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n° 22202Fiche technique17355 caractères17355
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Temps de lecture estimé : 13 mn
26/12/23
Résumé:  Premier rendez-vous dans un hôtel avec une femme avec qui j’ai fait connaissance sur un site de vente pour particulier.
Critères:  fh inconnu hotel voyage fsoumise miroir massage fellation
Auteur : Mathieug99            Envoi mini-message
Une première rencontre pleine de surprises

Je me présente, Matthieu, ingénieur de formation, j’ai été promu responsable d’équipe il y a peu de temps. Je me retrouve, de fait, embarqué dans un plan de formation pour parfaire mes aptitudes en management…


Certaines de ces formations sont maintenant faisables à distance, mais, après avoir insisté auprès de mon service RH pour effectuer cette nouvelle formation en présentiel, car il faut se le dire, c’est quand même plus sympa et plus efficace, je me retrouve, loin de chez moi, en formation professionnelle passionnante sur la communication.


En soirée, après deux jours de formation intensive, je reçois un SMS :


Bonjour, peux-tu s’il te plaît me donner l’adresse de ton hôtel ?


_____________________________



Natalia, nous ne nous sommes jamais rencontrés physiquement, nous avons fait connaissance via un site internet de vente en ligne entre particuliers. Je cherchais des éléments de décoration pour mon appartement et, au gré des échanges de photos d’objets en tout genre, nous avons sympathisé.


Il faut dire que sur une de ses photos je pouvais voir en arrière-plan son étendoir à linge, et je n’ai pas pu résister à lui faire une petite plaisanterie :



  • — Je vois sur votre dernière photo que vous avez un autre objet qui pourrait m’intéresser.
  • — Ah, pourquoi pas, de quel objet parlez-vous ?
  • — De l’étendoir à linge que je vois en arrière-plan…
  • — Ah, mais il n’est pas à vendre, et puis, coté décoration il y a mieux, lol !
  • — Je trouve que le rose et le noir associés apportent une touche de modernité ;-)
  • — Ah ah, je vois, il n’est pas à vendre, mais je suis flattée que cet ensemble shorty-pushup ait attiré votre regard.

La conversation a ensuite continué sur les objets de décoration puis j’ai finalement acheté un chandelier en métal noir et un lot de cadres photo.


Quelques jours plus tard, j’ai reçu une nouvelle photo de Natalia sur laquelle figurait un autre chandelier, au moment de répondre que je n’étais pas intéressé, je remarque en arrière-plan l’étendoir sur lequel je vois clairement des sous-vêtements.


Bien qu’en arrière-plan, je me demande si cette mise en scène n’est pas volontaire.


Je suis très intéressé par la lingerie féminine, j’aime voir de belles formes mises en valeurs par de beaux ensembles. Les jeux de transparence, les différentes matières/tissus/couleurs qui permettent de suggérer sans trop en montrer… Je me retrouve donc à plisser les yeux et à zoomer sur la photo pour mieux voir.


Ils sont différents de celui que j’avais vu la fois précédente, je remarque un tanga en dentelle noir transparent avec des petits nœuds roses de chaque côté et un bustier assorti.


Ils sont clairement mis en évidence, mis en exposition, rien n’est fait pour les cacher. Je finis par répondre :



  • — J’aime vraiment beaucoup l’association du rose et du noir.
  • — Vous avez l’œil aguerri !
  • — Surtout pour les belles choses…


La conversation a continué, pendant quelques jours, nous avons parlé de tout et de rien, nous avons refait le monde, puis, un soir, nous nous sommes laissé aller à échanger sur nos fantasmes respectifs.


Là, alors que moi je lui disais être intéressé par une relation à trois (rien de bien original pour un homme), elle m’a avoué avoir depuis longtemps envie d’être possédée, considérée comme une femme objet, dans le respect et surtout sans violence, mais d’être juste là, présente, et de faire et de subir tout ce que son partenaire souhaitera lui faire. J’ai dû répondre maladroitement, car la conversation a vite été stoppée et je n’ai plus eu de nouvelles jusqu’à ce soir…


Après avoir pris une douche rapide, je suis descendu au restaurant de l’hôtel pour dîner sur le pouce avant de remonter dans ma chambre. J’ai toujours eu du mal à m’intégrer socialement, c’est pour cela que je passais mes soirs seul, dans ma chambre, au lieu de dîner avec les autres participants de la formation.


bzzbzz, un nouveau SMS :



  • — Tu fais quoi ce soir ?


Je lui raconte brièvement la formation à Paris et elle me répond :



  • — Dans quel hôtel es-tu ?


D’abord étonné, je lui donne le nom et la ville, de l’Hôtel et… Plus rien.


Aucun message. Notre relation étant principalement amicale même si elle dérive parfois vers des discussions plus personnelles, voire privées à tendances coquines, je l’imagine avoir eu un l’appel d’un ami et avoir eu mieux à faire que de discuter avec moi.


Deux heures plus tard, bzzbzz :



  • — Je suis à l’accueil de ton l’hôtel.


Je reste sans voix, hébété dans ma chambre pendant de longues minutes…


Puis j’enfile rapidement une chemise et mon jean et je me dirige à l’accueil de l’hôtel.


Elle est assise, dans un fauteuil, je la reconnais immédiatement pour avoir vu sa photo de profil sur le site de vente en ligne.


Et là, je me rends compte qu’elle ne m’a jamais vu, à part cette photo à moitié floue que je mets sur internet. Va-t-elle partir en courant ?


Je m’approche d’elle fébrilement, je sens mon cœur battre fort et vite, car c’est bien gentil de faire le malin derrière son écran de téléphone, mais là, c’est réel… j’ai la gorge sèche…


Elle est assise, les jambes croisées, je la regarde avec insistance, toujours étonné et cela doit se voir sur mon visage et mes joues rougies de timidité…


Elle porte une longue veste sombre et je peux voir ses jambes recouvertes de nylon et ses chaussures cirées noires, à talons.


Je lui lance un « bonsoir » fébrile avec une toute petite voix, elle me regarde, mais ne me réponds pas. Je lui redis bonsoir plus fort, mais rien ne sort de sa bouche, elle décroise ses jambes doucement et se lève. Ces gestes dégagent une chaleur envoûtante. Je me sens embrumé, presque ivre d’un mélange d’excitations, de doutes, de peur et d’envie.


Pour faire court, c’est une femme magnifique. Pas comme l’on peut voir dans les magazines, non, mais elle dégage un charme envoûtant.


Elle est de taille moyenne, voire un peu grande, mais difficile d’évaluer sa taille avec précision compte tenu de ses chaussures à talon.


Elle a les cheveux bruns mi-longs légèrement bouclés et attachés haut sur la tête. Elle est très légèrement maquillée, je remarque son regard sombre et brillant. Elle semble avoir la peau fine, délicate. Bien que vêtue de cette longue veste, je peux me rendre compte de sa morphologie : elle n’est pas maigre, elle semble plutôt pulpeuse. Je note avec plaisir que, malgré son long manteau, elle doit avoir les hanches larges et les fesses rebondies. Tout simplement parfaite.


Puis je remarque sa respiration plutôt rapide.


Tout d’un coup, la conversation passée que nous avons eue par messages interposés me revient comme un boomerang : « … envie d’être possédée, considérée comme une femme objet… »


Elle me regarde, fixement, avec un léger sourire espiègle avant de baisser les yeux sur mes chaussures.


Je comprends que le temps n’est pas à la discussion, mais plutôt aux ordres…


Je lui prends la main et… après quelques secondes d’hésitations, lui ordonne de me suivre…


Après deux longs couloirs et un escalier, nous arrivons devant la porte de ma chambre, je l’ouvre, elle attend.


Son regard est… profond, les yeux légèrement plissés, la bouche entrouverte…


Je reprends sa main et je l’amène à l’intérieur de la chambre puis ferme la porte derrière nous.


Nous nous retrouvons en face du grand miroir, elle est tellement belle et me regarde droit dans les yeux par l’intermédiaire de ce reflet.


Je me sens fébrile, hésite, je ne sais pas trop quoi faire, on se regarde fixement tous les deux. Je suis derrière elle…


Je la regarde de haut en bas, et je ne peux m’empêcher de me demander ce qu’elle porte sous cette longue veste.


En regardant bien, je vois à chacune de ses respirations, un bout de dentelle noire dépasser juste au-dessus de sa poitrine


Je continue de descendre mon regard sur sa poitrine… cela me donne chaud…


Les derniers boutons de sa veste sont ouverts et je peux voir ses jambes jusqu’au milieu de ses cuisses… Ce n’est pas un collant qu’elle porte… mais des bas… Magnifiques !


Je pose mes mains sur ses épaules et je sens un frémissement la parcourir puis me parcourir.


Je passe mes mains devant elle puis je déboutonne sa veste doucement de haut en bas. Mon corps est plaqué contre son corps, je peux sentir ses fesses contre mon bas ventre et je sais qu’elle ne peut ignorer mon excitation grandissante.


La veste est ouverte complètement, je découvre dans le reflet qu’elle porte le dernier ensemble que j’ai vu en photo. Un tanga et un bustier noir et rose.


Le tanga, très échancré sur l’avant, est en dentelle noir avec de jolis nœuds roses sur le devant. Il est… légèrement transparent… et il me semble voir une absence totale de pilosité et déceler les contours de son intimité.


Le chemisier est en dentelle, transparent également, et il ne cache que très peu sa poitrine, magnifique, ni petite, ni trop volumineuse. Je peux voir clairement ses tétons à travers le tissu léger, ils sont beaux et pointent fièrement en avant en bougeant doucement au rythme de sa respiration.


Mon excitation se fait de plus en plus forte… Pourquoi ai-je mis un jean aussi serré… ? Quel inconfort !


Là, je pense à ses fesses, partie du corps que je préfère chez une femme, et je ne veux qu’une chose, les regarder !


Je fais tomber la veste à ses pieds et me recule pour l’admirer. Le tanga, mon sous-vêtement préféré, la met parfaitement en valeur. Ces fesses sont magnifiques, rebondies !


Je me recule pour mieux l’admirer…


Son regard est posé sur la bosse de mon jean toujours par l’intermédiaire de ce miroir…


Je suis vraiment trop serré, je n’en peux plus, je déboutonne mon jean et je le fais descendre doucement au sol.


Je me retrouve en boxer, de couleur bordeaux et en chemise. Le boxer ne cache rien de mon excitation, au contraire, il la met en valeur ! Le contour de mon sexe est clairement visible. Il est tendu et ne demande qu’à sortir de cette étreinte de tissu.


Je m’avance vers elle et je pose délicatement mes mains sur ses fesses… elle sursaute légèrement. Elles sont douces ; je les caresse doucement et fermement à la fois. J’adore ! je remonte mes mains le long de son corps et les passe devant elle, sur son ventre. Les doigts à la lisière du tissu de son tanga, je joue avec le petit nœud rose. Elle se recule légèrement et vient se plaquer contre moi.


Je monte doucement mes mains en passant sous le chemisier, on se regarde fixement dans le miroir.


Je passe doucement mes mains sur ses seins et effleure ses tétons du bout des doigts.


Puis je plaque fermement mes mains contre ses seins et la sers contre moi.


Elle se cambre légèrement et plaque ses fesses contre mon sexe.


Je pince légèrement ses tétons et les fais rouler entre mes doigts doucement tout en lui embrassant le lobe d’oreille…


Elle laisse partir un petit gémissement…


Je me glisse sur le côté et sa main se retrouve contre mon sexe… j’abandonne sa poitrine pour glisser une main sur ses fesses et l’autre sur son ventre… je la sens, hésitante… tel un jouet, je prends sa main et la pose doucement sur mon boxer tendu et me caresse doucement de haut en bas… puis je remets ma main sur elle, sur le devant de son tanga…


Elle se cambre et frémissant, sa main bouge doucement sur mon sexe et l’empoigne à travers le tissu.


Je la caresse par-dessus son tanga, je la sens chaude et humide à travers la fine dentelle.


Après quelques minutes de caresses douces accompagnées de baisers dans son cou et sur son oreille, je lui prends la main et la dirige vers le lit.


Je lui demande de s’allonger sur le lit, sur son ventre.


Je fais le tour du lit en faisant glisser mes doigts sur son corps, son mollet, ses cuisses, doucement, ses fesses, en y passant plus de temps, puis son dos, doucement, le long de sa colonne, par-dessus son bustier jusqu’à son cou…. Puis je redescends, doucement en passant par l’intérieur de ses cuisses légèrement écartées…


Mon excitation est telle que l’élastique de mon boxer n’est plus en contact avec le bas de mon ventre… je sens son regard insistant sur ce boxer tendu…


Je monte sur le lit et m’installe, par-dessus elle à califourchon sur ses jambes au niveau de ses genoux…


Je pose une main à l’arrière de chacune de ses cuisses et remonte doucement.


Mes pouces à l’intérieur de ses cuisses… Elle souffle doucement.


Je passe sur ses fesses en laissant glisser mes pouces sur son tanga qui épouse parfaitement les formes de son intimité… Mon sexe palpite…


Je remonte encore, en glissant mes mains sur son tanga… puis je le saisis de chaque côté et le fais descendre doucement, délicatement. J’observe ses fesses nues, puis son entrejambe, enfin dévoilé, brillant d’excitation.


Je retire complètement ce tanga et le jette au sol, puis refais le même chemin avec mes mains, mes pouces, sur l’arrière de ces cuisses qui me semblent légèrement plus écartées que précédemment.


Je remonte rapidement le long de son dos, m’assois sur ses cuisses et commence à lui masser les épaules. Après quelques minutes d’un massage ferme et délicat, je me penche a avant pour appuyer mon sexe sur ses fesses rebondies…


Je lui susurre à l’oreille de se retourner…


Je me mets debout à côté du lit et elle se retourne doucement.


Je prends sa main et la pose sur mon boxer, je l’utilise comme un objet et me caresse doucement avec.


À chaque va-et-vient, mon sexe et prêt à sortir de sa prison de tissu…


Je lâche sa main et la laisse continuer le mouvement, pendant ce temps, je caresse doucement son corps en passant mes doigts le long de son bras, son épaule, puis je descends sur ses seins, son téton que je pince légèrement au passage, puis je descends encore vers son ventre, sa respiration est forte, ses jambes légèrement écartées, son sexe est complètement offert à mon regard.


Je descends mes doigts sur son flanc puis à la jonction entre sa jambe et son buste, zone où la peau fine est douce, blanche, magnifique.


Je ne résiste pas longtemps à glisser ma main entre ses cuisses. Elle empoigne mon sexe fermement au moment où je pénètre son intimité avec mon majeur. Elle est trempée d’excitation et remonte légèrement les jambes. Je reste en elle quelques secondes sans bouger avant de commencer des va-et-vient.


Après plusieurs mouvements, je ressors et remonte le long de son intimité jusqu’à son clitoris, gonflé.


Je me recule d’un pas. En lâchant mon sexe, celui-ci sort complètement du boxer et pointe fièrement vers le plafond de la chambre. Je me déshabille complètement.


Elle tend un bras et m’attire vers elle. Sa bouche s’ouvre et engloutit le bout de mon sexe qu’elle aspire doucement. Je la regarde prendre soin de mon membre dur et palpitant. Elle le libère puis le lèche doucement du bout de la langue. Je me laisse faire, passif, en admirant son corps allongé, brûlant de désir.


Après plusieurs minutes, je m’éloigne d’elle et lui embrasse les cuisses. Mes baisers deviennent plus insistants et sont accompagnés de ma langue que je laisse glisser sur elle.


Je me dirige entre ses cuisses, remonte ses jambes sur mes épaules, admire son sexe quelques secondes avant de l’embrasser goulûment.


Puis je la lèche de bas en haut en appuyant sur son clito du bout de la langue.


Je le titille doucement et, en même temps, j’entre deux doigts en elle. Elle gémit plus fort.


Je fais des va-et-vient en elle avec mes doigts et déchaîne ma langue sur son clito gonflé.


Je retire mes doigts et entre ma langue au plus profond d’elle en glissant mes mains sous ses fesses pour la pénétrer le plus intensément possible… elle ondule doucement.


Puis je me redresse et la regarde, droit dans les yeux.


Je caresse son sexe avec l’extrémité du mien, doucement de bas en haut. Je tapote son clitoris avec mon sexe puis je me positionne et entre en elle… doucement, lentement… profondément… Je la pénètre profondément avec mon sexe dur comme un morceau de bois. Mon large sexe la pénètre de toute sa longueur et elle se laisse aller dans un long gémissement de plaisir.


Je me plaque contre elle pour la sentir et la remplir complètement avant de commencer de long va-et-vient en elle. À la limite de ressortir complètement à chaque mouvement avant de replonger en elle.


Mon excitation est tellement forte que j’ai l’impression que mon sexe ne s’arrête plus de gonfler.


Je remonte ses jambes le long de mon torse et continue mes va-et-vient, de plus en plus rapides.


Ses fesses claquent contre mes cuisses à chaque mouvement franc sans être brutale.


Après plusieurs minutes, je me retire et la retourne doucement, je n’ai pas besoin de parler, elle comprend ce que je veux.


Elle se met à genou, les jambes légèrement écartées, cambrée, les coudes sur le lit.


Je l’admire quelques secondes avant de caresser ses fesses avec mon gland humide


Puis je la pénètre de nouveau encore plus fort d’un seul coup de reins. Elle laisse sortir un cri de plaisir.


Je la pilonne, nos corps claquent, nos souffles sont rapides.


Elle gémit maintenant à chaque mouvement, je la sens chaude, brûlante, autour de ma verge.


J’accélère encore et laisse également échapper des gémissements rauques… puis… je la pénètre une dernière fois au plus profond que nos corps le permettent avant de jouir en elle en jets puissants.


L’intensité est telle que mon corps se raidit complètement avant de tomber d’épuisement sur le lit.


Nous restons allongés l’un à côté de l’autre de longues minutes pour reprendre notre souffle.


Puis elle se lève, dépose un baiser sur ma bouche avant de se diriger vers la salle de bain.


Après une longue douche, elle se rhabille et s’en va, sans se retourner…


Ce n’est que le lendemain matin que je reçois un SMS…


Vivement ce soir… J’ai une surprise pour toi…