Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 22115Fiche technique31823 caractères31823
5224
Temps de lecture estimé : 21 mn
14/11/23
Résumé:  Vous connaissez tous Laetitia, l’écrivaine qui s’est donné comme mission d’éradiquer les plus affreux vilains de la planète. Mais vous ignorez certainement qu’il m’est arrivé de la seconder lors de ses opérations spéciales.
Critères:  fh ff fffh candaul grossexe grosseins froid voyage pastiche humour policier -humour -policier
Auteur : Jimmychou      Envoi mini-message
Opération spéciale en Corne d'Or



Ma question déclencha le rire bohémien (comme le cristal) de ma belle amie.



C’était ce genre de réflexion qui me donnait une furieuse envie de mettre un coup de genou dans les couilles de Laeti. Mais heureusement, je sais me tenir et ce n’est pas dans mes habitudes de cogner sur une jolie femme, surtout si elle a le grade de septième dang de Viet vo dao.


Laeti et moi c’est comme qui dirait la tête et les jambes, enfin surtout Laeti qui parle couramment sept langues vivantes plus la langue au chat pour laquelle elle a montré des dispositions très précoces.

Laeti maîtrise de surcroît parfaitement le latin alors que mes connaissances en la matière se limitent aux trois mots essentiels que sont phallus, utérus et cunnilingus.

Ajoutez à cela un mastère en histoire de l’art et un CAP en pyrotechnie et vous aurez une vague idée de l’incroyable QI de la magnifique Laeti.

Mais Laeti n’est pas qu’un brillant esprit. Outre son expertise en arts martiaux, elle a aussi remporté plusieurs championnats universitaires en hockey sur gazon.

Enfin, last but not least, sa connaissance des armes à feu rendrait jaloux un agent du MI5. Ce qui m’épate beaucoup car je suis parfaitement incapable de faire la différence entre un Glock 17 et un AK 47.

Pour faire simple - j’espère que les lecteurs transgenres ne m’en voudront pas d’utiliser une référence masculine - Laeti, c’est un peu l’équivalent féminin de Ethan Hunt.

La belle trentenaire blonde est tellement efficace lorsqu’il s’agit d’envoyer un méchant rejoindre ses ancêtres, que sa réputation a largement dépassé les frontières de la Picardie, la région qui l’a vue naître à la fin des années 80.


De mon côté, c’est plutôt entre la tête et les jambes que je m’exprime le mieux. Au niveau de la queue pour être précis.

Je dois avouer que j’ai bien été aidé par dame nature qui m’a doté d’un bel engin long, épais, aux veines joliment dessinées, dur comme l’acier et doux comme la soie. Bref, un braquemart encore plus excitant que ceux qu’on trouve parfois décrits dans les histoires cochonnes proposées sur les sites spécialisés.


++++@@@@@++++


Laeti est d’ordinaire une aventurière solitaire, qui, lorsqu’elle est en mode Extermination des Affreux, n’a guère le loisir de s’encombrer d’un partenaire ni vraiment futé, ni vraiment sportif, mais véritable obsédé sexuel qui risquerait de la gêner ou au mieux de la ralentir dans la réalisation de sa mission.

Là où Laeti passe, les vilains trépassent, ont l’habitude de répéter les hauts responsables des services secrets du monde entier. C’est tellement vrai que les membres les plus impitoyables des organisations mafieuses chient dans leur froc à la simple évocation de son nom. Mais malgré toutes ses qualités, il est quand même des cas où Laeti a besoin d’un coup de main (ou de plusieurs coups de queue) pour maximiser ses chances de réussite. Je ne vous ferai pas la liste de tous ses partenaires occasionnels présents ou passés, mais sachez que seconder Laeti est rarement une sinécure. Même si certains ont pu éprouver un plaisir aussi intense qu’éphémère dans une partie de jambes en l’air avec l’agente la plus douée de sa génération, pour quelques-uns d’entre eux, cette étreinte eut malheureusement une issue fatale.


Donc, disais-je, Laeti doit parfois faire appel à la sous-traitance quand elle a besoin de prestations dans un des rares domaines qu’elle maîtrise peu ou pas. Et dans l’aventure que j’ai décidé de vous relater aujourd’hui, elle avait dû faire de nouveau appel à son vieux copain Jimmy, plus connu sous le pseudonyme de Iron Dick par le service action de la DGSE.



++++@@@@@++++



En l’occurrence, ma partenaire avait été contactée, non pas par la Piscine, mais par son équivalent dans une nation alliée qui commençait à nourrir une certaine animosité à l’encontre du dictateur de la Corne d’Or, un petit pays péninsulaire perdu aux tréfonds de l’Asie.

Le message, bien que codé, était d’une clarté limpide :


Il est désormais temps de mettre fin aux agissements de

Pim Poumh Pahm, le président autocratique de la Corne d’Or.


Ce tyran était alors l’ultime héritier d’une dynastie qui, depuis des décennies, dirige d’une main de fer cet État voyou dont le régime ne tient que par ses alliances avec les narcotrafiquants qu’il fournit abondamment avec les produits de l’agriculture locale transformés dans de discrets laboratoires clandestins disséminés sur son territoire.


Ce n’était pas tant l’industrie florissante Or-Cornéenne des stupéfiants qui indisposait l’administration de la nation alliée, que la volonté récente de son dirigeant de doter son pays de l’arme nucléaire.

Une fois n’est pas coutume. Certains, en haut lieu, avaient fini par comprendre qu’il valait mieux tuer dans l’œuf toute velléité malvenue de prolifération plutôt que de procrastiner jusqu’à ce qu’un cinglé de plus se retrouve à la tête d’un arsenal prêt à déclencher l’Apocalypse.


Les services qui avaient fait appel à Laeti avaient découvert un des secrets les mieux gardés de la dictature Or-Cornéenne : Pim Poumh Pahm était candauliste pratiquant.

Il n’avait pas fallu à l’aventurière hors pair(e) plus de quinze secondes pour entrevoir le parti qu’elle allait pouvoir tirer de cette information.

C’est pourquoi elle avait fait appel à votre serviteur, complice occasionnel, mais néanmoins motivé, espérant que mes atouts physiques me permettraient de m’introduire dans le cercle intime du didacteur après un passage éphémère dans les orifices brûlants de son épouse Phou Foun.

Une mission que je comptais bien mener à son terme avec succès, tant la simple évocation des formes voluptueuses de la superbe et mystérieuse moitié du despote, que j’avais eu maintes occasions d’admirer grâce aux photos proposées par la presse people me faisait bander d’aise.


Je mentirais en prétendant que mes activités professionnelles liées à la défense du monde libre me permettent de mener grand train.

Je dois malheureusement convenir, que malgré ce que pourraient laisser penser tous les récits traitant du sujet sur les sites d’histoires cochonnes, le nombre d’adeptes du candaulisme parmi les chefs d’État et dirigeants internationaux est en réalité assez faible et de facto les missions comme celle que je m’apprêtais à exécuter avec ma copine Laeti, encore plus rares.


C’est pourquoi pour faire bouillir la marmite, je compte plutôt sur les piges que j’effectue régulièrement pour la société Ejac & MesSelles, un éditeur de vidéos pornographiques spécialisé dans la scatophilie, dont vous connaissez sûrement les productions phares telles que : « Goûte un peu à mon esquimau chocolaté », « Un cure-fesses pour ma maîtresse » et le fameux « Tout au fond de la fosse de Marianne ».



++++@@@@@++++



Nous venions d’atterrir à l’aéroport international de Pinh Dhân, la capitale du pays que les forces du bien avaient décidé de débarrasser de son président démocratiquement élu, pour un mandat à durée indéterminée, par son oncle, avant-dernier titulaire du poste, juste avant son décès accidentel à l’issue d’une partie de roulette or-cornéenne qui avait mal tourné. (la roulette or-cornéenne est une variante de la roulette russe dans laquelle le revolver six coups chargé d’une seule balle est remplacé par un canon un coup muni de six obus).


Alors que Laeti avait passé la majeure partie du voyage à picoler du champagne et à pioncer comme un bébé en business class, j’avais dû faire preuve d’initiative pour échapper au confort sommaire de la classe économique.

Force est de constater que comme dans les sociétés de nettoyage, les sous-traitants des services de renseignement sont généralement beaucoup moins bien traités que les titulaires. Heureusement, Linda, une hôtesse de bord rousse toute en rondeurs, m’avait offert mieux qu’un matelas douillet en m’accueillant pendant plusieurs heures dans ses profonds orifices que j’avais en contrepartie remplis de mon abondante semence.



++++@@@@@++++




L’ordre exprimé par le policier des frontières de la Corne d’Or dans un anglais hésitant ne laissait guère de latitude à la discussion. Je me demandai aussitôt si notre expédition dans ce paradis stalinien n’allait pas se terminer avant d’avoir commencé.

Mais c’était sans compter sur l’esprit d’initiative de Laeti qui intervint aussitôt et lança un regard de braise au douanier. Après quelques minutes de palabre dans un sabir dont je ne saisis pas le moindre mot, le sergent Mouh Dlapinh nous conduisit dans une pièce aussi gaie que le local poubelle d’une prison afghane.

Laetitia m’expliqua brièvement que le sous-officier avait cru discerner grâce au scanner du portique du hall d’arrivée de l’aéroport, un gros objet contondant planqué dans mon pantalon et son instinct de fin limier l’avait naturellement poussé à savoir de quoi il s’agissait.

Lorsque le fonctionnaire zélé découvrit le machin qui l’avait tant intrigué, son teint naturellement hépatique vira aussitôt au rouge vif et il m’ordonna illico de remettre mon caleçon à fleurs, sans doute désireux d’éviter à Shat Hanfeuh, sa subordonnée et accessoirement maîtresse de subir un traumatisme psychologique irréversible.



++++@@@@@++++



Le bar dancing dans lequel nous avait donné rendez-vous, le contact local des services spéciaux du pays allié était encore plus glauque que les pires boîtes à putes de la banlieue de Mossoul. La boule à facettes cabossée et rapiécée avec les emballages de capotes abandonnés par les clients du lieu ne reflétait que le désespoir de prolétaires abrutis par les brimades de petits chefs fielleux et vindicatifs. Les effluves de sueur âcre masquaient avec peine les odeurs de friture rance et Chee Mhou, la correspondante de Laeti, possédait l’essentiel des caractéristiques physiques d’un pilier de rugby vêtu d’une robe lamée rouge vif.

Le niveau d’anglais moins que scolaire de Chee Mhou avait amené Laeti à communiquer avec elle en mandarin. Mes connaissances en ce domaine se limitant à trois levrettes et deux sodomies pratiquées sur l’épouse d’un professeur hospitalier réputé, je m’étais contenté de siroter mon verre de whisky local frelaté en regardant le numéro de pole dance d’une post-retraitée percluse d’arthrite.

Je venais d’absorber les dernières gouttes de mon infect breuvage lorsque Laeti se leva d’un bond et m’invita à quitter les lieux sur un ton péremptoire.




++++@@@@@++++



Une fois mes ablutions faites dans la chambre du palace local, dont l’architecture n’était pas sans rappeler celle d’un Formule 1 de sous-préfecture, j’invitai ma partenaire à me rejoindre dans le lit king size de la chambre de classe supérieure.



Laeti s’approcha alors du lit avec un sourire narquois et elle tira le drap d’un coup dévoilant de façon totalement impudique ma queue pointant vers le plafond.



Laeti garda le silence jusqu’à ce qu’on frappe à la porte. L’aventurière se dirigea alors jusqu’à l’entrée de notre « suite » pour ouvrir à deux charmantes autochtones, qu’elle salua poliment dans la langue locale.

Les deux trentenaires étaient à peu près de même taille, mais leurs morphologies étaient totalement opposées.

Celle qui était dotée d’une chevelure opulente, d’une énorme paire de nichons et d’un cul plus que rebondi se dirigea spontanément vers moi, visiblement fascinée par mon manche à couilles tout raide.

Après quelques secondes d’observation attentive, elle se résolut à en enfourner un morceau conséquent dans sa bouche gourmande. Quelques minutes plus tard, solidement empalée sur mon braquemart abondamment lubrifié, elle me chevauchait en poussant des piaillements satisfaits et fort bruyants.

Me laissant à mes jeux aussi vieux que le monde, Laeti avait préféré suivre sa seconde invitée dans un endroit mystérieux où était certainement en train de se dérouler une partie de broute-minou particulièrement épique.



++++@@@@@++++



Le lendemain, après une douche glacée imposée par une panne provisoire et inhabituelle – selon le directeur de l’établissement – du circuit d’eau chaude de l’hôtel, nous enfilâmes nos tenues de randonneurs et nos sacs à dos pour nous diriger vers la gare Centrale de Pinh Dhan.



Laeti me considéra d’un air navré avant de répondre.



Laeti se contenta d’un haussement d’épaules pour toute réponse.



Laeti sortit aussitôt un mini-récepteur habilement dissimulé dans un tampon hygiénique.




++++@@@@@++++



En début d’après-midi, le train à faible vitesse de la compagnie nationale ferroviaire de Corne d’Or atteignit avec ponctualité la gare de Trouhduc.

Le seul autre voyageur du compartiment dormait à poings fermés.




++++@@@@@++++



J’éviterai d’évoquer le passage de l’histoire où je dus me foutre à poil et attendre stoïquement que Laeti me file quelques baffes bien senties avant de m’envoyer dans les bras de Morphée par une savante pression sur la carotide.



++++@@@@@++++



Lorsque je me réveille, je suis étendu, toujours aussi peu vêtu, sur un vaste lit en métal. Heureusement pour moi, la température de la salle est nettement plus agréable que celle qui règne à l’extérieur. En revanche, je constate, en voulant bouger, que tous mes membres, excepté celui qui me sert d’outil de travail, sont solidement attachés aux quatre coins de la structure métallique du plumard.


Ma queue constitue d’ailleurs à cet instant le centre d’intérêt de trois adorables nymphettes portant comme unique parure de longues jupes en voile transparent permettant à mon œil exercé de mater à loisir leur toison de jais. Les coquines, dont les seins juvéniles tressautent sensuellement à chacun de leurs rires joyeux, tripotent émerveillées mes bijoux de famille en poussant des piaillements ébahis devant l’effet produit par leurs attouchements impudiques.

Tant et si bien que je finis par arroser leurs torses délicats par de copieuses giclées de foutre ce qui semble ravir les charmantes chipies qui se mettent à laper mon liquide séminal sur le corps de leurs copines.

J’entrevois déjà une suite particulièrement débridée à ces manifestations décomplexées lorsqu’un vent de panique provoque l’envolée des mignonnettes. En tournant la tête, je découvre la cause de leur fuite soudaine.

C’est la voluptueuse Phou Foun, précédée par son garde du corps personnel, un sumo de deux mètres quinze pour environ deux cent cinquante kilos, qui vient d’entrer dans la pièce. Juchée sur des sandales en cuir argenté à talons de quatorze centimètres et vêtue d’une robe lamée décolletée jusqu’au nombril qui découvre largement ses cuisses, l’intégralité de son dos et l’essentiel de ses nichons siliconés, la sublime présidente m’offre un spectacle qui ne peut évidemment me laisser de marbre.

D’ailleurs, ça ne rate pas, car presque aussitôt ma hampe se redresse lentement mais sûrement en l’honneur de l’épouse du despote éclairé de la Corne d’Or.

Bouh Duh Khel Kheu ! s’exclame la belle asiatique en contemplant mon entrejambe.

Malgré mon ignorance totale du patois local, je comprends que la vue de mon étendard levé ne laisse pas Phou Foun indifférente.

Elle tape brièvement dans ses mains et dix secondes plus tard, on me délivre de mes liens. Le sumo me soulève aussitôt comme un vulgaire bout de barbaque et me jette sur son épaule afin de suivre sa maîtresse vers une destination inconnue. Après un dédale de couloirs et le franchissement de deux checkpoints, nous parvenons enfin jusqu’à la chambre présidentielle où je suis déposé avec précaution sur le gigantesque lit circulaire situé au milieu de la pièce.


Assis dans un trône digne d’un pharaon, adossé au mur qui fait face à l’entrée principale, un quadragénaire asiatique à l’air faussement débonnaire, vêtu d’une longue et luxueuse robe de chambre en étoffe brodée me regarde avec l’œil brillant. Il est chaussé de bottines en cuir fourré de marque australienne.

Je reconnais immédiatement le dirigeant tout puissant de la République populaire de Corne d’Or.


Un claquement de doigts et le petit personnel présent quitte aussitôt les lieux. Ne restent plus dans la chambre que le maître de céans et deux amazones à la musculature fine et nerveuse qui se tiennent debout des deux côtés du fauteuil présidentiel. Planté devant l’entrée principale de la pièce, le sumo garde du corps veille à ce qu’aucun intrus ne puisse pénétrer dans la piaule cossue sans y être invité.



++++@@@@@++++



C’est à ce moment qu’une porte dérobée située sur un des murs intérieurs s’ouvre lentement pour permettre à Phou Foun de rejoindre l’assemblée présente. La présidente est vêtue d’un déshabillé transparent ras le bonbon qui n’occulte, ni ses obus orgueilleux, ni son terrain de jeu impeccablement tondu. Ses jambes fuselées montées sur des sandales à plateforme et talons de quinze centimètres supportent son cul aux rondeurs admirables. Son visage, savamment entretenu par une armée d’experts en bistouri et autres injections élaborées, est barré d’un sourire carnassier qui me laisse espérer quelques caresses buccales de haut vol pour mon salami de compétition.


La maîtresse de maison se dirige alors vers moi en ondulant de la croupe puis elle me chope le grand mât qu’elle se met à lécher goulûment avec sa langue râpeuse.

Pim Poumh Pahm regarde attentivement la scène offerte par sa tendre épouse. Son regard lubrique et sa main plongée dans son caleçon de soie dorée témoignent de son émoi grandissant.



Je manque de m’étouffer, non seulement à cause de la métaphore prononcée dans la langue de Voltaire, mais surtout parce que je viens de reconnaître la propriétaire de l’organe qui s’est adressée à moi en toute décontraction. La marque de naissance en forme de cœur qui orne sa fesse droite est la preuve indubitable que Phou Foun n’est autre que Coralie Chang, la fille du traiteur asiatique qui tenait une petite échoppe boulevard de Ménilmontant lorsque j’étais lycéen. Je me souviens parfaitement avoir perdu mon pucelage en baisant pour la première fois avec Coralie dans l’arrière-cuisine pendant que son père s’offrait une sieste réparatrice sur une des banquettes de la petite salle du restaurant. Et c’est à cette occasion que j’avais aperçue pour la première fois, la fameuse tache de naissance. Tu parles d’une surprise !


Néanmoins, à ce moment de l’expédition, j’espère intimement que l’épouse du dictateur local ne va pas me remettre, ce qui est heureusement concevable puisque j’ai pris pas mal de centimètres en longueur et en épaisseur depuis notre premier coït.

En tout cas, si Coralie alias Phou Foun a quelques doutes sur mon identité, elle n’en laisse rien paraître au moment où, pour répondre positivement à son invitation empressée, je suis en train de la besogner en levrette au centre du lit géant sans économiser mes coups de reins ravageurs. La pulpeuse franco or Cornéenne n’en peut plus de crier grâce sous les yeux éperdus d’amour de son époux psychopathe que la scène maintient littéralement en transes. Après vingt minutes de fornication endiablée, les vocalises de Phou Foun atteignent une telle intensité que le vase en cristal de Sèvres posé sur l’imposante commode Hikay Ha n’y résiste pas.

Estimant alors la première partie de ma prestation accomplie, je peux désormais libérer ma semence dans la chatte béante de ma maîtresse avant de m’affaler provisoirement sur son corps aux rondeurs si moelleuses.



++++@@@@@++++



Mais la trêve est de courte durée.

Quatre sons étouffés qui résonnent brièvement dans la grande pièce me tirent brutalement de ma torpeur.

Je me redresse d’un coup et contemple avec sidération le sumo et les deux amazones court vêtues qui s’écroulent lourdement sur le sol en marbre.

En me tournant vers le dictateur, je ne peux que constater que son front d’intellectuel contrarié arbore désormais un troisième œil particulièrement inexpressif.



La veuve du dictateur qui recouvre peu à peu ses esprits après notre coït dantesque examine mon visage pendant quelques secondes avant de pousser un cri de surprise.




++++@@@@@++++



Pendant que nous tentions de gagner l’extérieur du domaine présidentiel en empruntant le réseau souterrain creusé au cours du siècle dernier par les prédécesseurs de Pim Poumh Pahm, Laeti m’a expliqué comment elle avait procédé pour rejoindre le dressing privé de Phou Foun et s’y cacher jusqu’à ce qu’elle décide de mettre un terme à l’opération spéciale.




++++@@@@@++++



Une fois l’enceinte de la propriété franchie en empruntant un tunnel secret indiqué par mon amie Coralie, Laeti nous a conduit jusqu’à un 4x4 de l’époque soviétique qu’elle avait pris le soin de cacher après avoir mis hors d’état de nuire son conducteur pendant que je me trouvais nu et inconscient au milieu du passage emprunté quotidiennement par les motoneiges de l’escorte du défunt président. Nous avons ensuite roulé tous feux éteints jusqu’à une crique en eaux profondes où nous attendait un petit sous-marin affrété par le gouvernement du pays ami commanditaire de l’exécution de Pim Poumh Pahm.



++++@@@@@++++



Une fois la limite des eaux territoriales franchie par le sous-marin, nous avons tous poussé un grand soupir de soulagement.

Après être allée se soulager la vessie, Laeti a ensuite suggéré à Coralie de jouir d’une pause amplement méritée dans la cabine du commandant.



J’ai regardé Laeti avec des yeux ronds avant de pousser un hurlement de loup en rut.




++++@@@@@++++



Après un bref séjour dans le pays ami qui a commandité l’exécution du regretté bienfaiteur du peuple Or-Cornéen, étape nécessaire pour remettre au chef du service action les deux oreilles et la queue de Pim Poumh Pahm comme preuve de son trépas, nous avions décidé, Coralie et moi, de dépenser ma prime de mission en passant une quinzaine de rêve dans une île paradisiaque des Caraïbes.

Évidemment, cette chère Coralie était toujours aussi chaude du cul à tel point que j’en fus parfois réduit à la laisser entre les mains des étalons autochtones pour pouvoir récupérer un peu de temps de sommeil.