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n° 22075Fiche technique14628 caractères14628
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27/10/23
Résumé:  Un scientifique profite de son invisibilité grâce à une combinaison pour espionner.
Critères:  fh travail hsoumis fdomine exhib hmast rasage gifle piquepince -fantastiq -dominatio
Auteur : patkik            Envoi mini-message
La combinaison

Je m’appelle Francis, j’ai trente ans, célibataire, je suis chercheur dans un laboratoire travaillant pour la défense nationale. J’ai inventé une combinaison intégrale qui rend parfaitement invisible. Le premier essai que j’ai réalisé, de ma propre initiative, en toute discrétion au sein même du labo, sans prévenir les hautes autorités, m’a permis d’espionner les membres du personnel. C’était à la fois gênant et en même temps jouissif de violer, en quelque sorte, l’intimité de chacun, je n’en suis pas fière.


Grâce donc à mon petit essai privé, je me suis vite aperçu que la combi avait des défauts majeurs, mon orgueil de scientifique de haut vol en a pris un coup. Vexé, j’ai dû travailler d’arrache-pied pour rétablir la situation.


Maintenant, tout est conforme : la combinaison est parfaitement fiable. Ma direction vient de m’annoncer que j’aurais très bientôt l’autorisation de tenter une sortie hors du labo, mais cette fois en ville. Par honnêteté et pour justifier le retard de fabrication, j’ai avoué ma petite balade dans les couloirs du bâtiment, ce qui m’a été vivement reproché, si quelqu’un l’avait appris, cela aurait certainement déclenché une crise de parano générale chez mes collègues. La réunion de préparation avec ma hiérarchie pour ma prochaine sortie est interminable, j’ai un cahier des charges terriblement contraignant, certes ils me font confiance, mais je sens malgré tout comme une forme d’inquiétude…


Voilà trois jours que je patiente pour avoir le feu vert, le grand jour est arrivé, ma mission est limitée à une durée de deux heures, ce qui est déjà pas mal - par contre, je dois impérativement rester dans le secteur du quartier d’affaire où se situe notre Labo. Fébrile, j’enfile la combinaison, le directeur de projet est là, il me fait ses dernières recommandations.


En plus, c’est le printemps, il fait doux, je suis juste vêtu d’une chemisette, d’un pantalon léger et de mocassins, la combi englobe tout ça, je suis totalement invisible.


Le vêtement est très confortable, plus rien à voir avec la combi du premier essai. Sur l’esplanade où je déambule, il y a une brise légère, je le ressens à travers la structure.


Je suis concentré, il y a un monde fou, je prends mille précautions pour slalomer entre les gens. Je passe à côté d’un grand escalier où pas mal de personnes sont assises pour déguster leur sandwich ou profiter du soleil.


Chacun a ses défauts, on a des petits travers inavoués, je vous confesse le mien : je suis voyeur. J’éprouve toujours le besoin de mater à droite à gauche pour voir s’il n’y a pas une vision croustillante, et là, je suis servi ! Comme je suis en contrebas du grand escalier qui mène au parvis, je peux voir, ou plutôt admirer, l’entrejambe des femmes assises en jupe, j’attends le moindre mouvement de leur part où je pourrais apercevoir leur petite culotte, en espérant que l’une d’entre elles, un peu coquine, n’en ai pas. Hélas, mon vieux fantasme de voyeur ne sera pas réalisé pour l’instant…


Par contre, ce qui m’amuse, je viens de m’apercevoir qu’un jeune homme mate aussi, il fait semblant de bosser sur sa tablette, mais il jette un regard plus ou moins discret en direction d’une femme assise plus haut et je comprends pourquoi…


Je lui donnerais la bonne quarantaine à cette dame, cheveux blonds, lunettes de soleil, une jupe en jean assez courte qui remonte un peu haut, poitrine généreuse, de magnifiques jambes. Comme si de rien n’était, la vicieuse écarte les cuisses. Je suis persuadé qu’elle a vu le manège du jeune et, par jeu, pour l’exciter, probablement, elle lui montre par intermittence, de façon naturelle, son joli dessous rouge. Je souris, je sens ce garçon perturbé, il doit avoir la tête en ébullition, je suis sûr qu’il ne pourra, une fois rentré à son bureau, s’empêcher de s’isoler aux toilettes pour se masturber, pour se soulager.


Après ce petit spectacle bien sympathique, je continue mon périple en me dirigeant vers une grande tour où le nom d’une entreprise mondialement connue est placardé sur le fronton. Au moment où je m’approche de l’entrée principale, une limousine arrive. Je suis carrément surpris, cet endroit est une voie fermée, interdite aux automobiles, pour avoir ce genre de privilège, il ne peut que s’agir de quelqu’un d’important.


Effectivement, je reconnais de suite la personne qui descend de la voiture : c’est un grand capitaine d’industrie, régulièrement invité dans les journaux télévisés, ayant ses entrées à l’Élysée. C’est un homme d’une élégance rare, je pensais qu’il était de petite taille, bien au contraire, il est assez grand, son visage est plutôt sévère derrière ses lunettes. On devine que c’est un homme volontaire, il doit savoir ce qu’il veut, un meneur d’hommes, sans aucun doute.


Je dois prendre une décision, est-ce que je prends le risque de le suivre ou pas ?


C’est trop tentant d’espionner un tel personnage. J’ai vu, sur l’horloge de l’esplanade, qu’il me reste plus d’une heure sur le temps qui m’est imparti pour ma mission. C’est décidé, ma curiosité prend le dessus, je m’engouffre et me colle à ses basques.


La traversée du grand hall d’accueil est assez bizarre, le personnel se fige à son passage, tous le saluant respectueusement, lui ne répondant que d’un simple signe de tête… pas le moindre sourire, je dirais même qu’il est dédaigneux. Il se dirige vers son ascenseur privé, je me faufile avec lui en me plaquant dans un coin, heureusement, la cabine est spacieuse ; on monte au 28e et dernier étage.


Il semble soucieux. Il arrive à son bureau, l’endroit est tout à fait exceptionnel, vous pouvez me croire, le meuble lui-même est en bois précieux, une immense baie vitrée donnant sur une terrasse éclaire la pièce, sur les murs des tableaux de maître. Je remarque une porte ouverte à droite, j’y jette un œil, c’est une salle de bain toute en marbre, sur le côté, une immense glace panoramique, une douche italienne où l’on pourrait se loger à quatre et des toilettes. Quel luxe !


Par souci de discrétion, je préfère lui donner un pseudo quelconque, à cet homme, je le surnommerais donc John. Pourquoi John ? J’avoue que je ne sais pas trop, peut-être à cause du diplôme d’une célèbre université américaine se trouvant dans un cadre bien en évidence sur le mur. Pour l’instant, John contacte sa secrétaire par son interphone.



John se dirige vers la porte et la verrouille. Ensuite, je vois qu’il ouvre un placard fermé à clef, il en sort un ordi portable et une petite caméra. Je le sens un peu nerveux, il l’installe et se connecte sur skype. Une minute après, il dialogue avec une femme plutôt vindicative qui lui reproche son retard. Elle ne se montre pas, mais je devine au son de sa voix que c’est une femme mûre. John, devant moi, n’est plus du tout le même ; recroquevillé, moins sûr de lui, le changement est radical, on dirait un petit garçon apeuré devant sa mère sévère.



Je tombe des nues, je ne m’attendais pas à ça ! Un tout puissant comme lui a des envies de soumission ? Je reste perplexe, mais bon, chacun a son jardin secret.



John s’exécute, il met la caméra en route. J’entends la Domina qui lui demande de faire une visite virtuelle de son bureau. Cette femme est aussi surprise que moi quand elle voit le luxe de la pièce, par contre, elle est de suite très intéressée par la baie vitrée et la perspective de la terrasse. Intriguée, elle lui demande :



John explique qu’il y a un building en face avec une terrasse privée similaire, mais qu’il ne pense pas pouvoir être aperçu grâce aux petits arbres en pot qui forment une haie végétale qui sert plus ou moins de brise vue. Elle lui fait remarquer la présence d’une petite table ronde de jardin en bois et de deux chaises pliantes. John acquiesce.



John s’exécute aux ordres de sa maîtresse et j’assiste à l’effeuillage, vêtement par vêtement. D’abord, en premier lieu, il déboutonne sa chemise et la retire d’une façon nonchalante. Je pense qu’il jubile de faire ça. On ne peut pas dire que cet homme a un corps de rêve, sa peau blanche est couverte de grains de beauté, ses pectoraux sont insignifiants, par contre, ses tétons sont bizarrement développés, il a très peu de poil et un ventre légèrement rond. Elle lui fait retirer sa ceinture, dégrafer son pantalon, enlever ses chaussures, ses chaussettes, puis son futal. John est maintenant en slip – ou plutôt en boxer noir assez moulant. Je le sens perturbé, mais excité, d’ailleurs, la bosse qui déforme son sous-vêtement en est la preuve.



Il ouvre le tiroir du bureau et sort l’ustensile réclamé.



Je vois de suite que John est contrarié, il se voit sans doute mal passer sa journée cul nu, mais il ne conteste nullement, il a pris le risque de ne rien lui refuser. Cette situation, il l’a voulu, c’est un immense défi, surtout un fantasme qui devait le hanter depuis des années.


Non sans peine, il découpe d’abord un côté du boxer qui dévoile une partie intime de son anatomie, il a franchement du mal à découper le deuxième côté, ça a le don d’agacer sa dominante :



D’un geste décidé, il déchire le reste de tissus, le boxer tombe au sol. Le voilà tout nu devant cette dame, sa verge est plutôt longue, mais assez fine, ses bourses sont pendantes, il a un pubis grisonnant et broussailleux très fourni. Pour ma part, je trouve cela disgracieux.



John, tout penaud, disparaît quelques instants, il fait « fissa », comme on dit. Tout fébrile, il commence par raccourcir les poils avec le ciseau, puis il met abondamment de la mousse à raser sur son pubis et sur ses bourses, il prend mille précautions pour éviter de se couper avec le rasoir. Vu l’érection que cet exercice lui procure, ça montre qu’il est dans un état d’excitation incroyable. Il finit de retirer le peu de mousse restante avec un mouchoir, je trouve le résultat de ce débroussaillage plutôt réussi.



Il fonce les chercher, elle les lui fait mettre sur ses tétons. Tout de suite, il grimace :



Il doit tirer dessus, je le soupçonne d’être un peu maso, car il tend ses tétons plus que cela ne lui est demandé, sans ménagement. Il respire de plus en plus fort, son visage est crispé.



Elle lui ordonne d’aller installer le pc portable sur la terrasse… la suite de cette séance se passera à l’extérieur. John installe l’appareil sur un rebord en béton de façon à ce que sa dirigeante puisse le commander et le voir facilement.



Dans mon coin, je jubile, la scène est incroyable. John, à l’aide d’une chaise, monte sur la table, tout nu. Il bande, le vent doit lui caresser le sexe. Je ne sais pas s’il s’est déjà exhibé dans sa vie, mais j’aime à penser qu’il peut être vu de la tour d’en face, perché sur son podium improvisé.



Il tend son cul bien en arrière, face à la caméra, et commence à s’infliger une fessée.



John, stimulé par sa maîtresse, se déchaîne, les claquements sont puissants. En un rien de temps, ses fesses sont écarlates, il est essoufflé, il doit sentir la brûlure…



John, sans retenue, se masturbe comme un fou, se décalottant à fond, ses couilles ballottent, ses jambes sont écartées, il est sur la pointe des pieds. La position est presque ridicule ; John sans moque, il souffle, respire fort, émet de petits cris. Déchaîné, il résiste peu de temps et éjacule dans le creux de sa main ; je suis surpris par l’abondance de son sperme.



John, sans aucune hésitation, répand sa semence.



Avec soulagement, John se débarrasse de ses ustensiles de torture, commence à se vêtir, souillé de son foutre, sa Domina observant la scène.



Après avoir coupé la communication, John est assis sur son fauteuil de bureau, les yeux dans le vague, inerte, il semble sonné, malgré tout, son visage est apaisé ; je le soupçonne d’avoir pris beaucoup de plaisir, stupéfait sans doute d’avoir tenté cette expérience.


Oh là, je viens de voir sur la petite pendule de son bureau que je vais être en retard, je m’éclipse rapidement dans l’ascenseur et me demande si je dois raconter ce que je viens de vivre dans mon rapport… On verra, j’improviserai.