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n° 22256Fiche technique19512 caractères19512
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Temps de lecture estimé : 14 mn
29/01/24
Résumé:  L’amour impossible d’une reine pour son esclave.
Critères:  f fh fhh fbi amour hsoumis fdomine jalousie cérébral voir fmast massage sm -dominatio
Auteur : aramis43  (Homme dans le milieu de sa vie, avec de forts fantasmes)      Envoi mini-message
Reine barbare

Ce soir, je dois absolument séduire le fils du duc de Drazuvert. Ou plutôt le nouveau duc de Drazuvert, puisque sa vieille barbe de père est décédée il y a quelques mois. C’était un sacré adversaire, celui-là : rusé et méchant comme une teigne, encore, le plus puissant de mes sujets, une menace permanente pour ma couronne, amateur de complots, en plus. Heureusement, le fils est bien plus terne. Il a été écrasé par la personnalité de son père à l’ombre duquel il a toujours vécu. Je vais le séduire et me donner à lui. L’attacher à moi par tous les arts de l’amour, et les Dieux savent combien je suis habile à ces jeux.


Je sais qu’il veut m’épouser pour tenir le royaume, mais quand il sera passé dans mon lit, entre mes cuisses, il ne pensera plus qu’à une chose : pouvoir y retourner. Je vais le rendre fou amoureux de moi, éperdument amoureux de moi. Et quand nous serons mariés, je pourrai laisser libre cours à mes penchants dominateurs. Le pauvre petit chéri ! Il ne sait pas encore qu’il est une proie à mes yeux, une proie que je vais dévorer et sucer jusqu’à la moelle, dont je vais ravager le cerveau et le cœur à force de lui donner du plaisir. Chaque baiser, chaque caresse, chaque étreinte l’asservira toujours davantage, jusqu’à le remodeler à mon entière dévotion. Je vais être sa reine dans tous les sens du terme. Je le ferai ramper à mes pieds, supplier pour obtenir mon attention et mes caresses. Je vais lui apprendre à aimer chacune des humiliations que je lui infligerai. Je le ferai planer jusqu’à ce qu’il accepte tout de moi. Il me sera tout dévoué, et il en sera heureux. Il ne vivra plus que pour moi, à travers moi, pour me faire plaisir. Son bonheur sera de me satisfaire.


Hmmm.


Cette idée m’excite : mes seins sont durs, mes tétons pointent et je sens mon sexe devenir humide. Je suis prise d’une envie folle de me caresser en pensant à tout ce que je vais pouvoir faire avec cet homme une fois qu’il sera en mon pouvoir, mais chut, calme-toi, ma fille, laisse ces pensées disparaître à l’arrière-plan de ton esprit. Pour l’instant, il s’agit de le séduire.


Mes esclaves se sont bien occupées de moi. Elles m’ont longuement baignée dans du lait d’ânesse, massée pour me détendre. La nouvelle, cette grande fille blonde aux seins lourds, me passe de l’huile sur tout le corps pour rendre ma peau douce comme de la soie. Hmmm, je sens que ses mains se font plus tendres et sa fragrance intime chatouille mes narines. Elle semble avoir envie de moi. Tant mieux, je vais décharger sur elle mes instincts dominateurs refoulés tout à l’heure. Non que les amours saphiques me déplaisent, bien au contraire, mais pour l’heure, j’ai surtout besoin de me défouler. Je lui ordonne donc de me masser avec tout son corps enduit d’huile. Hmmm, je sens sa lourde poitrine glisser sur mon dos, c’est délicieux.


Je goûte le soyeux de sa peau, mais aussi le contact de ses tétons durcis. Son pubis se presse sur mes fesses. C’est doux, c’est chaud, c’est humide, j’adore ! Elle est vraiment en chaleur, cette chienne. Parfait ! D’un claquement de doigts, je lui indique de me laisser me retourner et de reprendre son massage. Oh, mais c’est qu’elle m’excite ! Voilà même qu’elle essaye de m’embrasser. C’est bon… ! Je la laisse envahir ma bouche, j’enroule ma langue autour de la sienne. Elle gémit et vient coller son sexe trempé contre le mien, puis reprend son massage avec tout son corps, de façon très appuyée : ses seins lourds aux mamelons durs s’écrasent contre ma poitrine, sa chatte frotte contre la mienne, son clitoris cherche le mien. Je sens son désir, ça m’excite et ça réveille mes instincts les plus pervers, alors, de ma voix suave et douce, je lui porte un premier coup :



Très excitée, elle obéit immédiatement. Je glisse un doigt huilé dans son anus et la doigte pendant qu’elle continue de caresser son propre sexe. Je la regarde dans les yeux et accompagne sa masturbation de paroles humiliantes qu’elle encaisse à chaque fois en gémissant, les yeux pleins d’un mélange délicieux d’adoration et de désespoir :



Un orgasme ravageur la submerge brutalement pendant que le venin de mes paroles se déverse en elle. Elle s’est abandonnée totalement… Parfait ! Je retire doucement mes doigts et la laisse reprendre ses esprits, caressant tendrement ses cheveux. Je prends une grande respiration. Même si je n’ai pas joui, me réservant pour mon futur amant, je suis apaisée. Pendant ce temps, les autres servantes ont préparé mes vêtements et mes bijoux. Elles me parent, me coiffent, me maquillent. Je suis sublime. Ce pauvre duc n’a qu’à bien se tenir.


Tout ceci se déroule sous les yeux du capitaine de ma garde. Il est là, dans un recoin plus ou moins secret, caché par des moucharabiehs qui lui permettent de voir sans être vu, du moins de ceux qui n’ont pas autant l’habitude que moi de ce dispositif. C’est la loi de mon royaume. La souveraine doit toujours être sous le regard d’au moins un de ses gardes du corps… Au cas où. Je n’ai donc aucune intimité pour cet homme ni pour ses lieutenants et les autres gardes. Ce sont juridiquement des esclaves… de haut rang, certes, que l’on traite particulièrement bien eu égard au caractère crucial et stratégique de leurs fonctions, mais ils demeurent des esclaves. Ma mère m’a appris à en prendre soin, à ne pas séparer les couples qu’ils forment, à veiller à leur bien-être, comme elle m’a appris à prendre soin des chiens et des chevaux. Dans ma culture, en théorie, les esclaves sont considérés comme des biens vivants, à l’instar des animaux… raison pour laquelle on peut abandonner toute pudeur et exposer son intimité devant eux.


Sauf que je dois confesser que je suis incapable de considérer mon capitaine comme un animal ; à mes yeux, il est un homme. Pire encore, l’homme que j’aime, de toute mon âme, de tout mon corps. Cet amour est partagé, je le sais, mais il est aussi totalement impossible. Le drame, c’est que la loi interdit rigoureusement toute relation intime – pour ne pas dire amoureuse – entre une reine et ses esclaves mâles, même ceux de sa garde. Mon arrière-grand-mère a été destituée et a vu son amant castré, puis écartelé vif pour ne pas avoir respecté cette loi d’airain. Peut-être pourrais-je envisager de cesser d’être reine, mais je ne supporterais pas de mettre la vie de mon bien-aimé en danger. S’il est absolument hors de question que je cède un jour à mon désir, c’est d’abord pour le protéger, lui.


Il a longtemps caché ses sentiments à mon égard derrière cette façade d’impassibilité qu’il arbore en toutes circonstances, ce mur qu’il a construit entre lui et le monde qui l’entoure. Un masque qui prétend tout voir, fonctions obligent, mais que rien n’atteint ; une prison aussi… dans laquelle il s’est enfermé lorsqu’il est devenu adulte. Enfants, nous jouions souvent ensemble, petits esclaves, enfants de sang royal et enfants de nobles, même si chacun avait conscience de sa place et de son rang. Je me souviens que mon capitaine était un enfant vif et expressif, rêveur aussi, dont les yeux me disaient souvent combien il me trouvait jolie. Je crois que c’est à cette époque que nous sommes tombés amoureux. Moi, en tout cas, c’est certain. C’est en pensant à lui que j’ai connu mes premiers émois, mes premiers plaisirs solitaires aussi… et mes plus grands chagrins, quand j’ai compris les périls insoutenables auxquels nous exposaient nos sentiments. Quant à lui, c’est le moment où il s’est assombri, puis renfermé, et a décidé de rejoindre ma garde, vouant sa vie à me protéger tout en me côtoyant en permanence. Une torture. Pour moi. Peut-être a-t-il voulu ainsi se venger de moi ? Mal lui en a pris, car je sais combien lui aussi souffre de cette situation insupportable. Je le sais parce que j’ai chargé une de mes suivantes, la plus belle et la plus douce, de le séduire. Il ne l’a pas repoussée, mais il ne l’a pas touchée non plus. Il a passé la soirée à sangloter dans les bras de la belle, lovés autour de lui, puis a dormi, apaisé, jusqu’au matin, où il l’a renvoyée gentiment après l’avoir embrassée sur le front. Depuis, je l’ai autorisée à passer une nuit par semaine avec lui pour lui donner un peu de cette simple tendresse qui semble le consoler un peu.


Quand ma suivante m’a rapporté cela, j’ai décidé que nous ne pouvions en rester là. Il fallait au moins qu’il se sache aimé, même si cet amour ne pouvait se concrétiser. Alors, un soir, je me suis caressée devant lui. Ce n’était pas la première fois. Il m’avait d’ailleurs aussi observée m’offrir à d’autres, hommes ou femmes. Ainsi le veulent ses fonctions, fixées par la loi. Mais ce soir-là, ce qui a tout changé, c’est que je me suis caressée en le regardant droit dans les yeux. Je lui ai hurlé mon amour et mon désir à travers mon regard accompagnant mes gestes pour être certaine d’être bien comprise… et ne pas qu’il croit à un jeu pervers à ses dépens. J’ai aussi murmuré son nom accompagné de mots d’amour explicites, tout bas pour que personne ne puisse surprendre ces paroles interdites, mais assez fort pour qu’il entende et que je le vois enfin vaciller à travers le moucharabieh. Lui aussi a fini par se caresser en me regardant droit dans les yeux, en avouant son amour et son désir dans des murmures. Depuis, nous avons renouvelé plusieurs fois la chose, mais dans le silence le plus absolu ; seuls nos regards se parlent, tandis que nos corps séparés par la grille du moucharabieh se livrent à une danse étrange, mêlant désir, frustration et plaisir. Nous avons appris à nous dire avec les seuls yeux ces mots d’amour dont nos cœurs débordent et que la loi nous interdit de prononcer un jour à haute voix. Alors ce soir, je renouvelle l’expérience et lui parle avec mes yeux :


Tes fonctions font que tu as l’habitude de m’observer dans mon intimité, y compris mes plaisirs charnels, qu’ils soient solitaires ou accompagnés, mais il s’agissait toujours d’amants et d’amantes éphémères. Cette fois, les enjeux sont différents : le duc ne va pas jouir de moi seulement une nuit, ou même plusieurs, comme c’est déjà arrivé avec d’autres hommes… mon objectif est d’unir ma vie à la sienne. Ceci est motivé par un calcul politique, et tu le sais, mon dévoué capitaine. Il n’en demeure pas moins que les séductions que je vais employer avec le duc, c’est avec toi, mon amour impossible, que je voudrais en faire usage. Les mots d’amour que nous allons échanger avec mon futur époux, c’est de ta bouche que je voudrais les entendre, dans ton oreille que je voudrais les déverser !


Oh, mon amour ! Mon pauvre, mon tendre, mon impossible amour. Comme tu vas souffrir à devoir me regarder aimer cet autre et être aimée de lui sans pouvoir détourner le regard, parce que ton sens exacerbé du devoir te l’interdit. Tu vas devoir boire jusqu’à la lie cette coupe amère, observer chacune de nos caresses, même les plus osées, chacun de nos baisers, chacune de nos étreintes, et entendre mes soupirs et mes gémissements, ses grognements de plaisir aussi. Pourquoi n’as-tu pas confié la garde de ce soir à l’un de tes fidèles lieutenants, mon amour ? Par fierté ? Parce que tu es conscient des enjeux pour l’avenir du royaume ? Ou tout simplement pour ne pas trahir tes sentiments à mon égard ? Mais, pauvre fou, il y a longtemps que je les connais, tes sentiments ! Que je les partage, d’ailleurs, même si le destin nous interdit de nous livrer l’un à l’autre ! Tu vas donc te laisser torturer en me voyant m’offrir à lui comme je ne pourrai jamais m’offrir à toi. Et le pire, mon amour, c’est que je vais vraiment me donner à lui, sans feindre ni rechigner. Les enjeux sont trop élevés pour se contenter de demi-mesures. Pleureras-tu à un moment de me voir perdre la tête dans ses bras ? Non, tu es trop fier pour ça. Tu te forceras à une immobilité impassible, un masque rigide sur ton visage. Mais je connais tes yeux, ton regard, mon amour, depuis toutes ces années qu’ils veillent sur moi ! Ces fenêtres sur ton âme ne me tromperont pas, elles me diront ta douleur insoutenable que ton silence rend encore plus déchirante. Et le pire du pire, c’est que je vais me délecter de ta jalousie, de ta souffrance, parce qu’elles sont l’aveu de ton amour et de ton désir pour moi. Elles vont m’enflammer encore plus et ce sera lui qui en profitera. Quel crime avons-nous commis envers les dieux pour être condamnés à un tel sort ?


quelques heures plus tard…


Le duc, mon amant, repose, sommeillant à mes côtés. Ivre d’amour, repus de sexe. Je l’ai envoûté, comme prévu. Cela m’a d’ailleurs coûté moins que je ne le craignais. L’homme est non seulement avenant physiquement, mais il a une personnalité attachante : un peu timide, il m’a néanmoins courtisée avec beaucoup d’attention, alors même qu’il était évident que je lui étais acquise d’avance. Il s’est également montré un excellent amant, doux, très doux, puis ferme, très ferme, plein d’initiatives bienvenues. Je n’ai pas eu à simuler, il m’a vraiment fait exploser de plaisir, plusieurs fois. Quant à lui, je l’ai éreinté à force de le faire jouir tout au long de la nuit. Les premières lueurs de l’aube nous trouvent ainsi : lui épuisé et endormi ; moi, alanguie, cherchant du regard mon capitaine amoureux auquel je n’ai pas beaucoup pensé ces dernières heures, je l’avoue.


Ce que je découvre me trouble. Il a les yeux brillants. Presque fous. L’excitation et le désespoir se mêlent dans son regard en un mélange que ma perversité me fait trouver délicieux. Des traces de larmes sillonnent son visage. Qu’il ait pleuré m’excite, j’aurais voulu boire ses larmes. Alors, en le fixant droit dans les yeux, je commence à me caresser. Mes mains se portent vers mon sexe : la gauche y recueille la semence poisseuse de mon amant, je la porte à ma bouche et m’en régale tandis que la droite fouille ma petite chatte. Mon regard vicieux se fait impérieux.


À cette heure, il n’y a plus de danger, mon amour. Quand bien même il le voudrait, mon amant ne pourrait rien me faire de mal, il a sombré d’épuisement dans le sommeil. Tu peux baisser la garde, mon beau capitaine, te laisser un peu aller. Caresse-toi pour ta reine !


Voilà ce que mes yeux lui disent. Je le vois se soumettre peu à peu, glisser à genoux et sortir sa queue pour se branler. Cela m’excite et je me masturbe frénétiquement de la main droite tandis que je tire sur les tétons de mes seins de la gauche. En quelques minutes, il jouit. Alors, je lui intime silencieusement de lécher son propre foutre sur le sol. Totalement soumis, il s’exécute. Voir cet homme viril, ce guerrier que j’aime, se comporter comme une lopette par amour pour moi, pour mon seul plaisir, me transporte. Je jouis comme j’ai rarement joui : mon corps vibre de partout puis s’arque brutalement.


Mes mouvements ont fait émerger le duc de son sommeil. Mon amant s’agite puis ouvre les yeux sur mon corps alangui, lové contre lui. Hmmm, son désir se réveille et ses caresses reprennent. Mon corps en feu y réagit. Nous allons faire l’amour, encore, alors je m’adresse une dernière fois en silence à mon soupirant malheureux :


Oui, mon amour, je vais encore m’offrir à ses caresses et refaire l’amour avec lui, mais n’aie crainte, cette fois-ci je ferme les yeux, et quand je jouirai, ce sera ton nom que je hurlerai dans le secret de mon âme, ce sera ton visage qui sera dans mon regard. Il ne le sait pas et il ne le saura jamais, mais il n’est qu’un substitut cette fois. Il me prend, mais c’est avec toi que je fais l’amour par procuration à travers lui, alors, ne souffre plus, mon pauvre amour, mon bel amour. Caresse-toi, branle fort ta jolie queue ! J’imagine que ce sont tes mains qui parcourent mon corps à la place des siennes, que c’est ta bouche et ta langue qui s’emparent des miennes, que c’est le poids de ton corps que je sens sur le mien, que ce sont tes mains puissantes qui s’emparent de mes seins, les caressent, les palpent, les titillent. J’imagine que c’est tes doigts qui jouent avec mes pointes, les roulent, les pincent et les étirent en me faisant trembler, que c’est eux qui caressent mon clitoris et explorent ma chatte, que c’est ta langue qui fouille dans mon cul pour me préparer. Je fais la chienne, prosternée, le cul tendu vers son sexe, mais c’est à toi que je m’offre. Alors, serre tes doigts autour de ta bite et branle-toi en imaginant que tu es dans mon cul ! Vas-y, encore, de plus en plus vite, de plus en plus fort ! Pour moi, c’est ta queue qui m’envahit et me donne tant de plaisir. Je sens son sexe dur et gonflé qui me remplit. C’est bon ! J’imagine que c’est le tien. Je suis dans un état second, alors je te supplie à travers lui : vas-y, plus fort, donne-moi des grands coups de bite ! Je suis une petite salope, possède-moi ! Saccage mon cul avec ta queue ! Fais de moi ta chienne, ta petite pute, ton vide-couille ! J’adore ! C’est toi et ta queue qui me dominez par le cul. C’est ta bite qui me démonte, qui me ravage, qui me fait crier. Caresse-toi. Branle-toi fort et jouis, mon esclave chéri ! Laisse-toi aller ! Jouis pour moi ! Jouis avec moi ! Il me baise le fion, il me défonce comme une pute et je te sens en moi, c’est trop bon, putain ! Je suis ta chienne, ta catin, ta putain. Je suis ta princesse, ta reine, ta déesse, et je t’ordonne de jouir ! Oh oui, ça vient, je sens qu’il m’inonde le cul de sa semence ! Tout mon corps tremble, je vibre de partout. Je jouis en pensant à toi, alors viens ! Offre-moi ton foutre ! Viens, j’ai envie que tu gicles ! Sens mon cul se resserrer autour de ta queue ! Regarde-moi me faire enculer et laisse jaillir ton sperme ! Je veux te voir jouir, je veux te voir t’abandonner à moi ! Tout ton corps vibre, tu es beau comme ça. Oh oui, tu vas jouir en même temps que mon amant ! Vas-y, viens, je veux voir couler ton sperme… ! Jute pour moi, donne-moi tout ! Je veux que tu craches tout ton foutre ! Offre-toi à moi ! Vas-y, vide-toi les couilles, tu m’appartiens ! Voilà, c’est beau, c’est bien…


Mes yeux te contemplent avec tendresse. Tu as joui fort et moi aussi. Si fort que mon cœur se serre. Nous ne pourrons jamais être ensemble tant que je serai la souveraine de ce royaume maudit. Du moins, puis-je te promettre que mon cœur, mon âme et le secret de mon corps t’appartiennent. Je suis tienne, à jamais, et peut-être trouverais-je un jour le moyen d’échapper aux servitudes de cette royauté qui me pèse désormais tant.