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Temps de lecture estimé : 13 mn
23/12/23
Résumé:  Il y a partout dans le monde des petites mamans qui s’ennuient.
Critères:  fh inconnu piscine voyage humour
Auteur : tatamarie      Envoi mini-message
Petites mamans

Toujours dans des missions à l’étranger, je voyage de plus en plus. Depuis un moment, j’ai deux projets en cours, l’un à Abidjan, l’autre à Rio. Le siège de ma boîte est à Paris, et c’est à Paris que j’habite officiellement.

J’ai un petit appartement dans un ensemble un peu chic, dans le XVe, une résidence toute neuve, très agréable, un jardin au milieu et des immeubles de 7-8 étages autour. Et le métro presque devant la porte.

En réalité, je passe le plus clair de mon temps à Rio, où je loue depuis de nombreux mois un appartement dans une résidence hôtelière proche de la plage. Faut préciser qu’en ce moment c’est là que je passe tous mes week-ends, il faut donc prévoir les loisirs et la détente.

Je suis célibataire, avec mon job et les voyages, ce serait difficile d’avoir une liaison stable. De plus, je sors d’une relation un peu tumultueuse qui, même un an après, a laissé des traces. Je suis plein de vitalité, mais suis quand même resté huit mois sans faire l’amour, ni même de petit plaisir solitaire.

Mais je me rattrape maintenant, l’exotisme et les pays tropicaux y sont probablement pour quelque chose. Il n’y a qu’à Rio que j’ai une petite amie, mais ce n’est pas le sujet aujourd’hui.


Fréquemment, je fais le voyage triangulaire Rio-Abidjan-Paris et retour à Rio. Fréquemment, veux dire toutes les deux ou trois semaines (le terme « bilan carbone » n’existait pas à l’époque, désolé).

Arrivé à Paris, je passe en général d’abord chez moi le matin puis au bureau l’après-midi. J’y vais principalement pour rendre compte à mes supérieurs. À cette époque, le seul moyen de communication fiable est le télex, pas de courriel ni d’internet, et le téléphone (fixe) très aléatoire avec ces pays. Essayez de passer quatre pages de texte avec des tableaux par télex.

Et en principe, je reprends le vol de Rio le soir du même jour.

C’est vrai que cela est un peu fatigant, mais je fais tout ça en classe affaire, on peut y dormir assez confortablement. C’est aussi un peu rentable, le vol arrive à sept heures, je suis au bureau à huit, au lieu de passer une journée à récupérer de la classe éco.

Toute cette introduction peut paraître un peu prétentieuse, mais non, je ne vous parle pas de jet-set. Je ne suis qu’un cadre, responsable de projets, tentant de gérer ses affaires au mieux avec les moyens existant à cette époque. Et il est nécessaire de poser l’environnement et la géographie de mon récit, cela en fait partie.


C’est à Abidjan que je rencontre ma première petite maman. Je suis dans un hôtel sympa, avec un grand jardin tropical, et au milieu une grande piscine. Mon boulot à Abidjan est surtout de contrôle et de décision, c’est-à-dire des réunions quelques fois interminables. De toute façon, je n’y passe que deux jours au maximum. Finalement, j’ai souvent du temps de libre l’après-midi, et je le passe à la piscine évidemment.

La piscine fait un peu office de piscine publique, c’est-à-dire ouverte aux personnes non-clientes de l’hôtel. Mais un après-midi de semaine, il n’y a pas beaucoup de monde, on ne va pas tellement à Abidjan pour le tourisme, mais plutôt pour bosser.

Autour de la piscine, on ne trouve pratiquement qu’une dizaine de femmes blanches, épouses d’expatriés et de coopérants. Elles ont aux alentours de trente ans, ne travaillent pas, mais ont au moins un enfant en bas âge, sinon deux. Mais elles ont toutes une nounou (noire) avec elles pour s’occuper des enfants (même à la piscine).

Je connais tout cela, ayant vécu à Abidjan dans le passé. Je sais qu’elles s’ennuient, le mari travaille beaucoup, souvent tard, elles ont juste le soir pour profiter d’un restaurant ou un dîner entre amis, et même pour cela le mari est souvent fatigué.

Alors il reste les copines autour de la piscine.


De mon transat, j’observe, elles sont toutes en maillot deux-pièces, plus ou moins grand, c’est-à-dire couvrant plus ou moins la poitrine ou les fesses. Elles sont pour la plupart très agréables à regarder, alors je regarde. Bien sûr, je détonne, je suis le seul mâle blanc à la ronde.

Je ne drague pas, ce n’est pas dans mes habitudes, je jette juste un coup d’œil par-dessus mon livre de temps en temps. Quand je lève la tête, j’aperçois toujours l’une ou l’autre qui regarde comme par hasard vers moi. Je les intrigue, et comme elles sont en groupe elles sont plus hardies. Je leur fais un grand sourire, et elles me répondent.

Je me lève pour aller faire trempette dans le bassin et me rafraîchir. Je promène mes pectoraux devant ces dames. Non, là, je plaisante, je n’ai pas de muscles à promener, même si je suis « bien foutu » comme disent certaines, « pour ton âge » ajoutent les plus taquines.


Une fois dans l’eau, je nage un peu quand, subitement, il y a un grand plouf à côté de moi. Une de ces dames a plongé, dans tous les sens du terme. Lorsqu’elle sort la tête de l’eau, elle s’excuse de m’avoir fait peur !

Ça y est, la glace est rompue, on commence à causer.

J’aperçois son regard vers ma main gauche ; non, je n’ai pas d’alliance, par contre elle en porte une. Elle essaie évidemment de savoir ce que je fais là et pourquoi je traîne à la piscine. Je lui donne la vérité, que je suis juste de passage pour le boulot et que je m’autorise une petite pause.

Elle me raconte Abidjan, mais je ne lui révèle pas que j’ai vécu ici pendant des années, dix ans avant elle. Quand j’aiguille la conversation dans cette direction, elle parle aussi un peu, d’une manière détournée, de la vie d’expatrié, et des difficultés de la vie des épouses. Bref, une petite drague, bien gentille, on se teste et se tâte (au figuré).

Je lui propose de prendre un verre au bar de l’hôtel, ce qu’elle accepte tout de suite, peut-être un peu trop vite. En sortant de l’eau, je peux enfin la détailler. Dans l’eau, je ne voyais que son visage, très agréable, et avec un sourire craquant. Hors de l’eau, je vois un corps très appétissant, de petits seins, juste à la taille de la paume de ma main, une taille fine, et des fesses qui paraissent bien fermes. Je ne sais quelle sera la suite, mais si c’est ce que je pense, ou espère, ça risque d’être très agréable.


Je récupère mes petites affaires, passe un t-shirt et me dirige vers le bar. Il est en plein air, à côté de la piscine. C’est un grand L, de presque dix mètres, sur le côté le pied du L fait à peine deux mètres, situé dans un renfoncement, entre deux parois. Cela forme un petit coin tranquille, un peu à l’abri des regards.

Je m’installe là, sur un tabouret où ma petite maman ne tarde pas à me rejoindre, elle est vêtue d’un paréo noué au-dessus des seins et s’installe sur le deuxième tabouret, à ma droite.

On parle encore un peu devant nos bières, quand je sens le paréo qui me caresse ma jambe. Quelques instants après, c’est une jambe nue qui se frôle la mienne, le paréo a dû malheureusement glisser !

Distraitement, je pose ma main sur le genou et commence doucement à le caresser. Comme le genou ne s’enfuit pas, je caresse un peu plus haut sur la cuisse, elle a une peau très douce. Je me contorsionne un peu pour que le paréo ne s’ouvre pas en grand. Heureusement que nous sommes dans ce coin un sombre et que ma nouvelle amie est un peu cachée derrière moi.

Remontant encore un peu, j’arrive sur une toison qui semble très douce, je la caresse délicatement de mon index. J’entends la respiration de ma voisine qui s’accélère, je devine son cœur qui bat plus vite.

Je sens une main qui se pose sur ma cuisse, et commence à ramper vers mon entrejambe. Je n’ai que le temps de poser ma serviette pour cacher le résultat dans mon slip de bain. Il n’y a heureusement personne d’autre au bar et le barman est opportunément allé servir des clients à la piscine.

Je promène mon index dans sa toison, le glisse de haut en bas dans une vulve déjà inondée, et débusque un clitoris tout dressé. Ma voisine commence à être sérieusement excitée, pousse de petits gémissements, je trouve que cela va être dangereux, nous sommes en public quand même.

Je retire ma main, et je sens à sa crispation qu’elle est terriblement frustrée, son regard m’implore. Je pose sur le bar entre nous deux la clef de ma chambre. Ce n’est pas une carte magnétique comme aujourd’hui, mais une vraie clef accrochée à un énorme porte-clés avec le numéro de la chambre.

Elle me fait un petit signe de la tête pour me montrer qu’elle a compris, arrange son paréo pour être décente et se lève.


Je me dirige de mon côté vers ma chambre, ma serviette artistiquement drapée pour cacher la tension dans mon slip. Chez moi, je me mets nu, et j’attends ; pas longtemps, deux minutes après on frappe à ma porte. Ce n’est pas le room service, c’est bien elle.

Elle se débarrasse de son paréo, et nue, se précipite sur moi. Elle m’embrasse fougueusement, sa langue virevolte autour de la mienne, ses mains sur mes fesses, elle me presse contre elle, ma queue sur son pubis.

Elle me pousse vers le lit où je tombe sur le dos, et elle me chevauche immédiatement, prend ma verge et s’enfile directement dessus avec un grand cri. Je lui malaxe ses seins dans mes paumes pendant qu’elle s’excite sur ma queue. Je crois qu’elle a tout de suite un premier orgasme, mais ne s’arrête pas là.


Elle se couche sur moi, sa bouche cherche ma bouche, ses mains me griffent les côtes, puis elle me mord violemment l’épaule lors d’un deuxième orgasme. Elle avance et recule sur ma poitrine, frotte ses seins durs sur les miens, son clitoris sur mon pubis.

Je malaxe ses épaules, descend sur ses fesses, m’insinue dans sa raie, et d’un doigt lubrifié titille son anus. Lorsque j’introduis mon doigt dans son petit trou, elle pousse un grand cri pour son troisième orgasme, et comprime tellement ma queue dans son con que je jouis aussi.

Nous nous écroulons côte à côte, épuisés par les jouissances, elle pose tendrement sa tête sur mon épaule. Mais au bout de cinq minutes, elle se lève, récupère son paréo, se sauve dans la salle de bain.

Quand elle revient, elle se penche sur moi, pose son index sur mes lèvres pour m’intimer le silence, et dit juste un mot « merci », puis disparaît. Je ne l’ai jamais revue.


Mais il n’y a pas qu’Abidjan qu’il y a des petites mamans. Mon appartement parisien, au troisième étage, donne sur le jardin de la résidence où j’habite. J’ai souvent remarqué de petits groupes de femmes papoter sur les bancs. Elles aussi ont environ trente ans, sont épouses d’hommes qui travaillent beaucoup, rentrent tard et sont souvent fatigués. La différence avec Abidjan est qu’elles n’ont pas de nounou pour les enfants, ceux-ci sont en crèche ou à l’école. Mais le résultat est un peu le même, elles s’ennuient.

Lorsque j’arrive de l’aéroport le matin, je les croise souvent, leur fais un bonjour aimable avec un grand sourire. Elles me répondent gentiment, et je sens leur regard dans mon dos après les avoir croisées. Là aussi, j’intrigue, surtout en plein hiver, quand je débarque en manche de chemise, juste avec ma mallette qui a encore l’étiquette de bagage cabine.


Généralement, je passe d’abord au local-courriers où sont concentrées toutes les boîtes aux lettres de la résidence. Un jour j’y croise une de ces petites mamans, mignonne, avec un joli sourire. Je suis très sensible au sourire des femmes, je crois que c’est la première chose que je regarde chez elle.

Elle vient de récupérer un colis, pas très encombrant, mais paraissant lourd. Gentleman, comme toujours, après les salutations d’usage, je lui propose de l’aider à ramener son colis, ce qu’elle accepte avec empressement, ici aussi peut-être un peu rapidement.


Nous voici donc en chemin vers chez elle, j’ai ma mallette à gauche et son colis à droite. On se dirige vers mon immeuble et elle m’apprend qu’elle y habite aussi, mais au huitième et dernier étage. Je comprends qu’elle m’avait déjà repéré dans le jardin et je suppose que cette rencontre est un peu arrangée.

Arrivée chez elle, elle se débarrasse de son manteau, et je peux enfin la regarder en détail. Elle porte une jupe sage – juste au-dessus du genou – tenue par une ceinture en cuir, et un joli corsage à fleurs boutonné devant. Un peu l’image de la bourgeoise classique qui habite cette résidence.

Comme nous sommes encore un peu tôt, elle me propose un café que j’accepte pour me réchauffer (je n’ai pas de manteau, moi) et pour chauffer l’atmosphère. On boit le café devant la grande baie vitrée qui donne sur le jardin. Il faut dire que les appartements du dernier étage sont très grands, de luxe, souvent en duplex ou avec terrasse.

Elle est à côté de moi, tout à côté, et de temps en temps son bras frôle le mien. Nous admirons le paysage, à cette hauteur on surplombe les toits parisiens, et l’on voit au loin les collines du sud de Paris. Elle se rapproche doucement et finit presque contre moi. Je la regarde, elle me regarde, je penche la tête, et on s’embrasse, elle a une langue agile et l’haleine de café est agréable.


Je me pose quand même quelques questions. A-t-elle l’habitude de tromper son mari ? S’est-elle enhardie pour sauter le pas ? Ou succombe-t-elle à mon charme et ma prestance ? Comme je suis modeste, ça ne doit pas être la troisième possibilité.

Je penche plutôt pour la deuxième, elle a la bouche entrouverte, elle tremble un peu, les joues roses. Je crois qu’elle est étonnée de son audace. Elle me parle de la vue sur Paris que l’on a de l’autre côté de l’appartement, et me propose d’aller voir.

Nous posons nos tasses de café, et elle me prend par la main pour me guider.


Nous arrivons ainsi dans une chambre – celle du couple, je suppose –, elle, toujours devant, me tient la main. Elle se dirige devant la fenêtre d’où on a effectivement une superbe vue sur Paris, de la tour Eiffel à gauche, puis la tour Montparnasse, les Buttes Chaumont et Montmartre au loin.

Je me colle derrière elle, nous ne disons plus rien. Elle pose ma main sur son ventre, et de ses deux mains m’attrape aux hanches pour me presser sur elle. Elle remue ses fesses de haut en bas sur mon ventre, je ne tarde pas à avoir une belle érection, elle le sent et s’agite de plus belle.

Je passe doucement une main sur son ventre et le haut de ses cuisses par-dessus son pantalon, et de l’autre main je caresse son cou, ses joues. Quand j’effleure ses lèvres, elle me happe le doigt et commence à le sucer. Je commence à déboutonner sa blouse, après chaque bouton je glisse un doigt sous le tissu, je câline sa peau douce. Je tourne autour du nombril, et quand le soutien-gorge est délivré, en caresse tout le tour.

Elle ouvre ses boutons des manchettes, et se décollant un peu de moi, retire sa blouse. Je récupère mon doigt et des deux mains m’intéresse à la ceinture de son pantalon. Elle le baisse très vite et n’a plus que de la jolie dentelle sur elle. Je n’y tiens plus, et en me contorsionnant et avec son aide je me déshabille, toujours collé à son dos.

Quand je suis tout nu, elle me fait reculer doucement vers le lit, et je me retrouve assis au bord puis couché sur le dos. Elle se débarrasse de ses derniers vêtements, recule encore et finit par se trouver à califourchon sur mon ventre.


Je ne vois toujours que son dos, et ses belles fesses que je commence à malaxer. Elle s’amuse avec ma queue, la fait aller et venir entre ses grandes lèvres, l’introduit un peu en elle, s’en sert pour titiller son clitoris. Je suis un godemichet vivant, qu’elle semble apprécier, elle mouille beaucoup, ses sécrétions coulent sur mes cuisses.

D’une main je lui pince les tétons qui deviennent très durs, de l’autre je me promène dans la raie de ses fesses, penchée en avant comme elle est, je vois bien son petit trou qui se contracte, s’ouvre et se ferme. Elle halète, j’entends sa respiration, mais elle est silencieuse, pas de cris ou de gémissements.

Je tourne délicatement autour de son anus, quand j’introduis un peu mon doigt elle se crispe un peu, je ne sais si elle a l’habitude.

Elle s’avance un peu, jusqu’à ce que ma verge toute mouillée soit sur ses fesses, le gland appuie sur son petit trou. Elle se redresse tout doucement, et petit à petit ma queue entre dans son cul jusqu’au plus profond, jusqu’à ce qu’elle soit assise sur mon ventre. Elle ne crie pas ni ne gémit – il y a un grand silence –, puis elle commence à monter et descendre, doucement, puis de plus en plus vite.

Ses mains semblent s’activer sur son pubis, de plus en plus vite aussi. De mon côté, je suis juste agrippé au lit, je ne bouge pas, je ne fais qu’admirer cette femme qui se donne du plaisir sur moi. Mais quand elle pousse finalement un grand cri de jouissance, c’est aussi la mienne.

Elle fait un rapide passage par la salle de bain, puis me rejoint sur le lit. Assis au bord, côte à côte, nous reprenons nos esprits, quand une alarme sonne au salon, il est l’heure d’aller chercher les gamins à l’école !

Je m’en vais très vite, mais je sais que je reverrai ma petite maman.


Ce récit conte des histoires de petites mamans véridiques, mais elles sont quelquefois moins drôles. Dans la résidence parisienne dont je parle, il y avait un gardien/concierge, marié avec des enfants. Il s’est intéressé un peu trop aux petites mamans, sa femme s’en est aperçue et cela s’est terminé par un divorce. Pire, comme la loge de concierge doit être occupée par un couple, ils ont été virés tous les deux, nous avons un nouveau couple de concierges.