Sept scénettes sur divers sujets, comme des instantanés saisis sur le vif.
Bonne (rapide) lecture : )
1 – Tellement amusant
Enfermés dans l’intimité d’une chambre, une fille et un garçon s’amusent visiblement à des jeux d’adulte, expérimentant diverses choses qu’on découvre plutôt dans les vidéos X que dans les magazines de leur âge. Soudain, ravie et amusée, celle-ci s’exclame sans fard :
— Waw, mais c’est super bon !! Je n’ai jamais cru qu’avoir une bite dans le cul serait tellement amusant ! Oh ouiii !
— Amusant !? C’est pas le mot auquel je m’attendais !
Radieuse, elle tourne son visage poupin vers celui de son amoureux :
— Ben oui, c’est amusant de sentir ta belle bite dans mon petit trou ! Ça me procure des sentiments étranges, et ça me fait même du bien de me faire ramoner le cul !
— Tant mieux pour toi si t’aimes ça, parce que moi, ça m’arrange !
— Ah bon ? Pourquoi ?
Avide, il serre un peu plus fort les mignons seins qu’il a en main depuis le début :
— Parce que j’adore t’encuuuler ! Oh oui ! Et je veux recommencer le plus souvent possible, figure-toi ! T’en penses quoi, mon poussin ? T’es OK pour qu’on le refasse la plupart du temps ?
— Ben, si c’est comme maintenant, je suis d’accord, mais je ne sais pas ce que ça va donner quand tu auras tout mis dans mon cul… ça me fait un peu peur quand même…
Sentencieux, sans lâcher sa double prise manuelle, le garçon répond doctement :
— Tu vas te sentir bien remplie, mon poussin…
Toujours empalée, elle glousse :
— Oui, bien remplie avec ta bonne bite et ton bon sperme !
— Dans ce cas, forniquons dans la joie et la bonne humeur !
Rideau…
2 – Pourquoi
Dans un parc public, assez tard en soirée, dans un coin reculé et abrité, un homme et une femme sont debout près d’un arbre centenaire. Index sur la joue, la dame tente de répondre à la question qui vient de lui être posé :
— Pourquoi suis-je devenue une pute ? C’est une bonne question !
— Ah-hem, ce n’est pas le terme que j’ai employé…
— J’appelle un chat un chat.
Adossée à l’arbre, elle réfléchit, puis elle se lance :
— Hmm, voyons… ça remonte à sept-huit ans, quand j’étais encore mariée. Un beau jour, un soir précisément, de façon imprévue, mon homme a amené quelques amis à lui.
— Imprévue ?
Songeuse, elle se souvient parfaitement de cette fameuse soirée qui a incontestablement marqué pour elle un avant et un après :
— Oui, pour me faire une surprise très hot, qu’il m’a dit, ce salaud ! Il est vrai qu’il était torché, et moi, j’étais excédé par ses beuveries répétées. En tout cas, il a été très surpris quand je me suis prise au jeu : j’ai léché, sucé, pompé et vidé toutes les queues qu’on me proposait, puis dans la foulée, j’ai baisé avec tous ses potes, là devant lui, sans tabou, en long, en large et en travers ! Une véritable vide-couille par tous mes trous ! Je les ai tous épuisés, asséchés, et moi, j’en voulais encore, j’étais totalement déchaînée !
Hochant la tête, l’homme murmure, pensif et admiratif :
— Ah oui… carrément !
— Eh oui, carrément ! Je n’ai éprouvé aucune honte, rien du tout.
— Vous avez eu le… déclic, c’est ça ?
Elle affiche un large sourire :
— Oui, je me suis découverte comme étant une autre femme. Depuis, j’ai continué avec grand plaisir, et ça me ramène beaucoup d’argent et de plaisir !
— Je comprends…
Sans complexe, d’un geste naturel, elle pose sa main sur la bosse du pantalon de son interlocuteur :
— Au fait, est-ce que ça te dit une petite séance avec moi, pour pas cher ?
Rideau…
3 – Anniversaire
Deux hommes et une femme, dans le salon d’un appartement situé en centre-ville. La femme est actuellement agenouillée devant un individu fort bien bâti qui semble être un culturiste. Avec application et ferveur, elle est en train de lui administrer une privauté buccale.
— Waow ! Ta femme met du cœur sur ma bite, tu as vu ça ?
— Oui, je vois ça, et je m’en doutais, figure-toi.
— Ah bon ? Et pourquoi ?
Placidement, le mari et spectateur explique :
— Parce que je savais qu’elle voulait baiser se faire baiser par un mec comme toi, et ce, depuis un certain temps. Et moi, je n’ai pas exactement ton profil, je suis épais comme un sandwich SNCF ! C’est pour cette raison que t’es ici dans notre salon.
— Ah OK ! Ta femme veut baiser par un mec balèze et musclé, c’est ça ?
— Oui, c’est ça. Elle veut savoir ce que ça fait, je suppose.
Verge toujours en main, l’épouse cesse momentanément de sucer l’invité :
— T’as tout compris, mon chéri !
Puis elle lève les yeux vers l’homme musclé :
— Quant à vous, votre rôle est de m’offrir le plus beau cadeau d’anniversaire, en réalisant mon fantasme. Je veux tout connaître de ce qu’un homme balèze et bien fichu comme vous et doté d’une belle queue peut faire à une femelle dévoyée comme moi !
— Tout ?
La femme ne répond pas, elle est déjà à nouveau occupée autour de la sucette qu’elle avait en bouche, il y a quelques secondes. Relayant sa femme, le mari prend alors la parole :
— Oui, tout ! C’est son anniversaire aujourd’hui, alors fais-lui sa fête, puisque tu es son cadeau et qu’elle est ta salope.
— Waw ! C’est bien la première fois que je suis le cadeau d’anniversaire de la femme d’un collègue ! T’inquiète pas, ta petite salope de femme se souviendra longtemps de ce soir, tu peux me croire !
Rideau…
4 – Mon Dieu
Dans un club exotique de vacances situé en bord de mer, un de ceux qui font rêver sur les cartes postales, avec sable fin, mer d’azur et paillottes, une femme est joyeusement enfichée sur un énorme engin qui lui perfore le petit trou qui ne restera pas étroit très longtemps.
— Oh mon Dieu ! Oh mon Dieu !
— Mais non, Isa, je ne suis pas ton Dieu, mon nom est Adil ! Mais si tu le veux, tu peux m’appeler Seigneur ou Maître.
Quasiment en extase, la jeune femme glousse :
— Oh, c’est bon de se faire empaler comme cela, Maître ! Oh oui ! Encore !!
— C’est l’effet de ma baguette magique ! Non seulement elle te remplit, et elle t’explore à fond, et tu vas bientôt te retrouver avec tes entrailles inondées de mon excellent foutre !
— Oh ouiii, faites de moi ce que vous voulez, ô mon Seigneur et Maître !
Lui saisissant les seins afin de les malaxer, Adil constate avec plaisir :
— Eh bien toi, quand t’aimes un truc, tu ne fais pas les choses à moitié ! Remarque, devenir ton Seigneur et Maître, l’idée me plaît beaucoup. Tu jures d’obéir au doigt et à l’œil à tout ce que je pourrai te demander ?
— Oh oui, je suis votre esclave et aussi votre putain ! Euh… Maître…
Toujours bien enfoncé dans les chaudes profondeurs de la jeune future soumise, pelotant les roberts offerts, l’homme ordonne d’une voix assurée :
— Dans ce cas, tu vas passer la totalité de tes vacances avec moi, jours et nuits, m’offrant tous tes trous sans limite !
— À vos ordres, ô mon Maître !
Rideau…
5 – Stage
Dans un bureau d’entreprise aux larges vitres, un homme mature bien habillé, et à ses pieds, une jeune fille dont la chemisette est amplement ouverte.
— Uuhh… Émilie, je suis toujours très gêné quand tu viens me voir dans mon bureau pour… même si c’est très bon !
— Monsieur Martin, je sais que vous aimez quand je vous suce ou quand vous me baisez…
J’adore ça, mais j’ai surtout le sentiment d’être soumise à mon patron…
L’homme se gratte furtivement le crâne :
— Oui, je comprends… mais je ne suis pas très à l’aise avec l’idée de bénéficier d’une sorte de droit de cuissage, ici au bureau. Je préférerai ailleurs…
— Vous vous y ferez très vite, vous verrez ! Petit à petit, vous saurez me transformer en bonne et docile secrétaire… Je ne rêve que de ça depuis que j’ai commencé mon stage, ici chez vous et surtout pour vous…
Bien qu’il soit flatté, il s’exclame :
— Mais tu es si jeune et tu as un petit ami !
— Ah, c’est pas la même chose ! Il ne faut pas confondre les torchons et les serviettes ! Andrew, j’ai des sentiments. Vous, c’est pour satisfaire certains de mes fantasmes et aussi mon envie de soumission…
— C’est vrai que j’apprécie de plus en plus ta volonté de devenir ma salope attitrée…
La stagiaire lui adresse aussitôt un sourire enjôleur et vicieux :
— Profitez-en, Monsieur Derijke.
— C’est prévu, ma petite, c’est prévu !
La verge bien raide de son employeur toujours en main, Émilie propose :
— Tant mieux ! Je peux vous dire qu’à la fin du stage, si vous m’embauchez, vous aurez le droit de prendre ma virginité anale, une fois la signature sèche.
— C’est un bon argument, en effet…
— Et vous serez le seul à pouvoir y enfoncer votre belle bite… Enfin… le seul de l’entreprise, avec tous les clients à qui vous me proposerez.
L’employeur s’étonne :
— Tu… tu veux baiser avec les clients ?
— Eh bien, si je suis votre petite salope, soumise et secrétaire, il me semble normal que vous en profitiez pour récompenser vos bons clients ou pour aider à la signature de nouveaux contrats ! Non ?
Monsieur Derijke affiche un large sourire radieux :
— Tu peux te considérer comme définitivement embauchée, Émilie ! Pour sceller notre accord, fais-moi une belle pipe, et avale tout, bien sûr ! Ensuite, tu te mettras à quatre pattes !
— D’accord, Patron !
Rideau…
6 – Piscine
Dans une villa cossue un peu à l’écart, deux femmes barbotent dans une piscine, seins à l’air. Un groupe de jeunes hommes nus particulièrement bien faits physiquement vient d’entrer en scène sur la terrasse qui jouxte l’eau. L’une des baigneuses s’exclame :
— Oh merde, T’as vu tous ces types ? D’où viennent-ils ? D’un film porno ou quoi ? Putain, les trucs qu’ils ont entre les jambes !
— Allons donc, Lola ! Tu ne savais pas que Sylvie avait mis ses billes dans le X ? Et qu’elle a parfois été payée en nature, si tu vois ce que je veux dire par là… Et très souvent, pour cause de non-imposition et de septième ciel…
Étonnée, sa voisine se tourne vers elle :
— Ah bon, Sylvie est dans le X ? Je savais qu’elle avait beaucoup des mecs dans sa vie et des pas moches, mais j’ignorais son… euh… investissement… Maintenant, je comprends mieux certaines choses.
L’autre jeune femme murmure à l’oreille de Lola :
— Ah, ils commencent à tourner la tête et à plisser les yeux vers nous, ou plutôt vers toi, ma chérie !
— Hein !? Pourquoi moi ?
L’explication arrive aussitôt :
— Toi, t’es nouvelle, ils ne te connaissent pas. De plus, t’as des sacrés nichons qui flottent, ça aide…
— Toi aussi, tu as de gros seins qui flottent !
— Mais les miens, ils les connaissent déjà ! Parce que, figure-toi, j’ai déjà participé à des gangs-bangs et autres sauteries, ici avec Sylvie et d’autres personnes.
Pas très rassurée, Lola écarquille les yeux :
— Sauteries !? Mais… Mais qu’est-ce qui va qui m’arrive ? Dis !!
— Balise pas, ma chérie : si tu dis non, c’est non. Mais ça serait bien que tu les laisses se branler entre tes gros lolos et qu’ils jouissent dessus.
Légèrement rassurée, Lola demande :
— Et… euh… Ça sera filmé ?
— Bien sûr que oui ! Tout comme moi, t’as des lunettes noires et tes cheveux mouillés sont tirés en arrière. Même moi, je ne me reconnais pas dans les vidéos quand j’ai pu voir de mes belles prestations.
Index sur la bouche, la nouvelle actrice en herbe laisse tomber à voix basse :
— Euh… Je veux bien essayer… Un peu…
Rideau…
7 – Usinée
Une usine désaffectée, mais pas inoccupée. Les mains contre un mur, dos tourné, le bassin bien projeté en arrière, une femme assez gironde est en train de se faire entreprendre par un homme issu du bâtiment, si on en croit les vêtements qu’il a gardés sur lui.
— Tu viens souvent ici pour te faire baisée par des inconnus ?
— Pas vraiment des inconnus, puisque vous êtes tous des amis de Manu.
Ses larges mains bien ancrées sur les hanches, tout en pistonnant sans relâche sa récente partenaire de jeu, l’homme répond :
— Oui, c’est vrai, mais pour toi, nous restons tous des inconnus, n’est-ce pas ?
— Pas faux, mais comme j’aime changer de crèmerie, cela me convient de découvrir à chaque fois de nouvelles queues !
— À ce propos, combien de queues ont eu la joie de t’enfiler ?
Tête toujours baissée, la femme s’exclame :
— Oh, je ne compte plus ! Plusieurs douzaines, c’est certain ! Peut-être plus, qui sait…
— Eh bé ! T’es une salope vachement chaude ! Ça tombe bien, j’aime beaucoup les salopes dans ton genre, ce sont les meilleures pour s’envoyer en l’air ! Surtout des girondes comme toi ! Au fait, tu sais que tu as un cul d’enfer ?
Toujours allégrement secouée par le pistonnage effréné, la femme confie avec une nuance d’amusement dans la voix :
— Je sais, mon cul est devenu une sacrée autoroute ! Je ne te dis pas tous les litres de sperme qu’on m’a mis dans le fion !!
— Ceci explique probablement pourquoi tu peux te faire enculer à sec ! C’est sûrement dû à tout ce sperme qui est resté en toi !
— Hey, t’es dégueulasse, toi !
Inlassablement rivé aux hanches pleines, l’homme se met à rire :
— Eh, c’est ça qui est bon ! J’ai la nette impression que, ces prochains temps, je vais souvent revenir faire un petit tour en toi, ma jolie !
— Ah oui ? Eh bien, pour commencer, jouis dans mon cul avec ton gros bâton !!
Rideau…
Fin de ces sept scénettes peut-être improbables, mais souvent la réalité dépasse la fiction.