n° 22237 | Fiche technique | 20605 caractères | 20605 3674 Temps de lecture estimé : 15 mn |
17/01/24 |
Présentation: Plaisirs simples et rapides entre hommes | ||||
Résumé: courte histoire d’une rencontre entre mecs consentants | ||||
Critères: hh plage hsoumis massage caresses fellation hsodo init -totalsexe -gay | ||||
Auteur : ooclemenceoo Envoi mini-message |
Aujourd’hui, il fait beau. Un après-midi à la plage et au soleil me donne bien des envies. Me voilà parti pour me faire dorer et, pourquoi pas, faire une rencontre coquine.
Pas décidé à faire du naturisme sur une plage éloignée de chez moi, j’opte pour la plage textile près de chez moi. C’est une baie relativement calme et surtout, peu fréquentée en ce jour de semaine. La plage où je me rends n’est pourtant pas anodine. Elle est bordée d’une petite pinède qui a la réputation d’y abriter quelques rencontres échangistes gay. On y croise, il est vrai, plutôt des hommes d’un certain âge, pas toujours très attirants. N’ayant pas l’intention de fureter dans cette pinède à drague, je file directement sur le sentier qui longe la grande plage à la recherche d’un coin tranquille.
Après m’être bien écarté des entrées les plus proches du parking, je bifurque enfin sur un petit passage sableux qui me mène à une alvéole de sable fin. Ce coin est à l’abri des regards d’éventuels randonneurs. Sans surprise, il y a peu de monde sur la plage, de rares silhouettes sont allongées du côté du parking. J’opte donc pour ce petit creux de dune offrant ainsi un coin intimiste. J’y installe ma serviette de bain, puis ôte mon tee-shirt et mon short porté sans aucun sous-vêtement. Je décide d’enfiler mon string de bain que j’ai emporté avec moi. Cela me fera un bronzage quasi intégral.
Cette petite pièce de tissu est de forme de triangle sur le devant, juste suffisant pour cacher un sexe masculin au repos. Un lien fin et élastique fait le tour de mes hanches. Ces liens rejoignent un tout petit triangle qui sort du haut de ma raie des fesses. Je sais par expérience que je plais aux voyeurs, souvent complices, appréciant une silhouette d’homme quasi nu, son sexe voilé par un petit bout de tissu. Après tout, j’aime tout simplement porter des strings et me montrer ainsi, une attitude coquine et alternative au naturisme lorsque l’on est sur une plage textile. C’est aussi une manière de s’exhiber avec discrétion et sans attentat à la pudeur.
Je reconnais que peu de femmes sont attirées par un homme en string, tout le contraire d’un homme bi ou gay qui en sera tout émoustillé par celui qui en porte. Cet après-midi, mon sexe est donc juste moulé et caché par un petit voile triangulaire tandis que mes hanches et mes fesses sont quasi totalement nues. Après m’être bien étalé de la crème solaire sur tout le corps, je m’allonge sur le dos, jambes à plat, légèrement entrouvertes. Mon entrejambe s’offre au rayon du soleil. Au cours de la première demi-heure, je me suis redressé à plusieurs moments pour surveiller si un promeneur errait autour de moi, mais rien, pas le moindre voyeur. C’est tout simplement peu fréquenté en cet après-midi de semaine.
Du coup, j’en profite pour me retourner, allongée sur le ventre. Je ne peux plus guetter un éventuel rôdeur dans cette nouvelle position, mais tant pis. Par contre, quel plaisir de sentir ses fesses toutes nues au soleil ! Malgré les contorsions nécessaires, je me mets à nouveau une couche de crème solaire sur le dos et les fesses puis je repose ma tête sur la serviette de bain. J’ai le plaisir lubrique de sentir mes fesses chauffer au soleil, seul un minuscule triangle de tissus se dessine en haut de la raie. Je finis même par m’assoupir.
Ce qui est sûr, c’est que je n’ai ni vu ni entendu la moindre personne s’approcher de moi. Et pourtant, ce qui me fait émerger de ma torpeur, c’est bien un léger raclement de gorge d’un homme à proximité de moi. Pour ne pas faire l’effaroucher, j’évite de sursauter et je me redresse simplement sur les coudes. Je tourne la tête vers l’individu qui se trouve juste à deux mètres en dessous de moi. Je croise alors le regard du mec. Il a une quinzaine d’années de plus que moi, mais c’est un bel homme. Son allure sportive est mise en valeur par un short et un tee-shirt près du corps. Il est assis sur le sable, les yeux rivés sur moi, enfin, surtout sur mes fesses nues. Il est en train de me reluquer sans la moindre gêne et il semble se régaler du spectacle. J’ignore depuis combien de temps, il est là, à me mater le cul.
Échanges brefs, sourires complices, le feeling passe tout de suite. Je finis par me retourner et prendre une position allongée, juste redressé sur les coudes.
C’est vrai que, jambes allongées, la bosse de mon sexe, à peine voilée, offre un joli spectacle impudique. Le mec ne se gêne pas pour me reluquer de plus belle. On demeure ainsi, pas plus bavard l’un que l’autre, mais nos regards sont très complices et les envies de flirter davantage nous trottent dans la tête.
Dans le même instant, nos visages se rapprochent et nos bouches se collent l’une à l’autre. Nous entamons un chaud baiser et nos langues se mélangent rapidement dans nos bouches. J’adore ces plans dragues entre mecs, pas des heures de séduction, pas de scénario mytho pour s’engager dans le plaisir. Entre mecs complices, c’est plus direct.
Je suis sur les coudes, embrassant ardemment cette bouche offerte. Puis, sans me prévenir, je sens une main se poser bien à plat sur mon bas-ventre. Même si je frémis légèrement, je laisse cette main peloteuse faire son ouvrage. Le mec part à la découverte du tissu qui recouvre mon sexe. C’est sans la moindre pudeur qu’il entame une douce caresse sur la bosse de mon string. Je pense qu’il a hâte de découvrir ce qui se trouve à l’intérieur.
Sa main, plaquée sur mon sexe, commence à longer mon pénis qui montre déjà des signes d’érection. Ma tige veut à la fois s’allonger et se redresser, mais le tissu bloque le pénis. Je me laisse ainsi caresser alors que l’on continue à se rouler une pelle gourmande. Le mec passe maintenant ses doigts le long de mes couilles rendues visibles par le tissu distendu par l’érection. Ses doigts remontent enfin et se glissent sous le string. Cette fois, l’érection est totale, me sentir dans sa main me stimule hardiment.
Quel bonheur de se faire tripoter le sexe, et plus précisément la collerette de mon gland devenu divinement sensible ! Nullement besoin de se parler davantage, lui aussi apprécie ce jeu de caresse, tout comme j’aime bander dans sa main. Nul besoin de le guider, je me laisse faire. Je vois sa deuxième main se plaquer entre mes jambes, sur le bas du string devenu bien trop petit pour contenir un sexe gonflé. Cette deuxième main vient emprisonner mes couilles, provoquant une remontée de mon pénis vers le haut, même s’il est toujours bloqué par le tissu. J’écarte volontairement mes cuisses pour lui offrir sans pudeur mon sexe en rut.
Le mec finit par attraper le haut de mon string et libère mon érection en glissant le tissu sous mes testicules. Ma queue libérée se dresse bien raide, tendue vers le soleil, une belle indécence. Heureusement, personne ne passe par là et ne vient perturber notre partie de plaisir. Il y a bien le risque de se faire surprendre à tout moment, mais c’est justement ce risque qui augmente l’excitation du moment. Mon amant du jour a mis à nu mon sexe totalement imberbe. Cette nudité lisse et intégrale semble lui plaire. Il ne me laisse pas longtemps le sexe dressé à l’air libre. Sa main empoigne mon pénis et il entame une lente masturbation. Alors que l’une de ses mains serre mon membre, l’autre vient malaxer délicatement mes couilles, simultanément. Quel bonheur de regarder sa bite bien raide se faire astiquer entre les mains d’un inconnu ! Puis la branle s’accélère et j’avoue me retrouver en mode jouissance purement sexuelle.
Il me sert plutôt fort le pénis, ce qui fait gonfler au maximum mon gland. Celui-ci s’empourpre et devient luisant, car recouvert d’une fine pellicule de sève masculine. Ce salaud me branle maintenant sacrément fort, me serrant encore plus fort la bite. Sa masturbation est pourtant d’un plaisir grandiose. J’essaye malgré tout de temporiser, de tenir pour ne pas éjaculer trop vite.
Un peu déçu, mon esprit repart vite en direction de ma queue branlée maintenant avec force et rapidité. Je ne vais pas tenir bien longtemps. Honte à moi, cette masturbation, tellement virile, m’envoie déjà les signaux de l’éjaculation. N’y tenant plus, sans le prévenir, je me regarde éjaculer. Une première giclée sort de mon gland, un jet vertical qui retombe sur l’intérieur de ma cuisse. Une seconde giclée atterrit davantage sur mon bas-ventre. Le reste du sperme se répand autour de mon gland et dégouline sur la main de mon amant. Il finit par ralentir la masturbation puis relâcher la pression sur mon sexe. Il retire ses deux mains, me laissant profiter du spectacle de ma queue. Elle est rouge d’avoir été tant serrée et fortement branlée, mais elle est encore totalement raide et souillée. Mes giclées souillent le haut de ma cuisse et tout mon bas-ventre.
Je me redresse, me tourne vers mon sac et sors un paquet de Kleenex. Je lui offre un premier mouchoir pour qu’il s’essuie les mains. De mon côté, je sors un autre mouchoir et je commence à faire disparaître le sperme de mes cuisses et de mon bas-ventre. Il me faut utiliser un autre mouchoir pour retirer le reste de la semence dégoulinant le long de ma queue, puis je nettoie mon gland qui contient une petite goutte de mon foutre. J’attrape ensuite le string coincé sous mes couilles et je le rabats délicatement sur mon pénis encore gonflé. Je récupère ainsi une certaine pudeur, tant à l’égard de mon amant que du lieu public dans lequel nous sommes. Un tour d’horizon me permet rapidement de constater qu’il n’y a personne autour de nous ; à moins qu’il soit déjà reparti ou qu’il se soit caché rapidement lors de mon tour d’horizon.
Alors que mon compagnon me regarde toujours avec désir, je lui fais part de mes envies.
Sa réponse me désole malheureusement.
Mon compagnon semble très rassuré et m’engage à y aller. Je passe mon short sur les hanches, gardant mon string humide et un tee-shirt. Je rassemble mes affaires dans mon sac et nous voilà partis en direction du haut des dunes, vers la pinède. L’un et l’autre restons peu bavards, les gourmandises à venir nous donnant l’envie de rejoindre rapidement le coin discret promis. Arrivé à la lisière boisée, je me faufile en premier dans un renfoncement étroit, peu visible et méconnu d’un randonneur de passage.
On se retrouve tous les deux isolés, dans une petite aire sableuse entourée de buissons hauts. Le coin rassure mon amant qui me regarde comme un mec qui veut me violer. Je pose mon sac à dos.
Je m’exécute avec plaisir, notant au passage que mon string lui fait pétiller des yeux. Du coup, je m’approche de lui et je me frotte contre son corps. Alors que l’on s’enlace, nos bouches se collent et nos langues se mélangent. Nos mains caressent les formes de l’autre et l’excitation monte en nous. Mon sexe durcit à nouveau et vient s’appuyer sur le pénis dur du mec. Je le sens bander à travers son short. Ses fesses sont fermes, il est bien gaulé, ce mec, et bien excité après moi.
Je glisse le long de son corps et me positionne à genou. Je déboutonne son short et je le fais glisser jusqu’à ses chevilles. Et là, deux belles surprises ! Le mec ne porte pas un boxer comme je m’y attendais, mais un suspensoir. À l’arrière, ses belles fesses sont nues et je ne me gêne pas pour les caresser. Son sexe est superbement moulé dans un nylon bleu ciel. Son corps viril et son slip en font un bel homosexuel. Deuxième surprise, le nylon bleu clair laisse deviner une belle marchandise.
Son slip dévoile la forme et moule admirablement bien sa bosse gonflée. Je distingue une auréole toute humide en bas du slip, là où se trouve lové son gland. Il a dû abondamment mouiller lors de notre premier ébat. J’approche aussitôt la bouche et colle mes lèvres sur le tissu humide. Cette zone a un délicieux goût de sexe et de désir.
Ma bouche est collée au slip, mes lèvres ouvertes prennent plaisir à suivre les contours virils du gland qui gonfle encore sous l’effet des caresses. Mes mains se glissent sur ses hanches et viennent délicatement faire glisser le slip. Alors que j’entreprends la descente du slip, je reçois en pleine figure son pénis, bien raide, tel un ressort libéré de son emprise. Ce salaud bande sacrément, sa queue tient bien droite, courte, mais d’un sacré beau diamètre. Je fais glisser le slip jusqu’aux chevilles et profite de ces instants pour savourer des yeux son beau pénis. Le gland décalotté est tout humide et dégage déjà une bonne odeur de mâle en rut. J’avale son gros gland et je place trois doigts de long de sa courte tige. Ma deuxième main vient lui caresser les couilles. J’entame alors une fellation de son gland, simultanément avec une branle de son pénis. J’y vais de bon cœur et je m’applique hardiment.
Son gros gland me remplit complètement ma bouche et j’ai du mal à tourner ma langue autour de son putain de renflement. Je pompe pourtant avec vigueur et c’est un plaisir d’entendre mon beau mâle émettre des râles de plaisir. Il m’accompagne également d’élucubrations grossières et encourageantes. J’arrive également à maîtriser ses coups de bites en avant. Le fait de tenir sa bite pour le branler empêche le mec de m’enfoncer toute sa queue et de me retrouver avec son gland au fond de la gorge. Il est trop gros pour moi, un coup à vomir ma bile si je me prends des coups de boutoir au fond du palais. Le mec debout semble prendre beaucoup de plaisir.
Ma branlette et ma fellation le mènent tout droit vers une éjaculation proche. Tel que je suis parti, je vais très certainement recevoir son jus chaud au fond de la bouche. Et pourtant, quelle surprise de l’entendre :
Alors que j’arrête la fellation :
Je comprends qu’il veut faire une pause, ce salaud est sur le point d’éjaculer. Avant de me retourner, je reluque mon beau mâle, short baissé, queue bien raide tendue vers moi et pour moi : quel beau spectacle ! Je m’écarte un peu de lui, pivote et lui offre ma croupe aux fesses nues. Je roule du cul en une petite danse lascive pour le rendre fou. J’imagine aisément qu’il me reluque gravement et s’approche de moi. Je sens avec délice ses mains me caresser le croupion et il passe sa main entre mes jambes suffisamment écartées et s’empare de ma bite tendue dans le string.
Ses mains continuent à me peloter puis me guident de façon à ce que je me penche. Je pense alors à recevoir une fessée en présentant ainsi mon cul tendu sous son regard lubrique. En fait, il vient écarter la partie du string qui me traverse la raie des fesses et place ainsi le tissu sur le côté de ma fesse.
À ma grande surprise, je sens sa bouche et sa langue se poser sur mon anus bien offert. J’ai droit à un magnifique léchage, ce mec est une belle pute excitée. Ainsi chauffé et mouillé, je reste bien penché, cuisses ouvertes, cul bien levé. Je suis ouvert pour une suite toute prévue.
Alors que sa bouche quitte mon anus, sa bite vient m’effleurer dans un premier temps puis se glisse dans ma raie. Je sais maintenant que je vais me faire sodomiser. Son gland vient se poser sur mon trou du cul et je sens la queue raide de mon mec rempli du désir de la pénétration. Je tâche mentalement de me détendre, car je connais le gros diamètre de sa bite. Bien relâché, je le laisse me pénétrer. Son gland franchit facilement le sphincter et me dilate l’ouverture de l’anus. Même si je me crispe un peu, le plaisir d’être pris l’emporte. Mon mec continue la pénétration et commence à activer des va-et-vient puissants, ses deux mains venant me cramponner mes hanches. Je l’entends derrière moi ahaner. Il me tape le cul sur toute la longueur de sa courte queue alors que je sens mon propre sexe en érection gigoter dans le vide entre mes jambes. Sous les assauts et mon érection, mon pénis est sorti de lui-même du string.
C’est vraiment bon de se faire sodomiser et de se sentir dilaté par une queue. Je sens son ventre venir taper contre mes fesses tendues vers lui. Les râles du mec fusent au rythme de ses coups de reins, trahissant déjà le mec qui va éjaculer sous peu. Puis, d’un coup, il se crispe, stoppe au plus profond de mon cul et se répand. Je me fais remplir le cul par plusieurs jets de spermes chauds. Je reste bien offert pour profiter des derniers instants de mon cul bien rempli.
J’attends, bien penché, qu’il reprenne ses esprits puis je le sens sortir de mon trou. Son gros gland vient de quitter mon anus me permettant de me sentir libéré et me permet de me redresser. Je me tourne vers lui. Sa queue est encore en érection, pleine de sperme tout le long de la tige. Je prends conscience qu’il regarde ma bite, toute gonflée, pleine de désir sexuel. Il m’annonce :
Face à lui, je saisis à pleine main ma bite et commence à me masturber. En bas de mes fesses, je sens un écoulement. Le sperme de mon amant dégouline de mon cul encore tout dilaté de la pénétration. Alors que je me branle et me donne du plaisir, je le regarde remettre son slip suspensoir puis son short.
Alors qu’il est redevenu décent, moi par contre, je me retrouve dans un état de perversion, bite en érection, gland prêt à éjaculer, sperme dégoulinant entre les cuisses, une image de mec bien déluré. L’excitation de cette scène lubrique me mène droit vers une éjaculation que je désire. Ma sève, montée depuis un moment, gicle de mon pénis. Des jets de spermes partent vers mon amant. Pour la deuxième fois de l’après-midi, je me vide avec extase.
Alors que du sperme me coule le long de la verge, que j’en ai aussi plein la main, mais aussi qu’une même liqueur me dégouline à l’intérieur des cuisses, mon amant me félicite. Je prends alors le temps d’attraper mes kleenex dans mon sac et j’entreprends de m’essuyer de partout. Il ne perd pas une miette de mes contorsions et de ma bite gigotant toujours dans le vide. Constatant que mon string baissé est trempé de foutre et de sueur, je le fais glisser le long de mes jambes. Je renfile mon short sans aucun sous-vêtement, n’ayant pas prévu de rechange.
Nous nous quittons bien satisfaits tous les deux et nous promettant de nous revoir ici ou bien dans d’autres circonstances. Nous échangeons volontiers nos numéros de téléphone pour garder un contact complice.
Alors que chacun est reparti dans sa direction, le souvenir de cette virée à la plage va me rester longtemps. Quel bon plaisir rien qu’entre mecs consentants ! Que du bonheur, et surtout, à refaire sans modération…