n° 22056 | Fiche technique | 19418 caractères | 19418 3277 Temps de lecture estimé : 14 mn |
16/10/23 |
Présentation: Bonjour à tous, un petit texte que j’espère original après quelques mois d’absence... Ant. | ||||
Résumé: Nicolas est stagiaire dans une entreprise de réparation informatique de proximité. Une intervention va lui faire découvrir que même dans cette petite bourgade, il est possible de faire des rencontres hors du commun. | ||||
Critères: #merveilleux fffh fplusag inconnu piscine campagne travail telnet partouze | ||||
Auteur : antilope Envoi mini-message |
Je travaillais dans cette petite boîte de réparation informatique en tant que stagiaire depuis trois semaines. C’était plutôt sympa, je voyais du pays, car on était un peu dans un trou paumé. Heureusement, le patron me mettait à disposition une voiture et me laissait plutôt libre sur les horaires.
J’étais un peu geek sur les bords, et assez bon dans mon domaine. Par contre, les études, ce n’était clairement pas mon truc, et j’avais complètement foiré mon BAC. À cause de ça, mes orientations, dans l’enseignement supérieur, s’étaient presque toutes fermées. J’avais alors cherché un boulot.
Mais sans qualifications sérieuses, je n’avais trouvé que cette petite boîte de proximité à Nogent-en-Othe, non loin de la ville de Troyes, pays connu pour sa mythologie et ses vastes forêts.
Le patron, Vincent, avait monté cette boîte dix ans auparavant et cherchait un stagiaire pour l’aider, et peut-être reprendre l’activité, car monsieur n’était plus très loin de la retraite.
Ça se passait plutôt bien, le seul problème était que je me sentais un peu seul, car le coin était vraiment paumé.
J’espérais secrètement qu’en faisant ce boulot, certaines clientes me recevraient nues sous une serviette qu’elles feraient tomber malencontreusement en me conduisant vers leur chambre où se trouverait l’ordinateur soi-disant malade…
Fantasme que tout ça ! Ça n’existe que dans les contes de fées ! En guise de serviette, je n’avais eu droit qu’à la salopette et les bottes crottées de la femme de l’agriculteur, stressée, me gueulant dessus parce que la machine à traire était plantée et que les vaches commençaient à avoir les pis qui gonflent…
On a le boulot qu’on mérite !
Après un sandwich avalé rapidement au café du village – j’adore ce café, car Simone, la femme du patron m’aime bien et m’en met toujours un peu plus et elle se penche devant moi pour tartiner en me faisant des clins d’œil alors que je mate tranquillement ses énormes seins qui se balancent dans son décolleté – j’ai repris ma voiture pour me diriger vers le manoir.
Je suis arrivé sur place après quinze minutes d’une minuscule petite route privée, portant le nom évocateur de « La voie au loup ».
J’ai tiré la chaîne de la grosse cloche, la faisant tinter plusieurs fois.
Au bout de plusieurs minutes, le portail s’est ouvert sur une femme d’une cinquantaine d’années plutôt jolie et enveloppée dans un peignoir en soie. J’ai tout de suite eu l’œil attiré par sa poitrine pesante, totalement libre sous la fine couche de tissu.
Elle m’a fait un petit sourire moqueur du coin des lèvres, puis m’a précédé sur l’allée en graviers qui montait sur le côté de la maison.
En passant, j’ai pu apercevoir d’autres personnes allongées sur des transats autour de la piscine, mais mon attention était surtout captée par les fesses de la maîtresse des lieux. Amples et majestueuses, elles tremblotaient au rythme de ses pas. Je pouvais distinguer à travers la soie le moindre détail de la texture de la cellulite qui les recouvrait.
Mon Dieu ! Malgré mon âge, ce que je pouvais raffoler des fesses des quinquas ! Ce côté moelleux et vivant !
Elle ne portait pas de culotte, c’était évident. Une lueur d’espoir m’a traversé l’esprit… ce n’était pas une serviette, mais on y était presque.
Nous sommes rentrés dans la maison, puis je l’ai suivie dans l’escalier en bois étroit et raide. J’avais le visage à vingt centimètres de ses fesses et cela ne semblait pas la déranger.
À l’étage se trouvait le petit bureau contenant le pauvre ordinateur qui ne voulait plus démarrer.
Elle est redescendue, me laissant seul dans le petit bureau dont la fenêtre ouverte donnait sur la piscine. Je m’en suis approché machinalement pour constater qu’il y avait cinq femmes entièrement nues, allongées lascivement, certaines sur le dos, d’autres sur le ventre.
Je me suis aussitôt reculé, comme si j’avais commis une faute, mais c’était trop tard. Des taches avaient imprimé mon œil, comme si j’avais fixé le filament d’une ampoule électrique… des taches noires triangulaires, au milieu de silhouettes blanches.
Catherine avait rejoint ses amies au bord de la piscine et j’ai pu entendre leur conversation par la fenêtre ouverte…
Je n’en croyais pas mes oreilles… tout en démarrant l’ordinateur – qui datait un peu – j’ai honteusement cherché une position qui me permettrait de les mater indirectement par le reflet sur l’une des vitres. En déplaçant légèrement un battant de la fenêtre, je pouvais travailler sur l’ordinateur, tranquillement assis derrière le bureau, et il me suffisait de lever les yeux pour les voir toutes.
C’était incroyable, elles avaient des corps de rêve pour leur âge. Certaines avaient remis leur bikini, d’autres non, elles prenaient toutes le thé au soleil. J’ai passé de longues minutes à me remplir les yeux de ces poitrines molles, de ces longues cuisses et surtout de ces chattes à la pilosité totalement naturelle.
De mon côté, les choses sont allées très vite. Je ne parle pas de mon érection bien sûr, mais de l’ordinateur. Comme souvent, il avait suffi d’insérer la clef de diagnostic et de demander une réparation de l’installation pour que tout se remette à fonctionner.
Quel malheur ! Et moi qui espérais galérer des heures durant en me délectant de ce spectacle, j’aurais même été prêt à le faire gratuitement… Il y a vraiment des fois où l’informatique fait tout le contraire de ce qu’on veut.
J’avais maintenant la main sur l’ordinateur, j’ai décidé de faire quelques tests pour vérifier que tout marchait bien. Le disque dur principal était plein, et cela ne permettait pas à l’ordinateur de fonctionner correctement. Il fallait que je fasse de la place en transférant des fichiers vers l’autre disque.
J’ai rapidement vu que le répertoire d’images était énorme et que c’était lui qui prenait toute la place.
Je l’ai ouvert pour comprendre ce qui prenait tant de place, et tout à coup, les choses ont pris une tout autre dimension.
Devant mes yeux, se déroulait petit à petit une grille de photos miniatures, dont le contenu ne laissait aucun doute. Malgré la petite taille des images, on voyait clairement des photos de cul, avec plusieurs personnes dessus. Il y avait aussi de nombreuses vidéos.
J’ai jeté un œil vers la fenêtre, elles étaient toujours assises au bord de la piscine à papoter.
Si j’osais… !? J’en avais très envie ! Mon cœur battait de toutes ses forces, comme lorsqu’on se retrouve en haut d’un plongeoir de cinq mètres, juste avant de sauter…
Machinalement, j’ai double cliqué sur l’une des photos… Elle s’est ouverte en grand, prenant tout l’écran… montrant une femme qui n’était pas Catherine, mais qui avait le même âge, avec un joli sourire, assise jambes écartées, avec sa chatte brune au premier plan, tellement poilue, qu’on ne voyait que ça et ses seins énormes.
J’ai eu comme une décharge électrique à la vue de cette explosion pileuse et charnelle, si crue, et si belle.
J’ai commencé à faire défiler les photos. On y voyait d’autres femmes, parmi lesquelles je reconnaissais parfois Catherine. On les voyait sous tous les angles, dans toutes les positions, parfois soft, parfois hard.
Occasionnellement, un mec seul apparaissait au milieu, toujours le même. Qui était ce chanceux ? Le plombier peut-être ? Le piccinniste ? Le jardinier ?
Par sécurité, j’ai regardé de nouveau les filles à travers la fenêtre… Elles n’étaient plus que cinq !
Avant que j’ai eu le temps de réagir, une voix derrière mon dos m’a fait sursauter tellement fort que j’ai failli avoir une attaque… c’était Catherine.
En disant ça, elle regardait la fenêtre à travers laquelle elle devait voir le reflet de ses copines à poil au bord de la piscine.
Elle est partie avec un petit rire.
J’étais complètement grillé sur toute la ligne.
Pendant la demi-heure qui a suivi, j’ai déplacé les vidéos une par une, et évidemment, je les ai toutes regardées après m’être assuré d’avoir baissé le son du PC au minimum. On y voyait beaucoup de scènes de cunnilingus, parfois multiples, car il n’y avait principalement que des femmes.
Le mec était présent sur l’une des vidéos, dans une position de passivité totale, littéralement recouvert par les six femmes, toutes plus superbes les unes que les autres. Le salaud avait l’air d’être aux anges, harcelé comme il l’était, n’importe quel mec aurait rêvé d’être à sa place, enfin, j’imagine, en tout cas moi, oui.
J’avais dans mon matériel une clef USB. J’en ai donc profité sournoisement pour récupérer toutes leurs images et leurs vidéos. Après tout, j’avais eu la bénédiction de Catherine pour les regarder…
Quelque chose me poussait à faire ça, je ne savais pas pourquoi. Ce n’était pas du voyeurisme, même si j’allais sûrement occuper quelques soirées à les regarder… mais je brûlais surtout de découvrir qui était cet homme qui apparaissait quelquefois au milieu de toutes ces chairs molles…
Une fois les vidéos déplacées, et récupérées, j’ai rangé mes affaires et je suis descendu prendre le thé avec elles.
À mon arrivée, elles se sont toutes couvertes tranquillement, avec ce qu’elles avaient sous la main. Bien sûr, j’ai eu le temps de tout voir.
J’ai pris place au milieu de toutes ces femmes qui semblaient n’avoir aucune pudeur à mon égard. Sous l’effet de leurs charmes… et peut-être aussi du thé, je me suis laissé prendre par la conversation.
Nous avons discuté de ma ville natale, de mon installation dans la région. Je leur ai demandé la provenance de leurs noms qui sonnaient plutôt Latino-slave, elles m’ont répondu qu’elles venaient de Roumanie…
Sans que je m’en aperçoive, nous nous étions rapprochés, et elles me touchaient de plus en plus souvent, sur le genou, sur les épaules. Je leur répondis en leur touchant les cuisses, et en passant mon bras autour de leur taille. Le jour déclinait, tiens ! Bizarre, pourtant j’étais arrivé en début d’après-midi.
Elles se dénudaient de plus en plus et j’attendais patiemment qu’on passe à des choses plus sérieuses.
C’est là que j’ai reçu le coup de fil. C’était Vincent.
J’ai regardé ma montre, il était 20 h ! je n’avais pas vu le temps passer.
La soirée promettait d’être très intéressante et je n’avais pas du tout envie de partir.
Tout à coup, sa voix a pris une intonation autoritaire qui ne collait pas du tout avec le personnage si doux que je connaissais.
J’ai accepté et j’ai raccroché. J’étais très troublé. Il ne m’avait encore jamais parlé comme ça.
J’ai ramassé mes affaires et je suis parti précipitamment en m’excusant auprès de mes hôtesses.
Dans la voiture, je repensais au déroulement des évènements. Pourquoi l’après-midi était-il passé si vite ? Pourquoi Vincent m’avait-il ordonné de partir ? Était-il jaloux ?
C’était sûrement ça ! il avait dû passer des années à essayer de s’inviter dans leur lit sans jamais réussir, et moi, j’allais y arriver dès la première intervention.
Tout à coup, mon patron me décevait beaucoup. Il ne se rendait pas compte à quel point il était difficile de se faire des connaissances dans la région.
Et puis… avait-il vu les photos ? … qui était ce mec qu’on voyait dessus ?
Arrivé chez moi, j’étais encore troublé. Je me suis empressé de mettre ma clef USB dans mon ordinateur, elle était vide. Pourtant, je n’étais pas un débutant en informatique ! J’étais certain d’avoir récupéré toutes leurs photos et leurs vidéos. Mais je devais me rendre à l’évidence, elles n’étaient pas là, il n’y avait rien sur la clef.
Je gardais la tête de leur copain chanceux imprimé dans ma mémoire. Cet homme était devenu une obsession. Peut-être parce que je rêvais de me retrouver dans la même position que lui. Peut-être parce qu’il semblait avoir le même âge que moi.
J’explorais le WEB à la recherche des artisans proches du village pour essayer de retrouver une tête qui lui ressemblait. Au bout de plusieurs heures, je suis tombé sur un fait divers, parlant d’un plombier disparu dans la ville voisine quelques mois auparavant. C’était un apprenti qui commençait tout juste sa formation et sa disparition avait entaché la région. Il y avait une photo de mauvaise qualité. Oui, ça pouvait bien être lui, mais c’était très difficile d’en être sûr.
Le lendemain, j’ai fait un passage éclair au bureau. Il y avait des interventions jusqu’à 17 h. J’ai gardé la voiture, car j’avais la ferme intention de retourner au manoir pour continuer ce que j’avais interrompu la veille.
La journée s’est déroulée normalement, c’est-à-dire sans aucune serviette qui tombe malencontreusement. À 17 h 30, j’étais de nouveau au manoir, prétextant une mise à jour à faire sur le système de l’ordinateur de la maison.
Elles étaient encore autour de la piscine, toujours presque nues. J’ai relancé la copie des images et des vidéos sur ma clef. Après tout, j’avais peut-être fait une erreur de manip la veille. Puis je suis descendu « prendre le thé »…
L’heure qui a suivi a été délicieuse. Elles ne se cachaient même plus les seins et me montraient leur corps délicieusement bien conservé. Leurs formes ballottantes me troublaient, à moins que ce ne soit le thé… Je me sentais extrêmement détendu.
L’ambiance a changé brusquement lorsque l’une d’elles, prétextant qu’elle avait bu un litre de thé, s’est accroupie juste à côté de nous pour faire pipi bruyamment sur le sol.
Elles se sont toutes mises à rire, et le moment que j’attendais tant est enfin arrivé.
Elles se sont mises complètement à poil et se sont collées contre moi et m’ont déshabillé.
Je me suis laissé aller. Deux d’entre elles ont commencé à me sucer puis elles se sont relayées. J’avais toujours les mains et la bouche de l’une d’elles autour de mon sexe.
Puis elles m’ont entraîné doucement par terre et ont commencé à me recouvrir… l’une était assise sur ma bouche, une autre s’était empalée sur mon sexe, les quatre autres se masturbaient avec mes mains et mes pieds et promenaient leurs seins sur moi, puis elles changeaient de position…
C’était l’extase, l’expérience la plus fantastique de toute ma courte vie. J’en profitais un max. J’enfonçais ma figure et mes doigts dans tout ce que je pouvais.
Mais alors que la lumière du jour diminuait, les filles devenaient de plus en plus violentes, elles me griffaient et leur souffle devenait rauque. Elles poussaient de petits cris étranges et me maintenaient de plus en plus fort.
Je me suis dégagé de cette masse tentaculaire avec peine. Elles m’agrippaient et me griffaient jusqu’au sang.
Mais ce que j’avais devant moi n’était plus les six créatures de rêve que je voyais une heure avant.
Leurs corps étaient devenus difformes, leurs yeux brillaient dans la nuit, elles montraient les dents comme des chats, et les traits de leurs visages étaient devenus monstrueux.
J’étais paralysé par la peur. Alors qu’elles avançaient de nouveau vers moi, un homme est arrivé dans mon dos avec une torche enflammée qu’il a dirigée vers elles en faisant des grands moulinets.
Les créatures, terrorisées et saisies de contorsions horribles se sont carapatées en direction de la maison, elles ont claqué la porte, puis on n’a plus rien entendu.
Vincent s’est retourné vers moi. La torche éclairait son visage.