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Temps de lecture estimé : 31 mn
04/10/23
Présentation:  Une histoire équatoriale :)
Résumé:  Moi, Rafael Barras, je suis un jeune docteur fraîchement diplômé et embauché peu après dans l’hôpital local.
Critères:  fh collègues médical fellation 69 pénétratio
Auteur : Patrik  (Carpe diem diemque)            Envoi mini-message
Mi doctor solo para mi

Une histoire équatoriale.

Bonne lecture : )



Docteur Rafael Barras



Équateur, deuxième moitié des années cinquante, le pays est assez instable politiquement, mais ce n’est pas pour autant la guerre civile comme en Colombie. Chez nous, les civils ont repris le pouvoir, mais pour combien de temps ? En parlant de notre voisin du Nord, la Violencia semble s’apaiser, il y a déjà eu trop de morts.


Moi, Rafael Barras, je suis un jeune docteur fraîchement diplômé (bientôt deux ans) et embauché peu après dans l’hôpital local. J’ai eu mon diplôme de justesse (j’ai même cru ne pas l’avoir). N’étant pas hautement qualifié, je m’occupe du dernier endroit de la vie de chacun d’entre nous, c’est-à-dire, la morgue. Ce n’est pas un métier pire qu’un autre. Mais comme personne n’est intéressé par mon poste, j’ai une paix royale.


De temps à autre, je fais des astreintes, ayant quand même le minimum vital requis pour assurer les urgences. Ou bien j’aide ci et là.



Eh oui, mon surnom est « Ángel de la Muerte » (Ange de la Mort). Celui-ci m’a été donné par les infirmières car je me déplace silencieusement et que la Nature m’a doté (en plus d’une certaine pâleur) de traits fins et réguliers, sans que je sois efféminé. Il semblerait, d’après ces dames, que je sois cataloguable dans les « beaux ».


Même si le « sport » de certaines infirmières est de chasser le médecin ou le chirurgien pour s’assurer ensuite une vie agréable, il n’y a pas foule pour séduire un homme qui vit au milieu des cadavres. Les petites nouvelles qui débarquent à l’hôpital sont vite mises au courant de ma spécialisation. Mais au moins, on me respecte.


La jeune infirmière Adelina de la Torre est sans doute la seule femme avec qui je m’entends. Nous nous sommes côtoyés durant nos études puis perdus de vue, elle est partie dans sa branche et moi dans la mienne. Nous sommes aussi issus du même coin perdu, sans toutefois avoir vécu dans la même vallée. Elle est assez différente de moi : fraîche, pleine de vie, gentille, ouverte, alors que je suis nettement taciturne et parfois indifférent, la fréquentation quasi quotidienne des trépassés n’aidant pas à la communication avec autrui. Comme je vous le disais : l’Ange de la Mort…


Adelina qui n’a peur de rien (ou si peu) me pose carrément la question devant tout le monde :



Ce qui fait rougir la principale intéressée, et soupirer d’aise ses collègues féminines.


Diverses personnes de l’hôpital nous voient déjà en couple : c’est aller vite en besogne. Nous nous entendons bien, c’est déjà ça. Nous, un couple ? Celui aussi des extrêmes physiques : je suis mince et grand, elle est un peu rondouillette et assez petite, avec de grands yeux sombres de poupée. Je pense que je la vois plus comme une petite sœur, bien que nous n’ayons que trois mois d’écart (en ma faveur).


Il est vrai que nous sommes souvent vus ensemble. Nous déjeunons souvent à deux quand nos emplois du temps le permettent, ce qui n’est pas toujours évident, il est vrai, avec toutes ces histoires de poste, de jour, de nuit, et parfois de devoir travailler quarante-huit heures de suite, voire plus.


Parfois, par amusement, je m’amuse à deviner la couleur de son soutien-gorge, essentiellement pour la taquiner. Je ne sais plus exactement comment cette « tradition » s’est instaurée, je crois néanmoins me rappeler que c’était un jour qu’elle s’était penchée sur moi, sa blouse assez ouverte. Il est assez connu que les infirmières ne portent pas grand-chose sous leur blanche tenue. Mais depuis, j’ai continué ce petit jeu avec elle.


Oui, j’aime sa compagnie, je parle de tout et de rien avec Adelina, comme si elle était ma petite sœur. Quant aux relations horizontales, je vais voir ailleurs, tout simplement, surtout auprès de certaines femmes mariées insatisfaites.


C’est fou ce qu’on peut en croiser dans un hôpital !




Une journée parmi d’autres



Me voyant arriver ce matin à l’accueil, Adelina s’exclame sans complexe (une fois de plus) devant tout le monde :



Mains dans les poches, je souris :



Accrochant mon bras, elle m’entraîne vers le coin pause :



Comme je suis plus grand qu’elle, j’en profite pour plonger mon regard dans son décolleté :



Elle me gronde, ça fait partie du jeu :



Je me penche sur elle, l’embrassant sur le front :



Un peu gênée, elle s’arrête en pleine phrase. J’insiste :



Puis elle se sauve en riant.


Adelina et moi jouons à un curieux jeu. Dès le début, j’ai vite compris qu’elle avait une inclination pour ma personne, mais de mon côté, je ne la vois que comme une bonne, une très bonne amie, genre petite sœur. Je pourrais franchir le pas, mais j’ai peur de casser notre relation. Je sais que les histoires de fesses ne sont jamais très saines, surtout quand il y a de l’eau dans le gaz.


Adelina est parfaitement au courant de ma façon de voir :



Je la reverrai sans doute ce midi, comme à chaque fois que notre emploi du temps est compatible. Nous avons souvent l’habitude de causer ensemble de tout et de rien. Adelina est vraiment mon petit rayon de soleil, moi dont le royaume est si sombre et peu avenant…




Tourments



Ce midi de la semaine suivant, Adelina me rejoint dans un coin du petit parc de l’hôpital, où nous avons coutume de prendre nos pauses. Je remarque tout de suite qu’elle est en train de pleurer silencieusement. Spontanément, j’ouvre grands mes bras, elle se réfugie aussitôt contre moi.



La pressant contre moi, inquiet, je demande :



Je me souviens de cette fin de journée, Adelina était assise juste à côté de moi, comme souvent. Je me rappelle lui avoir tenu la main sous la table durant quelques instants. Elle semblait épuisée, elle avait les traits tirés.


Je presse mes mains sur son dos :



Elle lève vers moi son visage baigné de larmes :



Choqué, je marque un temps d’arrêt avant de demander :



Je ne sais pas quoi dire. Je me sens idiot, impuissant. La serrant toujours contre moi, j’essaye de la rassurer comme je peux :



Je la serre plus fortement contre moi. Elle se met à pleurer de plus belle :



Soudain, elle se fige :



Je caresse ses cheveux :



Je continue à caresser ses cheveux :



Les jours suivants, je suis aux petits soins envers ma quasi-sœur. Je ne sais pas bien ce que je dois faire, mais je fais ce que je peux. Pour l’instant, je me focalise sur Adelina. Un midi, elle me regarde avec ses grands yeux sombres, puis elle me dit tristement :



Elle pose son front contre mon torse :



Intriguée, elle relève la tête, j’en profite pour déposer un bisou sur le bout de son nez.




La garde du mercredi à jeudi



Malheureusement pour moi, je suis de garde ce mardi soir. Il va falloir que je quitte mon appartement douillet du centre-ville. La seule partie positive est que je serai avec Adelina, le temps semblera moins long. Je reconnais avoir un peu magouillé pour qu’il en soit ainsi. J’espère qu’elle pourra petit à petit surmonter son traumatisme. Comme je sais qu’elle est déjà présente sur place, je décroche mon téléphone (un privilège) pour l’appeler :


Une infirmière décroche, elle me la passe aussitôt. Adelina m’enguirlande :



Toute joyeuse, elle s’exclame :



Quelques minutes plus tard, après un léger détour, j’arrive dans la salle de repos avec notre repas du soir. Ma petite moto me permet de me glisser facilement dans la circulation qui est souvent anarchique. Me voyant arriver les mains pleines, Adelina bat des mains :



Je pose le tout sur la table, je m’approche d’elle, je pose ma main sur son épaule :



Je la capture dans mes bras, plaquant sa tête sur mon torse. Je m’étonne moi-même de mon geste, mais si ça lui fait du bien, tant mieux. Et curieusement, ça me fait du bien. Elle se laisse aller. Nous restons de longues minutes ainsi.


Puis elle se détache de moi, essuyant ses yeux du revers de la main :



Bien que je vois parfois des ombres passer dans ses yeux, Adelina semble égale à elle-même, du moins, celle que je connaissais avant son viol. Soudain, alors que nous parlions de l’actualité en règle générale, elle me balance :



Morceau de pizza en main, j’exprime mon point de vue :



Les deux pizzas (fruits de mer et quatre fromages) sont vite englouties, ainsi que la moitié de la tarte aux myrtilles. Le repas fini, la jeune femme m’apporte une tasse fumante :



Puis je plisse des yeux pour deviner son soutien-gorge, sa blouse étant restée boutonnée quasiment jusqu’en haut :



Quelques instants plus tard, à ma grande surprise, je cligne de plus en plus des yeux. La fatigue est en train de prendre le dessus. Je m’affaisse sur la table. Je crois sentir la main d’Adelina sur mes cheveux. En tout cas, c’est bien son parfum que je sens.


Puis, on dirait qu’une fenêtre s’ouvre, je sens l’air du dehors.

Je sombre.




Fin de garde



Adelina me secoue :



J’émerge peu à peu. À moitié hébété, je finis par dire :



Je tente un trait d’humour :



La jeune infirmière me regarde avec un air attristé. Je crois que je viens d’être très maladroit :



Prestement, elle pose sa main sur ma bouche :



Nous passons rapidement à autre chose. Nous papotons tout en finissant la tarte. Le dernier morceau avalé, posant une main sur mon ventre, je grimace :



Une main sur le ventre, je m’absente momentanément.


Mis à part cet épisode intestinal impromptu, le reste de la garde se passera bien, aucune alerte, aucun incident. À un moment, assis sur le canapé, l’un à côté de l’autre, Adelina somnole contre mon épaule. Je la contemple, je me sens bien, apaisé.


J’aimerais beaucoup que le temps soit suspendu…


Ah oui, j’ai eu confirmation concernant un sujet qui me préoccupait depuis avant le repas : ma petite infirmière préférée porte bien un soutien-gorge rose.


Disparition


En milieu d’après-midi, tout l’hôpital bruisse du fait que le Docteur Bermúdez n’a pas daigné honorer de sa présence le bloc opératoire où sa présence était requise. C’est le sous-directeur qui a dû se dévouer pour l’opération qui était prévue.



L’absent est incontactable, sa voiture est pourtant sur le parking de l’hôpital, il n’est visiblement pas rentré chez lui, il semble s’être évaporé dans la nature.



Le lendemain, toujours aucune trace.

De toute façon, la pluie qui est tombée toute la journée a dû les effacer…




Interrogatoire



Le jour suivant, au matin, la police investit l’hôpital. Un inspecteur est en train de m’interroger, alors que nous sommes tous les deux dans le local d’élimination des déchets organiques qui jouxte mon sombre royaume froid :



Pour mieux expliquer certaines choses à mon interlocuteur, j’ouvre la trappe du four crématoire qui est actuellement au repos :



Mon visiteur fait remarquer :



Consultant un petit carnet, mon interlocuteur biaise :



L’inspecteur affiche un petit sourire :



Entendant ces propos, je hausse un sourcil :



Je referme la trappe, je pense que le fait que l’ouverture ne permet pas d’y mettre tout un corps a été compris et accepté. Puis, les mains dans les poches, je réponds :



L’inspecteur objecte :



Regardant le four, je fais la moue :



Une idée me traverse l’esprit :



J’émets une possibilité de piste :



Je raccompagne l’inspecteur vers la sortie :



J’explique mon point de vue :



J’attends un peu avant de regagner mon antre.




Possession



Ce midi, nous profitons de la pause déjeuner pour profiter du soleil, après ces quelques jours de pluie. Je ne peux m’empêcher d’évoquer l’actualité du jour :



Adelina semble mal à l’aise :



Serrant les poings, elle s’emporte :



Un peu plus calme, Adelina explique :



Elle hausse des épaules :



Si je n’étais pas au courant, là je le suis pleinement :



Me penchant sur elle, je change complètement de sujet :



Je pense beaucoup à Adelina depuis quelques jours. Je constate qu’elle est forte, bien des femmes se seraient complètement effondrées. Elle porte plein de choses sur ses épaules, elle est solide, elle est gentille. Et en plus, à sa façon, elle est mignonne.


À sa grande surprise, je capture son poignet, utilisant son diminutif :



Elle ouvre de grands yeux abasourdis, mais déjà je capture ses lèvres. Après une brève hésitation, elle répond fiévreusement à mon baiser. Nos langues se cherchent, se nouent, mes mains caressent fébrilement son mignon corps tout en courbes. Une puissante onde m’irradie de la tête aux pieds.


À bout de souffle, nos bouches se séparent. Elle murmure :



Son corps si doux toujours plaqué contre le mien, mes yeux dans les siens :



Malgré elle, Adelina rougit un peu :



Je l’embrasse à nouveau.


Quelques instants plus tard, après divers longs baisers très collés serrés, elle est à présent plaquée sur mon torse, alanguie contre moi, nos doigts entremêlés :



Revenant de sa stupéfaction, elle demande timidement :



Je la presse un peu plus contre moi :



Tremblante, se détachant un peu, elle me regarde avec un air triste :



Elle glisse ses mains sur ma poitrine, elle semble chercher ses mots :



Je pose aussitôt ma main sur sa bouche :



J’ôte ma paume, elle me regarde d’un air sidéré, sans prononcer un seul mot. Reposant ma main dans le creux de ses reins, je continue tout en la regardant dans les yeux :



Soudain, elle se fige, me regardant fixement :



Se plaquant à nouveau contre moi, elle s’exécute avec ferveur.


Chez moi


Quand nous finissons tous les deux le boulot, je ne perds pas de temps, j’emmène Adelina sur ma moto, directement chez moi. Comme je suis un homme assez méthodique, mon appartement est propre et rangé, si on excepte les piles de livres sur la table de ma pièce de vie, et sur ma table de chevet.



Je la soulève dans mes bras, direction la chambre à coucher, j’ai trop envie d’elle, je ne veux plus perdre une seule seconde. Tandis que je la pose plus ou moins délicatement sur mon grand lit, la jeune infirmière proteste faiblement :



Je m’allonge à côté d’elle, et je commence à l’embrasser, à la caresser, à mettre mes mains partout, ce qui fait qu’elle est très vide dénudée. Je couvre sa peau sucrée de mille baisers, en commençant par son visage, en descendant dans le cou, en m’attardant longuement sur ses seins et ses tétons, en explorant son ventre, son pubis, en fourrageant dans son sombre buisson, en glissant sur ses cuisses, ses genoux jusqu’à ses pieds.


Là, elle proteste un peu :



Entendant ma réponse, elle glousse. Elle se laisse faire, jusqu’à ce que je revienne lentement à ses lèvres roses et sucrées que je capture dans un long baiser auquel elle participe pleinement. Puis, je me relève à moitié :



Quelques secondes plus tard, je recommence autrement ma descente infernale, partant de la nuque, vers les lombes où je m’attarde avant d’attaquer l’ascension de deux beaux monts joufflus que je dévore carrément. Puis je glisse vers ses cuisses, le creux de ses genoux jusqu’aux mollets.


Ma remontée vers sa nuque terminée, je tapote gentiment ses fesses :



Tandis qu’elle se remet sur le dos, j’en profite pour enlever mes habits. Elle s’exclame :



Je désigne de la main l’objet du futur délit sur Deli :



Il n’empêche qu’elle capture sa verge dans sa main, et vu la façon dont elle commence à me branler, je me doute bien que je ne suis pas le premier à bénéficier de son aide manuelle. Il est vrai qu’il est possible pour une fille de jouer à touche-pipi ou à suce-pipi, presque autant qu’elle veut, mais gare à elle si elle a le malheur de perdre un tout petit morceau de peau situé plus haut que ses cuisses. Les choses sont mal faites : c’est une gloire pour un garçon de perdre son pucelage, mais une fille devient aussitôt une fille perdue dans le même cas, sauf mariage.


Adelina semble avoir déjà joué plus d’une fois. En effet, d’elle-même, elle commence à lécher mon gland tout rouge. C’est une caresse que j’apprécie, surtout quand elle est spontanée. Soudain, elle lève la tête et me regarde :



Houlà, on dirait qu’elle se met des idées étranges en tête. Je caresse ses cheveux :



J’affiche un sourire cynique :



Je redeviens plus sérieux :



Puis sans attendre sa réponse, je me positionne pour un soixante-neuf, mon nez à l’orée de son buisson d’ébène, ma verge bien raide si proche de ses lèvres :



Ce qui ne l’empêche pas de souscrire à ma fantaisie. J’adore farfouiller les recoins de sa fente, puis d’aller taquiner son clitoris bien camouflé dans son bosquet. C’est avec une très grande satisfaction que je la fais céder avant moi. À quelques secondes d’intervalle, je l’avoue. J’adore sa cyprine et j’adore me déverser dans sa bouche ! Je me demande ce que je ne vais pas adorer avec Adelina.


Essoufflée par sa jouissance, les yeux clos, Adelina repose à côté de moi, la bouche ouverte maculée de sperme. J’ai encore plus envie d’elle.




Consommation



Après diverses agaceries, il est temps de passer au plat de résistance, c’est une expression venant des montagnes. Vierge ou pas vierge, je m’en fiche. Ce qui compte, c’est l’instant présent puis le futur. Moi-même, je ne suis plus puceau depuis un certain temps. Tant mieux, ça me donne un minimum d’expérience dans le domaine.


Un peu stressée, Adelina est installée sur le dos au bord du lit. Agenouillé sur un oreiller posé sur le sol, je suis positionné entre ses cuisses, verge bien dure, prêt à m’enfoncer dans ce corps que je désire tant. Ses boucles foncées caressent mon gland prêt à plonger. Je me traite d’imbécile en me disant que j’étais décidément bien aveugle, mais on peut toujours rattraper un retard.



C’est un véritable délice que de plonger lentement en elle, à travers son bosquet. Ce n’est pas la première fois que j’ai le plaisir d’honorer de la sorte une femme, mais ce soir, c’est différent. Visiblement, Adelina apprécie beaucoup ce qui est en train de lui arriver : sa première vraie pénétration consentie. Nous nous regardons droit dans les yeux, et ce que je lis dans les siens est de très bon augure !


Je plaque sa jambe contre mon torse, puis je commence à la ramoner délicatement, puis j’intensifie mon mouvement. Agrippé à sa jambe en l’air, je capture son sein pour le malaxer tandis que je continue d’aller et de venir en elle. Oui, c’est diablement bon !


Soudain, elle s’exclame :



Tout en se laissant trimer, ma tige de chair coulissant de plus en plus prestement en elle dans ses chaudes profondeurs, elle objecte :



Elle ouvre de grands yeux ronds :



Les yeux embués, elle me regarde :



Je délaisse son sein pour aller enfouir mes doigts dans sa toison fournie, à la recherche d’un petit bouton rose que je déniche aisément et autour duquel je m’active avec empressement. Sous cette caresse insidieuse, Adelina agrippe les draps déjà bien froissés, se mordant déjà les lèvres pour ne pas gémir ou crier. Il semblerait qu’elle soit fort sensible.



Mon bas-ventre claque contre ses cuisses, c’est à la fois très vulgaire et très excitant. Quand on fait l’amour, on abolit bien des frontières, on les explose. Moi, je veux ce corps, je veux exploser en lui. Je veux le posséder totalement. C’est un sentiment que je n’avais jamais connu à une telle puissance. Décidément, Adelina me surprend : avec elle, je couvre sans doute tout le spectre de ce que je souhaite d’une femme, de la véritable amie à l’amante excitante.



Elle jouit sous mes yeux. Elle est terriblement belle ainsi, une pure madone du sexe !


À mon tour, je me laisse aller, complètement aller. Je me fais un plaisir d’inonder ses profondeurs, telle une vague qui s’en part tapisser les moindres recoins de sa grotte intime. Je me sens si puissant, possédant cette femme « arc-en-ciel » qui est mienne, qui restera mienne !


Et puis, je décolle…

Loin, très loin, si loin, ailleurs…


Comme une seule fois ne suffit pas, nous recommençons en changeant à chaque fois les poses. Je suis décidément dans une forme éblouissante, pour un peu, je me prendrai pour Superman, un héros qui a beaucoup de succès aussi chez nous. Si je me sens quasiment invincible, ma partenaire de jeu semble apprécier mon ardeur, même si elle répète assez souvent que je suis « tout ou rien »…




Explications



Après diverses galipettes, nous nous reposons un peu. À l’image de la météo, j’ai dû déverser en Adelina l’équivalent de plusieurs semaines. Elle proteste un peu :



Elle rougit un peu en se souvenant sans doute de la belle levrette qui a conclu momentanément nos ébats. Elle soupire :



Avec un sourire tendre, elle caresse ma joue :



Je l’attire à moi pour l’embrasser. Tandis que nos lèvres se soudent, que nos mains explorent nos corps, je constate qu’effectivement, j’en ai mis partout sur elle. Même si c’est malpropre, je reconnais que c’est excitant. De plus, l’odeur de sa sueur a un effet aphrodisiaque.


Adelina est à moi, c’est tout ce que ce qui m’importe.


Un peu plus tard, je suis allongé sur le dos, Adelina est couchée sur moi, ses seins collants contre mon torse, nos visages face à face. Un peu troublée, la jeune fille me demande :



Son nez presque contre le mien, j’explique calmement :



Elle me regarde, interloquée :



Je réponds flegmatiquement :



Elle reste bouche bée quelques instants. Puis elle reprend la parole :



J’agrippe fermement ses fesses :



Posément, je m’empare à nouveau de ma nouvelle maîtresse, bien décidé à parfaire ma connaissance de sa géographie anatomique, et vu son sourire avenant, ma nouvelle amante ne semble absolument pas être contre cette idée exploratrice.


Elle a peut-être tort, car je suis très affamé !




Autrement



Au bout d’un certain temps, (re)faire l’amour demande une petite période de pause, afin de mieux continuer. Je suis allongé sur le dos, la tête bien calée dans un oreiller, avec Adelina collée contre moi, sa tête posée sur mon bras qui l’enlace.



De mon autre main, je caresse un sein au téton érigé :



Elle m’adresse un tendre sourire qui me fait fondre :



Puis elle devient songeuse :



Attristée, elle se blottit comme une chatte contre moi :



Sans me regarder, elle niche encore plus contre moi :



Possessif et impératif, je la fais glisser sur moi, ses seins écrasés sur mon torse, son triangle touffu sur mon sexe à nouveau raidi, mes mains voraces à présent agrippées à ses fesses dodues :



Elle me regarde avec des gros yeux ronds :



Elle fait glisser son doigt sur mes lèvres :



Un peu émue, elle bredouille :



Elle respire un grand coup, puis elle continue :



Les yeux luisants, elle demande :



Un demi-siècle plus tard, après trois enfants, huit petits-enfants, Adelina est toujours ma prisonnière.