Présentation: Sept scénettes (ou saynètes, on ne va pas s’entretuer pour un quasi-synonyme) diverses et variées sur différents sujets, comme des instantanés saisis sur le vif.
Résumé: 7 historiettes sur divers sujets à chaque fois fort courts.
Sept scénettes (ou saynètes, on ne va pas s’entretuer pour un quasi-synonyme) diverses et variées sur différents sujets, comme des instantanés saisis sur le vif. Bonne (rapide) lecture : )
08 – Très courte histoire très triste (du moins au début)
En fin de soirée, une trentenaire plutôt mignonne déambule dans un parc public, à l’écart de la foule. Elle est habillée de façon très voyante, en rouge précisément, ce qui contraste bien avec la tonalité verte locale. Elle s’adresse à un homme un peu plus âgé qui la zieute copieusement depuis un certain temps.
La femme voyante lui fait signe de la main :
— Oui, oui, vous, là ! Approchez donc, que je vous raconte une petite histoire très triste…
L’homme regarde autour de lui ; c’est bien à lui qu’on s’adresse. Il avance d’un pas :
— Euh oui, je vous écoute… tout en me permettant de vous regarder…
La femme en rouge sourit, tandis qu’il s’approche d’elle. Quand l’inconnu s’immobilise à deux mètres, elle soupire abondamment :
— Oyez la très triste histoire d’une femme mariée avec une toute petite bite, même pas fichue de savoir utiliser correctement sa langue ou ses doigts, c’est dire !
Hochant la tête, sans toutefois lâcher du regard son interlocutrice, l’homme compatit :
— C’est trèèès triste, en effet… Il est arrivé quoi ensuite ?
Le chaperon rouge des temps modernes affiche alors un sourire avenant :
— La femme mariée se balade souvent le soir, habillée en rouge, à la recherche de bonnes queues vigoureuses, tandis que la p’tite bite l’attend à sa voiture un peu plus loin… Et elle pense avoir trouvé une belle queue, si elle en croit votre pantalon…
L’homme s’approche un peu plus :
— Tant mieux, cette histoire finira bien !
Rideau…
09 – Idées à la con
Smartphone à l’oreille, cheveux au vent, une splendide jeune femme en bikini blanc plutôt translucide déambule sur la plage en ce mois de mai propice aux ponts et viaducs.
— Bon, Charles chéri, tu es sûr de toi ?
— Oui, mon amour, tu es superbe comme ça. T’inquiète, je te vois très bien dans mes jumelles, là, sur le balcon de notre appart. Waow, on t’a jamais dit que t’avais un cul d’enfer ?
Se retournant aussitôt, la jeune femme aperçoit en hauteur, de l’autre côté de l’avenue qui borde la plage, à cent mètres d’elle, Charles, son dernier amant en titre. Agitant la main de façon ostensible, elle le houspille un peu :
— Arrête tes conneries, Charles !
— Je dis que t’as un magnifique cul, et tu râles ?
— Je suis quand même un peu inquiète…
Au bout du fil, l’homme essaye de la rassurer :
— Bah, ton mari n’est pas près de pointer le bout de son nez par ici…
— C’est pas lui que j’évoquais, mais tes idées à la con !
— Si je suis ton amant depuis une flopée de mois, c’est parce que tu aimes mes idées à la con, mon amour…
— Je te l’accorde, mais aujourd’hui, j’avoue que je ne comprends pas bien où tu veux en venir…
Perché sur son balcon, ses yeux vissés aux jumelles, Charles explique :
— Pour le moment, il n’y a personne sur la plage, mais je sais que bientôt les étudiants du coin vont débarquer. Quand ils nous verront, ils vont sans doute venir te faire causette et te faire des propositions malhonnêtes.
— Habillée comme je le suis, y a un gros risque… Et alors ?
L’éclaircissement arrive tout de suite :
— C’est très simple, ma beauté : t’en ramènes deux ou trois dans notre chambre, et tu les laisses faire ce qu’ils veulent avec toi. J’ai installé trois caméras à différents endroits, on va se faire une splendide vidéo de vacances.
— Espèce d’immonde salopard de gros cochon vicieux ! C’est pour ça que tu refuses de me baiser depuis notre arrivée !?
— Tu as tout deviné, petite chaudasse !
Énervée, mais émoustillée, la jeune femme continue sur sa lancée :
— Gros pourri du slip ! Tu sais que je suis en chaleur et que je ne demande qu’à me faire sauter comme une salope !
— Je sais, je sais !
Sachant que son amant l’observe avec ses jumelles, de sa main libre, elle soupèse son sein, le faisant agréablement osciller et tressaillir :
— Eh bien, pour la peine, je vais t’en ramener quatre ou cinq. Et pour toi, ceinture durant le reste des vacances… Tu vas voir, sale fripouille, je vais devenir la putain de tous les étudiants du coin !
— Mais c’était le but, mon amour à moi !
Rideau…
10 – Régime hyper protéiné
En plein été, près de la piscine d’une villa cossue, un alerte cinquantenaire est en train d’entreprendre une jeune fille qui a vraisemblablement moins de la moitié de son âge. Celle-ci proteste mollement :
— Oh, Norbert… Mais qu’est-ce que vous faites ?
Celui-ci résume parfaitement la situation :
— Dis donc, petite allumeuse, tu pensais à quoi en te mettant quasiment à poil devant le beau-père de ton copain alors que nous ne sommes qu’à deux dans la villa ?
Il est vrai que le maillot de bain que porte actuellement la jeune fille est très rachitique. Ce vêtement est composé de trois timbres-poste maintenus par de fines ficelles, cachant à peine ce qu’il ne faut pas décemment montrer en public.
Captive dans un bras puissant de l’homme mature, dont la main virile caresse avec application un pubis tout lisse, elle minaude :
— Oh… quand même… Norbert… que va penser votre beau-fils ?
— Tu veux vraiment que j’arrête ? Car, vu comment tu mouilles, j’ai des doutes !
— Euh… Vous ne direz rien à mon petit ami, n’est-ce pas ?
— Je te rassure, ce sera notre petit secret…
Puis l’homme plonge carrément ses doigts sous le minuscule tissu, bien décidé à venir taquiner un certain petit bouton rose qu’il sait fort sensible. Quelques instants plus tard, la jeune fille bascule complètement :
Le beau-père du petit ami relâche son étreinte. Abaissant prestement son short, l’homme mature exhibe une verge massive formant un bel arc de cercle, puis prenant à pleines mains les hanches de la jeune fille, il se positionne contre son dos. La jeune fille s’étonne :
— Hé !? Mais vous ne mettez pas de capote ?
Délaissant les hanches, les mains maintenant sur des seins frémissants, le beau-père du copain répond sereinement :
— Pour quoi faire, ma belle ? Je sais que tu prends la pilule, et moi, je suis clean, donc, pas de souci, ma jolie ! On peut y aller franco !
— Oui, mais…
Ayant écarté la fine ficelle qui lui barrait faiblement l’accès, l’homme plaque posément son engin à l’orée de la fente :
— Et puis, ma petite allumeuse, j’ai trop envie de tout décharger au fond de cette superbe chatte… Je suis certain que tu aimes te faire remplir à fond de foutre bien chaud, et que ça déborde de partout, n’est-ce pas ?
Fermement maintenue, la jeune fille minaude de plus belle :
— On ne peut rien vous cacher, Norbert… Et… euh… ensuite, je… euh… pourrais goûter à votre foutre ?
— Pas de problème, ma belle… J’ai toujours les couilles bien pleines ! Avec moi, tu vas avoir droit à un régime hyper protéiné durant toutes les vacances…
Rideau…
11 – Service numéro un
Un homme et deux femmes. L’une d’elles (une brune) est à quatre pattes, séant bien en évidence, tandis que l’autre (une blondinette) semble jouer les spectatrices. Cette dernière demande à l’homme qui s’active :
— Ouah, le machin que t’as ! Et tu vas vraiment lui mettre toute ta bite dans le cul ?
— Ah ça, je ne sais pas encore, c’est ta copine qui décide si c’est oui ou si c’est non.
En appui sur les mains, la brune glousse :
— Arrête de dire des conneries, Marco ! Tu sais très bien que j’aime ça et toi aussi !
— C’est vrai ! Mon second prénom est Enculator !
— Pff ! T’es vraiment con, toi !
Un peu inquiète, la blonde demande alors :
— Mais ça fait mal, non ?
La femme à quatre pattes répond :
— Non, ma chérie ! Enfin, oui, un peu quand même, mais juste au début…
L’homme ricane :
— En fait, elle adore ça…
Remuant lascivement du popotin, la brune prend à nouveau la parole :
— Oui, j’adore ce moment quand son gland commence à forcer mon anneau. Oui, ça tire un peu, ça piquouille pendant que ma rondelle s’adapte à la taille de sa bite, mais je sais qu’une fois que ça sera OK, Marco va pouvoir me défoncer à donf, et je vais ensuite jouir comme une vraie petite pute !
— Eh oui ! Et cette belle salope m’en redemande de plus en plus souvent !
Assez intéressée, la blonde demande d’une voix séduisante :
— Et ça te dirait de me la mettre dans mon petit cul à moi ? Juste pour voir si…
La réponse qui tombe aussitôt n’est pas celle espérée :
— Non…
— Comment ça, non ?
Avec un large sourire, Marco explique :
— C’est toi qui vas exiger que je te la mette dans le cul, c’est toi qui vas me supplier de te défoncer le petit trou avec mon gros mandrin…
— Ah oui ? Et comment tu peux savoir ça ?
Tel un coq sûr de son coup, Marco se positionne juste derrière la brune à quatre pattes :
— Parce que tu vas regarder ta copine jouir comme une grosse chienne tandis que je vais lui pilonner les entrailles, et toi, tu ne rêveras plus que d’une seule chose : que je te défonce le trou du cul de la même façon avec ma grosse bite…
Fébrile, la brune confirme :
— Je te l’ai dit, ma chérie, je n’ai jamais rien connu d’aussi bon…
Étant dans le bon axe, Marco pose sa verge au bon endroit, poussant lentement, mais posément son avantage. La femme à quatre pattes souffle un peu, respire à grands coups, tandis que le gland se fait peu à peu absorber. Soudain, elle lance :
— OK, c’est bon, ma rondelle s’est ajustée, tu peux y aller franco ! Vas-y, casse-moi le cul comme les autres fois et fais-moi jouir comme une petite folle…
— D’accord, ma belle salope ! En attendant de mettre en route le deux, le service numéro un est enclenché !
Rideau…
12 – Incendiaire
Lors d’une réception, tous les trois assis sur un canapé, deux hommes (un brun et un blond) encadrent une jeune femme à la chevelure de feu dont les vêtements sont fort aguicheurs. Peu farouche, la rousse incendiaire se laisse peloter. Tout en soupesant un mignon sein peu défendu par le tissu, son voisin de gauche demande :
— Ainsi c’est toi, la fameuse cousine de Jean ?
— Fameuse cousine ? Pourquoi tu dis ça ?
Tout en jouant avec la masse molle qu’il a en main, le grand blond s’explique :
— Il paraît que tu as planté ton fiancé devant tout le monde parce qu’il n’était pas à la hauteur de tes besoins. Je me trompe ?
— Tu te trompes.
L’homme s’étonne franchement :
— Ah bon ? Pourtant, Jean m’a affirmé que…
— Je n’ai pas planté un fiancé, mais plusieurs.
— Plusieurs ? Carrément !?
La provocante rousse affiche un sourire ravageur :
— Oui, j’ai de gros besoins ! De ce fait, j’espère que toi et ton copain allez être à la hauteur de mes attentes en la matière.
— Tu as toujours été très « demandeuse » ?
Bombant le torse, mettant en avant ses appas, la jeune femme écarte les bras, montrant mieux sa tenue et sa plastique :
— À ton avis, mon mignon, pourquoi suis-je habillée en pouffiasse rose, sans soutif ? Et que je vous laisse me peloter ? Hmm ?
— Et sans petite culotte ?
— Hmmm… devine !
Toujours occupé à peloter le corps offert, le voisin de droite (le brun) ouvre enfin la bouche :
— Et tu acceptes quoi comme pratique ?
— Toutes, du moment que c’est bien fait, mes loulous.
Tout en s’exclamant, le blond reprend la parole :
— Toutes ? Même les plus cochonnes ?
— Du moment que c’est bien fait et que j’y trouve mon compte, c’est simple, non ?
— Donc, être baisée par plusieurs mecs en même temps, les sucer, te faire enculer, ça te convient sans problème !?
La jeune femme fait la moue :
— Entre nous, tout ça, c’est banal… Tu parles à une fille qui a participé à des orgies et à des tournantes. J’ai même tourné dans des films pornos. J’ai peut-être l’air d’une gamine, mais je suis nettement plus expérimentée et aguerrie que la plupart des femmes qui ont dix ou vingt ans de plus que moi.
Après avoir déposé un baiser sur l’épaule dénudée, le brun se penche un peu plus sur sa sensuelle voisine, ou plutôt vers son magnifique décolleté quasiment en libre accès :
— Mon pote et moi, on relève le défi !
— Oki-doki ! Welcome et bonne chance, vous deux !
Rideau…
13 – Utilisés
Dans l’intimité d’une chambre, quatre personnes, dont une seule femme qui est actuellement prise en sandwich par deux hommes à la carrure assez athlétique. Bien qu’allégrement entreprise et appréciant visiblement cette double pratique, la jeune femme s’adresse d’un ton assez acerbe à un spectateur resté sur le côté (le troisième homme).
— T’es un gros salaud dans ton genre !
— Et en quoi, ma chérie ?
Toujours allégrement secouée par les deux hommes qui sont en train de la ramoner avec allégresse, la femme développe sa pensée :
— Tu m’avais dit que j’allais avoir droit à un beau cadeau pour mon anniversaire et que ça allait être ma fête, mais quand t’as dit ça, je ne pensais pas du tout ce genre de truc !
— J’ai rebondi sur ce que tu m’avais dit quand on avait zieuté des vidéos pornos. Je me suis dit que ce serait une très bonne idée que de t’offrir la même chose que la fille du film. Je me rappelle très bien que tu t’étais exclamée : « oh, la chanceuse ! »
Bien que poussant très souvent des petits cris de contentement, l’épouse rétorque :
— Je sais, j’ai dit ça, mais je trouve que tu m’as un peu trop facilement offerte à tes potes de foot ! Gros porc libidineux !
— Et moi, je trouve que tu n’as pas fait beaucoup de difficultés à te laisser baiser par eux. Allez, ma chérie, garde la bouche grande ouverte, que j’y mette ma queue : j’ai trop envie de juter entre tes lèvres ! Ainsi, tous tes orifices seront utilisés !
Rideau…
14 – Que j’ai honte
Au creux d’un grand lit est allongée une femme mature, le drap remonté sous le nez, avec à ses côtés deux hommes sensiblement du même âge qu’elle. Clignant des yeux, un peu apeurée, l’encadrée gémit doucement :
— Oh, mon Dieu que j’ai honte !
— Pourquoi, ma biche ?
Elle regarde l’homme aux cheveux poivre et sel qui vient de parler :
— Parce que je… je vais coucher avec deux hommes en même temps, et qu’en plus, y aura aussi une vidéo qui sera faite !
— Pas de panique, ma biche ! Tu verras que tout se passera très bien et que tu vas jouir comme une petite folle !
Pas très rassurée, elle demande :
— Ce… c’est vrai ?
— Puisque je te le dis, ma bichette ! Nous en avions discuté plusieurs fois auparavant, et tu étais d’accord pour passer à l’acte.
— Je… j’ai dit ça dans le feu du moment…
— N’aie crainte ! Bien sûr que tu vas bien en profiter, puisque nous serons deux à nous occuper de toi à fond.
D’une voix cajoleuse, l’autre homme intervient :
— Oui, ma jolie, et tu trouveras ça tout à fait normal, crois-moi sur parole, ma toute belle.
— Si… si tu le dis… je… je te crois…
— Et nous recommencerons souvent, parce que tu aimeras qu’on s’occupe ainsi de toi. Puis un jour, nous serons trois hommes avec toi, et ce sera aussi très bon… Puis plus tard, encore plus d’hommes autour de toi, rien que pour toi, et ça sera encore plus génial pour toi !
— Oui, je te crois…
Le premier homme (poivre et sel) s’étonne :
— Comment ça ? Tu le crois, lui, et pas moi ?
— C’est pas pareil ! Toi, t’es mon mari, et lui, c’est mon amant !
Rideau…
Nota : une fois de plus, il n’est pas rare que la réalité dépasse la fiction. Deux scénettes en portent le témoignage… Trois, en comptant large…