n° 22085 | Fiche technique | 22756 caractères | 22756 3969 Temps de lecture estimé : 16 mn |
31/10/23 |
Résumé: Un couple se balade avec un ami, une tenue trop légère, une invitation au plaisir... | ||||
Critères: fhh plage exhib noculotte -candaul -exhib mer nature | ||||
Auteur : Stan Nikitas Envoi mini-message |
Cette petite aventure remonte à quelques années, notre couple de jeunes quadragénaires commençait tout juste à s’autoriser des sorties sans les enfants et redécouvrait les joies des escapades en pleine nature sans les petites contraintes d’organisation qu’implique une vie de famille.
C’est au cours d’un petit séjour chez des amis en Bretagne que nous profitons du beau temps pour organiser une promenade d’après-midi sur les sentiers sauvages de ce bout de côte que nous aimons tant. Carole, la compagne de David, n’étant cependant pas très portée sur la marche à pied, laisse David nous accompagner pour cette sortie.
Le vent léger, mais toujours présent, est appréciable par ce bel après-midi ensoleillé. La marche sur les sentiers sinueux et vallonnés s’avère plus physique que prévu, mais cela n’est pas pour nous déplaire. Nous ne sommes pas de grands randonneurs, mais les balades côtières font partie de nos activités favorites.
La température presque estivale de ce mois de mai permet à Élodie d’accepter plus facilement de ne pas porter de sous-vêtements. Élodie laisse ses culottes et soutien-gorge au placard quand le contexte le permet depuis en effet quelques années. Ce qui, au départ, n’était qu’un jeu érotique occasionnel est devenu au fil du temps une habitude coquine qui ne se discute presque plus. Cela me laisse le loisir de caresser son corps par-dessus ou par-dessous le tissu lorsque nous crapahutons sur les sentiers et de m’amuser des coups d’œil plus ou moins discrets des promeneurs que nous croisons quand ils lorgnent le balancement de sa poitrine libérée.
Aujourd’hui, ce détail n’échappe pas aux yeux de notre ami lorsqu’elle retire son gilet au pied de la voiture. Le regard de David, au début un peu dans le vague, s’attarde un temps sur le mouvement des seins pendant le déshabillage. Le petit haut couleur crème aux manches courtes est parsemé de motifs semi-transparents, il laisse deviner la couleur un peu foncée des aréoles et lui galbe parfaitement les seins en laissant fièrement pointer les mamelons sous le fin tissu. Elle porte une jupe portefeuille gris perle toute légère qui lui arrive à mi-cuisse et je surprends à nouveau le regard furtif de David lorsque, se penchant dans le coffre pour y ranger les affaires que nous n’emportons pas, la jupe remonte et dévoile l’arrière de ses jambes plus que de raison. L’espace d’un instant, je suis partagé entre différentes émotions, mélange de plaisir et de gêne, c’est finalement le plaisir qui l’emporte et c’est avec le sourire aux lèvres que je m’engage sur le chemin de randonnée.
La marche se révèle être assez exigeante le long des sentiers sinueux et vallonnés de ce bout de côte. Le paysage est magnifique et nous admirons les différentes couleurs que prend la mer selon la nature des fonds marins ou du passage des nuages. Élodie doit de temps à autre aborder quelques petits passages difficiles avec mon aide, je ne manque alors évidemment pas de plaquer mes mains sur ses fesses pour l’aider à passer un obstacle rocheux, ce qui suscite de sa part des rires et commentaires sur ma façon d’appuyer et d’attarder mon geste plus que nécessaire. Cela devient vite addictif et chacune de mes interventions perd en discrétion, David s’amuse de me voir ainsi asticoter Élodie dont les protestations se font de moins en moins convaincantes. L’un des passages accidentés se présente sous la forme d’un marchepied sommaire, constitué de quelques billots de bois. Je glisse l’une de mes mains sous la jupe pour l’aider à grimper à l’aide d’une petite poussée. J’empaume alors largement l’une de ses fesses nues… dans le mouvement, je sens mes doigts venir au contact de ses lèvres légèrement humides.
Ce dernier geste est peut-être de trop, Élodie se retourne vers moi et me fait en effet les gros yeux avec, cependant, un petit sourire suivi d’un rapide baiser avant de reprendre la marche.
Je profite de chaque pause panoramique que nous faisons pour prendre Élodie dans mes bras en me plaçant derrière elle de manière à pouvoir caresser discrètement son corps à travers le tissu, mes mains remontent du ventre pour passer sur un sein puis sur une cuisse pour s’approcher du mont de Vénus et des hanches. Les fesses un peu relevées et bien appuyées contre moi, Élodie ne peut ignorer la tension de mon sexe tendu, bien à l’étroit dans mon pantalon de marche. Elle repousse de temps à autre doucement ma main dès que le regard de David revient vers nous tandis que nous échangeons des commentaires sur la beauté du paysage qui s’offre à nous.
Voilà bien cinq kilomètres que nous marchons ainsi quand se pose la question de faire demi-tour ou de continuer encore jusqu’au petit phare qui se trouve à encore deux bons kilomètres de là. La côte traçant un grand arc de cercle, nous pouvons également facilement couper en passant par la route départementale plus directe, mais cela nous obligerait à marcher sur une voie étroite et très circulante. Élodie tenant absolument à rejoindre le phare, je propose d’aller chercher la voiture en partant seul par la route, quitte à faire du stop pour aller plus vite. David se proposerait bien de nous laisser en amoureux et d’aller chercher mon véhicule, mais il n’insiste pas plus que ça et je me décide à partir de mon côté par la route rechercher la voiture. Élodie et David continuent tous deux par le sentier côtier.
Il me faut finalement plus de temps que je ne l’imaginais pour récupérer la voiture. Au bout de presque trois quarts d’heure, j’envoie un texto à Élodie pour lui dire que je les retrouverais directement au niveau du panorama. Elle me répond en me demandant de prendre le sac à dos contenant les serviettes et de descendre directement sur une petite plage que David connaît et qui se trouve en contrebas du phare.
Arrivé sur place, je reste quelques minutes à contempler la vue panoramique exceptionnelle avant de les rejoindre sur la plage en question. Je retrouve alors un joyeux duo manifestement ravi par la promenade. Élodie m’embrasse de façon un peu appuyée, mais répond avec un flottement inhabituel dans la voix quand je demande si la fin du parcours s’est bien passée. Nous nous installons en silence sur un coin de cette petite plage quasiment déserte. Élodie s’allonge sur sa serviette et ferme les yeux pour savourer la douce chaleur du soleil tandis que David exprime quelques banalités sur la beauté du site avant de se lever pour explorer les lieux.
Élodie, après un bref regard jeté dans la direction de notre ami, referme les paupières et me lâche :
Passé un bref temps de surprise, j’essaye de questionner Élodie qui me coupe à nouveau la parole.
Je ressens d’un coup une chaleur me monter au visage et mon cœur s’emballer un peu. Je ne sais pas ce qu’attend Élodie comme réaction, mais je ne peux que sourire à l’évocation de la scène.
Cette fois, ses yeux sont bien ouverts et elle me regarde en se redressant sur les coudes.
Le retour de David coupe court à cet échange troublant. Il s’installe sur sa serviette après avoir retiré short et t-shirt. Je l’imite et nous voilà tous deux assis en caleçon avec Élodie entre nous deux. Nous restons ainsi tous trois en silence à contempler la mer, bercés par le bruit léger du ressac. David, à nouveau après avoir déclaré qu’on avait de la chance de ne voir personne sur ce bout de plage, encore que celle-ci est assez méconnue et qu’en pleine semaine et hors période de vacances ce n’était au final pas si surprenant.
Elle me répond qu’elle aurait bien voulu, mais qu’elle n’en avait pas emporté, il n’y a qu’une culotte dans le sac que j’ai descendu.
Je pensais qu’Élodie allait davantage hésiter en raison de la présence de notre ami et de sa réaction à sa petite mésaventure de tout à l’heure, aussi, je suis très agréablement surpris de la voir retirer sa robe après n’avoir enfilé pour tout vêtement que la petite culotte de dentelle bleue, un peu trop échancrée et transparente pour pouvoir passer décemment pour un maillot de bain.
Pour manifester mon contentement de l’admirer dans cette tenue si légère, je m’empresse de l’embrasser sur les lèvres avant d’effectuer une leste descente pour prendre l’un de ses tétons en bouche.
Il me faut un peu insister avant qu’Élodie ne me réponde à demi-mot :
David revenant près de nous, c’est presque en chuchotant qu’Élodie conclut en me disant :
J’encaisse cette révélation annoncée presque d’une traite qui me retourne de sentiments divers, un mélange de jalousie mêlée d’excitation. Élodie le sait, il s’agit ni plus ni moins que d’un de mes phantasmes exprimés plus d’une fois lors de nos ébats amoureux. La simple idée de l’exhibition de ma douce en présence d’un autre homme suffit à doper ma libido, mais là j’ai bien l’impression que l’on a passé un sacré palier. Je n’ai pas vraiment la possibilité d’y réfléchir davantage, David se tient debout devant et nous interpelle tout en reluquant Élodie sans trop de retenue.
Élodie répond aussitôt par l’affirmative, pour ma part je me lève spontanément et nous voilà tous les trois marchant vers le bord de l’eau. C’est avec ravissement que j’observe ma femme, quasi nue sous le soleil, en pleine nature, ondulant des hanches et les seins se balançant légèrement au rythme de ses pas.
David se tient un peu en arrière, ses yeux reviennent sans cesse au postérieur d’Élodie, le fin tissu de dentelle ne cache en effet rien de ses jolies formes et laisse, en toute indécence apparaître parfaitement la ligne de son sillon fessier. J’imagine alors que son pubis tout aussi peu dissimulé était le point d’attention de notre ami un peu plus tôt.
L’eau fraîche a bien du mal à refroidir mes ardeurs, je caresse les seins d’Élodie sous l’eau et je prends ses fesses à pleines mains. Je ne suis pas très discret et suis surpris qu’elle ne cherche pas à repousser mes doigts qui viennent de temps à autre se glisser sous sa culotte pour une rapide caresse.
Nous laissons David faire quelques longueurs en crawl et remontons à nos serviettes en haut de la plage. Élodie me surprend à nouveau en retirant sa culotte mouillée et me demande de l’étendre sur un gros rocher de granite près de moi. Elle se sèche rapidement, étale sa serviette et s’allonge le plus simplement du monde sur le dos, la tête calée sous son sac et les yeux clos comme partie pour une petite sieste, indifférente à la nudité de son corps offert autant au vent, au soleil qu’aux regards.
Je ne peux contenir mon érection dans mon caleçon mouillé que je retire aussitôt. Je me sèche rapidement puis me penche sur les lèvres de mon épouse en lui prenant la main pour qu’elle puisse se saisir de mon sexe bandé. Elle ouvre les yeux dans un sourire et jette un œil vers le rivage.
Tout en lui parlant, je caresse ses seins, son ventre, l’intérieur de ses cuisses. Je remonte prendre l’un de ses mamelons entre les doigts et le presse un peu. Ils sont habituellement très sensibles et elle ne me laisse d’ordinaire les pincer que lorsqu’elle est très excitée. Pour toute réponse, elle ferme les yeux dans un léger soupir. Sans lâcher son sein, je glisse l’autre main jusqu’à sa toison tandis qu’elle écarte un peu l’une de ses jambes pour me faciliter l’accès.
C’est à ce moment que j’aperçois au loin David sortir de l’eau et remonter vers nous. Mes doigts quittent les petites lèvres avec regrets, mais je continue cependant mes caresses, une main sur un sein et l’autre sur la cuisse.
Élodie me prend la main et me la replace sur son sexe. Je reprends mes caresses en alternant la stimulation des doigts sur le clitoris et des glissades au bord de la fente humide.
David remonte maintenant la plage, mais cette fois, je poursuis mes mouvements comme si de rien n’était. Il s’arrête à mi-chemin, se retourne un instant vers la mer avant de jeter un regard vers nous tout en reprenant sa marche plus lentement. Il m’est évident qu’il perçoit désormais parfaitement la scène.
Je sais maintenant que je veux que mon voyeur profite le plus possible du spectacle, je décide de laisser Élodie dans l’illusion qu’il se trouve toujours à une distance respectable.
J’obtempère avec plaisir et laisse David nous rejoindre sans interrompre mes caresses, il se tient maintenant à notre hauteur en gardant le silence. Ses yeux pleins de gourmandise parcourent le corps impudique d’Élodie qui tangue doucement pour accompagner ma masturbation.
D’un signe de tête, je lui indique qu’il peut rejoindre sa serviette à côté de nous.
Je veux faire durer le plaisir et il comprend qu’il a tout à gagner à se faire discret, Élodie ne semble pas se douter de sa présence, alors je reprends aussitôt mes commentaires :
David retire son boxer et s’installe en silence sur sa serviette tandis qu’Élodie garde toujours les yeux fermés. Elle gémit doucement tout en ondulant du bassin, dévorée de désir, sans se douter du troublant spectacle érotique qu’elle offre involontairement à un autre mâle nu en érection à ses côtés.
David est en extase devant la scène que je lui offre. Allongé sur le côté, il caresse doucement son sexe tendu qui se décalotte de lui-même tandis qu’il s’abandonne à l’écoute de notre conversation.
David s’est maintenant lancé dans une masturbation rapide qu’il peine à rendre la plus silencieuse possible. Il semble faire de gros efforts pour empêcher le souffle de sa respiration le trahir.
À ce point de la conversation, David a lâché son pénis qui semble ne plus pouvoir tenir très longtemps sa masturbation. Je suis incapable de savoir si finalement Élodie se doute ou pas de sa présence à nos côtés, mais je ne tiens plus et décide de changer de position, je me place à genoux devant ma douce tout en faisant signe à David de lui caresser la vulve à ma place, cela me permet de l’embrasser et de lui prendre les seins des deux mains et de lui pincer les tétons.
Élodie se contorsionne pour tenter de me prendre en bouche et écarte en même temps les jambes pour assurer ses appuis, David en profite aussitôt pour se pencher sur son pubis afin de lui lécher le coquillage. Élodie marque un temps de surprise, puis se cambre aussitôt, l’une de ses cuisses se soulève brusquement dans un intense spasme de jouissance accompagné d’un gémissement étouffé. La vision de ma femme en extase avec le visage d’un autre homme entre ses cuisses m’achève moi-même dans une explosion de plaisir qui me coupe les jambes et me fait m’effondrer sur ma serviette.
David approche soudainement son bassin du buste d’Élodie qui vient seulement d’ouvrir les yeux, elle prend quelques longues secondes pour observer ce phallus qui lui est offert et pour comprendre la sollicitation pressante de notre ami avant de s’en saisir afin de le masturber frénétiquement les quelques secondes nécessaires au jaillissement d’une abondante éjaculation.
Vidé, au propre comme au figuré, je reste sans réaction à la vue de ce sperme répandu sur la poitrine de ma femme, sur son ventre, sur ses doigts. Elle garde encore la verge de notre ami dans sa main et l’observe avec curiosité avant de poser ses lèvres sur le gland écarlate et luisant, comme s’il s’agissait d’une friandise. Cela provoque aussitôt un mouvement réflexe de David qui se recule vivement et, avec un sourire béat, se saisit de sa serviette pour essuyer la semence sur les seins de mon épouse.
***
Nous sommes encore restés ainsi un moment sans rien dire, profitant de la chaleur des rayons du soleil déclinant. Élodie s’étant redressée pour enfiler sa robe, David profita de ses mouvements pour lui caresser les fesses tout en la remerciant, ce qui lui valut un sourire complice en retour. Nous avons enfin remonté la côte jusqu’au petit phare ou nous nous sommes arrêtés pour admirer une dernière fois l’océan.
Le trajet en voiture et le début de soirée chez David et Carole étaient teintés d’une petite impression de malaise tant il nous était difficile de soutenir une conversation anodine. Tout nous ramenait au trouble de l’évocation encore très présente de notre folie charnelle. Nous dûmes décliner l’invitation de Carole à rester dîner en prétextant vouloir éviter les difficultés de circulation pour notre retour.
C’est bien plus tard que le souvenir de cet épisode érotique de notre vie nous servira de temps à autre de piment lors de nos ébats, cependant Élodie se sent toujours gênée et refuse d’en parler à tout autre moment. Je n’ai par exemple encore jamais su à quel moment elle s’était rendu compte de la présence de notre ami à nos côtés. Finalement, suis-je certain de savoir qui des deux était le plus dupé ?
Nous revoyons David et Carole de temps à autre, mais l’occasion de se retrouver seuls avec lui ne s’est jamais représentée. Ce n’est sans doute pas plus mal et cela reste encore la meilleure façon pour moi de conclure cette petite histoire.