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Temps de lecture estimé : 10 mn
16/01/24
Présentation:  Comment Anaïs convainc Éléonore de se prêter à un trio et ce qui arriva
Résumé:  Une conversation entre amies, des confidences et une rencontre à trois inoubliable
Critères:  ffh collègues -couplea3
Auteur : the guepard            Envoi mini-message
La complicité exacerbée des deux amies

Alors que je me délectais du spectacle d’une tête brune et d’une tête blonde, plongeant sur mon érection chacune leur tour, me revint à l’esprit quand tout cela avait commencé.


La conversation avait dérapé quand ma femme, Anaïs, avait décrété qu’elle devait convaincre Éléonore, sa meilleure amie, coûte que coûte. Les deux femmes étaient attablées à la terrasse d’un café, profitant des premiers soleils, après des mois de travail acharné. Anaïs et Éléonore étaient collègues depuis plus de trois ans et on peut dire qu’elles se connaissaient bien.


Au bureau, on les appelait parfois « les deux sœurs » bien que, physiquement, elles ne se ressemblaient pas vraiment. Anaïs est blonde, de taille moyenne, les cheveux longs souvent coiffés « à la fofolle », des formes harmonieuses qu’elle dévoile ou cache selon ses humeurs en matière de tenues. Elle peut très bien arborer une robe moulant son corps avec volupté et dévoilant un décolleté vertigineux un jour, que s’habiller d’un jean et d’un tee-shirt trop amples, le lendemain. Elle fait, selon ses envies, comme elle le dit fièrement, se fichant de ce qu’on peut penser d’elle.


Éléonore est brune, les cheveux mi-longs toujours soigneusement coiffés, vêtue la plupart du temps de tenues à la mode, oscillant entre classicisme et touches discrètes de folie. Elle est plus grande et plus élancée qu’Anaïs et son corps laisse deviner qu’elle est assez sportive.


Leur complicité était totale et elles étaient connues pour égayer les réunions de leurs fous rires intempestifs et les couloirs de leur gaieté souvent communicative. Un mot, un regard, un geste pouvaient facilement les faire partir au quart de tour.

Mais, ce jour-là, les confidences d’Anaïs laissèrent Éléonore vraiment pantoise.

Pour ma part, j’étais installé dans ma voiture, à l’écart, épiant la conversation que le téléphone d’Anaïs envoyait au mien. Ma femme avait tout prévu et souhaitait que je ne perde rien de ce qu’il allait se dire.


Sans crier gare, tout en sirotant son cocktail à l’abricot, elle venait d’annoncer :



Le premier réflexe d’Éléonore fut de croire à une blague. Venant de la part de sa meilleure amie un peu fantasque, c’était tout à fait plausible. Mais, quelque chose dans son regard dégageait une sincérité désarmante.



Je comprenais qu’elle ne savait pas trop comment réagir. Et elle fut reconnaissante qu’Anaïs reprenne l’initiative de la discussion.



Elle souriait, lumineuse. Comme si cette révélation soudaine la soulageait d’un poids trop longtemps retenu.


Je retrouvais ce sourire alors qu’elle levait la tête vers moi, prenant son tour en s’occupant de ma queue. Anaïs a toujours été très habile de sa langue. Elle l’enroulait autour de mon sexe dressé, le parcourait tout du long pour me faire vibrer, s’attardait autour de mon gland, avant de le prendre en bouche et continuer de le titiller du bout de la langue. Éléonore, quant à elle, se révélait être une excellente suceuse. Une main bien calée à la base de mon sexe, l’autre jouant avec mes couilles, elle engloutissait un maximum de ma hampe et pompait comme une déesse.

À ce régime, je n’allais pas tenir très longtemps. Il me fallait penser à autre chose. Je renvoyais mon esprit au moment de la révélation entre les deux femmes.



Vraiment, elle la prenait au dépourvu. Elle réussit à balbutier qu’en effet, elle avait eu quelques soupçons… parfois. Des soupçons très vite balayés. Et puis, Anaïs était en couple avec moi, Thierry, depuis plus de deux ans maintenant, donc, non, elle n’imaginait pas vraiment que son amie pouvait être lesbienne, ni même bi. D’ailleurs, dans quelle case devait-elle la ranger, dorénavant ?


Anaïs ne répondit pas vraiment à ça, levant les épaules comme pour exprimer que cela n’avait pas d’importance. Et, en même temps, Éléonore détectait en elle quelques signes d’une nervosité émergente. Par exemple, deux doigts de sa main gauche se frottaient l’un contre l’autre, sans qu’elle en ait conscience. Et un petit rictus plissait l’angle droit de sa bouche.


Bien décidée à progresser dans cette conversation, Anaïs lança une deuxième salve :



La conversation prenait vraiment une tournure qui mettait Éléonore mal à l’aise.


Sans attendre de réponse, Anaïs continua :



Éléonore fit une moue qui pouvait être prise pour un acquiescement.


Anaïs but une gorgée de son cocktail, et en plongeant son regard dans celui de son amie, elle enchaîna :



Du coin de l’œil, Éléonore voyait les deux doigts d’Anaïs s’agiter de plus en plus.



Éléonore surprit le regard de celle qui se confiait à elle lorgner son décolleté, quelques secondes.



Éléonore était de plus en plus soufflée. Elle commençait à redouter que d’autres puissent entendre leurs déclarations. Un coup d’œil aux alentours la rassura : elles étaient tranquilles, dans leur coin de la terrasse, loin d’oreilles indiscrètes. Elle ne pouvait pas se douter que je ne perdais aucune miette de ce qu’elles se disaient et que je me sentais déjà très à l’étroit dans mon caleçon.



Entre-temps, j’avais décidé de m’écarter un peu pour reprendre mon souffle, mais aussi pour profiter du spectacle de ces deux femmes dans notre lit conjugal. Anaïs avait subtilement placé Éléonore à quatre pattes, de sorte que je ne rate rien de son intimité offerte. Elle faisait preuve de toute sa connaissance du corps féminin pour titiller le clito de son amie avec le pouce, s’interrompant seulement quelques fois pour fesser la belle d’une claque magistrale. Le derrière endolori de la belle avait alors droit à un léchage en règle et à des coulées de salive bien placées. Éléonore tournait la tête régulièrement vers moi pour vérifier que mon érection était toujours présente et je la sentais saliver à l’idée de bientôt retrouver ma queue. Plus ma femme s’occupait de la chatte de son amie, plus cela m’excitait. Je crois bien n’avoir jamais été aussi bandant de toute ma vie.



Éléonore avait bu les paroles de son amie avec délectation. Elle s’était sentie projetée dans un autre monde. Elle en avait été troublée.



Éléonore constatait que les doigts d’Anaïs s’étaient calmés. Ils dansaient ensemble maintenant une petite ronde, dessinant sur la table alternativement des petits et des grands cercles.

Il y eut un long silence qui me fit penser que j’avais perdu la connexion téléphonique. Mais, non, tout était encore en ordre.


Éléonore finit par demander :



À vrai dire, moi, Thierry, j’étais on ne peut plus comblé. Anaïs s’était assise sur ma bouche, me donnant à manger sa chatte dégoulinante. Je me délectais de sa mouille abondante et de l’onctuosité de ses parois intimes. Le regard en direction de son sexe comme pour mieux en diriger les opérations, elle remuait parfois ses hanches pour mieux se frotter à ma langue, à ma bouche, et à mon menton. Je m’accrochais à ses cuisses pour ressentir les tensions et les relâchements, guidant ainsi les mouvements de ma langue. De temps en temps, je réussissais à glisser ma salive jusqu’à son anus et son corps réagissait par un pique de trouble.


Pendant ce temps, les cheveux mi-longs d’Éléonore fouettaient mon menton et ma gorge. Empalée sur mon sexe gonflé, elle était de dos à moi, concentrée sur une chevauchée fantastique. Tendue en arrière, les deux bras en porte-à-faux près des pieds d’Anaïs, elle imposait à ma queue un rythme impressionnant. Elle râlait et criait son plaisir en jetant sa tête en arrière. Est-ce que les deux femmes échangeaient, dans cette position, de temps en temps des regards de satisfaction ? Je ne pouvais le vérifier. Mais, je ressentais une osmose à trois qui si chacun était absorbé par son propre plaisir qui grimpait en flèche, chacun prenait aussi part en même temps à une coordination étonnante qui faisait de nous un parangon d’émotions, de bien-être et de sensualité.



Éléonore regardait son amie dans les yeux, sans pouvoir répondre à cette question. Anaïs continuait :



Les deux femmes échangeaient par le regard plus que ce qu’elles arrivaient à exprimer autrement.



C’est Anaïs qui me fit signe d’approcher, attrapa mon sexe tendu dès qu’il fut à sa portée et le dirigea vers la grotte d’Éléonore. Je ne me fis pas prier et mon sexe coulissa rapidement dans la chaleur du sexe de la belle brune.


Ma femme regarda notre duo avec délectation pendant quelques minutes, portant ses doigts à sa chatte. Puis, elle s’installa juste devant le nez d’Éléonore, les cuisses bien écartées. L’amie ne pouvait lui refuser de lui prêter sa langue, pendant que je la pilonnais. C’est ainsi qu’Éléonore vécut son premier cunni et découvrit qu’elle appréciait goûter à ce fruit défendu. Derrière elle, j’avais ralenti le rythme pour ne pas trop la secouer et pour qu’elle garde contact avec les lèvres intimes d’Anaïs.


La conversation des deux amies se termina sans autres mots. Éléonore attrapa la main d’Anaïs qui continuait à jouer sur la table, la serra très fort et, même à distance, dans ma voiture, je compris qu’elles venaient de signer un pacte entre elles. Elles savaient maintenant que la rencontre à trois allait se dérouler… un jour.


Le jour J, les deux femmes, aussi anxieuses que décidées, jouèrent la carte de leur complicité. Elles se retrouvèrent rapidement sur notre lit, en lingerie. Étonnamment, sans en parler à l’avance, chacune d’elles avait choisi des dessous de couleur bordeaux. Un body envoûtant pour Anaïs, un ensemble soutien et tanga d’une grande marque pour Éléonore.


Ma femme avait pris les devants, embrassant goulûment Éléonore, pour l’accueillir au mieux dans sa première relation saphique. Éléonore répondait à ses baisers, d’abord timidement, puis de plus en plus intensément. Au même rythme, ses mains découvraient une peau féminine différente de la sienne et semblaient prendre goût aux courbes d’Anaïs.


Quand les seins d’Éléonore furent libérés, Anaïs s’en occupa avidement. Son amie vérifia que sa poitrine attirait mon attention également. Un peu à l’écart, je commençais à me déshabiller tranquillement, sans rien perdre du spectacle de ces deux femmes désirables s’offrant l’une à l’autre. La brune laissait la bouche et les mains de son amie s’occuper de ses seins et glissant une main dans son tanga, elle lorgnait dans ma direction. Son regard passait de mes yeux à mon érection qu’elle devinait au travers de mon boxer tendu.



Je reconnaissais bien là l’esprit ludique de ma femme, toujours prête à lancer des petits jeux sexuels pour agrémenter nos soirées. Fixant Éléonore dans les yeux, je répondis :



C’est ainsi que ma femme passa de longues minutes à caresser et à lécher Éléonore, tout en glissant des doigts dans l’échancrure de son body.

Cette fois entièrement nu, je me masturbai dans mon coin, laissant les deux corps féminins se mélanger, se répondre, se défier et faire monter l’excitation commune.


Éléonore fut la première à jouir, presque par surprise. Apparemment, Anaïs avait su capter ce qui pouvait la faire vibrer.


À l’initiative d’Anaïs, les deux femmes se tournèrent ensuite vers moi. Chacune employant une technique personnelle pour me sucer. Et notre trio devint ainsi réalité et sans doute un des moments les plus intenses de ma vie. La complicité entre les deux femmes s’en est retrouvée enrichie et je n’ai jamais eu à m’en plaindre.