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17/01/24
Résumé:  les rêveries sur notre nouvelle maison.
Critères:  fh amour cérébral
Auteur : tatamarie      Envoi mini-message
Notre nouvelle maison

Ça y est ma chérie, nous venons de signer ! Dans deux mois, une fois terminées les démarches, banque, notaire, etc., nous prendrons possession de notre nouvelle maison. Nous avons mis longtemps à nous décider, surtout moi. Citadins dans l’âme, surtout moi encore, nous avons toujours vécu en ville, en appartement.


Là, nous changeons complètement de vie : nous avons acheté une maison, avec un grand jardin, à la campagne, dans un paysage vallonné, au pied de petites montagnes. La maison est immense pour nous, citadins, elle fait presque deux cents mètres carrés. Nous ne souhaitons plus d’autres enfants, mais il faut bien accueillir ceux que nous avons, ainsi que les amis.


Qu’allons-nous faire de cette maison immense ? Il nous faut d’abord l’inaugurer, préparer notre vie dans chacune des pièces, comprendre comment on vit dans une maison comme celle-là.

J’imagine déjà le programme de l’inauguration, mais il va nous falloir du temps et de l’endurance. Passons les pièces en revue.



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L’entrée sera sobre, on ne fait qu’y passer, peu de meubles, quelques plantes vertes pour meubler. On mettra au mur cette espèce de sculpture que tu aimes tant, et que j’apprécie moyennement. Mais il faut que ce soit accueillant, un porte-manteau, une petite table pour poser gants et chapeaux (on peut rêver à l’ancien temps), un petit banc pour mettre ou enlever les chaussures.


Je ne te porte pas pour passer le seuil, nous ne sommes vraiment plus des jeunes mariés, et ce n’est plus de mon âge.

Mais on s’étreint longuement, passionnément, on savoure notre bonheur, c’est maintenant notre maison.



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Dans le grand salon, nous ne savons pas encore exactement comment le meubler, mais il y aura bien un sofa, des fauteuils et une table basse. Ce n’est pas la pièce que nous utiliserons le plus, ce sera surtout pour recevoir, prendre l’apéro avant le dîner, ou le café après.


Devant la cheminée, sur les tapis, nous sommes les bourgeois. Je te drague respectueusement, même si je suis un peu pressant. Tu m’accordes tes lèvres, mais je ne m’en contente pas. J’ai toujours eu les mains baladeuses, et tu n’as jamais résisté. Après tout, je suis ton mari, j’ai le droit, je commence doucement à te déshabiller. Nous finissons sur le tapis chauffé par le feu, tu écartes les cuisses et je te prends en missionnaire, comme cela se faisait toujours autrefois. On achètera peut-être une peau d’ours (synthétique) pour cela.



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Dans la salle à manger, tout sera moderne, nous aimons bien cela. La salle est grande, nous recevrons souvent des amis, et il faut prévoir la place lorsque la famille débarque.

Aux murs, les lithos et tableaux que nous avons déjà, un lustre design et les autres luminaires à acheter, ce sera très chic. Un buffet permettra de ranger toute ta vaisselle dont tu es si fière. Il y aura surtout la grande table en verre dont nous rêvons.


Je te couche nue sur la vitre froide de la table, les jambes pendantes, comme pour un sacrifice. Nu debout devant toi, je commence par agacer ta fente avec ma queue, à titiller tes mamelons dressés avec ma langue. Tu frissonnes entre le froid de ton dos et la chaleur dans ton ventre, ta respiration est haletante, ton excitation monte. Tu croises tes jambes dans mon dos et m’attires en toi.

Il y a aussi un petit frisson, car nous sommes devant une baie vitrée. Un voisin peut peut-être nous apercevoir, mais tant pis pour lui.

Je ne sais si par devant ou pas derrière, tu aimes les deux, mais je m’y sens bien, et commence à donner de grands coups pour arriver à notre jouissance commune. Lorsque nous serons assis à cette table avec des invités, j’espère que cette image te reviendra et te troublera un peu, ou te fera sourire.



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De l’autre côté, il y a la bibliothèque, il faut de la place pour ranger tous nos livres. J’ai mesuré, toutes nos bibliothèques rentreront. Ensuite, il y aura les deux fauteuils et un lampadaire qui me viennent de mon père. Entre nos livres, ce sera très douillet, « cosy » dirait certains.


Nous sommes assis l’un en face de l’autre, et tu nous lis à haute voix une nouvelle érotique, par exemple un récit de Revebebe. Quand l’atmosphère s’échauffe, ta main s’égare dans ton pantalon, et moi je suis obligé d’ouvrir ma braguette pour dégager ma verge déjà toute tendue. Tu finis même par descendre ton pantalon, et nous nous masturbons.

Je suis éperdument amoureux de toi lorsque tu m’offres ainsi ta jouissance, quand ton visage se crispe sous les vagues, et j’éjacule mon sperme au loin.



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Dans le bureau, il va falloir tout installer. Nous avons le bureau meuble, mais rien de plus. Et ce sera du boulot de mettre en place le réseau informatique, les murs et les planchers sont épais, le signal aura du mal à passer.


Comme le bureau donne sur la propriété voisine, nous sommes presque sages et discrets. Moi je regarde par la fenêtre, mais toi tu t’actives à mes pieds pour une fellation d’enfer, personne ne verra rien, sauf s’il observe mon visage, qui passe par tous les stades de la jouissance.



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Ensuite, il y a le premier étage. Il y a là-haut deux chambres et une salle de bain. C’est presque vide pour l’instant, il y aura du travail pour meubler tout ça. Pour bien accueillir les amis, il faudra apporter une attention spéciale aux lits, de cent soixante dans la grande chambre, deux de quatre-vingt-dix dans la petite. Faut qu’ils soient solides, je crois que nos jeunes neveux sont aussi fougueux que nous l’étions à leur âge.


Pour m’y emmener, tu as une petite jupette et un joli corsage. Tu montes les marches devant moi (c’est malpoli, je sais), et dès les premières marches tu t’agenouilles, relèves ta jupette et montres que tu n’as pas de culotte. Quelques marches plus haut, tu t’arrêtes de nouveau, écartes les fesses avec tes mains et me montres ton petit trou. Mais cette fois-ci je t’attrape, fourre mon nez et ma langue dans la raie, le vagin est trop loin, mais je peux agacer et introduire un peu ma langue dans ton anus.

Tu m’échappes encore, et cours dans la première chambre d’amis, celle qui a une grande fenêtre qui donne sur la vallée. Nous l’ouvrons en grand, tu t’appuies sur le rebord et me tends ta croupe que j’adore. Là, je te prends par la petite porte, ce que tu aimes bien.

Par ce côté, tu es toujours assez bruyante, et ici tu pousses tes grands cris à la face du monde. Toute la vallée connaîtra la maison heureuse.



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La deuxième chambre est plus petite, elle ne contiendra que deux lits de quatre-vingt-dix, plutôt pour des enfants, et peu adaptés à nos ébats.


C’est petit pour se mettre côte à côte. Cependant, on peut se mettre l’un sur l’autre, en 69 par exemple. Nous ne le faisons pas très souvent, car à la fois se concentrer sur son partenaire avec la langue et les doigts dans tous ses orifices, et en même temps recevoir soi-même toutes ses attentions est difficile pour nous. En général, tu pars bien avant moi, la jouissance qui vient te fait arrêter les caresses que tu me prodigues. Ce n’est qu’après que tu remets tout ton cœur à me terminer.



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La salle de bain du haut est petite, avec une petite cabine de douche. On ne pourra pas y faire grand-chose sans tout démantibuler.


Mais, par exemple, tu aimes me savonner, bien nettoyer ma verge et aussi ma raie fessière. Et pendant que tu me masturbes, tu introduis profondément un doigt bien savonné dans mon petit trou, soi-disant pour bien me récurer. Tu sais surtout que cela me fera exploser très vite. Bien entendu, je te rendrai tout de suite la pareille, tu as plus d’orifices que moi à récurer.



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De retour en bas, la cuisine est un de nos endroits préférés, nous sommes gourmands tous les deux, et pas mauvais cuisiniers. Nous n’avons pas encore décidé si nous gardons les aménagements actuels ou si nous refaisons tout, mais il y aura toujours un plan de travail.

Nous garderons par contre la table, table de ferme, massive, dans laquelle on peut planter son opinel.


Je te vois déjà, les mains dans la farine, mais juste vêtue d’un tablier. Tu aimes me provoquer ainsi. Derrière toi, je pourrais totalement profiter de ton corps, caresser tes seins et pincer tes mamelons. Je caresse ton sexe, introduis mes doigts entre tes lèvres pour les enduire de tes sécrétions que je sais abondantes, et débusquer ton clitoris sensible.

Je caresse tout ton entrejambe jusqu’au bas du dos, allant et venant sur tous tes secrets sensibles. Finalement, tu te penches en avant et poussant ta croupe en arrière, me supplies de soulager tes tourments. Je m’introduis dans ta grotte d’amour, et te besogne vigoureusement, appuyé sur le plan de travail. Coincé les mains dans la pâte, tu ne pourras rien faire, sauf jouir avec moi. Prosaïquement, tu seras ensuite bien obligé d’interrompre ton travail pour éponger mon foutre et tes sécrétions qui te couleront le long des jambes.

On inaugure aussi la grande table en bois, face à la fenêtre. Mais si je m’assieds sur la table, le dos à l’ouverture, personne ne peut voir. Si tu t’installes devant moi, tu peux me déguster tout à loisir. À la moutarde, à la mayonnaise ou chantilly, tout est possible. Tu aimes bien me donner ce plaisir, et comme tu es douée, je grimpe chaque fois aux murs.



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Notre chambre est banale. Elle est grande, il y aura surtout notre grand lit qui abrite nos amours depuis si longtemps. Je pense que nous garderons le fauteuil Voltaire qui s’y trouve, ce n’est pas le fauteuil d’Emmanuelle, mais il fera l’affaire. Il faudra donc innover.


Je t’attache nue aux montants du lit, pour te faire jouir sans limites. J’ai trouvé dans le jardin une plume, que je passe lentement sur tout ton corps, sur les tétons, sur ton ventre sensible. Je la glisse entre tes grandes lèvres, de bas en haut, terminant chaque fois par une caresse prolongée de ton clitoris.

Mais cette plume est vite tellement mouillée qu’elle n’est plus douce comme une caresse. Je la remplace par ce collier de perles que je t’ai offert pour ton anniversaire. Je commence par le lubrifier, allant jusqu’à l’introduire un peu dans ton vagin, puis je glisse les perles tout au long de ton entrejambe, entre les petites lèvres aussi, jusqu’à passer sur ton clitoris. Une perle après l’autre qui rebondit sur ton petit bouton, je crois déjà entendre tes cris de plaisir.



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Tu aimes notre salle de bain, grande, avec deux vasques et une grande douche italienne. Ici, il n’y aura pas de travaux à faire. Il faut juste ajouter une ou deux chaises, je serai comme au spectacle pour te regarder prendre ta douche.


Je nous imagine pleins de savon, moi assis sur ma chaise, la queue dressée, et tu viens doucement t’empaler sur moi par le petit trou. Tu te trémousses doucement, je sais que tu aimes me sentir tout au fond de toi. Comme nous aurons un jardin potager, il y aura bien une petite aubergine ou un petit concombre à la bonne taille. Bien savonné aussi, tu te l’introduis tout aussi doucement dans ton vagin. Prise ainsi des deux côtés, tu as plein de sentiments nouveaux, et tu vas rentrer et sortir frénétiquement des deux côtés à la fois. Je t’aide par mes caresses sur ton sexe et ta poitrine, tu atteins bientôt l’extase.



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Pour finir, le garage n’est pas un endroit sexy, et me connaissant il y régnera rapidement un peu de foutoir peu romantique. Mais dans un garage, il y a une voiture… nous avons eu la chance, dans notre jeunesse, d’avoir des parents « modernes », et avons toujours eu un toit pour abriter nos amours. Nous n’avons donc jamais fait l’amour dans une voiture, de plus avec mon mètre quatre-vingt-dix, j’aurais peut-être été un peu coincé. J’aimerais bien t’y entraîner, mais mon manque d’expérience bride un peu mon imagination.

Dans la cave, après le garage, il y a la buanderie, sombre et humide, pas engageant. Mais l’on dit que faire l’amour assis sur une machine à laver en phase d’essorage est sublime. À essayer ? Et à côté se trouve la cave à vin, mais là ne peuvent couler que les divines liqueurs masculines.


À maison nouvelle, actes nouveaux, sensations nouvelles. Aimeras-tu ?