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n° 22233Fiche technique31281 caractères31281
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Temps de lecture estimé : 22 mn
14/01/24
Résumé:  Introvertie et frustrée depuis son adolescence, Lisa va assumer ses fantasmes suite à une indiscrétion de son copain.
Critères:  fhh jeunes extracon grossexe groscul fellation anulingus double fsodo -occasion -extraconj
Auteur : Samuel Mutt      Envoi mini-message
Oui, Lisa est une folle du cul.

Oui, Lisa est folle du cul.






Nicolas se tenait dans l’embrasure de la porte, tout sourire.



Lisa et Benoît pénétrèrent dans l’appartement où, au vu du volume sonore de la musique et des conversations, la fête allait déjà bon train. À peine entré, Benoît s’était précipité pour enlever son gros manteau.



« Tiens, se dit Lisa, c’est nouveau, ça. Depuis quand il est si prévenant, lui ?! »


Mais elle n’eut pas le temps d’y réfléchir plus longuement, Benoît s’était déjà précipité vers la table chargée de bouteilles d’alcool et venait de se servir un whisky-coca copieusement chargé en alcool. Lisa soupira intérieurement. Elle savait déjà comment cette soirée allait se finir. C’était la même chose à chaque soirée chez Nicolas et Adrien. Benoît allait boire beaucoup trop en discutant avec ses potes pendant qu’elle serait assise dans un coin à faire tapisserie. Au bout d’un moment, Benoît serait trop saoul pour continuer et elle l’aiderait à se coucher dans la chambre d’amis. Elle s’installerait à côté de lui et jouerait sur son téléphone avant de s’endormir. Sur la petite dizaine de personnes présentes, aucune ne s’était jamais vraiment intéressée à elle depuis qu’elle sortait avec Benoît… et sa timidité d’introvertie n’aidait pas. Tout au plus, Nicolas et Adrien s’étaient à l’occasion sentis obligés d’échanger quelques mots avec elle.


En parlant des deux colocataires, voilà que le second hôte des lieux s’avançait vers elle pour lui faire la bise.



Décidément, ça aussi, c’était nouveau. Un peu étonnée, elle se sentit obligée de surjouer l’enthousiasme.



Ce n’était pas vrai. Elle n’était là que pour faire plaisir à Benoît.


En se dirigeant vers la table des rafraîchissements, elle l’observait, assis dans un canapé avec un verre de whisky-coca à nouveau plein. Ce n’était même pas par amour qu’elle faisait ça. Elle avait bien conscience de ne pas être amoureuse, mais Benoît lui apportait certaines choses dont tout le monde avait besoin : de l’affection, de la compagnie, quelqu’un à qui se confier, une certaine complicité même… et puis, du sexe aussi.


Elle se servit un whisky-coca, raisonnable, celui-là, et elle s’assit sur une chaise pour observer la pièce. Elle reconnaissait les visages des personnes présentes, mais elle se sentait incapable de leur adresser la parole, la faute à un manque de confiance hérité de ses années de collège. À l’âge où ses copines avaient grandi, avaient minci et développé des formes, Lisa n’avait pris que quelques centimètres en hauteur. Sa poitrine avait un peu grossi, certes, mais n’avait jamais dépassé un petit bonnet B. Seul son cul avait vraiment pris de l’ampleur. Pour ne rien arranger, elle avait gardé un visage rond et des formes aux mauvais endroits. À l’âge où ses amis commençaient à s’adonner aux jeux de l’amour, des flirts et des premiers baisers, elle s’était donc retrouvée mise à l’écart et elle avait commencé à complexer sur son physique. Ses longs cheveux noirs et ses yeux bleu clair lui donnaient un certain charme, mais il y avait le reste…


Perdue dans ses pensées, son regard se posa sur Benoît qui continuait à pérorer sur le canapé, visiblement de plus en plus ivre. Même si elle n’aimait pas trop son côté fêtard, elle se trouvait chanceuse qu’un mec comme lui se soit intéressé à elle six mois plus tôt. Sans être le plus beau mec du monde, il était plutôt mignon, et gentil avec ça. Elle pouvait remercier les hasards administratifs de la fac de lui avoir assigné Benoît comme tuteur. Lors de leurs sessions de tutorat à la bibliothèque universitaire, il se montrait toujours bienveillant, patient, jamais condescendant. Peu habituée à un tel traitement venant de la gent masculine, Lisa avait très vite commencé à fantasmer sur son tuteur. Après chaque session, elle rentrait chez elle et se masturbait frénétiquement.


Et puis, c’était arrivé. Un beau jour, il lui avait envoyé un message lui proposant de se retrouver chez lui plutôt qu’à la bibliothèque universitaire, soi-disant pour « être plus au calme. » Elle s’était empressée d’accepter et, quelques heures plus tard, elle tapait à sa porte. Une fois entrée, les apparences n’avaient pas tenu très longtemps. Il l’avait embrassée immédiatement, lui offrant ce premier baiser tant attendu. Et lorsqu’il avait commencé à la déshabiller, elle s’était laissé faire. À vingt ans, elle était plus que prête. Elle voulait sentir le corps d’un homme contre le sien. Elle voulait sentir des mains, des doigts, une langue et un sexe explorer son corps. Et elle voulait faire de même. Finalement, ils n’avaient pas étudié cet après-midi-là. Ils avaient fait l’amour trois fois. D’abord, sur le canapé. Ensuite, dans la petite douche exiguë. Enfin, dans le lit. Elle s’était endormie dans les bras de Benoît, le goût un peu âcre de son sperme encore sur sa langue.


Lisa revint soudain à elle. Combien de temps avait-elle passé, ainsi perdue dans ses rêveries ? Pas mal de temps, visiblement. Une partie des invités étaient déjà partie et d’autres semblaient sur le départ. En scrutant la salle, son regard était tombé sur celui d’Adrien et Nicolas qui étaient en train de discuter. Ils l’avaient saluée à travers la pièce en levant leur verre puis ils s’étaient échangé un regard complice accompagné d’un sourire en coin. Elle n’entendait pas leur discussion, mais elle avait la nette impression d’être le sujet de la conversation des deux comparses. Quant à Benoît, de plus en plus affalé sur le canapé, il commençait carrément à piquer du nez. Elle se leva pour le réveiller et l’obliger à se lever. Il titubait sérieusement, mais, si elle le soutenait, il parvenait à peu près à marcher. Elle passa devant Nico et Adrien.



Malgré son état, Benoît n’était pas particulièrement coopératif. Il voulait continuer à faire la fête. Il fallut un peu de temps à Lisa pour le convaincre de se laisser faire. Elle lui enleva ses chaussures et son pantalon et elle réussit enfin à le mettre au lit, bien au chaud sous la couette. Elle prit même la peine de lui remplir un grand verre d’eau pour plus tard. Alors qu’elle allait, comme d’habitude, s’installer à côté de lui, elle s’arrêta net. Le comportement inhabituel d’Adrien et de Nicolas la travaillait encore. Elle avait beau être timide et introvertie, elle n’aimait pas cette impression que les deux colocataires se foutaient de sa gueule. Il fallait qu’elle en sache plus.


Une fois Benoît profondément endormi, elle retourna donc au salon. Tous les autres invités étaient partis et elle trouva les deux comparses assis sur le canapé, en train de rouler un joint sur la table basse.



Adrien alluma le joint et tira une grosse bouffée.



Ce n’était vraiment pas dans leurs habitudes d’être aussi avenants. Adrien passa le joint à Nicolas qui tira une latte à son tour et tendit le joint à Lisa.



Nicolas reprit donc une bouffée et rendit le joint à Adrien. Les deux mecs semblaient observer Lisa, comme s’ils cherchaient à lire quelque chose dans son comportement. Celle-ci reprit la parole, un peu agacée :



Les deux hommes échangèrent un regard faussement candide et Adrien lui répondit évasivement :



L’irritation de Lisa était maintenant visible.



Adrien et Nicolas échangèrent à nouveau un regard, cette fois-ci un peu amusé, comme deux enfants pris en train de faire une bêtise.



Lisa se renfrogna un peu à l’idée de céder à ce petit chantage, mais elle tendit la main.



Elle porta le joint à ses lèvres et aspira une grande bouffée qui la fit presque immédiatement tousser. Adrien ricana un peu, mais Nicolas la rassura.



Refusant de rester sur un échec, Lisa tira une autre latte qu’elle réussit à inhaler et à expirer correctement. Elle tendit le joint à Adrien :



Pendant qu’Adrien prenait une bouffée à son tour, Nicolas commença son explication.



Assise sur son fauteuil, Lisa fulminait. Non pas parce que Benoît avait menti. Il avait bien dit la vérité. Mais ce connard n’avait pas le droit de déballer sa vie sexuelle à ses potes comme ça. Sur le point d’exploser, elle se contenta de tendre le bras pour qu’Adrien lui repasse le joint. Elle tira deux grosses bouffées pour faire redescendre la colère pendant que les deux hommes face à elle la scrutaient sans dire un mot.


Bouillonnant toujours intérieurement, Lisa s’adressa à eux avec tout le calme dont elle était capable :



La bouche de Nicolas s’élargit en un rictus amusé, mais Adrien semblait plus dubitatif :



Cette fois-ci, Lisa ne peut s’empêcher de lâcher un petit rire moqueur :



Adrien et Nico regardaient Lisa, l’air un peu hébété. Non seulement ils ne s’attendaient pas à autant de détails, mais le mélange de colère et de cannabis l’avait complètement désinhibée. Elle était méconnaissable. De son côté, face au trouble des deux hommes, Lisa comptait bien renverser la situation :



Nicolas fit une petite moue :



Adrien renchérit, l’air un peu résigné :



À ses mots, Lisa haussa un sourcil.



Adrien la regarda dans les yeux :



Lisa prit cette réponse désinvolte comme un défi et répondit avec une pointe d’amusement :



Adrien s’allongea à moitié dans le canapé, comme pour lui laisser plus facilement l’accès à sa braguette :



Après une microseconde d’hésitation, Lisa se leva. Sous le regard assuré d’Adrien et celui amusé de Nicolas, elle poussa la table basse et s’agenouilla entre les cuisses d’Adrien. Sans se presser, elle entreprit d’ouvrir un à un les boutons de son jean. Lorsqu’elle glissa la main dans le caleçon pour en sortir l’engin, ses yeux s’écarquillèrent. Avant même de le voir, elle se rendit compte que le jeune homme n’avait pas menti. Mais elle se devait d’aller jusqu’au bout. Elle sortit l’imposant sexe pour constater sa taille. Il n’était pas complètement au repos, sans doute déjà un peu excité par la conversation qui avait précédé, mais sa taille dépassait déjà celle de Benoît en érection. La seule comparaison qui lui venait à l’esprit, c’était les sexes des pornos devant lesquelles elle se masturbait. Adrien reprit la parole, cette fois-ci avec un ton de défi dans la voix :



Malgré l’excitation et les effets du cannabis, Lisa savait bien que c’était là le point de non-retour. Est-ce qu’elle était prête à tromper son copain pour profiter d’une queue pareille ? Une queue digne de ses fantasmes ? Et avec Nicolas en prime ? Inutile de se cacher derrière une hésitation hypocrite. Elle savait très bien que la réponse était oui. Elle avait envie de sentir une queue pareille dans son cul. Elle avait envie de se faire baiser par deux mecs. Elle avait envie, point. Et tant pis pour Benoît. Après tout, c’était sa faute s’il avait ouvert sa grande gueule.


Elle rendit son regard à Adrien :



D’un geste, elle finit de glisser jean et caleçon sur les chevilles du jeune homme, et, avec un sourire carnassier, elle se baissa pour prendre cette énorme queue en bouche.


Elle suçait avidement, les yeux fermés. La taille de l’objet qui grossissait dans sa bouche l’enivrait. Sa main faisait des allers-retours et elle parvenait à peine à en faire le tour avec ses doigts.



En effet, Lisa faisait désormais courir sa langue tout au long de l’imposante verge. Le plaisir et l’excitation se lisaient sur son visage. Elle essayait parfois de la prendre autant que possible en bouche, pour voir jusqu’où elle était capable d’aller. Mais l’épaisseur du sexe d’Adrien l’empêchait de dépasser la moitié de sa longueur.


Sans perdre une miette du spectacle, Nicolas s’était levé pour se déshabiller. Lorsqu’il se rassit sur le canapé, le sexe bien en érection, Adrien attrapa Lisa par les cheveux et tira pour qu’elle lâche sa queue.



Et il dirigea la tête de la jeune femme vers l’entrejambe de Nicolas. Le sexe de celui-ci était de taille beaucoup plus raisonnable, un peu plus gros que celui de Benoît, mais sans commune mesure avec celui d’Adrien. Lisa n’eut donc aucun mal à l’engouffrer immédiatement au fond de sa gorge, arrachant un râle à Nicolas.



À son tour, il attrapa une poignée de cheveux et commença à contrôler les mouvements de Lisa. Celle-ci se laissait faire, assouvissant un nouveau fantasme. Jamais Benoît ne l’avait traitée de façon aussi dominante. Elle avait l’impression d’être dans un de ces pornos qui l’avaient si souvent fait fantasmer.


À son tour, Adrien se leva du canapé pour finir d’enlever ses vêtements. Une fois fait, il se mit à genoux derrière Lisa.



Sans attendre, il fit remonter la robe de la jeune femme jusqu’à sa taille et baissa sa culotte.



Il lui claqua une fesse.



Nicolas tira sur les cheveux de la jeune femme pour la laisser parler. Sa moitié de son visage était couverte de salive et son maquillage avait coulé lorsque Nicolas avait appuyé sur sa tête pour s’enfoncer au fond de sa gorge, mais, entre deux grandes respirations pour reprendre son souffle, elle parvint à dire :



Une deuxième claque tomba immédiatement sur l’autre fesse.



Elle se retourna vers Adrien, sans cesser de branler le sexe de Nicolas :



Adrien lui mit deux doigts dans la bouche pour qu’elle les couvre de salive, ce qu’elle fit docilement. Sans attendre, il écarta ses grosses fesses pour introduire les deux doigts trempés dans son cul. Lisa ferma les yeux et ronronna de plaisir en sentant cette intromission. Commençant quelques va-et-vient, Adrien s’exclama :



Et Nicolas de renchérir :



Sur ces mots, il lui appuya à nouveau sur la tête pour qu’elle le reprenne en bouche.


Lisa était à nouveau affairée à sucer Nicolas avec gourmandise. Satisfait de sa première inspection, Adrien sortit ses doigts de ce cul déjà assoupli et se positionna derrière elle, mais contrairement aux attentes de Lisa, il frotta son sexe le long de sa fente et la pénétra d’une longue poussée.



Lisa ne protestait pas. Au contraire, à chacun de ses va-et-vient, l’imposant sexe d’Adrien envoyait des vagues de plaisirs à travers son corps. Le garçon prenait son temps. Il s’enfonçait doucement pour savourer chacune de ses sensations et ressortait presque aussi lentement. Même Nicolas avait relâché la tête de la jeune femme qui faisait désormais tourner sa langue autour de son gland. Sans communiquer, le trio avait instinctivement compris qu’il s’agissait là d’une sorte de préliminaire, un peu de calme avant une tempête qui allait très bientôt se déchaîner. La pièce était remplie de soupirs et de râles sourds. Chacun s’appliquait à retenir son plaisir, prenant soin de ne pas accélérer les choses.


Finalement, ce fut Adrien qui décida de passer à l’étape suivante. Il se recula juste assez pour sortir de Lisa.



Sans rechigner, Lisa s’exécuta. Elle délaissa le sexe de Nicolas pour se redresser. Toujours à genoux, elle se cambra en posant ses mains sur ses fesses. À peine les avait-elle écartées pour exposer son anus qu’elle sentit le gland d’Adrien se poser dessus. Elle serra les dents et poussa son bassin en arrière. Le gland était plus gros que ce dont elle avait l’habitude, mais en forçant un peu, ça devrait passer. Elle avait désormais sa réputation de folle du cul à défendre… Et puis, quel plaisir cela devait-il être de sentir un tel morceau au fond de ses entrailles !


Soudain, ses efforts eurent raison de la résistance de son sphincter. Le gland s’enfonça d’un coup dans son cul, lui arrachant un petit cri, mélange de douleur et de plaisir. Même Adrien ne put retenir une exclamation :



Mais la jeune femme ne comptait pas en rester là. Elle était déjà en train de reculer toujours plus. La douleur de la première pénétration était désormais passée et elle retrouvait les sensations de plaisir auxquelles elle était habituée… mais en bien plus intenses. Elle aimait tellement se faire enculer qu’elle avait rêvé d’une bite comme celle d’Adrien depuis qu’elle avait vu ses premiers pornos, mais c’était encore mieux que ce qu’elle avait imaginé. Elle reculait encore, les yeux fermés et la bouche ouverte comme dans un long cri de plaisir silencieux. Bientôt, elle sentit ses fesses toucher le pubis du jeune homme. Ouvrant enfin les yeux, elle se retourna vers Adrien.



Il joignit immédiatement le geste à la parole. Sortant presque entièrement du cul de Lisa, il y replongea de toutes ses forces. La violence de ce coup de reins et la vague de plaisir qui la submergea firent vaciller la jeune femme et elle retomba en avant, la tête entre les cuisses de Nicolas qui se branlait en profitant du spectacle. Celui-ci s’allongea dans le canapé et leva les jambes pour lui présenter ses fesses :



Lisa n’était pas vraiment surprise, elle avait déjà vu des vidéos de ce genre, mais jamais Benoît ne l’avait laissée s’approcher de cet endroit si sensible et si tabou pour certains hommes. Cette soirée était décidément l’occasion d’essayer de nouvelles choses. Elle entreprit donc d’écarter les fesses de Nicolas et tira la langue pour la poser sur l’anus du jeune homme. Celui-ci reprit sa masturbation et ferma les yeux pour profiter du traitement que lui prodiguait Lisa.



Entre deux vagues de plaisir provoquées par un Adrien toujours occupé à lui asséner des coups de boutoir, elle prit conscience de la situation. Elle qui avait passé son adolescence à complexer sur son corps, à pleurer en se disant qu’aucun mec ne voudrait jamais d’elle, à regarder du porno en se disant que ses fantasmes ne se réaliseraient jamais… elle était pourtant en train de les vivre. Ce soir, c’était elle, la pornstar. Agrippé à ses fesses, Adrien lui défonçait le cul comme promis. Lorsqu’il se retirait par moment, elle sentait le vide de son anus largement dilaté. Mais celui-ci ne restait jamais béant bien longtemps. Son enculeur revenait très vite à la charge et la pilonnait de plus belle. Quant à Nicolas, elle avait maintenant pris le contrôle de son plaisir. Elle s’appliquait à lui lécher le cul et à le branler. Le jeune homme haletait. Il peinait maintenant à encourager la jeune femme :



Pour Lisa aussi, c’était bon. C’était bon et excitant. Mais elle en voulait encore plus !


Au bout d’un moment, elle décolla sa langue de l’anus de Nicolas, malgré la déception de celui-ci. Elle se retourna à moitié pour repousser Adrien et l’extraire de son cul. Les deux hommes la regardaient, surpris. Avec assurance, elle se releva et finit d’enlever sa culotte, sa robe et son soutien-gorge. Elle qui avait longtemps eu honte de son corps, elle était maintenant complètement nue face à deux hommes qui la désiraient ardemment. Sans un mot, elle enjamba Nicolas, se saisit de sa queue tendue et la présenta à l’entrée de son vagin. Le jeune homme la laissa faire lorsqu’elle s’empala sur sa bite dans un soupir de contentement. C’était bon, évidemment, mais Lisa avait une idée bien précise en tête. Elle s’allongea sur Nicolas, la tête dans le creux de son épaule, et écarta les fesses pour, à nouveau, exposer son anus à Adrien. Le message était clair. Celui-ci ne put réprimer un petit ricanement :



Sans plus de cérémonie, il reprit possession du cul de la jeune femme.


Au début, les mouvements du trio étaient un peu chaotiques. C’était une grande première pour chacun d’entre eux. Mais, assez rapidement, Nicolas et Adrien comprirent que leur amante préférait lorsqu’ils synchronisaient leurs va-et-vient. Chaque fois qu’elle sentait ces deux queues écarter simultanément les chairs de sa chatte et de son cul, elle ne pouvait s’empêchait de pousser un petit « Oui ! » de plaisir et de bouger pour venir à leur rencontre. Petit à petit, chacun trouva son rythme, pour le plus grand plaisir de Lisa.


Lors de ses plaisirs solitaires, elle avait déjà expérimenté avec la double pénétration, son fidèle godemiché dans le cul et deux doigts dans le minou. Mais là, c’était sans commune mesure. Non seulement la taille des objets qui la labouraient était plus importante, mais il y avait aussi l’excitation due à la présence des deux hommes. La chaleur de ces deux corps emprisonnant le sien. Ces deux paires de mains qui lui serraient les hanches, qui lui claquaient les fesses, qui martyrisaient ses tétons. Ces râles de plaisir masculin qui laissaient parfois place à des invectives :



Oui, elle était tout cela et elle prenait son pied. Elle sentait son plaisir monter inexorablement.


Au bout de quelques minutes, elle accéléra ses mouvements. Ses deux amants comprirent immédiatement ce qu’il se passait. Elle voulait jouir et, eux, ils allaient lui donner ce qu’elle voulait. Redoublant de vitesse et d’intensité dans leurs coups de reins, ils sentirent bien vite le corps de la jeune femme de tendre de plus en plus. Elle en demandait encore. Ils la pilonnaient maintenant à un rythme soutenu, lui arrachant des cris de plus en plus forts qu’elle devait étouffer dans l’épaule de Nicolas. Et puis, elle se mit à trembler. Son cri se fit continu alors que les deux hommes s’acharnaient à prolonger l’orgasme qui la ravageait.


Lorsque finalement sa voix s’éteignit, Lisa s’affaissait sur Nicolas. Encore plongée dans les brumes de la meilleure jouissance de sa vie, elle sentit les deux sexes sortir de ses orifices et elle se laissa glisser sur le sol. Assise par terre, le dos contre le canapé, elle distingua les deux queues encore tendues se rapprocher de chaque côté de sa tête. Ses deux amants étaient à genoux, chacun d’un côté de la jeune femme, et leur requête était explicite. Reprenant son souffle, elle conjura les quelques forces qui lui restaient pour saisir ces queues qui lui avaient donné tant de plaisir. Elle les attira vers son visage. Elle leur devait bien ça… et puis, quitte à jouer les pornstars, autant le faire jusqu’au bout.


Elle commença à branler les deux hommes, tournant la tête pour emboucher tour à tour la bite qui avait le goût de sa chatte et celle qui avait le goût de son cul, savourant chacune d’elles. Rapidement, les premiers signes d’un orgasme proche se firent sentir chez les deux colocataires. Leur respiration se faisait plus profonde, plus intense. Leurs bassins étaient pris de soubresauts lorsque sa langue faisait le tour de leur gland. Encore une fois, Lisa savait ce qu’elle voulait. Dosant habilement le plaisir de chacun des deux hommes, elle entendait bien les mener à l’orgasme en même temps. Lorsqu’elle les sentit sur le point de jouir, elle ouvrit grand la bouche et pointa leurs sexes vers sa langue. Ce fut Adrien qui craqua le premier. Un puissant jet de sperme atterrit sur la langue de Lisa, très vite rejoint par d’autres. Mais il n’avait pas fini de déverser son foutre dans la bouche de la jeune femme que, déjà, il était rejoint par son colocataire.


Et Lisa continuait à les branler, bien décidée à extraire tout ce qu’elle pourrait. La bouche encore largement ouverte, le sperme coulait désormais de la commissure de ses lèvres jusqu’à son cou et ses seins. Lorsque les jets se tarirent, elle arrêta sa double branlette et referma enfin la bouche pour déglutir. Les sexes de ses deux amants commençaient à retrouver leur état au repos. Elle passa sa langue sur leurs méats pour savourer les dernières gouttes de liqueur qui s’y trouvaient et, enfin, les lâcha. Les deux colocataires s’affalèrent dans le canapé pour, à leur tour, reprendre leurs esprits.


Au bout d’une dizaine de secondes de silence, Adrien se redressa :



Pendant qu’il se rapprochait de la table basse pour rassembler le nécessaire, Lisa s’était levée et rassemblait ses affaires. Nicolas la regarda avec un air penaud.



Lisa lui adressa un petit sourire.



Nicolas ne semblait pas plus avancé :



C’était presque mignon. Le gars venait de se taper la copine de son pote, il lui avait même demandé de lui bouffer le cul, et maintenant il avait des remords. Heureusement, pour Lisa, les choses étaient claires.



Sans plus d’explications, elle leur tourna le dos et se dirigea vers la salle de bain. Alors qu’elle passait le seuil, elle se retourna avec un sourire malicieux.



Avec un dernier clin d’œil en direction des deux colocataires un peu hébétés, elle ferma la porte et verrouilla le loquet derrière elle.


Alors que l’eau chaude de la douche chassait les dernières souillures, Lisa passait ses mains sur son corps. Quelle soirée ! Elle se sentait pleine d’une nouvelle confiance en soi. Oui, elle avait un gros cul et des petits seins. Oui, elle avait des kilos en trop. Oui, elle était même un peu ronde. Mais elle aimait follement le sexe et elle savait désormais qu’elle pouvait en avoir. Et même si les deux idiots dans le salon avaient trop de remords et ne voulaient pas la revoir, elle n’avait plus aucun doute sur sa capacité à faire bander des mecs. Il y en aurait d’autres, et plutôt tôt que tard…