n° 22206 | Fiche technique | 16871 caractères | 16871 2979 Temps de lecture estimé : 12 mn |
27/12/23 |
Présentation: Récit inspiré du réel, mon imagination ne prend le dessus que lorsque ma mémoire me fait défaut. Bonne lecture ! | ||||
Résumé: Je découvre chaque jour un peu plus ma Joëlle, une déesse de l’amour... | ||||
Critères: fh ff ffh couple grossexe fête | ||||
Auteur : Sobadboy1384 Envoi mini-message |
Joëlle organise toutes les six à huit semaines un dîner « débat » durant lequel les neurologues invités par le laboratoire pharmaceutique qu’elle représente se régalent d’un bon repas, mais aussi et surtout, à mon avis, de la compagnie des déléguées médicales responsables de leur secteur, généralement charmantes, voire carrément canons, comme dans le cas de ma compagne…
Joëlle vient de fêter ses quarante-trois ans, elle ne s’inquiète pas de vieillir, elle a un visage d’ange, un corps de rêve qu’elle entretient par une pratique sportive assidue, la nage en mer et l’escalade notamment. Son mètre soixante-huit élancé, ses yeux bleus, un sourire qu’elle pourrait monnayer auprès des marques de produits de beauté, une poitrine ferme et lourde et une chute de reins à faire se damner un moine, font le reste…
Je pourrais (devrais !) être fou amoureux de cette femme si belle, si fraîche, si folle et si joueuse… mais une rupture très difficile et inattendue, l’année précédente, m’a fait basculer dans les abysses desquels je ne remonte que pour essayer de me rassurer en accumulant les conquêtes. Aucune arrogance dans mon propos… Je cherche de manière obsessionnelle le sosie de celle qui m’a quitté pour un autre, c’est évident.
Je ne suis pas très jaloux bien que je ne compte plus les anecdotes qu’elle partage sur son quotidien au contact de ces « sommités » de la médecine, leurs approches plus ou moins subtiles pour essayer de la mettre dans leur lit (invitation à dîner, sortie en voilier, etc.), voire la sauter dans leur cabinet en lui demandant de passer en toute fin de journée…
Elle n’est pas dupe, elle est parfaitement consciente de son pouvoir sur la gent masculine, elle sait aussi que ce job est très bien payé, alors…
Un bref silence ; elle me rejoint sur le canapé, se colle à moi en recroquevillant ses jambes, un coude sur le dessus du dossier, ses genoux contre ma cuisse, et surtout, surtout, un sein qui vient caresser mon bras… Dieu que j’aime ce contact de ce galbe si ferme et si doux à la fois, et de ce téton qui durcit au contact de mon bras…
Elle scrute le blanc de mes yeux, et me lance :
Je ne sais pas quoi lui répondre, ou plutôt si, je le sais… les deux, en fait ! Mais je serais bien incapable de le formuler de manière cohérente, alors je bafouille quelques mots certainement incompréhensibles… Elle me sourit d’un air compréhensif et pose sa main sur mon entrejambe, me voilà pris au piège…
Elle s’en doutait de toutes les façons, vu la manière dont j’ai réagi aux confessions qu’elle m’a faites sur l’oreiller (voir mes deux premiers récits).
Voilà près de quatre mois que nous sortons ensemble, depuis notre premier contact sur ce site bien connu des célibataires. J’habite une rue calme à proximité de la plage des Catalans à Marseille, un petit coin de paradis où on pourrait se croire en vacances quasiment toute l’année. Joëlle habite à une quarantaine de kilomètres au nord. On se voit tous les week-ends et une à deux fois dans la semaine, elle vient généralement dormir chez moi et profiter des restos sympas de mon quartier. Dès qu’il fait beau, on sort en bateau piquer une tête dans les eaux cristallines des îles du Frioul ou parfois plus loin, à Cassis.
Elle me dit, le regard plus pénétrant :
Elle reprend sa caresse de mon entrejambe par-dessus le jean :
Son téton contre mon bras était maintenant dur comme de l’acier, j’avais moi aussi ma réponse…
J’étais près de la piscine, j’écoutais un de mes neuro s’épancher sur sa vie de couple monotone et son envie de vibrer à nouveau – tu imagines où il allait en venir… – quand Nathalie, la maîtresse des lieux, me rejoint pour s’enquérir du bon déroulement de la soirée. Elle avait visiblement un peu bu, car elle était encore plus tactile que d’habitude. On se voit assez régulièrement, elle m’invite à des après-midi piscine chez elle que l’on prolonge souvent par un dîner entre filles sur Aix. Parfois, son homme est là, entre deux vols pour l’Asie. Je me doutais que Nathalie était bi, elle a souvent fait des sous-entendus, mais elle n’avait rien vraiment tenté avec moi, à part des regards parfois un peu appuyés sur mon anatomie. Alors, ce soir-là, quand elle est venue me parler à quelques centimètres de mon visage en posant ces mains sur mes hanches, j’ai compris à sa façon de me regarder qu’il y avait autre chose…
Elle me propose d’aller danser et me prend par la main pour traverser le jardin en faisant peu de cas de mon neuro qui me voit m’éloigner, l’air dépité… Ma main dans celle de Nathalie, je perçois les regards obliques de certains des convives et ceux, disons plus interrogateurs, de leurs compagnes. Je garde les yeux baissés… Nous arrivons sur la piste au début d’un zouk assez lent qui lui permet de glisser un bras dans le creux de mes reins pour me guider, ce qu’elle fait très bien… Elle imprime une légère ondulation à nos bassins, sans aucune vulgarité, nos poitrines se frôlent… La sienne, en poires, est très belle, un tout petit peu plus petite que la mienne ; nous faisons du monokini lors des après-midi piscine, à son initiative, même lorsque son homme est de passage. Elle a une lueur gourmande dans les yeux, je m’en amuse, j’ai moi-même un peu bu et j’aime l’attention qu’elle me porte…
Joëlle pousse un rire nerveux…
J’aperçois Laurent aux platines, c’est le mari de Nathalie. Il nous guette du coin de l’œil. C’est le stéréotype du commandant beau gosse, charismatique, sûr de lui, un côté un peu dominateur, bestial… c’est un peu énervant, mais j’avoue qu’il ne me laisse pas indifférente… Pas étonnant que Nathalie soit si belle…
Ma partenaire nous fait tourner lentement, je perds son homme des yeux. Quand il revient dans mon champ de vision, son regard se fait plus direct, plus pénétrant… Il me sourit, il semble apprécier le spectacle, je lui souris à mon tour…
Laurent opte pour des sons technos, il y a plus de monde sur la piste, il commence à faire chaud bien que les grandes baies à galandages aient été complètement ouvertes, les corps se frôlent… Je sens quelques perles de sueur glisser dans mon cou, Nathalie s’en aperçoit, elle se rapproche, m’immobilise en posant ses mains sur mes hanches, puis pose ses lèvres dans mon cou pour recueillir d’un petit coup de langue ces quelques gouttes… La surprise passée, j’éclate de rire pour me donner une contenance, mais en réalité, je suis troublée par l’audace et la sensualité de ce contact… elle me crie dans l’oreille, mais je ne comprends pas ce qu’elle me dit, la musique est trop forte, puis elle me prend à nouveau par la main et m’entraîne au fond du jardin, vers la piscine… J’ai l’impression que tout le monde nous regarde, mais je m’en fiche, je ne veux pas qu’elle me lâche la main… Arrivées sur la plage de la piscine, Nathalie me fait face, un frisson m’envahit, elle m’enserre dans ses bras, sa peau est douce, délicate, ses yeux verts brillent dans la nuit. Je lui demande de répéter ce qu’elle me disait sur la piste, elle sourit, plonge ses yeux dans les miens :
- — Je t’ai dit que je te léchais, car tu étais mouillée…
Ne me laissant pas le temps de réagir, elle pose ses lèvres sur les miennes, Dieu que c’est bon, je me sens partir… Sa langue vient à la rencontre de la mienne, nos bouches se soudent dans un baiser langoureux, divin… On ne m’a jamais embrassée comme ça… Non, ce n’est pas vrai, toi, tu embrasses merveilleusement bien aussi…
Je ne sais pas combien de temps ça a duré, on a dû nous voir, mais je n’y prête pas attention, je ne veux pas me retourner, il n’y a qu’elle qui compte à cet instant. Nos lèvres finissent par se dessouder.
- — Reste, ce soir…
- — Mais, euh… Laurent ?
- — Il a très envie que tu restes aussi. Tu lui plais beaucoup. Et la réciproque est vraie… Ne le nie pas.
- — Euh… Oui, enfin, je ne sais pas… mais tu m’offres à ton homme, tu n’es pas jalouse, inquiète ?
- — Inquiète ? Non, Laurent et moi sommes amoureux comme au premier jour. Simplement, nous pimentons depuis quelques années notre vie intime. C’est un amant exceptionnel, endurant et… gâté par la nature, tu ne seras pas déçue. Tu es de très loin la plus belle femme que nous ayons croisée, il va se dépasser…
Nathalie passe un pouce sur mes lèvres, lentement, sans me quitter du regard.
- — Tu réfléchis ? Je vais m’occuper des hôtes.
Elle s’éloigne, me laissant seule avec le goût de ses lèvres sur les miennes et cette invitation si directe… je finis par reprendre mes esprits et me dirige à mon tour vers la terrasse. La piste de danse est toujours bien remplie, je décide d’aller me rafraîchir dans la salle de bain, mais elle semble occupée. Laurent qui m’a aperçue me fait signe d’aller à l’étage, je lui fais un petit signe en retour, un petit peu gênée par les confidences de sa femme… Je finis par trouver une salle de bain, ça semble être celle attenante à leur chambre, grande, ambiance zen, un diffuseur répand un parfum boisé, un très grand miroir au contour éclairé diffuse une lumière chaude, tamisée, on se croirait dans un cinq étoiles quelque part en Asie…
Pendant que je me rafraîchissais, la porte se referme derrière moi, j’aperçois Laurent dans le miroir. Il s’approche, pose négligemment une main sur ma hanche et se décale légèrement puis en appuyant sur un bouton invisible dans un coin du miroir, me dit :
- — Regarde, tu peux varier l’intensité.
La lumière se fait encore plus discrète, chaude, nous sommes presque dans le noir, seul un faible reflet doré nous éclaire encore, mais suffisamment pour que nos yeux ne se quittent plus…
- — Je te partagerai avec Nathalie cette nuit, mais je vais te prendre maintenant.
Ces mots provoquent une déflagration dans ma tête, un frisson remonte de mes jambes à ma nuque, je sens que ma culotte est trempée… Laurent se colle à moi, ses lèvres plongent dans mon cou, une main empaume un sein, je laisse échapper un « oh ! » de surprise, mais ne me dérobe pas à cet assaut si viril… il dégage une telle autorité, presque animale… Au contraire, je me surprends à poser ma main sur la sienne et l’encourage à me soupeser la poitrine, la malaxer… Il me pince les tétons, les étire tout en me mordillant l’oreille, je m’abandonne, je vais être à lui, il le sait..
- — Putain ! ces seins… J’en rêvais depuis que tu me les as mis sous le nez au bord de la piscine… Nathalie m’avait dit que j’en profiterais bientôt, elle ne s’est pas trompée, tu n’attendais que ça, hein, dis-le !
- — Je… Continue, c’est bon…
Je ne sais plus combien de temps ça a duré… Puis il me retourne de ses mains puissantes, exerce une pression sur mes épaules, j’ai compris ce qu’il veut, je me laisse aller au sol, sur les genoux…
- — Sors ma queue !
Ce n’est pas une demande, c’est un ordre, sa voix m’envoûte… Je défais la boucle de sa ceinture, descends le zip et plonge une main pour découvrir un paquet énorme… Mes doigts se resserrent sur sa queue, mais ma main n’en fait pas le tour… Je la sors en faisant attention de ne pas lui faire mal, et là, j’ai devant mes yeux, à quelques centimètres de mes lèvres, la plus belle queue qu’il m’ait été donné de voir…
J’étais fascinée par cette bite tendue vers moi, très nervurée, un gland magnifique…
- — Elle te plaît ? Montre-moi ce que tu sais faire, ma belle salope.
Je lève les yeux, Laurent me regarde avec un rictus de satisfaction, il est triomphant, il peut me traiter de salope, je suis vaincue… Je m’entends lui avouer :
- — Oui… Elle est… magnifique…
Je dépose un baiser sur le gland, puis un autre, ma langue l’effleure puis en fait le tour, je la fais glisser lentement le long de sa hampe jusqu’aux testicules que je prends en main, les deux mains… Je les caresse et les soupèse comme les hommes aiment le faire avec mes seins, il a des couilles de taureau… Je caresse sa queue de ma joue puis je reviens au gland que je m’apprête à gober, j’ouvre mes lèvres en grand pour arriver à le faire passer, Laurent pose une main derrière ma tête pour me guider, il exerce une pression qui fait coulisser son gland et une partie de sa queue dans ma bouche, plutôt jusqu’au fond de ma gorge, je n’en ai que la moitié en moi… Je resserre mes mains sur la partie que je n’arrive pas à prendre… Je l’ai léché et sucé comme jamais je n’ai sucé un homme… C’était comme un cadeau, je voulais lui montrer que j’étais à la hauteur… Puis il m’a pris les cheveux en queue de cheval pour imprégner sa cadence et me montrer que je pouvais la prendre plus loin, presque entièrement, c’est une sensation nouvelle pour moi…
J’aperçois Nathalie dans l’embrasure de la porte, je ne l’ai même pas entendue l’ouvrir, elle s’avance et s’adresse à son mari :
- — Petit salaud, tu n’as pas pu te retenir, tu aurais pu m’attendre !
Puis elle s’accroupit et me lance :
- — Je te l’avais dit que tu allais aimer… Je vais te préparer, Laurent n’en peut plus, et toi non plus visiblement…
Sur ces mots, Joëlle me chevauche sur le canapé, soulève son top et me met son 90C sous le nez…
- — Occupe-toi d’eux, lèche-moi les tétons… doucement…
Je ne me fais pas prier… Elle frotte son périnée sur la bosse de mon jean de plus en plus fort, je sens qu’elle commence à partir… Puis elle se lève d’un coup.
- — Viens dans la salle de bain…
Je comprendrai quelques minutes plus tard qu’avec la complicité de sa femme, Laurent l’a possédée par toutes les entrées dans cette salle de bain ce soir-là.
Il faudra qu’elle me raconte sa nuit…