n° 22215 | Fiche technique | 8521 caractères | 8521 1414 Temps de lecture estimé : 6 mn |
02/01/24 |
Résumé: Aurore et Éric forment un couple sans histoires. Leur vie tranquille va prendre un nouveau tournant. | ||||
Critères: extracon cocus candaul cérébral fellation -candaul | ||||
Auteur : kartago Envoi mini-message |
Aurore et Éric forment un couple sans histoires. Tous les deux dans la trentaine, sans enfants, ils sont épanouis sur tous les plans. Elle, brunette pétillante, toujours très féminine et sexy, travaille comme secrétaire dans une grande entreprise. Lui travaille dans l’informatique, est fan de foot et de vidéos. Leur vie tranquille va prendre un nouveau tournant.
Monsieur Charles, un cinquantenaire exigeant, est désigné comme PDG de l’entreprise d’Aurore. Ayant des idées très précises sur la formation de son équipe, il lui propose de devenir son assistante. Même si elle est très appréciée dans l’entreprise, ce choix surprend en interne, générant quelques jalousies. Tout se décide dès le premier entretien en tête à tête où Charles explique à Aurore les avantages, notamment financiers, mais aussi les contraintes, exigeant une totale disponibilité et incluant de l’accompagner dans ses déplacements, en France et à l’étranger. Flattée et impressionnée, elle accepte, l’assurant de sa capacité à convaincre son mari. « Il ne sera un obstacle à aucun niveau », se sent-elle obligée d’ajouter avec un sourire complice qui apparemment fait mouche. Il est vrai que l’entreprise ne manque pas de jeunes candidates sur le banc de touche, toutes très compétentes dans bien des domaines.
Aurore ne veut pas regretter un éventuel manque d’audace, d’autant que le feeling est tout de suite passé avec Charles. Elle est convaincue que la froideur apparente de ce bel homme mûr n’est qu’un vernis de convenance. Ses regards inquisiteurs ne peuvent mentir. Le soir même, elle use de tous ses charmes pour convaincre Éric, ce qui n’est pas vraiment difficile.
Au début, leur vie ne change guère, si ce n’est qu’Aurore s’habille de plus en plus sexy, se maquille davantage et rentre de plus en plus tard. « Ça va, avec le poste », lui explique-t-elle, ravie de ses nouvelles responsabilités.
Environ un mois plus tard, elle explique à son époux qu’elle a reçu de son boss une enveloppe de deux mille euros pour s’acheter des vêtements plus en adéquation avec sa fonction. Elle profite de la journée du samedi pour faire ses emplettes, Éric restant à la maison pour voir un match. À son retour, avec de gros sacs, Aurore se fait couler un bain. Toujours curieux, Éric fouille pour avoir une idée de ses achats. Tailleur très chic, robe courte noire, des chaussures à talons hauts… Jusqu’ici, rien de surprenant. En fouillant plus avant, il tombe sur des strings ouverts, des porte-jarretelles et des bas nylon. Un peu perturbé, il retourne à son canapé, bien décidé à demander des explications pour tout cela.
Quelques minutes plus tard, son épouse apparaît nue et se blottit contre lui. Sans dire un mot, elle lui baisse son jogging et avale son sexe. Éric n’ose rien dire, ravi de l’aubaine. Il ne résiste pas longtemps aux charmants assauts et décharge dans sa bouche en grognant de plaisir. D’habitude, Aurore se précipite dans la salle de bain pour recracher, mais pas cette fois… elle avale, puis lui nettoie consciencieusement le sexe et lui roule un gros patin, la langue encore chargée de sperme. Éric est surpris, mais adore cette innovation. Si ce travail (il était sûr du lien avec ce changement) ouvre la perspective de nouvelles fantaisies sexuelles, il ne va pas s’en plaindre. Il n’est pas vraiment jaloux, et même plutôt fier de voir sa femme susciter le désir des hommes.
Lors des soirées, elle sait d’ailleurs parfaitement jouer de ses charmes, par des décolletés plongeants sur sa poitrine nue ou en écartant négligemment les jambes pour dévoiler le haut de ses bas. Cela lui vaut d’ailleurs d’être toujours très entourée en fin de soirée, quand l’alcool désinhibe, attise les désirs et rend plus tactile. Elle se laisse alors volontiers tripoter et embrasser, notamment dans la pénombre des boîtes, sur la piste de danse ou alanguie sur une banquette. En parallèle, elle lance des regards complices à son époux, jamais très loin et captivé par le spectacle. Une fois repue de ces jeux érotiques, elle se lève, fait signe à Éric pour quitter la scène et revenir à la maison, laissant les prétendants frustrés et penauds.
Le grand gagnant de ces soirées est toujours Éric, qui bénéficie ensuite d’une amante déchaînée. Parfois, il peut même la sodomiser, ses doigts sur son clitoris pour atteindre des orgasmes volcaniques. Ces soirées lui avaient donné l’idée de proposer à son épouse de céder à certaines avances, à condition d’en avoir tous les détails, a posteriori… ou même, pourquoi pas, en direct. Il avait abandonné ce fantasme. Si cela vient maintenant naturellement du fait des circonstances, c’est tout bénéfice.
Éric comprend la métamorphose de son épouse et s’en réjouit, mais il ne veut pas rentrer dans les détails avec elle pour ne pas la perturber.
À partir de ce jour, Éric va essayer d’en savoir plus. Il commence par fouiller régulièrement dans la panière de linge sale. Il y trouve quelques indices, en particulier sur les petites culottes de sa femme. Certains jours, elles ne sont pas trop marquées. Pour d’autres, elles sont souillées d’abondantes sécrétions vaginales et, clairement aussi, de sperme odorant. Cela ne fait que confirmer l’intuition d’Éric.
Il doit l’avouer, la situation l’émoustille et il se masturbe très souvent. Ses recherches de vidéos, avec le mot-clé cuckolding, lui permettent d’imaginer ce que vit son épouse et cela l’excite beaucoup. Dès qu’elle rentre le soir, il lui tourne autour, tentant de sentir un nouveau parfum masculin, puis l’embrasse et la pénètre avec fougue, excité par l’idée d’un éventuel mélange de son sperme avec celui de son nouveau rival, qu’il considère désormais davantage comme un associé. Pour Aurore, ces assauts ne suffisent manifestement pas puisqu’elle se masturbe aussi la nuit. Éric s’en est rendu compte par hasard, réveillé par ses petits gémissements. Bien sûr, il ne réagit pas et ne dit rien. Cette nouvelle hyperactivité sexuelle de sa bien-aimée est une bénédiction pour lui.
Pour le premier déplacement professionnel avec son boss, madame doit partir sept jours aux États-Unis. Bien sûr, elle est maintenant totalement épilée (suggérant à Éric d’en faire de même). Dès que possible, il inspecte la valise qu’elle a préparée. En plus des dessous affriolants, Éric découvre des boules de geishas, un assortiment de plugs, du lubrifiant et un collier de soumise. Autant les gadgets suivent la logique de sa démarche, autant le collier de soumise le surprend. Aurore en impose et est le moteur du couple dans tous les domaines. Même pour le sexe, c’est elle qui lui impose le rythme et la méthode.
Le matin de son départ, elle l’embrasse avec fougue et lui lance un « Je t’aime mon mignon » qui lui fait chaud au cœur. De l’aéroport, elle lui envoie un dernier SMS :
Je t’ai laissé un petit cadeau dans ta table de nuit. Profites-en bien, et n’hésite pas à m’envoyer le résultat en photo. Bisous.
Intrigué, Éric se précipite et trouve le petit paquet emballé avec un joli nœud rose. C’est un masturbateur sophistiqué « vibrant à succion ». Il sourit de l’espièglerie de son épouse. Après réflexion, il décide de profiter de l’occasion pour faire passer un message à sa femme. Il va chercher dans la panière une culotte souillée de sperme, qui reflète si bien la vie actuelle de sa femme, et l’installe bien ouverte sur la table devant lui. Utilisant sa nouvelle machine, il éjacule juste devant après avoir visionné le porno qui va bien. Mise en scène et prise en photo, cette relique, et son offrande de sperme, est un message très clair pour sa charmante épouse : « Je sais, et j’aime ça ! ». Maintenant il pourrait sans complexes lui demander de raconter ses frasques, voire même, peut-être un jour, y assister en tant que spectateur privilégié.
Quand sa femme reçoit cette photo, elle sourit et, reconnaissant la preuve de ses frasques, comprend le message caché. Son époux approuve donc sa nouvelle vie, elle a carte blanche. Heureuse et soulagée, elle la montre à son patron en disant :
Il sourit, bien installé en classe affaires ; la main d’Aurore le tripotant discrètement, et son string blanc désormais en guise de pochette de son costume de marque. L’aventure ne fait que commencer…