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n° 22159Fiche technique10461 caractères10461
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Temps de lecture estimé : 8 mn
08/12/23
Résumé:  Elle me raconte dans les moindres détails son initiation au libertinage par son ex-compagnon.
Critères:  cocus candaul boitenuit init
Auteur : Sobadboy1384            Envoi mini-message
Confessions sur l'oreiller de ma belle brune aux yeux bleux

Elle baisse la lumière de la lampe de chevet au minimum, puis me rejoint sur le lit, s’allonge sur le côté, contre moi, la tête appuyée sur une main. Elle est vêtue d’une nuisette en soie qui moule ses courbes parfaites, ses yeux bleus me fixent. Joëlle me sourit, elle est magnifique… Je quitte ses yeux pour sa poitrine, pleine, lourde, dont les tétons semblent vouloir percer l’étoffe soyeuse. Elle s’en amuse, saisit mon menton pour ramener mes yeux dans les siens, et me dit avec un sourire au coin des lèvres :



Je ne réponds pas tout de suite. Mais oui, bien sûr que je le veux, je veux qu’elle me raconte cette soirée où, cédant au fantasme candauliste de son ex-compagnon, le dernier qu’elle a connu avant moi, elle accepte de franchir la porte de ce club libertin. Elle le fait pour lui faire plaisir, il a tellement insisté, lui a tellement chuchoté quand il la baisait son désir de la voir s’offrir à un autre homme… mais elle le fait aussi, même si elle n’ose le lui avouer, pour se connaître un peu plus elle-même, pour repousser ses limites…


Elle ferait tomber la mâchoire à n’importe quel homme qui la croiserait, et il se dirait qu’il n’a aucune chance d’attirer son attention… alors, ici, dans ce lieu où toutes les barrières tombent, où tout est possible, elle veut que tous ces hommes sachent qu’elle s’abandonnera peut-être à l’un d’entre eux ce soir (d’inaccessible à offerte, un fantasme partagé par beaucoup des belles femmes que j’ai connues, même si pour la plupart, ça n’était qu’un fantasme)…


Je m’entends répondre d’une voix tremblante qui trahit mon excitation…



Je suis allongé sur le dos, nu… Il fait chaud à Marseille ce soir, la porte-fenêtre de la chambre est entrouverte, l’appartement que je loue près de la plage des Catalans n’a pas de vis-à-vis, ou plutôt si, un ancien bâtiment administratif, inoccupé depuis des années. Personne pour profiter du spectacle, dommage… elle est tellement bandante…


Elle se colle un peu plus à moi, toujours sur le côté, les doigts d’une main dessinent le contour de mes lèvres, puis glissent sur mon torse, jouent avec mes tétons pour descendre ensuite lentement vers ma verge déjà tendue, autour de laquelle ils se referment, pour initier une lente masturbation…


Ses yeux brillent, je comprends qu’en acceptant de me raconter cette fameuse soirée, elle s’apprête à la revivre pleinement… D’une voix douce, presque chuchotante, sans cesser de me masturber, Joëlle débute son récit :


Alain (son désormais ex-compagnon) m’emmène au Cap d’Agde. Je connais la réputation de ce lieu de villégiature, mais n’y suis jamais allée, du moins jamais pour ça… Je suis rassurée, car nous sommes loin de la région Aixoise, il y a moins de risques de tomber sur un des médecins que je visite pour le compte du laboratoire que je représente, et qui pour la plupart, ne pensent qu’à une chose, me sauter… Il est 23 heures passées, beaucoup de voitures sur le parking du M…, boîte libertine réputée de la région d’après Alain qui a passé des soirées entières à effectuer des recherches sur internet. Deux videurs à l’entrée, ils me déshabillent du regard sans se soucier d’Alain…


Un homme d’une cinquantaine d’années nous accueille, il se présente, B., le propriétaire du club. Après m’avoir demandé mon prénom, il me dévisage, me félicite pour ma beauté, et se tournant vers Alain, lui lance :


  • — Je suis sûr que Madame sera la reine de la soirée.

Puis il me prend la main qu’il emprisonne dans la sienne et nous invite à le suivre pour faire le tour du propriétaire. Le contact de cette main chaude, virile, qui me guide me trouble…


Nous pénétrons dans une très grande salle semblable à une boîte de nuit, des dizaines de personnes dansent, d’autres que l’on devine à peine sont réparties dans des alcôves. B. m’entraîne vers le bar et me présente aux hommes et couples attablés au comptoir, sans me lâcher la main… Son bras frôle par moment mon sein, je ne sais pas si c’est intentionnel, mais je sens instantanément une chaleur monter en moi et des picotements dans le bas du ventre. Mes tétons durcissent à travers mon chemisier de soie, je ne peux pas le cacher, je n’ai pas mis de soutien-gorge, je n’en ai pas besoin.


Alain est resté quelques pas en retrait, je n’ose pas me retourner pour le chercher du regard… j’ai peut-être honte de ce qu’il pourrait lire dans mes yeux… Je ne suis déjà plus totalement à lui, on me scrute, on me déshabille du regard, on me fait des compliments, je peux aisément deviner le désir bestial des hommes, mais aussi celui plus sensuel des femmes qui les accompagnent. Je ne ressens pas d’attirance particulière pour la gent féminine, mais me savoir désirée par toutes et tous m’excite…


Joëlle resserre un peu plus sa main sur ma verge au fur et à mesure que nous rentrons dans son récit… Je m’entends lui dire :



B. me fait asseoir sur un des tabourets du bar et me sert une coupe de champagne. Alain nous rejoint. Il fait la conversation, je ne l’écoute pas vraiment, la présence de B. m’intimide… Je bois vite, comme pour me donner une contenance, on me ressert, B. n’écoute plus Alain vraiment non plus, il a posé une main sur mon genou, qu’il caresse légèrement de son pouce, sans se soucier de mon compagnon.


Les jeux de lumière s’atténuent, des couples se forment sur un slow. B. m’invite à danser, il me prend par la taille et m’entraîne au milieu de la piste. D’une main, il exerce une légère pression dans le creux de mes reins pour rapprocher nos bassins, je ne peux pas ne pas sentir qu’il bande… B. n’est pas un très bel homme, mais il dégage un tel charisme, une telle force, une forme de bestialité qui me bouleverse…


Il imprime une légère ondulation à nos corps, que j’accompagne instinctivement, je ne veux pas le décevoir, je veux être à la hauteur de l’attention qu’il me porte… Je cherche Alain du regard, il est toujours au bar, il semble parler de moi à l’un des hommes, les deux me fixent du regard… B. me demande si l’ambiance me plaît ; je lui réponds que tout est nouveau pour moi, mais oui, je me sens bien, bien qu’un peu intimidée par lui… Il me répond qu’il ne faut pas, qu’il va bien s’occuper de moi… Je lui souris timidement…


Un deuxième slow, les couples autour de nous se collent un peu plus ; des mains explorent de façon plus prononcée les courbes de ces dames… Celle de B. dans le creux de mes reins me caresse subtilement le haut des fesses, une caresse que je ne refuse pas… Soudain, je sens une présence dans mon dos, des mains se posent sur mes hanches, je sens un souffle dans ma nuque, un parfum, c’est une femme… Elle me murmure à l’oreille en se collant à moi que je suis très belle et qu’elle n’est pas étonnée que B. m’ait choisie… Me voici prise en sandwich, les seins de celle qui murmure ces mots sont maintenant contre moi… Je sens le frottement de ses tétons dans mon dos… Ce contact m’électrise… Les mains de la femme remontent le long de mes bras en les griffant légèrement, je frissonne… Elle entreprend de déboutonner lentement un bouton de mon chemisier, guettant ma réaction… Je n’en ai pas le temps, B. lui fait signe de poursuivre ce qu’elle a entrepris, je la laisse faire… un deuxième bouton puis un troisième, ma respiration s’accélère… B. se recule légèrement pour que les mains puissent atteindre les derniers boutons du bas… me voilà au milieu de cette piste avec le chemisier ouvert… Le galbe de mes seins lourds est désormais à la vue de tous… seuls mes tétons semblent empêcher le chemisier de soie de s’ouvrir complètement. Je perçois les regards des couples qui nous entourent… Les doigts de cette femme dessinent maintenant une arabesque dans mon cou, sur mes lèvres, puis les mains redescendent lentement vers ma poitrine qu’elles empaument par-dessus le chemisier… Elle joue avec mes tétons… j’ai les jambes qui tremblent, je ferme les yeux, comme un aveu d’abandon…


La musique s’est arrêtée, j’entends des murmures et des rires autour de nous… Celle qui paraît si inaccessible dans la vie de tous les jours est ici à la portée de tous…


La femme se recule, B., d’un mouvement puissant, me soulève dans ses bras comme une poupée de chiffon, je me blottis contre sa poitrine, je n’ose pas croiser le regard des gens… Il m’emmène vers un couloir puis il pénètre dans une pièce où se trouve une grande table de jeu éclairée par un halo de lumière, le reste de la pièce est quasiment dans le noir… Il me repose, me place face à la table et me demande d’une voix ferme d’y prendre appui. Je m’exécute… penchée légèrement sur le rebord de cette table, la croupe bien cambrée, offerte à son regard… Des hommes, mais aussi quelques femmes, se sont disposés en cercle tout autour de nous… Alain est-il là ?


Il me racontera sur le chemin du retour qu’il nous a suivis ainsi qu’une bonne dizaine de personnes. La vision que je lui offrais contre cette table, le chemisier ouvert, les seins gonflés de désir, la croupe offerte, avec tous ces hommes et ces femmes tout autour de moi, avait été la situation la plus excitante qu’il ait jamais vécue…


Les mains de B. retroussent ma jupe sur mes hanches puis il se saisit de ma culotte qu’il descend d’un mouvement brusque sur mes cuisses puis mes mollets… Je lève instinctivement un pied puis l’autre…


  • — Je vais te prendre, ma belle salope, le veux-tu ?

Il s’adresse à moi d’une voix forte, audible de tous… Ces mots résonnent dans ma tête comme une déflagration, je suis envahie par des spasmes… Jamais je n’aurais imaginé être si vite initiée, si vite au centre de tous les regards, de tous les désirs… Je m’entends lui répondre, le souffle court…


  • — Oui, fais ce que tu veux.

J’entends le bruit d’une boucle de ceinture, B. se colle à moi, son souffle court, saccadé, s’écrase sur ma nuque, une tige chaude enrobée de silicone vient se poser sur ma chute de reins… Ses mains écartent les pans de mon chemisier, elles soupèsent puis pétrissent mes seins ; il fait coulisser son membre le long de mon sillon, puis il saisit mes cheveux, ce qui a pour effet de me faire me cambrer un peu plus ; j’écarte instinctivement mes jambes… Ça y est, je vais être prise, possédée, maintenant… probablement devant Alain, devant tous ces gens…



Joëlle comprend que je vais éjaculer… Elle se penche vers mon gland qu’elle prend dans sa bouche, que j’inonde aussitôt de jets puissants… Je crois que je n’ai jamais autant éjaculé… Je l’entends déglutir, elle avale tout…