Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 22278Fiche technique13669 caractères13669
2433
Temps de lecture estimé : 10 mn
16/02/24
Résumé:  Quatre femmes d’âges divers, toutes hétérosexuelles, évoquent leur vie sexuelle au cours d’un pot après une séance d’aquagym.
Critères:  miroir fellation cunnilingu anulingus 69 double fsodo coprolalie échange confession humour
Auteur : Jacquou      Envoi mini-message
Une confession de femmes

‌‌‌‌‌‌Comme chaque fois après une séance d’aquagym, elles se réunissaient pour prendre un pot à côté de la piscine. Âgées de trente-sept à soixante ans, elles se racontaient leurs vies forcément différentes, les unes mariées, les autres séparées ou divorcées, accompagnées ou pas d’un homme. Les conversations pouvaient aussi bien comporter des choses pratiques comme des confessions plus intimes, relatives aux conjoints ou aux enfants.


Il y avait à ces réunions, dans l’ordre des âges, Amandine, 37 ans, mariée, deux enfants, poupée blonde aux cheveux mi-longs et gracile ; Caroline, 48 ans, fausse menue aux seins lourds et cheveux prématurément gris souvent noués en catogan, également mariée, deux ados ; Marjorie, 52 ans, petite brune boulotte, type espagnol à peau mate, épaisse tignasse couleur encre de Chine, vivant en concubinage, une fille adulte ; enfin Magali, 60 ans, corps menu toujours ferme, quelques fils d’argent dans le chignon, divorcée de longue date, deux filles adultes. Toutes se connaissent en maillot de bain et ne peuvent donc pas tricher sur l’état de leur corps.


Ce jour-là, la conversation languissait lorsque Marjorie réveilla brutalement ses commensales :



Marjorie avait lancé le débat et ce fut le début d’un déballage qui devait passionner le quatuor et faire durer la conversation plus longtemps qu’à l’accoutumée. Piquée au vif, Magali fit des révélations qui captivèrent son auditoire :



Prises au dépourvu, les trois autres complimentèrent d’abord la sexagénaire, dirent qu’elle leur donnait de l’espoir pour le futur et finirent par déballer elles aussi leur vie intime. Amandine avoua, un peu contrite, que c’était juste le dimanche matin et encore, pas toujours. Caroline glissa que son mari, très occupé et peu porté sur la chose, la poussait parfois à donner un coup de canif dans le contrat car, dit-elle, « j’aime trop ça pour m’en passer ». Mais au fond, son mari s’en foutait du moment qu’elle restait dans le ménage. Quant à Marjorie, elle célébra les performances sexuelles de son compagnon du moment, un motard tatoué doté d’un « gros moteur, comme sa moto », élément indispensable selon elle pour atteindre l’orgasme.


Une discussion s’engagea alors sur la taille du pénis. Amandine expliqua que la nature l’avait dotée d’un déduit réduit et qu’elle ne se sentait pas capable de recevoir un « gros machin », avouant que son mari était faiblement membré, ce qui ne la dérangeait en rien. Ce qui fit rire Magali :



La poupée blonde rosit :



Caroline et Marjorie mirent leur grain de sel en disant à Amandine qu’elle aurait tort de se gêner vu que son mari « ne lui en donnait pas assez ». La poupée blonde ne répondit pas. Marjorie s’adressa à elle avec sa manière carrée dont elle était coutumière :



La poupée blonde ne pipa mot mais les autres la sentirent ébranlée. Caroline enchaîna :



Caroline et Marjorie opinèrent du chef, mais Amandine marqua une mimique de dégoût :



Les trois autres éclatèrent de rire.



La peau pâle d’Amandine était devenue toute rose. Les autres ne le savaient pas mais son corps était en ébullition. Et alors qu’elles regardaient leur montre, effarées du temps passé, la jolie trentenaire s’approcha de Magali et lui dit :



Alors, Caroline déclara :