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n° 22258Fiche technique8862 caractères8862
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Temps de lecture estimé : 7 mn
31/01/24
Résumé:  Céline a la flemme ce matin. Ce qui risque de lui attirer des ennuis ...
Critères:  fh fellation attache yeuxbandés
Auteur : Nikooooooooooooo            Envoi mini-message
Scène de ménage

Scène de ménage





En pyjama, les cheveux un peu en pagaille, Céline termine son petit déjeuner assise en face de moi.

Elle se lève et s’installe dans le canapé avec son portable :



Le samedi matin notre activité commune c’est le ménage. Un peu bordélique dans la vie de tous les jours et aussi par manque de temps nous accumulons les tâches telles que le rangement, l’aspi, la vaisselle, les courses, les poubelles, le linge, …


Je débarrasse les affaires du petit déjeuner, ramène la vaisselle qui déborde déjà dans l’évier, essuie et sèche la table de la cuisine.

J’ai bien remarqué que Céline est passée des mails à son jeu qui consiste à aligner les bonbons de la même couleur.



Je m’affaire à rassembler tous les verres et détritus disséminés un peu partout dans l’appartement et prépare un bac d’eau chaude pour m’attaquer à la vaisselle.



J’ai toujours du mal à lui refuser ces caprices surtout quand elle me le demande avec sa tête légèrement penchée sur le côté, un grand sourire et en battant des cils plus qu’il n’en faut.


Au moins trente minutes se sont écoulées et je décide d’aller voir Céline et entre dans la salle de bain embuée.

Ma jolie brune est étendue dans un bain, des écouteurs dans les oreilles, yeux fermés.

Au travers du peu de mousse restant je devine qu’elle a une main posée sur un sein et l’autre entre ces cuisses, sans activité apparente.



Je lui dépose un baiser chaste sur la bouche, elle sursaute, ses mains se retirent, elle se redresse et baisse le son dans ses oreilles via son smartphone :



Je la laisse vaquer et retourne au salon bien décidé à lui faire regretter son péché originel de la paresse. Je pousse la petite table du salon pour y placer une chaise de la cuisine pour la suite de ma vengeance.

Le sèche-cheveux qui tournait depuis quelques minutes vient de s’arrêter, signe qu’elle doit bientôt être prête.

Je fais le piquet dans le couloir et attend sa sortie. Quand la porte s’ouvre elle est entièrement nue, les cheveux joliment lissés tombant un peu plus bas que ces épaules. Mon regard s’attarde sur ses beaux seins aux petits mamelons puis descend jusqu’à sa petite toison parfaitement taillée.


Elle est un peu interloquée lorsque, je m’avance vers elle, lui saisis une main pour l’attirer vers moi et l’embrasser.

Je la retourne plaquant son dos contre ma poitrine en lui saisissant les deux seins de mes mains. Nous avançons collés l’un à l’autre de quelques pas pour se retrouver face au mur. Lâchant ses seins, je lui saisis fermement les poignets et les positionnent bras écartés au-dessus de sa tête. De mon pied, je lui fais comprendre qu’elle doit écarter ses jambes.


Mes mains se retirent de ses poignets et caressent ses bras, ses cheveux, son dos, ses fesses, ses cuisses. Je lui assène une claque sur une fesse et Céline lâche un petit cri de surprise.



Je file dans notre chambre et récupère les accessoires que j’avais préparé sur notre lit. Je retourne auprès de Céline qui est toujours en position d’attente bras et jambes écartés, obéissante.

Debout derrière elle je lui noue un bandeau en tissu noir autour des yeux.

Je m’agenouille à la hauteur de son cul tendu, je regarde ses grandes lèvres entrouvertes et son petit anus. J’embrasse ses fesses, elle sent bon le parfum de son savon. Ma langue descend le long de son sillon fessier, passe sur son petit œillet et atteint ces lèvres. D’instinct, Céline écarte un peu plus ses jambes, se cambre pour m’offrir encore d’avantage l’accès à son intimité.

Le nez collé contre son anus, ma langue tendue lèche, lape, titille son clitoris qui la fait gémir. Je me délecte du goût de sa mouille.


A présent je prends en bouche notre Lush rose et m’efforce d’y répandre un maximum de salive. Je le présente à l’entrée de son sexe et le fait entrer petit à petit en le faisant tourner sur lui-même. Céline reconnaît et absorbe sans difficulté le jouet en silicone.


Sans rien dire je guide par la main Céline jusqu’au salon et l’assois cul nu sur la chaise en bois. Je ramène ces bras à l’arrière de la chaise et relie ses deux poignets avec une paire de menottes habillées de fourrure rose. Je retourne face à elle et écarte légèrement ces cuisses, j’attache alors chacune de ces chevilles au pieds de la chaise.

Céline assise au fond de sa chaise se tient droite avec la poitrine en avant, elle se mordille les lèvres.


Je dépose un baiser sur le haut de son crâne et lui dégage quelques mèches de cheveux avant de poser mon casque audio sur ses oreilles.

Elle est surprise mais comprend immédiatement lorsque j’appuie sur le « Play » de l’application de mon téléphone. L’œuf synchronisé au rythme de la musique irradie instantanément de vibrations plus ou moins fortes le bas-ventre de Céline. Jusque-là Céline n’a connu les tortures de ce jouet qu’en extérieur selon des vibrations prédéfinies ou suivant mon doigt glissant et faisant des ronds sur l’écran.


Je l’abandonne et ne compte pas la libérer de suite. Je reprends mon activité du samedi matin et passe l’aspirateur en commençant par la chambre à coucher et pour finir par le salon. Je ne me dépêche pas et le fait comme à mon habitude consciencieusement sans me préoccuper de Céline. Ces halètements ne sont plus couverts par le bruit de l’aspirateur que je viens d’éteindre. Sa bouche ouverte, un air sévère, la tête dodelinante, elle se tortille, se trémousse sur la chaise, tirant sur les attaches de ses poignets et chevilles. Cela me plaît de la voir ainsi, je m’assieds sur le fauteuil et l’observe. Dans le silence de la pièce, j’entends les vibrations de l’œuf tapotées sur la chaise dans une sorte de clapotis. Effectivement, on devine un liquide sur la chaise. Je ne sais pas si cela provient d’un précédant orgasme, mais les pointes de ses seins sont dures, sa poitrine se gonfle, son souffle est court et plus rapide.


Je me déshabille entièrement, mon sexe est dressé. Je passe derrière elle, l’embrasse dans le cou et je lui malaxe doucement les seins. Elle rejette sa tête en arrière tout en continuant de râler de plus en plus fort. Mes pouces et index malmènent ses tétons, ces jambes ont envie de se resserrer, la jouissance est là. Elle convulse, ses jambes tremblent.

Je l’embrasse à pleine bouche, étouffant ses cris de plaisir, ma langue allant à la rencontre de la sienne.


Je stoppe le jouet, délivre ses chevilles et la débarrasse de son casque. Céline est presque en pleurs, épuisée.



Je l’aide à se lever toujours les mains menottées dans le dos, avec son bandeau. Je la libère de l’œuf et la guide alors qu’elle titube jusqu’au lit ou elle se laisse tomber telle une loque sur le ventre. Je lui enlève les menottes et fais rouler Céline sur le dos, la positionne confortablement sur son oreiller. Je ne l’attache plus mais ses bras sont immobilisés sous mes jambes quand je suis au-dessus de sa poitrine. Sa bouche s’ouvre au premier contact de mon gland sur ces lèvres. Céline le lèche, dépose une succession de petits baisés, puis soulevant légèrement sa tête me gobe, m’avale. Sa langue joue autour de mon sexe, ses joues se creusent.


Je suis de plus en plus excité, ce n’est plus elle qui me suce c’est moi qui baise sa bouche avec mes va-et-vient. J’ai tout juste le temps de lui ôter son bandeau et de me retirer de sa bouche que déjà un premier jet de sperme vient lui zébrer la joue jusqu’au front.



D’un coup de bassin je retourne dans sa bouche pour finir de me vider dans son palais.

Céline avale. Bâillonné par mon sexe qui se ramollit, elle continue de m’aspirer et de faire tournoyer sa langue autour de mon gland. Je me retire, et m’allonge à côté d’elle. De mon index je m’amuse à ramener ma semence à sa bouche qu’elle aspire et avale aussitôt.



Elle me répond par un coup. Nous rigolons et profitons lascivement du reste de notre samedi.