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Lecture new romance et fantasmes

Tout commença comme une routine bien huilée, un dîner, une pause TV en zappant sur mon téléphone, allant de site en site sans but particulier, une aspiration au voyage numérique, à l’information immédiate et courte ; des shoots numériques instantanés sur lesquels on ne prête pas attention, bercée par le son en arrière-plan de la TV.

Un pub… La météo, une pub… sans grand intérêt si ce n’est des variations de volume du son au gré des alternances…

Mon surf me conduisait de sites de chats en sites de vêtements en sites de cuisine… L’algorithme reconnaissant mes instants passés sur des pages, m’amenait à en voir encore plus…

Mon regard se posa quelques instants sur la page Insta de « honet burdette », site de lingerie sexy ; des tenues portées de manière lascive par des mannequins aux formes parfaites, mais certainement retouchées par une IA, générant les bonnes proportions, les bonnes couleurs, les bons contrastes, afin d’attirer le regard et par la même occasion le chaland… une page, puis deux, puis trois… L’algorithme fonctionnant à plein régime, je me retrouvais dans un univers féminin et sensuel fait de dentelle et autres body et culotte. Je m’imaginais dans certaines, me questionner sur la manière de porter d’autres… de l’intérêt de tel ou tel modèle tellement le peu de tissu, de cuir était présent….

Au fil des pages, je m’imaginais dans une ou autre tenue, sous mes vêtements ; essayant de surprendre mon mari qui adorait les tenues sexy et les mises en scène. Je me pris au jeu et passant de site en site, abreuvée par l’IA, je découvrais de plus en plus de tenues ultra-sexy ; porte-jarretelles rouge avec harnais cuir, culotte ouverte devant, ouverte derrière, soutien-gorge laissant apparaître les tétons pour mieux se les faire manger. Le temps passait, le film se terminait et cela faisait déjà un long moment que mon voyage numérique me promenait dans le monde de l’érotisme, ou en choisissant et imaginant des tenues, je me projetai dans des scénarios osés et coquins…

Sans y prendre garde, je n’avais pas remarqué que j’étais toute mouillée, que mon sexe se contractait tranquillement à intervalles réguliers et que mon bas-ventre était presque en feu…

Avant d’aller me coucher, en me déshabillant, je vis ma culotte vraiment trempée et ne pus m’empêcher de constater avec les doigts que non seulement je mouillais abondamment, mais que mon sexe était ouvert, mes lèvres gonflées et mon clito dressé. En passant mon index sur le haut de mes lèvres, le contact de mon doigt et de mon clito déclencha une décharge électrique… Je décidai d’en rester là et d’aller me coucher. Je n’avais toujours pas l’habitude d’assumer mes envies et pulsions, si, une fois peut-être à Amsterdam…

Comme d’habitude, je dormais avec une culotte toute neuve, l’autre était trempée, et un t-shirt. Fatiguée, il était tard, je pris cependant, comme tous les soirs, un livre pour effeuiller quelques pages.

Nonchalamment, je pris un des nombreux livres que j’avais commencés, un livre « new romance » qui, il faut bien le dire, était jusque-là un peu plat. Je décidais de poursuivre quelques pages, un peu comme si je souhaitais amortir l’achat, sans grande attention, en attendant que « mes yeux se ferment » et que ma nuit commence.

Une page, puis deux, puis trois, traditionnellement, il n’en fallait pas plus, mais là, l’histoire devenait intéressante, certainement à cause de mon état, suite à mon voyage « Instagram » ? Je décidai de poursuivre cette histoire où de plus en plus de détails et situations piquaient ma curiosité et où j’avais envie d’en savoir plus.

Au gré des pages, je sentais à nouveau ma chatte gonfler, se mouiller et se contracter, laissant ma cyprine humidifier de plus belle ma culotte. Mon bas ventre était en alerte, les hormones fonctionnaient à plein régime ! Mes mouvements de bassin incontrôlables faisaient légèrement bouger ma culotte, frottant légèrement sur mon clito qui ne demandait qu’à jouir. Je sentais mes seins excités et mon t-shirt frottait les bouts qui pointaient et qui durcissaient. Sans me toucher, je sentais une grande excitation à la lecture de cette histoire où je m’imaginais à la place de l’héroïne, avec moult détails propres au « new romance »… Chaque phrase me renvoyait à une situation vécue il y a plus ou moins longtemps, des découvertes faites grâce à mon mari. Je sentais monter une tension qui me tordait le ventre et qui redescendait par vagues successives, frôlant l’orgasme sans l’atteindre, repoussant ainsi le moment ultime d’un lâcher-prise que j’aimais et redoutais, et ce, sans aucun contact de mes doigts. Je mouillais tellement que je sentais non seulement à nouveau ma culotte trempée, mais aussi la cyprine coulant sur mon anus, que je contractais comme mon vagin.

Mes yeux se fermaient, le livre aussi, ainsi que la lumière et je m’endormis rapidement.

La sensation humide et mes seins tendus frottant mon vêtement, me berçaient d’une douce sensation de bien-être.

Rapidement, mon imagination prenait le dessus et je me voyais en tenue sexy, en tailleur strict, maquillée et avec des talons hauts, un peu dominatrice, une secrétaire de direction sexy et dure, affublée de lingerie ultra-hot, avec une culotte ouverte. Je me voyais avec les tenues les plus osées vues sur Insta. J’étais à mon bureau, jambes légèrement écartées, penchée en arrière, la tête en arrière sur l’appui-tête et une main sur mon sein droit, le caressant, le pinçant, tirant légèrement dessus, de l’autre main, je m’aventurais entre mes cuisses ouvertes, et, grâce à ma culotte ouverte, me touchant alternativement les lèvres, le clito et l’entrée de mon vagin dégoulinant… bien qu’ayant fermé la porte, le fait d’être potentiellement surprise m’excitait fortement.

Ce n’était pas la première fois que cette scène effleurait mon esprit. Ma main gauche arrêta de me branler les seins et se plongea dans mon tiroir central et en ressortit un petit vibro que j’utilisai ponctuellement, quand une envie très forte se faisait sentir. Il était noir, je l’observai et sa vue inonda mes doigts. À sa mise en route, un petit bruit emplit la pièce tel un insecte. Je le plaquai contre le haut de mon clito tout en me doigtant, parcourant ainsi mon point G et faisant vibrer ma zone sensible… Je dégoulinais et sentais ma cyprine descendre non seulement sur ma jupe, mais entre mes cuisses… Au bord de l’orgasme, magie du rêve, je sentis le souffle court de mon mari et ses mains sur mes seins, puis sur mon ventre et ma chatte. Mains sur les accoudoirs, je le laissai explorer mon intimité, avec une folle envie qu’il me baise, qu’il me bourre et me défonce avec sa queue. Toujours dans le bureau, il me mit sur la table, releva mes jambes et m’empala avec sa bite gonflée, ce qui me fit pousser un cri ; il me bourrait et me limait la chatte, tantôt lentement, tantôt en accélérant et en tapant au fond avec ses couilles qui venaient frapper mon cul. Mes mains maltraitaient mes seins qui aimaient ça et qui en voulaient encore plus ! Je le fixai, étant à la fois spectatrice et actrice, j’étais à la fois exhibitionniste et voyeuse. Un sentiment de bien-être parcourut mon corps et, tout en observant la scène et en subissant ses coups de reins, je vis des couples nous observer, ce qui, pour moi, décupla mon excitation… Qui étaient-ils ? Pourquoi ? Je n’en savais rien. Ils étaient là, regardaient, se caressaient et commençaient, en couple, à baiser. J’écoutai leurs cris, leurs mouvements, leurs gémissements.

Ils et elles étaient beaux, sensuels, sexy et mon regard alternait entre mon mari qui me baisait et eux, elles se faisaient prendre, se caressaient entre elles, suçaient à deux un mec qui aimait ça ; ces images attiraient mon regard, mais sa queue dans ma chatte me ramenait dans ses yeux… J’avais la chatte en feu, dégoulinante de plaisir ; quelle ne fut pas ma surprise de voir une superbe brune s’approcher et caresser le dos de mon mari qui me bourrait très fort… Ses mains alternaient entre son dos, son torse, son pubis et effleuraient ma chatte. Elle caressa mon ventre et remonta sur mes seins tendus, sachant comment s’en occuper, de l’autre main, elle commença à me caresser le clito, en tournant autour. Elle profita du fait que la queue de mon mari sortit pour empoigner sa queue et le branler tout en me caressant la chatte avec son gland, moment merveilleux et magique. Elle se mit entre nous et suça mon mari tout en alternant avec ma chatte qui n’était pas insensible à cette sensation nouvelle. Elle m’introduit des doigts dans la chatte, et me lima le point G, ce qui me fit quasi instantanément gicler sur mon mari qui n’en perdit pas une miette, la bite dégoulinante, elle plaça sa queue dans ma chatte et l’aida à me défoncer… quelques instants plus tard, elle me mangea les seins et me roula une pelle… elle était belle, très belle, mais je ne pouvais pas voir son visage, je l’imaginais… Mon mari jouit dans ma chatte face à ce spectacle, je sentis ses coups de reins et son jus chaud couler en moi…

Cette sensation de gicler était top pour moi, une grande première, une libération, j’ouvris les vannes…

Une sensation humide, très humide, me fit sortir de mon sommeil et je me rendis compte que j’avais une main qui s’occupait de ma chatte et une autre de mes seins… Ma main entre mes jambes était trempée, le lit aussi. J’avais joui et giclé dans mon sommeil avec ce rêve, je m’étais bourré la chatte et doigté le point G tout en dormant ; je m’étais branlé les seins comme une chienne en mal de queue… Quel rêve…

Je pense que l’IA d’Instagram et le « new romance » y sont pour quelque chose ! Demain, je surfe… et je lis ! Mais, je mets une serviette sur mon lit, on ne sait jamais !!!