Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 22132Fiche technique7409 caractères7409
1218
Temps de lecture estimé : 5 mn
23/11/23
Résumé:  Les confessions de Joëlle, une brune incendiaire du sud de la France, rencontrée sur un site bien connu des célibataires.
Critères:  fhhh boitenuit confession -groupes
Auteur : Sobadboy1384  (55 ans, j’habite en région PACA)            Envoi mini-message
Joëlle, une brune incendiaire de la région aixoise...

Joëlle est une brune aux yeux bleus au physique incendiaire, un mètre soixante-huit, quatre-vingt-dix C, élancée, sportive, la quarantaine resplendissante, une bombe atomique tout simplement…


Rencontrée sur un site de rencontres très connu des célibataires, elle représente tout ce que j’aime. Au-delà de l’attirance physique, Joëlle est enjouée, fraîche, joueuse, elle a du tempérament (elle me disait avoir des origines tziganes). Joëlle sait son pouvoir sur la gent masculine et ne se prive pas de le faire savoir. « Je peux avoir qui je veux quand je veux », personne ne pouvait la contredire sur ce point, il faut bien l’avouer.


Nous avons échangé un premier baiser enflammé, nos corps soudés, dans un parking du vieux port à Marseille après un déjeuner où, bizarrement, nous n’étions pas seuls, elle était venue avec deux collègues féminines, Joëlle est déléguée médicale. J’ai eu plusieurs déléguées médicales parmi mes petites amies, toutes jolies, voire très, très jolies, allez savoir pourquoi…


Notre premier dîner à Aix-en-Provence où elle apparut soudainement, sortant d’un ascenseur du parking de la rotonde… le temps s’est arrêté, elle était naturellement belle, pour l’occasion, elle avait fait en sorte de faire exploser les compteurs… j’ai fondu, j’étais peut-être, probablement, déjà amoureux…


Elle m’a suivi après le dîner jusqu’aux Catalans. Pour ceux d’entre vous qui ne connaissent pas Marseille, les Catalans se situent au début de la magnifique corniche. J’y louais un appartement depuis un an pour y vivre une vie de célibataire débridée, multipliant les aventures, m’interdisant de m’attacher à qui que ce soit pour ne pas oublier celle qui m’avait quittée un an plus tôt… C’est une autre histoire que je vous raconterai une prochaine fois…


La nuit fut atomique, à l’image de celle qui s’offrait à moi… Joëlle fait l’amour passionnément, elle se donne complètement. Elle est tellement belle et sensuelle que le contraire m’aurait surpris, voire décontenancé. Joëlle est aussi très vocale… je pense que tout l’immeuble en a bien profité…


Joëlle a été très rapidement curieuse de mon passé, de mes aventures, j’en déduisais qu’elle voulait se comparer à celles qui l’avaient précédée pour, peut-être, mettre la barre plus haut, me montrer qu’elle était au-dessus du lot… du coup, elle a éveillé ma propre curiosité, je voulais en savoir plus sur son passé, sur sa façon d’appréhender les relations aux autres… aux hommes, en particulier.


J’ai été servi… Ces confessions se déroulaient sur l’oreiller, elles se terminaient toujours par une baise torride, le pouvoir des mots et de l’imagination, sans doute…


Je vous livre une de celles qui m’a marqué :


Joëlle, plus jeune, n’était pas méfiante, elle se liait d’amitié et faisait confiance très facilement à la gent masculine… Un soir, alors qu’elle dansait sur la piste d’une boîte de nuit bien connue de la périphérie d’Aix, quatre jeunes hommes en vacances dans la région l’abordent. Ils n’ont pas l’air lourds, Joëlle se sent en confiance, alors elle répond positivement à leur invitation. La soirée est légère, les garçons lui offrent des verres, l’invitent à danser ; Joëlle s’amuse, rigole, elle est juste bien.


Les heures passent, il est tard, les garçons lui proposent un dernier verre à l’hôtel où ils résident, elle accepte volontiers, ces quatre compagnons d’une soirée sont plaisants, elle ne voit aucune raison de ne pas prolonger cette rencontre amicale et joyeuse… Ils s’installent dans la chambre de l’un des garçons, l’un d’entre eux gratte une guitare, un joint tourne, l’ambiance est détendue…


Joëlle s’est installée sur le lit, entourée de deux des quatre jeunes hommes, tout le monde boit, fume, rigole… Les heures passent, la lumière de l’aube pointe, la fatigue gagne Joëlle…


Au moment où elle leur annonce qu’il est temps pour elle de rentrer, l’un des jeunes éteint la lumière centrale, il ne reste plus que la lumière tamisée de la lampe de chevet… Le silence s’installe, Joëlle pourrait finalement s’endormir là, elle ne se sent pas la force de rentrer chez elle.


Soudainement, un des jeunes se tourne vers elle, la fixe du regard, lui sourit puis rapproche doucement ses lèvres des siennes. Joëlle est surprise, mais flattée… Il est charmant, elle a envie de répondre à cette invitation, elle a envie de sentir ces lèvres prendre possession des siennes, bien qu’ils ne soient pas seuls… Ce petit laps de temps d’hésitation incite le jeune allongé de l’autre côté à poser sa main sur son bras, ce qui lui provoque un frisson. Surprise, elle tourne sa tête vers cette main, très chaude et douce à la fois, qui maintenant a glissé jusqu’à effleurer son sein droit, des seins qu’elle a si beaux, si provocants… Puis un doigt caresse et parcourt le galbe de ce magnifique quatre-vingt-dix C, lentement… Le temps ne s’écoule plus, Joëlle ressent cette caresse à travers tout son corps… Ses yeux ne quittent pas cette main qui maintenant lui empaume le sein, complètement, délicatement, au-dessus de son débardeur… Elle a le réflexe de poser sa main sur celle du garçon, elle lève ses yeux vers le visage de « l’envahisseur », elle a les yeux qui brillent, elle lui sourit… le premier garçon lui prend alors le menton pour lui tourner la tête et lui dit :



Joëlle lui répond d’une voix légèrement rauque qui trahit son excitation…



Il prend alors possession de ses lèvres… La main posée sur son sein s’enhardit, Joëlle sent que deux doigts s’enroulent sur son téton, des tétons qui se sont raidis instantanément, tellement raidis que Joëlle en est confuse… Cette situation inattendue va l’emmener sur des chemins qu’elle n’imaginait pas emprunter, mais elle ne peut pas se mentir à elle-même, elle en a envie… très envie.


La langue force le passage de ses lèvres, la main de l’autre garçon est passée sous le débardeur, une chaleur douce l’envahit… Elle répond maintenant à ce baiser… Elle sent deux mains qui s’affairent sur la boucle de la ceinture de son jean, puis le zip qui descend, on tire sur son jean… Ses deux seins sont désormais malaxés par plusieurs mains, elle ne sait pas combien ils sont, le premier jeune homme n’ayant pas quitté ses lèvres, elle ne voit pas vraiment ce qui se passe autour d’elle… On tire sur sa culotte… par réflexe, elle soulève son bassin, elle réalise alors qu’il n’y aura pas de retour en arrière, mais elle le veut…


Elle était très belle, désirable, elle le savait, elle sait son pouvoir sur les hommes… Des lèvres se posent sur son clitoris, une tornade de plaisir l’envahit, elle a un orgasme immédiat, violent… elle en est sûre, tous les quatre sont à l’œuvre…


Elle gémit, détache ses lèvres de celles qui ont tout déclenché et s’entend dire d’une voix sensuelle, légèrement tremblante d’émotion, de désir… :



Cette nuit-là, Joëlle s’est offerte aux quatre garçons, complètement… Elle ne l’aurait pas imaginé, mais elle a pris énormément de plaisir, a joui à de multiples reprises… possédée par les quatre garçons, tout à tour et simultanément… Elle réalisa ce jour-là qu’elle était une déesse, faite pour offrir aux hommes ce qu’ils voulaient…


J’ai baisé Joëlle comme jamais après cette confidence, je la désirais plus que tout et comprenais qu’elle se soit offerte à ces garçons, elle était trop belle pour être la femme d’un seul homme… Mais ce n’était qu’une première confidence…