n° 22223 | Fiche technique | 23650 caractères | 23650 4172 Temps de lecture estimé : 17 mn |
09/01/24 |
Résumé: Une envie de changement et de découverte du plaisir avec une autre femme dans d’agréables conditions. | ||||
Critères: ff sauna vengeance caresses nopéné init confession -extraconj -lesbos | ||||
Auteur : whynot Envoi mini-message |
Étant conseiller de plaisir, voici un entretien que j’ai eu avec Stéphanie récemment et que je vous conte.
J’ai passé quarante-cinq ans, je suis insatisfaite, non comblée. Oh, vous me direz : allez voir ailleurs, trouvez-vous un bel étalon, un amant qui vous fera revivre ! Oui, un de ces hommes qui, quand je les vois, me font tourner le cerveau, me remuent le bas-ventre, me titillent le bas du dos. y en a des comme ça, je serai prête à me jeter dessus, à les dévorer, à palper leurs muscles, cette tonicité que les ans nous font perdre, mais au fond de moi, j’ai peur d’être déçue.
Des hommes, y en a eu dans ma vie, mais pour la plupart tournés quasi exclusivement vers leur propre plaisir, pensant me satisfaire avec leur coït, parfois long, je le reconnais, mais banal et programmé. Non pas que je n’aime pas ça, mais j’ai besoin et ai envie d’autre chose, de ressentir d’autres sensations. Envie de faire durer la montée en pression de manière progressive, lente, insidieuse, ininterrompue, jusqu’à en être indécente ; cette décence que mon éducation a toujours freinée, même de manière inconsciente, en étant toujours sous contrôle de mes émotions, de mes sentiments et de mes ressentis, ne pas tout montrer, ne pas se laisser déborder.
Voilà où j’en suis… ras le bol de ne pas me laisser vivre, ressentir, vibrer, aimer, jouir et déborder, tout simplement !
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Stéphanie partie, je me demandais comment l’aider, son histoire m’ayant intriguée et titillé ma curiosité.
Un peu plus tard dans la semaine, je marche dans la rue, regarde une vitrine immobilière et la vois dans l’agence. J’y entre, elle y travaille apparemment, car elle discute avec un couple ; elle me voit surprise, et continue à parler avec ses clients qui vont partir. Elle vient ensuite me voir et on commence à discuter. Je lui demande comment elle va et si elle a pu trouver ce qu’elle cherchait. Elle me dit qu’elle a bien réfléchi, mais elle ne se voit pas faire autrement que ce qu’elle a pensé, le reste ne serait pas envisageable. On continue à discuter de tout et de rien, puis, ayant des rendez-vous, je dois la laisser en lui disant « à bientôt, j’espère ».
Quelque temps plus tard, je reçois une femme, belle de surcroît, Angélique, que son mari a trompée et dont elle veut se venger, mais sans savoir comment. Après discussion, une idée germe en moi et je lui demande si une relation saphique qu’il apprendrait ensuite ne serait pas une vengeance différente que si elle le trompait juste avec un autre homme ?
Elle acquiesce, car le fait de savoir sa femme avec un autre homme est un de ses fantasmes à lui, donc cela irait dans son sens, alors qu’avoir une histoire avec une femme lui donnerait un coup à son moral de toute-puissance masculine.
Je lui propose donc d’essayer de séduire Stéphanie en lui expliquant les grandes lignes, mais surtout, il faut que cela ait l’air impromptu… Elle possède un appartement qui pourrait servir de raison à sa visite à l’agence, et elle verrait ainsi comment cela se passe. Excitée comme une puce à cette idée, elle me dit qu’elle me tiendra au courant.
Plusieurs jours passent et pas de nouvelles, à mon grand désarroi. Puis un beau matin, je reçois un message d’Angélique qui me demande de la recevoir. Le lendemain, elle me rejoint à mon bureau.
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J’ai tout de suite vu son œil qui brillait dès que je suis rentrée. Je me suis installée, et lui ai dit que je voulais faire estimer mon appartement ; elle a été emballée à l’idée et on s’est donné rendez-vous l’après-midi pour la visite.
Une fois à l’appartement, j’ai vu qu’elle n’était pas très à l’aise, perturbée. Nous avons fait le tour de l’appartement, elle, très professionnelle, mais souriante ; moi, à l’aguicher de manière discrète et délicate. Je me rapprochais souvent d’elle pour la laisser passer, afin de pouvoir être dans sa « bulle », je sentais bien que cela la perturbait, cela m’excitait fortement. À la fin de la visite, je lui dis que j’attendais de ses nouvelles rapidement, et que j’avais passé un agréable moment en sa compagnie. Elle a pris congé, je l’ai prise par la main et lui ai fait une bise sur la joue à la limite de la commissure des lèvres, puis elle est partie.
Cela m’a mis dans tous mes états, et j’ai dû me satisfaire avec le petit outil bien pratique que j’ai toujours dans mon sac à main. J’espère ne pas vous choquer en vous disant ça !
Sur ce, elle file, et je reçois un coup de fil de Stéphanie.
Quelques jours plus tard, Angélique m’appelle, elle veut passer me voir.
Je devais passer la voir à l’agence hier à quatorze heures et l’ai appelée quinze minutes avant, prétextant un empêchement de dernière minute. Pour me faire pardonner, je lui ai demandé à quelle heure elle finissait et lui ai proposé de venir à la maison pour parler de l’estimation dans un cadre moins formel. Je l’ai sentie surprise au bout du fil, et après un blanc, elle a accepté de passer à 17 h 30. Mon mari étant absent quelques jours pour son travail, dans l’attente de sa venue, je me suis mise à tailler la haie… Oui, ça me plaît, ça me défoule.
Je n’ai pas vu l’heure tourner, et elle a sonné ! En tenue de combat, je ne pouvais pas décemment l’accueillir comme ça, mais bon, et puis tant pis, on verrait bien. Je lui ai ouvert et elle a été surprise de me voir habillée comme ça, en sueur. Je lui ai fait la bise en m’excusant pour mes effluves. Je l’ai installée dans le salon et lui ai dit que j’en avais pour cinq minutes, qu’elle pouvait se mettre à l’aise et se promener dans la maison le temps de ma douche, comme ça elle pourrait, avec l’œil de l’experte, me dire ce qu’elle pensait de la maison.
J’ai filé à l’étage, ai jeté mes habits dans la panière de linge sale, et ai fait exprès de laisser la porte de la salle d’eau ouverte. À un moment, lorsque je me rinçais, j’ai vu via le miroir une ombre passer devant la porte et se figer en se cachant. Vous imaginez bien le petit plaisir que je me suis fait à langoureusement rincer ma poitrine, mon entrejambe, en étant de trois quarts afin qu’elle ne puisse imaginer que je la savais ici. J’ai coupé l’eau, suis sortie de la douche pour me sécher, et bien sûr, l’ombre que j’avais vue avait disparu….
Je suis descendue, habillée d’un débardeur ample et d’un short, avec une serviette sur la tête. Descendre en peignoir aurait été trop provocant. J’ai justifié ma tenue par la chaleur de la douche, et le fait qu’il fasse bon dans la maison, ce à quoi elle a acquiescé. Elle avait les joues rouges, je lui ai proposé de retirer son gilet, car il faisait chaud, extérieurement et intérieurement pour elle aussi, apparemment… Je lui ai proposé un thé ou un jus de fruits, et elle a accepté le jus, car il faisait trop chaud pour un thé, m’a-t-elle dit. Ensuite, on a discuté sur le canapé, j’ai pris grand soin que mon débardeur baille et que mon short remonte bien. Elle m’a parlé de l’estimation de l’appartement, on a devisé sur pas mal de sujets, et je lui ai ensuite demandé ce qu’elle pensait de la maison.
- — Belle maison, spacieuse, décorée avec goût, très agréable, m’a-t-elle dit. Avec un potentiel d’agrandissement, si un jour cela nous tente…
Prétextant vouloir me coiffer, je lui ai proposé de me suivre dans la salle de bains. Elle a accepté et m’a suivie. Une fois dans la salle de bains, j’ai glissé malencontreusement – serait-ce fait exprès ? – et me suis tordu la cheville.
- — Aie ! ai-je crié.
- — Vous allez bien ? s’est-elle inquiétée, un peu affolée.
- — Oui, rien de grave, ma cheville saute souvent, elle a déjà été blessée. Je vais m’asseoir sur le lit, ça va aller mieux.
- — Vous voulez que j’appelle les pompiers ?
- — Non, du tout, je vais juste avoir besoin de vous pour me tirer le pied, ça va la soulager. Ne vous inquiétez pas, je vais vous guider.
Je me suis mise sur le lit, mon pied débordant du sommier, et lui ai demandé de prendre mon pied par le talon et de le tirer doucement vers elle.
- — Ah, ça fait du bien… Continuez comme ça, ça va passer !
Elle m’a regardée… mi-stressée par ma cheville, mi-excitée par mon débardeur qui était presque tombé et mon short qui me rentrait dans la fente, je n’avais pas de culotte, bien sûr… Je voyais ses yeux qui allaient de mon pied à ma poitrine à moitié dénudée et à mon entrejambe.
- — Ah, ça y est, je crois que c’est bon, vous pouvez relâcher mon pied. Merci, merci beaucoup !
- — Je vous en prie, c’est la moindre des choses.
- — Par contre, il faut le drainer de suite pour pas que ça gonfle, il faut que je le mette dans le jacuzzi.
- — Vous avez un jacuzzi ?
- — Oui, en bas, venez, je vous montre.
On est descendues au sous-sol, elle à côté de moi, j’ai pris appui sur elle et on est arrivées en bas.
- — Wahou, l’espace jacuzzi-détente ! Superbe ! s’est-elle exclamée.
- — Aidez-moi à le débâcher s’il vous plaît.
Et hop, une fois la bâche retirée, je lui ai dit :
- — Allez, venez, profitez-en aussi, il y a largement de la place pour deux.
- — Non, je ne veux pas vous déranger, et je n’ai pas de maillot.
- — Moi non plus, prenez une grande serviette, roulez-vous dedans, et une fois dans le jacuzzi, on ne voit rien avec les jets, donc pas de pudeur à avoir.
- — Ça me gêne, mais c’est vrai, c’est tentant !
- — Allez vous déshabiller derrière, et moi je m’y mets.
Elle est partie discrètement. J’ai retiré le peu que j’avais et me suis mise sur le côté pour ne pas être face à elle quand elle entrerait dans le jacuzzi, afin de ne pas l’intimider. Elle est arrivée enroulée dans sa serviette, et est entrée en un temps record dans l’eau.
- — Je suis assez pudique, désolée.
- — Ne le soyez pas, chacun est comme il est. Vous verrez, nu dans un jacuzzi, il n’y a rien de plus agréable ni de plus relaxant ; laissez-vous aller et profitez ! Essayez les différents jets pour masser les pieds, les jambes, le dos, vous allez voir, ça fait un bien fou !
Elle a changé de position pour les tester tout en restant à une distance raisonnable de moi, elle était encore sur la réserve. Subrepticement, mon bras ou ma jambe la frôlait, elle se détendait.
- — C’est vrai que ça fait du bien.
- — Et encore, vous n’avez pas tout testé…
- — Comment ça ?
- — En mettant les jets où il faut, vous pouvez avoir une vraie grande détente.
- — Comment ça ?
- — Rapprochez-vous un peu de moi, remontez un peu, cambrez-vous légèrement, et ainsi, le jet va vous masser le bas des fesses, vous allez voir, c’est divin.
- — Non, cela me gêne !
- — Il faut profiter de la vie et de ses moments pour vous mettre à l’aise, je vous montre.
Et voilà que je me suis penché en avant, avec les fesses à demi sorties de l’eau, mon vagin en contact avec le jet, la poitrine ballante se ballottant avec le flux de l’eau. Je commençais à prendre du plaisir, je l’ai regardée, lui ai souri et lui ai dit :
- — Vas-y, fais pareil…
Elle a hésité, et a commencé sans aller assez haut ; d’une main, je lui ai touché la fesse afin de la remonter.
- — Comme ça, tu vas voir, c’est top !
Gênée, elle s’est pourtant laissé faire et s’est laissé aller au plaisir que le jet lui procurait.
La voir ainsi a décuplé mon plaisir et la jouissance est arrivée très vite ! Elle a été surprise de ma réaction, mais m’a souri. Elle a voulu arrêter, mais je l’en ai empêchée.
- — Non, chacune son tour ! Reste où tu es, je vais t’aider.
Je me suis mise face à elle, l’ai embrassée doucement, lui léchant les lèvres, le menton, la laissant prendre son propre plaisir sans trop interférer. À un moment elle s’est mise à bouger plus, et d’un coup, elle a poussé un cri, puis deux, puis trois avant de s’affaler dans le jacuzzi… Pivoine, elle était !
- — Alors, qu’est-ce que je t’avais dit ?! C’est divin, non ?
- — Oh oui, je n’ai jamais connu ça !
- — Sortons prendre une douche fraîche pour nous remettre de nos émotions.
J’ai filé sous la douche à côté, j’ai mis l’eau froide, je me suis glissée dessous trente secondes, puis c’était à son tour.
Je l’ai emmitouflée dans une grande serviette et ai fait de même, elle riait comme une collégienne !
Les frissons s’estompant petit à petit pendant que je la frictionnais, j’ai vu dans son regard un mélange de peur et d’envie, peur qui a disparu lorsque j’ai commencé à la frictionner sous la serviette, serviette que j’ai fait tomber pour baiser petit à petit son cou. Je suis descendu le long de son dos jusqu’à la naissance des fesses, et suis remonté le long de la colonne vertébrale avec la langue jusqu’à revenir dans le pli gauche du cou, ça la fait frissonner de plaisir. Je l’ai fait se tourner, me suis emparé de son petit sein droit, magnifique, tendu, ne demandant qu’une chose à laquelle je me suis pliée avec un immense plaisir, aspirant, léchant, mordillant ce téton qui me narguait. Une plainte mêlée de plaisir et de douleur a jailli de sa bouche, mais son sourire en disait long et je me suis donc attelée à poursuivre cette douce œuvre en passant au sein voisin, histoire de reposer le premier rougi.
Puis je l’ai fait s’allonger sur le ventre, je me suis mise sur son dos, à l’envers, à califourchon, les cuisses au niveau de ses hanches, et de ma poitrine généreuse et pleine, j’ai massé ses jolies petites fesses, en va-et-vient. Elle a vite ouvert ses cuisses le plus largement possible afin que je puisse masser jusqu’à sa toison, trop fournie à mon goût, mais ce n’est pas grave… J’ai récolté sur mes tétons tout le précieux et enivrant liquide qui s’écoulait de son entrejambe brûlant. Tout en poursuivant mon massage « poitrinesque », j’ai inséré un doigt dans sa fente trempée, lentement, le plus profond possible. Un râle puissant et long l’a envahie, j’ai continué ainsi, l’ouverture timide du départ s’élargissant rapidement, je ne me suis pas fait prier pour joindre un deuxième doigt. Elle m’a d’abord intimé d’aller plus loin et plus vite, ce que j’ai fait avec le plus grand plaisir ! Et en quelques secondes, un véritable cri de libération profond et strident a jailli de sa bouche ! Je suis restée là, immobile, avec mes doigts en elle, moi-même détrempée !
Une fois ses tressaillements calmés, je l’ai fait se retourner sur le dos et suis venue m’asseoir sur son visage afin qu’elle lèche mon volcan bouillant ; ce qu’elle a fait maladroitement au début a ensuite été un déferlement de coups de langue plus ou moins profonds qui m’ont ravie. Afin de partager ce moment de grand plaisir, je me suis allongée sur elle et lui ai rendu la pareille, lapant goulûment la cyprine sur ses grandes et petites lèvres, aspirant son clitoris. Ce double plaisir mutuel a duré de longues minutes qui se sont terminées par une apothéose de multiples orgasmes de concert.
Épuisées et heureuses, nous sommes restées un long moment sur le sol avant de nous lever, tout sourire, pour aller nous rincer sous la douche.
- — C’est la première fois pour moi, m’a-t-elle dit, mais, qu’est-ce que c’était bon ! Je me demande comment je vais désormais être avec mon compagnon, incapable de me fournir un tel plaisir, même pas il penserait à tout ça !
- — Ne t’inquiète pas, j’ai moi aussi pris beaucoup de plaisir, et ce n’est que partie remise, tu auras d’autres visites à faire pour confirmer tes premières impressions sur mon appart ! Je tiens à être franche avec toi, j’en avais très envie, et je voulais par la même occasion punir mon mari ; donc, pour cela, je nous ai filmées, et si ça ne t’embête pas, il tombera dessus par hasard… mais ne t’inquiète pas… je flouterai ton visage…
- — Comment ça, filmée ??? Oh là là, je ne sais pas, c’est compliqué…
- — T’inquiète pas, il ne pourra pas télécharger quoi que ce soit, je protège tout, on ne te reconnaîtra pas en floutant ton visage, et je t’enverrai une copie, juste pour toi, afin que tu aies un souvenir impérissable de notre premier et pas dernier moment !
Elle a accepté, un peu contrariée, mais la façon dont elle m’a embrassée par la suite a levé tous ses doutes, apparemment !