n° 22263 | Fiche technique | 31818 caractères | 31818 5547 Temps de lecture estimé : 23 mn |
04/02/24 |
Résumé: Je retrouve Marie-Laure DeGuillon, mon ancienne directrice générale, dans un nouveau cadre d’événement institutionnel à l’académie du climat. Malgré nos précédents différents et notre écart social, nous nous rapprochons | ||||
Critères: fh fplusag extracon collègues travail fellation cunnilingu | ||||
Auteur : EliasK Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : Un événement institutionnel qui dérape Chapitre 01 / 02 | Épisode suivant |
Il y a quatre ans, je suis passé encadrant de mon service de mon administration publique. Ce poste, je l’ai obtenu auprès de mon ancienne directrice générale, Marie-Laure DeGuillon. Cela ne fut pas sans heurts, car nous nous sommes régulièrement confrontés, même si notre opposition est toujours restée cordiale. Je lui avais fait part assez tôt de mon ambition, et elle avait une forme d’affection pour moi, le jeune contractuel de la fonction publique.
Mais, nous n’étions pas issus exactement du même moule. Marie-Laure était une bourgeoise dans toute sa splendeur. Une blonde d’une quarantaine d’années, toujours bien apprêtée, elle portait de longues robes élégantes, parfaitement ajustées. Elle ne portait pas de bijoux trop voyants, comme peuvent avoir les nouveaux riches qui n’ont aucun goût, ni de vulgaires bijoux fantaisie en toc, mais des bagues chics aux doigts, et de discrets colliers. Elle a eu deux enfants, tous les deux blonds également, qui faisaient du hautbois et de du violon alto, et son mari est galeriste à Paris.
Elle était restée svelte, avait de longs cheveux lisses, des mains impeccables, une tenue de buste travaillée, elle croisait les jambes quand elle vous écoutait, et elle portait l’hiver des hautes bottes en cuir. Quand elle vous parlait, elle avait le ton de ces bourgeoises bien nées, toujours agréable, et dans le respect de son interlocuteur. Mais elle savait vous faire passer des messages, et si elle avait décidé quelque chose, rien ne pouvait la faire changer d’avis. Il y avait une différence sociale entre elle et moi. Même en faisant des efforts, je n’arrivais pas à gommer mon accent de banlieusard de « Seine-et-Morne. » Mes goûts vestimentaires n’étaient pas ceux de la haute administration : les blazers et pantalons de ville ne semblent pas tomber naturellement sur moi, donc j’essayais de mélanger un style casual et décalé, mais on avait juste l’impression d’avoir un clown qui cherche à avoir l’air sérieux. Je cultivais volontiers ce faux esprit rebelle de petit con, et cela nous a opposé plusieurs fois.
J’avais fait savoir à Marie-Laure que je souhaitais être reconnu à ma juste valeur, et une opportunité pour passer chef de mon service se présente. Un entretien est organisé pour ce poste d’encadrant, et celui-ci se passe plutôt bien au début. Mais je décide de faire de l’esprit, à la directrice générale et au responsable des ressources humaines présents, en fin d’entretien. Sans doute le stress, mais surtout pour montrer que je trouve l’exercice désuet, lorsque l’on me pose la question « avez-vous des questions supplémentaires ? » je réponds « présentez-moi votre parcours ». Un malaise gênant arrive chez mes interlocuteurs, décontenancés par une question aussi médiocre et qui n’apporte rien, même pas le semblant d’esprit que je voulais me donner. J’ai quand même obtenu le poste, pour mes compétences, mais je partais mal, et j’avais encore tout à prouver.
La suite a été difficile, car j’éprouvais les premières difficultés en tant qu’encadrant, tout en faisant face dans le même temps à ma seconde paternité. Je jonglais entre les nouveaux problèmes de responsable, et d’autres bien connus de nuits courtes, de couches à changer, et de rendez-vous pédiatre pour une énième bronchiolite. Marie-Laure gardait une certaine sympathie pour moi, elle-même ayant eu deux enfants, et nous parlions éducation parentale en fin de réunion.
Mais au début de celles-ci, nous nous confrontions fréquemment :
Même dans ces échanges, elle restait courtoise. Moi je la voyais s’emporter à sa manière, et j’avais du mal à moi-même redescendre. Après ces tensions, j’avais un mélange de sentiments. D’abord la colère d’avoir été pris de haut, mais en même temps je sentais que je devais me remettre en question, et à cela s’ajoutait de l’excitation de me retrouver devant cette grande bourgeoise qui perdait un tout petit peu de son calme.
Marie-Laure DeGuillon n’a pas beaucoup attendu avant d’obtenir un poste plus important dans une autre administration. Quand on a les plus hauts concours de la fonction publique, on ne tarde jamais à obtenir des opportunités. Je me suis rendu à son pot de départ. Elle avait une cour incroyable qui venait la voir. Des hommes, pas des exemples caricaturaux de virilité, mais plutôt de ceux qui trouvaient en elle une sorte de guide, la suivait partout comme des petits toutous, essayant de grappiller la moindre de ses intentions.
Les femmes avaient deux attitudes : soit envieuses de son évolution, car Marie-Laure ne serait dans le fond pas si douée que ça et qu’elle était largement surévaluée, soit admiratives de son parcours et de son attitude grandiloquente. Je ne me retrouvais dans aucun de ces camps et je suis resté au fond de la salle, à écouter et à observer ce théâtre.
Elle a fait un discours étrange, très précipité (sans doute pour respecter le timing de la cérémonie ?), et qui voulait mettre l’accent sur des pseudos origines modestes, en parlant de sa mère institutrice. Son père restait un grand entrepreneur, mais cela, elle n’en a bizarrement pas parlé.
Je suis parti avant la fin des festivités : nous n’appartenons décidément pas au même monde.
Quatre ans plus tard, les choses ont un peu changé. Je me suis confirmé dans mon poste, je n’ai plus du tout les premiers errements du débutant, j’ai été reconnu dans ma compétence. J’ai même réussi l’exploit de perdre du poids, et d’arrêter de fumer. J’ai enfin su faire attention à ce que je portais, et le look casual décalé s’est affiné et approfondi : les costumes trois pièces avec cravate ne me vont pas, qu’importe j’ai su trouver des alternatives qui font que je ne passe plus pour un péquenaud.
Nous suivions nos carrières respectives de loin en loin, via des connaissances, ou LinkedIn. Puis un événement institutionnel eu lieu dans l’administration de Marie-Laure : j’y étais convié dans le cadre d’un partenariat de longue date. Nous sommes invités à l’Académie du Climat à Paris, Marie-Laure a fait convoquer tout le gratin pour donner de l’ampleur à l’événement. C’est un soir de janvier, le soir tombe tôt, et les plafonniers diffusent une douce lumière orangée, le traiteur est arrivé, et les petits fours commencent à être installés par de jeunes serveurs sur les tables blanches. Le Président de Marie-Laure va bientôt arriver, le Préfet de région est déjà là, et les cours commencent à se constituer. Je ne suis toujours pas à l’aise dans l’exercice, et je commence à prendre quelques coupes pour me détendre.
Je croise un ancien collègue, qui travaille désormais dans une autre administration. Je l’apprécie moyennement car c’est une véritable langue de vipère, mais on reste sur un ton badin. On voit Marie-Laure et sa cour, et on parle d’elle :
Je me retourne près du buffet, et je vois Marie-Laure suivie par sa cour d’hommes en train de la sur-solliciter :
Cette dernière question, elle est pour moi. Elle s’est débarrassée à ce moment de tous ces nuisibles, et à l’air sincèrement ravie de me voir.
A ces mots, je vois passer un véritable voile de tristesse sur son visage, mais elle se ressaisit vite.
Elle embrasse la salle du regard, je vois évidemment de quoi elle parle.
Son visage s’illumine enfin depuis le début de la soirée.
C’était tendancieux, mais le ton était devenu plus intime depuis quelques minutes. Nous n’étions plus dans un rapport de force, mais bien sur autre chose. Elle s’arrête et me fixe l’air songeur. Son visage ne laisse transparaître aucune émotion à cet instant. Puis elle reprend :
Son ton est étrange. Elle saisit la coupe que je lui tends :
Elle sourit :
Je me rapproche doucement de son oreille :
Elle souffle doucement par le nez, ferme les yeux et se concentre sur ma proposition.
Elle part devant d’un pas décidé, en laissant derrière elle son parfum. Je la suis à l’odeur tel un animal. Je passe la rangée de chaises vides de la salle des conférences, la porte entrebâillée de la salle de réception laisse un peu de lumière. On distingue les formes dans la pénombre, et je devine la chevelure de Marie-Laure. Je la sens respirer précipitamment :
Je l’étreins rapidement pour la respirer, et elle met ses mains dans mon dos. Je sens sa respiration s’accélérer, et immédiatement je suis pris d’une érection. Mais je me concentre sur mon objectif. Je repère un solide « flight case » fermé ou doit être rangée la table de mixage, je la soulève et l’assoit. Elle pousse un petit cri d’étonnement qu’elle étouffe immédiatement pour ne pas être entendue. J’écarte ses cuisses et je commence à caresser son pubis à travers le collant. Elle soupire très fort, et au moment où je touche ce que j’évalue être le haut de ces lèvres, me dit :
Je réagis à la provocation en descendant prestement le collant, et sa culotte. La garce n’a pas de simples et vulgaires bas Aubade, on est sûr de la qualité supérieure. Elle a un pubis blond taillée, je préfère justement quand il y a des poils, on veut des vraies femmes ici. J’écarte un peu ses lèvres, et je trouve le petit bourgeon, que je lèche d’abord doucement. Marie-Laure râle immédiatement et penche son buste en arrière. Je dessine avec ma langue de petits cercles pour stimuler au maximum le clitoris. Mais je sens qu’avec le stress de la situation, Marie-Laure ne va pas céder facilement à l’orgasme.
Au bout de quelques secondes, je comprends le rythme de respiration de ma partenaire, je décide d’entrer un doigt dans son vagin tout en continuant mes mouvements de langue. Elle lâche un petit « oh putain », susurré, et je sens qu’on a passé la troisième.
Elle n’est pas loin, et je sens son vagin se resserrer sur mon doigt, la manipulation fonctionne. Mais il faut aller plus loin, je décide d’insérer un deuxième doigt avant que le vagin ne me laisse plus de place, et Marie-Laure se raidit, car nous avons quasiment atteint sa limite.
J’utilise ma botte secrète, je fais le mouvement du « viens ici » avec mes doigts, tout en continuant de lécher. Je fais le mouvement une fois, deux fois, trois… à la quatrième son bassin tremble mais tout son corps se fige, et je sens arriver une petite décharge de liquide dans ma bouche. Elle a joui.
Elle jette son buste cette fois-ci en avant, et jette ses bras autour de ma tête pour me maintenir au niveau de son bas ventre. Je sens ses seins sur mon crâne, je les sens trembler suite à l’orgasme. Celui-ci redescend petit à petit et je sens son étreinte se desserrer. Elle me glisse, au niveau de mon oreille :
Elle se rhabille prestement et me prend par la main. Gêné par mon érection, j’essaye avec ma main disponible de m’arranger avec mon pantalon pour que cela ne soit pas visible des autres convives, et de caler mon sexe vers le haut.
Marie-Laure repère le Préfet, elle me lâche la main, et me fait signe de l’accompagner. J’ai les oreilles qui sifflent, et je l’entends me présenter au Préfet, je crois que je lui serre la main. « Très bon collaborateur… personne ressource… » OK, ça, je crois qu’on parle de moi. J’ai un verre dans une main, une érection gênante, et Marie-Laure échange avec le Préfet. Il est blanc, il est vieux, il a un gros bide, avec une cravate neutre qui tombe dessus, il est impeccablement rasé, mâchoire carrée, on dirait un molosse, il m’angoisse.
Je me penche vers elle et lui dit à l’oreille :
Elle sourit. Je continue :
Nous nous échappons encore des festivités. Mes testicules me font mal à cause de la durée de l’érection, et le plan proposé me maintient dans un état d’excitation depuis plusieurs minutes. Effectivement, les toilettes de service sont un peu cachées à l’extérieur des festivités, dans un autre couloir, et nous nous y glissons à l’intérieur. Marie-Laure ferme la porte, puis se retourne vers moi, et commence à défaire ma ceinture :
En enlevant mon caleçon, mon érection se dresse fièrement, un peu de liquide séminal à commencer à couler. Marie-Laure met sa main devant sa bouche, pleine de stupéfaction :
Elle se cambre en avant, son collier pend à son cou, elle veut me faire profiter de sa croupe, et elle commence à ouvrir la bouche pour me sucer. Je mets mes mains sur son dos, pour profiter de l’échancrure de sa robe. Je touche directement sa peau, et je touche son soutien-gorge noir. Je glisse mes mains sous sa robe, pour pouvoir en profiter. En tendant un peu mes bras, je peux même toucher ses fesses.
Ce qui est bien avec la fellation, c’est que le plaisir monte lentement, plus lentement que la masturbation. Marie-Laure sait sucer, elle a un mouvement régulier de va-et-vient avec sa bouche, et sa main s’active méthodiquement. À intervalle régulier, elle avale une de mes testicules. Mais je veux jouir, car cela fait plusieurs minutes que je suis en état de transe, et je lui mets les mains sur chevelure blonde pour lui faire comprendre que je veux que ça s’accélère.
Elle se met enfin à genoux pour être plus à l’aise, et je sens qu’elle accélère la cadence. Le plaisir monte d’un cran, puis encore un cran, j’ai l’impression que cela ne va jamais s’arrêter. Encore un cran, encore un cran, encore…
Au moment où j’explose je maintiens la tête de Marie-Laure. Elle avale par petite gorgée mon sperme, mais rien ne tombe de sa bouche. Je sens les giclées continuer à se déverser dans sa gorge, je me demande si tout va tenir. Pendant ce qui me semble durer une éternité, elle maintient sa tête, je comprends qu’elle déglutit petit à petit mon sperme, et me lèche patiemment le pénis. Elle dégage sa tête, et me lance :
Je reprends mes esprits, elle continue :
Elle sort la première, après s’être rajustée, et remis en place ces collants. Je sors au moins une ou deux minutes après. Je me suis lavé le pénis dans le lavabo, et j’essayais de faire redescendre l’érection avec de l’eau froide, pour ne plus être gêné. Je rejoins les festivités, et je vois Marie-Laure parler à son Président. Il est arrivé exprès après tous les autres convives afin que tout le monde remarque son arrivée. C’est un gros con, pas du tout sur le même modèle que le Préfet de Région : il est jeune, il est élancé, il a des cheveux encore, il est rasé de près, il est très conscient de sa valeur, bref je le déteste. L’idée de savoir que quelques minutes avant, sa directrice générale avait ma bite dans sa bouche me relance de nouveau. Je me dirige vers eux pour profiter un maximum de ce spectacle, et je mets discrètement ma main dans le dos de Marie-Laure. Elle tourne la tête vers moi, et son visage s’illumine de nouveau. Elle me présente, et déroule mon CV comme elle l’avait fait auprès du Préfet de région. Le Président me connaît déjà, mais n’en a cordialement rien à foutre. C’est dommage, car Marie-Laure, elle, a bien compris quel était mon intérêt.
Il s’en va, et nous laisse seuls, il repart voir les autres convives, et s’entretenir lui aussi avec le Préfet de Région.
Nous reprenons notre discussion avec Marie-Laure :
Elle regarde sa montre :
Nous quittons tous les deux la cérémonie, mais cette fois-ci, en même temps, d’un pas décidé. Je recroise langue-de-vipère qui m’aperçoit avec Marie-Laure et qui hausse les épaules l’air de dire « mais qu’est-ce qu’il se passe ? Que fiches-tu avec elle ? ». Je ne lui réponds que d’un mouvement de main dédaigneux, et souris en partant avec Marie-Laure.
Nous repassons par le vestiaire, nous sortons rapidement dans le froid de janvier, et nous ne tardons pas à trouver un taxi sur la rue de Rivoli.
Nous montons à l’arrière, et pour la première fois depuis le début de la soirée, nous nous embrassons. Quel plaisir de toucher cette bourgeoise qui s’est révélée à moi depuis quelques heures. Elle sent bon, on sent qu’elle sait se maintenir avec le temps. Je la sens y aller franchement, à mettre sa langue dans ma bouche le plus loin possible. Je mets une main derrière sa nuque et commence à lui mordre la lèvre inférieure, je sens que nous sommes repartis pour une troisième manche intéressante. Elle a les yeux fermés, et je vois ces pattes d’oie au bord de ceux-ci, et son maquillage élégant. Elle qui pouvait être si dure et si fermée est si douce dans l’intimité.
De temps en temps nous nous arrêtons de nous embrasser, pour se regarder sans rien dire, et elle rigole comme une adolescente. Nos bouches ne se séparent vraiment que lorsque le taxi nous dépose.
Dans la nuit, nos deux silhouettes rentrent rapidement dans le bâtiment vaguement éclairé. La lumière du hall est encore allumée, nous passons le premier portique, nous prenons l’ascenseur. Dans l’ascenseur nous nous jetons l’un sur l’autre. Marie-Laure commence à faufiler sa main sous ma chemise et je commence à la mordiller dans le cou. Une de mes mains remonte sous sa jupe et lui agrippe une fesse. L’ascenseur sonne et dit « 7ᵉ étage ». Nous nous séparons rapidement, au cas où quelqu’un serait encore dans les bureaux. Elle me prend par la main et m’amène dans son bureau. La lumière automatique s’allume, et elle ferme à clef son bureau derrière moi.
Nous commençons par nous embrasser debout.
Je lui parle enfin :
On était passé au tutoiement.
Je lui agrippe fermement les fesses et elle râle instantanément. Je lui dévore le cou, et elle me plante ses ongles dans ma nuque. Je descends ma tête au niveau de sa poitrine, j’ai envie de découvrir ces seins depuis le début de la soirée. Je dégage les bretelles, et je déboutonne l’arrière de de sa robe. Je vois son soutien-gorge de qualité supérieure, noir et mauve (s’attendait elle à le montrer ce soir ? ) et je vois ces mignons bourrelets au niveau du basque latéral du soutien-gorge. Je les lèche doucement pendant qu’elle m’enlève ma veste et me déboutonne ma chemise. Avant de la découvrir complètement, j’enlève moi-même la chemise et elle se jette sur mon torse pour me couvrir de baisers.
Elle hésite, et je lui détache gentiment pour dévoiler sa poitrine. Le soutien-gorge lui donnait une poitrine généreuse, et une fois libérée une autre intention se dégage : ils ont servi pour l’allaitement et ont vu d’autres hommes avant moi. J’ai envie immédiatement de les avaler de redonner et redécouvrir cette énergie. Je les enfourne dans ma bouche. Marie-Laure se déraidit et se libère complètement, elle râle depuis que j’ai montré que je l’acceptais en entière.
Tout va devenir urgent, je la retourne rapidement, et je l’amène près de la fenêtre. Une main sur un sein et une autre sur son bas ventre je lui dis :
Elle acquiesce doucement en murmurant « dépêche-toi » … Ses fesses se frottent sur ma verge, une de mes mains se glisse dans sa culotte.
Je descends une nouvelle fois son collant et sa culotte, et nous nous en débarrassons pour de bon, et j’enlève également de mes derniers vêtements. Elle se penche en avant, les mains sur la fenêtre. Je commence à chercher l’entrée de son vagin avec mon pénis, et je m’arrête, mon gland sur ses grandes lèvres.
Et j’entre immédiatement en elle. Elle hurle de plaisir immédiatement et jouit à la première saillie. Elle tremble de tout son corps et le rapport n’a pas véritablement commencé. Elle était au bord de l’orgasme depuis tout à l’heure, j’avais juste besoin de l’orienter un peu. Je sens sa cyprine englober tout mon sexe, le rapport sera aisé. Je commence à m’activer et je fais de lents allers-retours et je sens son corps finir de se libérer : la bourgeoise devient une catin.
Je vais doucement afin de profiter un maximum de ce moment, mais à intervalle régulier, je m’arrête une fois que ma queue est allée tout au fond, je veux toucher le fond de son vagin. Dans ces moments elle pousse un cri rauque et je la sens se figer, et trembler. Une fois qu’elle a jouit une première fois, les fois suivantes sont plus faciles.
De temps en temps, je lui claque les fesses, je donne des petits coups du bout de mes doigts, afin de ne pas lui faire mal, mais de lui fouetter très légèrement la croupe et y laisser une petite marque rouge. Elle crie à chaque fois, et parfois s’arrête, le souffle coupé par ses orgasmes, et j’accélère de plus en plus mes coups de reins.
Au bout du quatrième ou cinquième, je sens que ma partenaire s’assèche, et si je continue nous allons nous faire du mal. Je sors mon pénis et à ce moment, dans un ultime frottement, je lui éjacule sur la croupe.
Je m’effondre, les jambes coupées, sur la moquette. Je me remets correctement pour être parfaitement allongé, mon dos me gratte abominablement, mais je n’ai pas le courage de me mettre debout. Marie-Laure s’allonge sur moi, et sa douceur contraste avec l’irritation de la moquette.
Elle me dit :
Elle glousse :
Elle me caresse doucement les testicules, et je sens ses doigts me caresser la verge doucement. Je peux même sentir ses bagues et le contact sur ma peau. Elle redescend au niveau de mon bas ventre, et lèche délicatement mon pénis et les traces de mon sperme. Mon sexe commence à se retendre. Elle sourit :
Une fois mon sexe suffisamment dur, elle vient à califourchon s’empaler sur moi. Elle m’embrasse et commence des mouvements de va-et-vient avec sa croupe. Elle s’arrête de m’embrasser, pour jouir encore. Ces joues sont devenues rouge écarlate, sa peau de blonde affiche tout ce qu’elle ressent. Je me mets en position assise et lui dévore les seins. Le rapport est court cette fois, et lorsque je lui annonce que je vais jouir, elle me serre dans ses bras pour que je puisse éjaculer en elle.