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n° 22255Fiche technique18275 caractères18275
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Temps de lecture estimé : 13 mn
28/01/24
Résumé:  Nicolas est le meilleur ami de Clémentine. Il l’a poussée à découvrir ses penchants pour la soumission. Cela tombe bien, c’est bientôt l’anniversaire de son petit copain Hugo.
Critères:  fsoumise attache fouetfesse -dominatio
Auteur : Nikooooooooooooo            Envoi mini-message
Clémentine se découvre

Clémentine et moi avons fait connaissance depuis presque trois ans. Dans la même société, elle y a effectué un master en alternance. Du haut de ses vingt-deux ans, cette jolie brune est plutôt bien gaulée, mais ne laisse rien paraître. Nous avons immédiatement sympathisé et sommes devenus rapidement de vrais amis, confidents, puis l’espace d’un soir, amants. Nous n’avons pas renouvelé l’expérience d’un commun accord, non pas que cela n’était pas agréable, mais j’avais trouvé cela banal. Cela a au moins libéré notre parole et scellé une certaine confiance entre nous. Nous étions libres chacun de notre côté et profitions de la vie. On se voit quasiment tous les lundis soir, on dîne ensemble, on fait des sorties, des cinés, ou tout simplement, on vaque dans son canapé.


Depuis peu, Clémentine est avec un garçon qu’elle apprécie bien. Elle le trouve beau, charmant, musclé. Il fait des études dans l’ingénierie dans le département voisin et ne rentre que pour les week-ends et les vacances. Elle me détaille régulièrement des photos de leurs sorties du week-end sur son téléphone et je fais de même. Nos sujets de conversation dérivent souvent sur le sexe et je la pousse régulièrement à me raconter plus en détail sa vie intime avec Hugo.


Clémentine rougit très facilement, mais répond toujours à mes questions, qui sont crues avec l’emploi de mots comme : mouille, queue, baise, défoncé… alors qu’elle s’évertue à me répondre avec un vocabulaire beaucoup plus chaste. Clémentine aime bien faire l’amour avec Hugo et ils font cela plusieurs fois dans le week-end. J’adore la mettre mal à l’aise et la regarder dans les yeux quand elle me raconte tout cela. D’une petite voix, cherchant ses mots, rouge pivoine, s’arrêtant pour déglutir, jouant avec ses doigts, ses cheveux longs, souvent les yeux baissés, n’osant pas me regarder.

À ma demande, elle me détaille certaines scènes en me décrivant leurs préliminaires, comment elle se fait prendre, dans quelle position, et comment ils finissent par jouir tous les deux. Clémentine aime le sexe, mais reste fondamentalement timide et n’ose pas demander ou prendre des initiatives. Ses fantasmes restent classiques et relèvent plus d’un endroit ou d’un contexte. Hugo, lui, débute dans son parcours amoureux et se découvre petit à petit. Ils se sont bien trouvés tous les deux.


Au fur et à mesure des semaines et des récits de Clémentine, je suis arrivé à la conclusion que c’est une soumise dans l’âme et que se faire dominer par un mâle lui ferait le plus grand bien ! Elle me demande ce qui peut m’inciter à penser cela, soit elle aime être dirigée par Hugo, soit elle est plutôt passive, mais le terme de « soumise » lui paraît un peu trop abusif.


Je lui rappelle alors les fois où Hugo s’était montré un peu plus entreprenant, comme quand il lui avait tiré les cheveux pour lui relever la tête et faire cambrer son dos, ou quand il lui avait relevé le visage devant le miroir pour qu’elle le regarde dans les yeux pendant qu’il la pénétrait, ou sa première claque sur une fesse, ou quand il l’avait baisée en levrette et qu’il lui avait saisi les deux bras pour les mettre dans le dos ou tout simplement quand il est sur le point de jouir et qu’il devient un peu plus bestial.


C’est vrai qu’elle aime particulièrement toutes ces situations.


– Tu vois, Clem, tu es prête à franchir les portes du BDSM ! dis-je, amusé.


Clémentine semble interrogative et troublée par ma remarque.


– N’importe quoi ! me répond-elle. Tu penses réellement que je suis ce genre de fille ?

– J’en suis persuadé !


Toujours assis dans le canapé, je me tourne vers Clémentine, relève son menton avec ma main et, en la regardant droit dans les yeux, lui demande :


– Tu veux jouer avec moi un petit jeu de rôle où je serai le dominant et toi la soumise ? Je suis sûr que tu vas kiffer, obéir à des ordres précis et laisser ton partenaire gérer et décider de ton propre plaisir. T’inquiète, il n’y aura aucune pénétration !


Clémentine se mord la lèvre inférieure et acquiesce. Je lui ordonne alors de regagner sa chambre en pointant du doigt la direction à prendre. Clémentine est surprise par mon ton autoritaire et n’ose pas protester. Elle bafouille quelques mots que je ne comprends pas et va dans sa chambre. Je la suis jusqu’à l’embrasure de sa porte. Là, je lui ordonne :

– Ôte tes chaussettes, ton jean, ton sweat, et monte sur le lit !


Elle s’exécute docilement pour les chaussettes et a un moment d’hésitation pour le reste :


– Dépêche-toi ! lui dis-je d’un ton sec.


Elle est maintenant assise sur le rebord de son lit, juste vêtue de sa petite culotte et d’un soutien-gorge en coton blanc assorti. Je lui ordonne :


– Mets-toi à genoux sur ton lit. Assieds-toi sur tes talons et pose tes mains à plat sur tes cuisses ! Reste comme ça et ne bouge plus !


Troublée au plus haut point et fascinée par ce pouvoir que j’exerce sur Clémentine, celle-ci s’exécute et baisse la tête en position d’attente. Je me tiens devant elle et la regarde avec une certaine malice et envie. Je bande dans mon pantalon.


Je fais le tour du lit, me place derrière elle et attends. Ces quelques secondes d’inaction lui paraissent bien longues et anxiogènes. Je pose mes mains sur ses épaules et elle sursaute à ce premier contact. Je souffle dans le creux de sa nuque, mes lèvres parcourent sa peau si douce. Je lui effleure le haut du dos, les bras, le cou. Je lui dégrafe son soutien-gorge et le fais glisser le long de ses bras, libérant ses beaux seins. Je lui dis :


– Maintenant, tu m’obéis et tu me laisses faire…


Je descends du lit, me replace devant elle et lui ordonne :


– Écarte tes cuisses, plus que ça, encore ! Et maintenant, attrape tes chevilles avec tes mains !


Cette position l’oblige à se bomber légèrement la poitrine. La tête renversée en arrière, les cheveux pendants et ses seins fièrement dressés, elle est à ma merci.


Je lui caresse alors les seins du dos de la main. J’effleure ses tétons et les vois grandir, se durcir. Clémentine se tortille sous la caresse. Je lui dis, toujours sur le même ton :


– Si j’entends quoi que ce soit, ou si tu bouges, tu seras punie ! C’est bien compris ?

– Oui ! lâche-t-elle doucement.


Je présente mon pouce, mon majeur et mon index à la bouche de Clémentine. Je lui ordonne :


– Lèche mes doigts !


Une fois l’extrémité de mes doigts humidifiés, je fais à nouveau descendre ma main sur la poitrine offerte et sans défense de Clémentine. Je lui pince alors les tétons l’un après l’autre, les faisant rouler, tourner entre mes trois doigts, doucement au début et parfois avec plus de fermeté. Je tire sur ses pointes, mélangeant plaisirs et légères douleurs. Ses extrémités endurcies et tiraillées sous la caresse irradient son système nerveux. Les lèvres pincées pour ne faire échapper aucun son ne suffisent plus, elle lâche ses chevilles et un râlement de plaisir. Ses mains rejoignent les miennes. Je lui dis d’une voix forte et grave :


– Je t’ai dit quoi si tu bouges ? Réponds-moi !

– Que je serais punie… me dit-elle, presque honteuse.


Elle n’a plus le courage de me regarder et baisse à nouveau la tête, confuse. Sans plus attendre, je la saisis par la nuque et l’oblige à se mettre en position de levrette. Puis, en appuyant sur le haut de ses épaules, je lui ordonne :


– Mets tes mains dans le dos !


Clémentine s’effondre alors la tête dans les draps avec sa croupe bien en l’air. Je repasse derrière elle et fais descendre sa culotte le plus lentement possible le long de ces cuisses jusqu’à ces genoux plantés dans le matelas.


Je me rince l’œil et caresse ma queue tendue à travers mon jean. Son cul ainsi offert permet de distinguer très nettement ses lèvres cramoisies et son petit anus. Là, en ce moment, c’est moi qui souffre ; j’ai envie de sortir ma queue, de la présenter devant son petit trou et de l’enculer, mais je lui ai promis qu’il n’y aurait aucune pénétration…

Dans cette posture obscène, Clémentine attend un long moment, elle est récompensée et soulagée quand ma main lui caresse le haut du dos, les fesses et l’arrière des cuisses.


Un premier cri s’échappe de la bouche de Clémentine quand une claque sèche s’abat sur sa fesse. S’ensuivent d’autres, alternant fesse gauche et fesse droite. Les cris de Clémentine résonnent dans toute la chambre. Sa respiration est forte et profonde, je vois sa cage thoracique se gonfler.


Ma main alors se fait plus douce et caresse, effleure ses fesses rougies. Clémentine est soulagée de sentir ma main remonter le long de ses cuisses et se faufiler entre ses jambes. Mon index et mon majeur glissent alors sur ses lèvres intimes. Elle n’est pas qu’humide, elle est trempée.


Je lui dis :


– Alors, ma jolie soumise ? C’est de la mouille que j’ai au bout de mes doigts ? Ça t’excite de te faire fesser ? Réponds ! lui ordonné-je.


Un timide « oui… » sort de sa bouche.


– Tu veux que je continue, petite garce ?

– Oui ! dit-elle plus un peu fort en montant dans les aigus de sa voix.


J’enchaîne :


– Très bien ! Mais, je veux que tu me dises quand tu seras sur le point de jouir ! C’est compris ?

– OK ! me dit-elle.


Je continue mes caresses, douces, contrôlées. Je n’oublie pas son clitoris que je fais tourner sous mon majeur. Maintenant, c’est Clémentine en ondulant son bassin qui vient à la rencontre de mes doigts. De ma main libre, j’écarte le lobe de ses fesses, dévoilant encore un peu plus son petit œillet sombre et ses lèvres roses. Clémentine sent une chaleur monter, elle retire ses mains entrecroisées de son dos pour venir agripper les draps et, haletante, elle me dit :


– Je vais jouir, Nicolas !


Je lui assène alors une seconde fessée bien plus forte que la première, marquant d’un rouge vif sa peau. Aussitôt, Clémentine jouit violemment en criant, un orgasme puissant la fait trembler plusieurs secondes, et elle s’effondre sur le lit.


Le jeu est terminé.


Je lui caresse à nouveau les fesses et y dépose un tendre baiser. Je m’allonge à côté d’elle sans rien dire, nous nous observons. Clémentine me sourit, je suis satisfait de cette démonstration. Elle m’explique que c’était très fort, extraordinaire, puissant, et qu’elle n’avait encore jamais joui de cette façon et que le mélange de plaisir et douleur est très agréable et incontrôlable.


– Et toi ? me demande-t-elle, tu veux que je te… soulage ?

– Non, ça va ! Un mâle dominant doit savoir se contrôler ! lui dis-je. J’ai pris énormément de plaisir à te caresser et te donner la fessée ! Pour être honnête, à un moment, j’ai failli déraper, sortir ma queue et te sodomiser !


Elle rigole de vive voix et me dit :


– On n’a pas encore eu le temps d’en discuter, mais Hugo m’a fait jouir avec sa langue et deux doigts dans mon cul le week-end dernier, je crois que le chemin est fait ! Et, tu sais, tu m’as mise dans un tel état que je pense que je n’aurais pas eu la force de te dire non ! Bon, j’admets que j’ai aimé ton jeu de rôle et beaucoup aimé être ta soumise !

– Tu crois qu’Hugo pourrait avoir ce genre de comportement ?

– Jamais je n’oserais le lui demander !

– Fais-lui une surprise, ou incite-le à le faire ! lui dis-je.

– Bonne idée, dans deux semaines, c’est son anniversaire, j’aimerais bien faire un truc qui sort de l’ordinaire pour son cadeau ! T’as une idée ?

– Et si tu réalisais un de ses fantasmes ?

– Il n’est pas très bavard, à ce sujet, je ne sais pas trop, il aime tout…

– Ou réalise un de tes fantasmes à toi ! Tu aimerais qu’il te fasse l’amour comment ?

– Ben, maintenant que j’y ai goûté, j’aimerais bien retenter une séance où je serai sa soumise ! En ayant les mains attachées par exemple…

– Excellent ! soumise et offerte !


Enjouée, Clémentine trouve son idée très érotique et passionnante.


– Mais comment veux-tu que je lui annonce cela ? Jamais il ne prendra l’initiative et je n’oserai pas le lui demander.

– Fais-le sous la forme d’un jeu ! Donne-lui des instructions par SMS !


Et c’est comme cela que nous commençons à élaborer un plan ! Clémentine, très motivée, accepte mon aide précieuse et me demande de faire tout ce qu’il faut pour que cette soirée soit parfaite et inoubliable !



J-10 :


J’entraîne Clémentine sur un site d’achat en ligne, pour quelques accessoires spécifiques. Elle a les yeux écarquillés, en voyant tous ces gadgets qui défilent sur l’écran de son PC. Pour son immobilisation, notre choix s’est tourné sur un genre menottes en scratch. Dans son panier, nous rajoutons un bandeau noir pour ses yeux et je réussis même à la convaincre, après explication de son utilité, de prendre un petit plug dont l’extrémité est ornée d’un petit cœur en couleur rubis. Ses achats furent complétés plus tard sans qu’elle ne le sache par mes soins.



J-5 :


Clémentine envoie le SMS suivant :


Mon cœur !

Samedi soir, nous allons fêter ton anniversaire !

Rendez-vous chez moi à 20 h précises !

La porte de mon appartement ne se sera pas fermée à clé.

Rejoins-moi dans la chambre.

Ton bébé !



H-2 :


Quand je rejoins Clémentine chez elle, je la retrouve en peignoir. Elle est prête, douchée, maquillée et excitée comme une puce. Elle a pris soin de ranger sa chambre et de refaire son grand lit.


– J’ai ramené mon petit sac à malice, avec quelques surprises dedans pour toi ! lui dis-je.

– Ah bon, quoi ? me demande-t-elle, curieuse.

– Tu verras bien ! lui dis-je avec un grand sourire.

– Bon, et pour la suite, on fait comment ? me demande Clémentine, impatiente.

– À partir de maintenant, je prends les choses en main ! On va finaliser la déco, tu vas préparer un petit mot doux à Hugo, je vais te préparer, je vais t’attacher et ensuite je vais partir un peu avant vingt heures pour ne pas croiser Hugo et lui laisser la place !


Pour finaliser la décoration, je déploie une guirlande LED, avec les deux lampes de chevet, cela apporte juste ce qu’il faut pour faire un bel éclairage feutré.


Sur mes ordres, Clémentine fait tomber son peignoir. Je lui demande de retirer son petit ensemble string et soutien-gorge en dentelle noire et de ne mettre que des bas noirs. Je sors la première surprise de mon sac, qui est un collier en cuir noir, ras de cou, avec un anneau sur l’avant. Elle trouve cela très érotique et avec une franche connotation pour la soumission.


Clémentine, sur une feuille blanche destinée à rester sur son lit, écrit les mots suivants :


Mon Hugo,


Ce soir, je suis toute à toi !


Considère-moi comme ton cadeau d’anniversaire


Fais-moi l’amour…


Ta Clem !


Pour continuer, Clémentine me tend en avant ses deux poignets sur lesquels j’enroule les scratchs, les menottes sont reliées avec une petite chaîne d’une vingtaine de centimètres. Elle est étonnée quand je fixe cette chaînette avec un petit mousqueton à l’anneau de son collier.


Clémentine est excitée, ses yeux brillent. Je l’emmène devant son grand miroir, debout avec ses dim-up, ses bras liés cachent ses seins, mais pas son sexe. Je lui fais remarquer qu’elle est belle, désirable et bandante. Elle retrouve son sourire et se mord la lèvre en se jaugeant dans la glace. Je la prends dans mes bras quelques instants.


– Allez ! On continue ! me dit-elle.


Je lui explique que j’ai opté pour qu’elle se positionne sur le lit en levrette et que je vais lui mettre en place son bijou anal, mais qu’auparavant ma deuxième surprise est que je vais lui mettre un bâillon. Ainsi, elle sera attachée, aveugle, dans l’incapacité de parler, les fesses tendues, totalement soumise à la disposition d’Hugo.


Clémentine va de découverte en découverte, le bâillon que je lui mets en place est un anneau métallique qui l’oblige à garder la bouche assez grande ouverte. Je lui explique rapidement la fonctionnalité de cet accessoire diabolique : qu’elle va très certainement baver, qu’on l’entendra très bien gémir, mais qu’on ne comprendra rien si elle décide de parler ! Je finis par lui expliquer d’un ton rieur que l’on peut aussi profiter de cet instrument pour se faire baiser la bouche. Clémentine met un instant pour comprendre, puis miaule quelque chose, les yeux grands ouverts.


Sa vue est ensuite plongée dans le noir par le masque et je l’entraîne sur le lit pour la positionner en levrette. Appuyée sur ses avant-bras entravés et reliés à son collier, je lui place deux coussins sous le ventre. Je reste ébahie par cette belle croupe et lui dis :


– Putain, Clem, t’as un de ces culs ! Écarte bien tes genoux et cambre-toi bien. Je vais te mettre ton petit plug avec un peu de lubrifiant.


Sans le lui dire, je remplace son petit plug par un autre beaucoup plus imposant, totalement en verre. Le contact froid de l’objet et du lubrifiant la fait sursauter. Je prends un malin plaisir à le faire rentrer petit à petit. Son anneau serré s’ouvre délicatement. Je pourrai continuer comme cela longtemps, mais le temps m’est compté. Clémentine grogne, ondule du bassin, et se frotte le haut du sexe contre les coussins. Je fais toujours rentrer et sortir le plug, son anus n’a même plus le temps de se refermer et reste ouvert. Arrivé au diamètre le plus large, celui-ci est comme aspiré et se met en place tout seul jusqu’à l’embase. La vue de son anus à travers le plug transparent donne l’impression qu’elle est sodomisée par une queue imaginaire.


Clémentine est trempée, un filet de mouille relit ses deux lèvres entrouvertes. En continuant ainsi, je pense que j’aurai pu l’amener jusqu’à l’orgasme.


Je me rapproche de Clémentine, lui fais un bisou sur les cheveux et lui chuchote à l’oreille :


– Tu es belle, tu n’imagines même pas !

– C’est l’heure pour moi de partir. Amusez-vous bien ! À lundi, ma Clem, pour le débrief !


Je pose sur son lit dans un ordre précis le reste de mes surprises, prends le mot doux de Clémentine et le remplace par une feuille imprimée par mes soins avec les instructions suivantes :



Mon Hugo !


Ce soir, pour ton anniversaire, je suis ton cadeau !


Je suis à ta disposition toute la nuit


Mais, avant, je nous ai préparé un repas de fête !


Amuse-bouche :


Utilise le plumeau sur tout mon corps, fais-moi frissonner, donne-moi la chair de poule.


Entrée :


Tu devras ensuite utiliser le martinet sur mes fesses, mes cuisses. Fais abstraction de mes gémissements et ne t’arrête que quand mon cul sera bien rouge.


Plat principal :


Je veux que tu me goûtes avec ta langue, que tu t’amuses avec le gode, que tu me l’enfonces bien profondément en moi, et cela dans mes deux orifices.


Dessert :


Il est temps pour toi de prendre ton plaisir. Je veux que tu me sodomises. Fais-moi crier et jouis dans mon cul.


Joyeux anniversaire !


Ta Clem !