoluer notre sexualité vers des jeux de plus en plus coquins.

Philippe m’avait mis au défi de séduire un homme durant le trajet.




Alors que je m’habille, Philippe me dit :



Ma tenue se complète par une paire d’escarpins à talons et d’un petit blouson court et cintré.


Dès notre arrivée à la gare, je décide de ne pas me tenir près de toi, ainsi pour que tous les autres voyageurs ne nous voient pas comme un couple. Philippe rentre en premier dans le train, j’entre à mon tour juste deux minutes avant le départ. Je rejoins ma place, j’enlève mon blouson, sors un roman de mon sac à main et je m’assois face à un homme d’une soixantaine d’années, déjà occupé à pianoter sur le clavier de son ordi portable. Il me salue poliment et replonge sur l’écran de l’ordi.


Le train vient de quitter la gare et prend lentement de la vitesse, j’ai ouvert mon livre et laissé replier sur le plan central le rabat de la table. Je constate, satisfaite, au vu des regards masculins ou féminins sur mes cuisses des personnes passant dans l’allée que la table ne gêne en rien la vision sur mes cuisses.


Philippe, juste à quelques petits mètres de moi, me fait signe d’ouvrir un bouton de plus de mon chemisier. Je lui fais un signe négatif de la tête, je trouve mon décolleté suffisamment profond jusqu’au creux de mes seins, les revers de mon chemisier laissant apparaître la lisière brodée des bonnets de mon soutien-gorge. Tout en lisant, je remarque que le manège du regard de mon voisin se portant soit sur mon buste, c’est vrai que la broderie de mon soutien-gorge ne passe pas inaperçue sous le fin coton de mon chemisier, tantôt en se reculant au plus loin que le permet son siège, je remarque le regard partir sous la tablette.


Enfin ! Je me suis dit, je désespérai de le voir attiré par mes atouts. Ça fait bien, à présent, presque une heure que le TGV file dans la campagne. Mon voisin range son ordi dans sa housse, puis rabat à son tour sur le plan central le rebord de la tablette amovible. Je pose mon bouquin, j’actionne le bouton de mon siège pour le mettre en position inclinée, je décroise mes jambes pour les recroiser inversement, dans le mouvement, je touche du bout de mon escarpin la jambe de mon voisin. Il lève les yeux de son écran de téléphone qu’il venait de prendre, je lui ai souri et me rends mon sourire, je laisse mon regard partir au travers de la vitre contempler le paysage qui défile. Puis mon regard fait un tour circulaire du wagon, croise celui de Philippe pour finir vers la fenêtre opposée.


J’entends d’une oreille discrète les bips du téléphone de mon voisin quand il touche son écran tactile. Je ferme mes yeux, me laissant bercer par le roulis du train. J’entrouvre les paupières, je vois mon voisin qui manipule toujours son téléphone, parfois l’inclinant, il a dû trouver comment désactiver les bips, car je ne les entends plus. Mon regard repart par ma fenêtre avant de se baisser sur mes cuisses, je constate que ma jupe au fur et à mesure de mes mouvements a fini par reculer assez haut sur mes cuisses n’en couvrant que le début.


Je comprends le fait que je n’entende plus le bip-bip du téléphone quand mon voisin touche son écran, il doit me prendre en photo !

Loin de me révolter par le fait d’être prise en photo à mon insu, cela me rassure enfin que mon voisin s’intéresse à moi, je commençai à désespérer. Je décide de franchir une étape. Je décroise mes jambes, au passage j’effleure à nouveau son tibia en contournant ses jambes… sourire de ma part valant d’excuse auquel il répond, et je lui dis :



Mon pied repose à présent sur le petit rebord qui se trouve en bas de la carrosserie et le plancher des TGV, l’autre jambe étant restée presque parallèle juste un peu de biais vers le couloir, créant ainsi une certaine ouverture de mes cuisses. Mon voisin reprend son manège avec son téléphone, je referme les yeux (enfin presque) le coude sur l’accoudoir et le menton reposant dans la paume de ma main ? Je laisse passer quelques minutes durant lesquelles me croyant dans le bras de Morphée, mon voisin continue à me photographier, surtout mes cuisses, n’hésitant pas à abaisser son téléphone jusque sous la table. Quelques minutes plus tard, je décide d’intervenir, sans modifier ma position, je lui dis :



Il fait celui qui ne comprend pas, mais je vois bien son trouble, il me répond pour le moins hésitant :



Là, je le vois se décomposer, du genre enfant pris sur le fait en train de faire une bêtise. Il bredouille sans qu’un seul mot ne sorte. Je m’amuse de la situation, mais je ne souhaite pas le ridiculiser et j’ajoute :



Voyant que je n’ai pas trop l’air de m’offusquer, il reprend timidement confiance pour me dire :



À nouveau, je vois son trouble.



Devant son sourire, il ne mit pas longtemps à me tendre son téléphone, je fais défiler les poses une à une, pour m’apercevoir, qu’en effet, peu de photos du haut de mon corps, et que les trois quarts des vues étaient de mes jambes avec les dernières, cuisses plus ouvertes laissant visible mon intimité. Tout en visionnant les photos, le téléphone se mit à vibrer et affiche un message reçu, sans en demander la permission, j’ouvre le message pour lire :


Toi, tu es verni, putain quel lot ! J’attends la suite.



Et je lui tends le téléphone ouvert sur le message. Et je dis, tout en défaisant un bouton de mon décolleté :



Comprenant que je suis consentante, il fait une photo de mon visage avec le buste. Ensuite lentement j’écarte bien plus la cuisse côté couloir en disant :



La photo prise qui a dû être doublée tout en discutant quelques minutes, nous échangeons nos prénoms, lui, c’est Jack. Puis, le regardant dans les yeux et de ma voix la plus suave, je lui dis :



Tout en disant cela, je déchausse mon pied de son escarpin, et au moment où il me répond par l’affirmative, je pose mon pied sur son entrejambe en lui massant doucement sa virilité tendue, et j’ajoute de façon très chatte :



Je me lève en lui précisant de ne pas oublier son téléphone, et je me dirige vers les toilettes, il me suit, je le sais. Au passage, j’échange un regard complice avec Philippe.


Par chance, les toilettes sont libres. J’ouvre la porte et je me retrouve propulsée à l’intérieur par Jack, pressé de refermer derrière nous. Comme dans toutes les toilettes de train, celle-ci ne fait pas exception à la maladresse de ces messieurs.


J’ai juste le temps de poser mon sac à côté du lavabo, que Jack m’enlace, soudant sa bouche à la mienne, nos langues s’enroulent et entament une danse grisante. Une main presse mon sein, l’autre pelote plus qu’elle ne caresse mes fesses. Je passe un bras derrière sa nuque que je caresse tendrement, mon autre main agrippe ses fesses qui pressent contre moi, contre mon ventre, je sens sa virilité tendue, cela me donne des frissons de plaisirs.



À nouveau, nos bouches se soudent, je vois Jack tenant son téléphone à bout de bras et prendre notre baiser en photo. Puis il commence à déboutonner mon chemisier, j’en profite pour enlever ma jupe, le tout va rejoindre mon sac à main sur le lavabo. Jack se recule autant que le permet l’étroit espace, il me demande de reculer tout contre les W.-C., il prend plusieurs photos, le tulle brodé de mon soutien-gorge ne cachant pour ainsi dire rien de mes seins, comme le collant qui laisse voir le petit triangle de ma toison. Tout le temps qu’il met à prendre ces photos, je me caresse les seins et ma fente qui suinte de plus en plus !


Il s’avance vers moi, tout en ouvrant le zip de son pantalon, en me disant :



Je sors non sans mal son sexe tendu, alors que de ses mains, il exerce une forte pression sur mes épaules tout en me poussant en arrière. Je me retrouve assise sur la lunette de la cuvette, je sens les mailles de mon collant et ma peau se mouiller, mais je n’ai pas le temps de réfléchir que Jack m’attrape par les cheveux pour coller ma bouche contre son pieu dressé. Doucement, j’entrouvre ma bouche, ma langue entoure et contourne le gland, tourne autour tandis que ma main glisse sur le long de la hampe que je sens frémir entre mes lèvres. Puis ma bouche descend le long du membre pour remonter et redescendre tout en accélérant les va-et-vient.


Maintenant, c’est Jack de sa main qui m’impose la cadence, tandis qu’il me filme de son autre main. Puis tenant ma tête fixe fermement de sa main, il se met à me baiser la bouche à grands coups de bassin, s’enfonçant dans ma gorge autant qu’il le peut, mes lèvres finissant par s’écraser contre son pubis. De la bave s’échappe de ma bouche, dégouline sur mon menton pour finir par tomber sur le sol, filmant toujours et m’encourageant avec des « allez, suce salope » ou des « tu pompes comme une reine, une vraie pute ». Au bout de trois bonnes minutes, je ne le sens pas loin de jouir, le sentant aussi, il se retire de ma bouche, se recule d’un pas, s’accroupit en me disant :



Après deux ou trois clichés, je me lève et lui dis :



Je me tourne face à la cloison, je baisse mon collant à mi-cuisses et je me penche en avant au-dessus des W.-C. tout en me cambrant.


Me tenant d’une main à la hanche, je sens Jack qui promène son gland entre mes lèvres, puis sur mon clito. Ma respiration s’accélère, je gémis doucement. Je le sens à nouveau se déplacer vers l’entrée de ma grotte plus qu’humide, il avance, écarte lentement mes chairs, je m’ouvre sur son passage, il avance encore et encore, quel délicieux supplice de le sentir s’enfoncer au plus profond de moi. Je sens mon ventre se liquéfier, je dois inonder son pieu de mes sécrétions. Une fois bien en moi, il savoure sa possession. Me tenant fermement aux hanches, il commence les va-et-vient, d’abord doucement puis plus rapidement, je l’accompagne en ondulant de la croupe…



Ses mains glissent sur mes fesses jusqu’à ce que les pouces se rejoignent au creux de ma raie, puis ils écartent lentement mes globes jumeaux pour découvrir mon petit œillet. Un de ses pouces vient le caresser tendrement avant d’en forcer l’entrée qui cède sous la pression. Je ne peux pas étouffer le soupir de plaisir qui sort de ma gorge et le dis :



À peine a-t-il fini de parler, qu’il se met à cracher sur ma rosette, sort de ma chatte et positionne son gland contre mon œillet, pousse un peu, je sens que je cède et m’ouvre sous la poussée, il pénètre puis se retire en disant :



De ses mains, il écarta mes fesses, avança son gland contre mon étroit conduit qu’il força à s’ouvrir, libérant le passage à toute la hampe. Je lâche un cri plaintif sous la surprise de cette pénétration rapide qui m’occasionne une douleur comme si on me vrillait mes entrailles. Il ne me laisse pas le temps de récupérer que déjà il me lime à grands coups de bassin. La douleur s’estompe et laisse place à une vague de plaisir qui déferle au travers de mon corps, je sens ma chatte s’inonder et ma cyprine s’écouler hors de moi. Jack me laboure l’anus à une cadence effrénée durant trois bonnes minutes, sans crier gare, il sort en disant :



Jack réinvestit ma chatte trempée et se met en devoir de limer rapidement, ses couilles viennent taper contre mon clito hypersensibilisé, je ne tarde pas à jouir, emportée par la vague de plaisir, mes jambes me portent juste ? J’espère que personne ne se tient dans le couloir, car je n’ai pu être discrète. Jack me suit de près et lâche son flot de sperme en de puissants jets successifs se mêlant à mes sécrétions internes. Une autre vague m’emporte dans le bonheur jouissif.


Dès que Jack ressort de mon ventre, je rajuste mon collant à la taille, comme Jack demeure là planté comme une statue, je m’assois sur la cuvette et prends son sexe encore gonflé en main, j’approche ma bouche du gland qui disparaît petit à petit entre mes lèvres. Je goûte la saveur de son sperme, puis je le suce tout en nettoyant la moindre trace de son plaisir pour le mien.



Tout en rajustant mon collant correctement, et en finissant de me rhabiller, je réponds :



Et tous les deux de partir dans un fou rire incontrôlé. Je finis de boutonner mon chemisier que je laisse bien décolleté, laissant apparaître le début de tulle brodé de mon soutien-gorge, nous sortons, le couloir est désert et nous marchons vers nos places. Je sens venir s’imprégner dans les mailles du collant le mélange de nos fluides qui s’écoulent de ma grotte. Une fois assise, je demande à Jack s’il veut bien aller nous chercher un café à la voiture-bar. Ce qu’il fait bien volontiers. Je croise le regard de Philippe, je lui souris, personne ne semble regarder dans ma direction, alors j’ouvre mes cuisses dans la direction de mon chéri pour lui montrer mon entrejambe et le collant qui le voile barbouillés du sperme de mon amant. Philippe me sourit en me faisant un clin d’œil, qui me fait son effet au creux de mon ventre. Je referme mes cuisses et je reprends la lecture de mon bouquin en attendant le retour de Jack.


Je le vois entrer dans le wagon, je desserre un peu mes cuisses tout en posant mon livre, en s’asseyant, je ne loupe pas son regard qui s’en va vers mes cuisses ? Tout en buvant le café, je déchausse un pied de son escarpin et je le pose sur l’entrejambe de Jack qui me dit :



Je lui souris. Il ajoute qu’il aimerait qu’on se voie sur Lyon. Je lui explique que je ne passe que quatre jours à Lyon. Devant son insistance et sa mine de cocker battu, j’accepte d’échanger nos numéros de téléphone et je lui dis que si je sors ce week-end sur Lyon, je l’appellerai. Les minutes passent, il est presque midi, nous ne sommes plus loin de Lyon, quand Jack me dit :



Il se lève, et j’emboîte le pas. Manque de chance, le lieu est occupé et nous devons attendre, au bout de cinq minutes, Jack me dit qu’on va aller à celles de la voiture suivante, nous devons traverser le wagon-bar, quelques regards me déshabillent sur mon passage. Jack ouvre la porte et j’entre à sa suite sans me soucier si les personnes du bar nous ont observés. Je constate que les W.-C. sont encore plus sales que le précédent.


Jack ouvre mon chemisier et caresse mes seins, en sort un de son enveloppe de tulle brodé et se met à sucer, à téter le téton, le mordillant parfois. Je me tourne, retrousse ma jupe sur mes hanches, baisse le collant à mi-cuisses et je me penche en avant tout en me cabrant.


Jack pénètre dans ma grotte à nouveau trempée, tout en faisant quelques allers-retours, de son pouce, il masse ma rosette puis crache dessus et fait entrer dans mon anneau son pouce plusieurs fois. Il sort de mon ventre et se positionne contre mon œillet qu’il force doucement.

La tête de son mandrin passée, il ressort, crache abondamment sur ma rosette et replace son pieu, et cette fois, investit mon anus d’un seul coup lent, mais régulier, jusqu’à ce que son pubis bute contre mes fesses. Une longue plainte empreinte de plaisir s’échappe de ma gorge, j’adore cet instant où cette brûlure douloureuse se mêle à l’onde de plaisir qui m’envahit de me sentir possédée, remplie. Jack commence ses va-et-vient tout en me tenant fermement d’une main à la hanche, l’autre triturant malaxant et caressant un sein, me pinçant le téton, et me dit qu’il va me casser le cul et en suite me l’inonder de son foutre, je soupire et feule de plaisir sous ses assauts, je l’encourage de la voix.



Un premier orgasme me traverse au moment où il me répond :



Il m’est impossible de sortir un quelconque mot pour l’instant.



Une claque s’abat sur ma fesse, puis une seconde et encore deux autres. Ce sont des paroles mêlées de râles jouissifs que je prononce.



Entre ce pieu qui me pourfend si merveilleusement les reins, le doux supplice des doigts sur mon sein et ces mots crus qui m’excitent et font grimper mon plaisir, juste avant qu’un autre orgasme me terrasse, je souffle :



Et je jouis bruyamment.

Il n’en faut pas plus pour que Jack dans une voix rauque dise :



Il s’immobilise tout au fond de moi, je sens les spasmes de sa colonne de chair et d’un coup la libération déferlante de son plaisir me remplir et me procurer un tourbillon de plaisir, je jouis une fois de plus.


Nous reprenons nos esprits, Jack se retire, je remonte et rajuste mon collant et referme mon chemisier, je tire sur ma jupe le temps que Jack rectifie sa tenue. Nous pouvons sortir, dans le couloir un homme attendait son tour, il nous regarde d’un œil sévère, qui quelques pas plus loin nous fait sourire. Nous regagnons nos places, par les fenêtres j’aperçois les premiers immeubles lyonnais, dans quelques minutes nous serons arrivés. Entre deux wagons, nous nous embrassons, lèvres soudées, le baiser est ardent, je promets à Jack de lui téléphoner si je sors durant mon séjour. Je récupère mon petit blouson, le bouquin, je récupère mon bagage et je vais vers la sortie, obligée de rester debout, car je sens le sperme de Jack s’écouler doucement entre mes fesses. Le TGV s’immobilise le long du quai un peu à l’écart du flot de voyageurs qui descendent du ventre ce ver de fer, Philippe vint me rejoindre, je vois qu’il est impatient que je lui raconte.


Le trajet en taxi jusqu’à l’hôtel va lui paraître bien long, mais ô combien excitant !