| n° 22283 | Fiche technique | 50577 caractères | 50577 8959 Temps de lecture estimé : 36 mn |
19/02/24 |
| Présentation: Ce texte explore une certain type de situation à prime vue un peu glauque, mais que certains couples adoptent parfois pour diverses raisons. Mais tout n’est pas forcément comme on le croit. | ||||
Résumé: En cette fin de matinée, une petite voiture noire s’arrête au fond de l’un des nombreux culs-de-sac de cette cité aux rues sinueuses et aux maisons presque toutes identiques, un vrai dédale. | ||||
Critères: fh inconnu chantage contrainte fellation pénétratio fsodo cuisine | ||||
| Auteur : Patrik Envoi mini-message | ||||
Ce texte explore une certain type de situation à prime vue un peu glauque, mais que certains couples adoptent parfois pour diverses raisons. Mais tout n’est pas forcément comme on le croit. Divers paragraphes introspectifs sont présents pour mieux expliquer la donne. Bonne lecture : )
En cette fin de matinée, une petite voiture noire s’arrête au fond de l’un des nombreux culs-de-sac de cette cité aux rues sinueuses et aux maisons presque toutes identiques, un vrai dédale pour les personnes qui ne connaissent pas les lieux.
Aidée par son GPS, Martine a trouvé la bonne adresse. Le moteur arrêté, elle pose sa tête sur le volant, et parle toute seule :
La jeune femme bute légèrement son front contre le volant :
Les mains sur le volant, les yeux fermés, elle se redresse :
Ce jour-là fut indéniablement le choc de sa vie pour la jeune femme. Croyant maîtriser la situation pour le bien de tout le monde, Martine est tombée de bien haut, quand son mari lui a tout révélé. Didier, son amant, était en réalité de connivence avec son Laurent, son mari. Un truc de dingues !
Faisant la moue, elle regarde la porte d’entrée de la maison devant laquelle elle est stationnée :
Martine se rappelle alors la liste que ce que son mari s’est plu de lui imposer. Plutôt des demandes venant d’un amant pervers que d’un mari aimant. Comme le lui a dit Laurent, l’homme avec lequel elle est marié depuis quinze ans :
Ah ça, le cul, il l’a eu, et plus d’une fois, songe-t-elle. Mais comme il y mettait les formes et le lubrifiant, ça allait, c’était même parfois plaisant. Mais certaines semaines, son mari ne passait que par là, rattrapant un certain retard, comme il le disait lui-même.
Certaines demandes étaient plutôt faciles, d’autres un peu moins. C’était même excitant, son mari la connaissant suffisamment pour savoir l’étonner et l’obliger à des trucs sur lesquels elle fantasmait bien un peu, mais sans trop oser le dire, et surtout le faire !
Mais aujourd’hui, on entre dans une autre dimension.
Assez abattue, Martine sort de sa petite voiture. Comme exigé par son mari, elle est totalement habillée en rouge. Un manteau court rouge, une jupette rouge, des cuissardes rouges, exception faite des bas noirs qu’on peut entrevoir entre le bas de la jupe et le haut des hautes bottes. Même le porte-jarretelles et le petit sac sont de couleur rouge. Ses longs cheveux noirs offrent un saisissant contraste.
Martine s’est maquillée comme demandé, c’est-à-dire une bouche rouge, écarlate, et des yeux soulignés de noir, ce qui lui va très bien en règle générale. Mais aujourd’hui, le côté « pute » de son allure est indéniable.
Assez mal à l’aise, Martine sonne à la porte dont on lui a communiqué l’adresse ce matin.
Laurent est particulièrement content de lui : tout va bien, aussi bien dans son boulot, pour ses enfants, et pour sa femme, même si celle-ci lui a été infidèle. Mais depuis une certaine mise au point, les soirées sont devenues plus épicées, Martine n’ayant plus grand-chose à lui refuser.
Oui, c’est du chantage, mais léger, gentillet. À prime vue, sa femme ne proteste pas trop, on dirait même qu’elle apprécie la situation.
Même si c’est plutôt orienté sexe, Laurent se fait un plaisir d’offrir des menus cadeaux à sa femme, ainsi que des accessoires non électro-ménagers, à moins de considérer un vibro comme faisant partie de cette catégorie. Opportunément, le web fourmille de sites avec des vêtements sexy et des gadgets incongrus.
Ah cette culotte dotée d’un double gode que Martine a dû porter plus d’une fois, et même étant invitée chez des amis ou des parents… Ah que de souvenirs…
Martine regarde mieux la culotte :
Le gode situé est à l’avant est assez épais, mais pas trop long. En revanche, celui de l’arrière est indéniablement fin et long. Laurent confirme à sa façon :
À sa grande surprise, Martine n’a pas eu de souci avec cette étrange culotte, aussi bien pour l’enfiler que pour la garder de nombreuses heures. Elle a même ressenti un plaisir étrange et diffus durant tout ce temps. Sitôt rentrés chez eux, totalement excité par ce qu’il savait, Laurent s’est fait un plaisir de faire l’amour de façon très passionnelle à sa femme, une fois la culotte enlevée.
Jouissant plusieurs fois lors de cette séance échevelée, Martine a beaucoup aimé la fougue de son mari, malgré le contexte plutôt pervers de la journée et de la contrainte.
Quand la porte s’ouvre sur un homme de grande taille, Martine est agréablement surprise par le physique et le charisme apparent de son hôte qui est tout à fait son genre d’homme. Amusée et émoustillée, elle songe tout bas :
Puis d’une voix qu’elle veut enjouée, elle lance :
Plutôt beau gosse, Blaise a tout pour plaire à Martine qui se dit que cet homme a été volontairement choisi pour l’aider à franchir le cap de cette nouvelle épreuve. Plutôt ravie par cette heureuse découverte, elle pense :
C’est néanmoins avec une certaine surprise que Martine découvre deux caméras installées sur trépied à roulette dans la grande cuisine américaine où vient de la mener Blaise. Il semble même qu’il y en ait une troisième posée sur le plan de travail. Intriguée, elle se tourne vers le grand bonhomme :
Étonnée, la jeune femme s’exclame :
Comment ça, un film ? Son mari a planifié une vidéo ? Il veut garder une trace des turpitudes du jour ? Ou pire, l’exhiber carrément à la terre entière ou quoi ? Pas très rassurée, Martine s’inquiète de la tournure des événements :
Poings sur les hanches, Blaise s’amuse de cette réponse :
Tandis que la jeune femme s’extasie en contemplant le mobilier, Blaise affiche un large sourire :
Prise en flagrant délit, Martine bredouille :
Puis sans attendre une quelconque réponse de la part de la jeune femme, Blaise ouvre les portes et les tiroirs. Ce faisant, il parle d’un ton détaché :
Cédant à un penchant naturel chez elle, Martine ne peut s’empêcher de flirter un tantinet, surtout si l’homme lui plaît. Se reprenant, elle se gratte la tête :
La jeune femme se lance :
Légèrement inquiète, la jeune femme fronce des sourcils :
Imaginant fugacement le ratio, Martine reste interdite :
Blaise affiche alors un large sourire :
La jeune femme commence à s’inquiéter, le gage du jour ne sera peut-être pas si facile qu’elle ne l’aurait cru, quand la porte s’est ouverte, il y a quelques minutes.
À quelques kilomètres de là, le mari repense à tout ce qui s’est passé depuis qu’il exerce son pseudo-chantage sur sa femme. Même s’ils n’en ont pas parlé franchement, la nouvelle situation convient aux deux parties. Laurent peut dérouler ses fantasmes, et Martine peut s’adonner au libertinage, avec l’excuse imparable qu’elle y est contrainte.
Mais elle sait pertinemment que Laurent ne lui fera pas faire n’importe quoi. Quant à lui, il sait qu’elle sait. En clair, c’est un gros jeu de rôle.
Laurent a vite compris que Martine aime finalement cet étrange ballet qu’ils forment souvent à deux, il le lit très souvent dans la lueur qui éclaire le regard de sa femme, surtout quand il lui « ordonne » des nouvelles fantaisies.
Mais voilà, on ne sait jamais tout ce qu’il y a à savoir. On ne connaît jamais l’autre à cent pour cent, on ne se connaît pas soi-même non plus. Comme le disait Jean Gabin : il faut savoir qu’on ne sait jamais.
Maintenant, Laurent se délecte de se faire sucer, de voir sa femme tout avaler, de lui faire l’amour pour un oui ou pour un non, n’importe où, n’importe quand, sans devoir se justifier. Sans oublier diverses pratiques moins usuelles avant comme éjaculer sur ses seins ou sur ses fesses, ou la sodomie, grand fantasme ultime, il n’y avait pas si longtemps encore. Tout ceci est devenu coutumier, pour sa plus grande joie.
Et, semble-t-il, de sa femme, car elle pourrait vraiment protester et ne pas obéir à ses diktats.
Soudain, on sonne à la porte de Blaise. Alarmée, Martine demande :
Se tournant vers l’entrée, Blaise hausse la voix :
Puis dévisageant son invitée, il précise :
Quelques secondes plus tard, Martine a la stupéfaction de voir arriver un homme de très petite taille, à la verticalité contrariée comme on l’écrit si bien dans certains écrits administratifs, pondus par certains fonctionnaires bien placés qui n’ont visiblement que ça à faire de leurs journées.
Oubliant de dire bonjour, Martine ouvre des yeux gros comme des soucoupes :
Blaise s’invite dans le dialogue :
Gouailleur, le dénommé Tyrion précise :
Blaise renchérit :
Martine bafouille :
Blaise reprend la main et son sérieux :
Le cameraman précise :
Martine reste sidérée par l’incroyable écart de taille entre ces deux hommes qui sont maintenant l’un à côté de l’autre. C’est fou, se dit-elle. Une main posée sur le plan de travail, Tyrion demande à Blaise :
Puis Blaise se tourne vers Martine :
Un peu dépassée, Martine hoche la tête. Décidément, la journée risque d’être fertile dans tous les domaines !
Durant ce temps, le mari ne chôme pas, il est en train de rédiger les futurs gages et défis qu’il compte demander à son infidèle de femme. Pour plus de facilité, il répartit les diverses épreuves à l’aide d’un tableur, ce qui facilite le classement.
Après quelques minutes de concentration sur les futures turpitudes que va subir son épouse, Laurent s’offre une petite pause :
Il se penche sur l’écran, contemplant certaines colonnes de son tableau :
Assouvir ses fantasmes, comme faire des trios, c’est très bien, mais au bout d’un certain temps, ça devient banal. La première fois, ça a été le pied intégral, être deux fois dans sa femme, ou plutôt deux hommes dans Martine, c’était quelque chose de géant, un coup à éjaculer trop vite !
Le dernier trio n’a pas été décevant, loin de là, mais… comment dire… presque routinier. Même la sodomie qu’il plaçait pourtant très haut dans l’échelle des désirs devient à son tour plus classique, coutumière, usuelle. Laurent se surprend à penser ce genre de chose.
Puis il consulte sa montre :
Ce qui le fait rire doucement.
Après la séance de maquillage et la pose de la perruque, Martine se contemple à présent devant un grand miroir. Elle cligne des yeux :
De son côté, Tyrion s’amuse avec la caméra digitale, il semble chercher les meilleurs endroits où se placer. Une fois les explications de Blaise achevées, Martine s’étonne :
Blaise se penche un peu vers elle :
Se tournant vers Blaise, la jeune femme demande :
Ne répondant pas tout de suite, Laurent s’éloigne vers un recoin de la cuisine, puis revenant sur ses pas, il place une petite tablette numérique sur le plan de travail :
Le cameraman désigne sa tête de son index :
Fronçant légèrement des sourcils, Martine demande :
Sans chercher à se cacher, Martine ôte un à un ses vêtements sous l’œil intéressé des deux hommes présents dans la cuisine. Ce strip-tease light l’amuse, surtout devant un homme qui lui plaît et un autre qui l’intrigue. Quand elle est presque nue, si on excepte ce qu’il y a sous le nombril, la contemplant sans s’en cacher, Blaise s’exclame :
Lui aussi approbateur, Tyrion prend la parole à son tour :
Celui-ci se met à rire franchement. Amusé lui aussi, Blaise désigne le tablier blanc à motifs rouges qui est posé sur le plan de travail :
Peu après, la jeune femme est prête pour la suite des événements. Tout de suite, Martine constate que ses seins un peu lourds n’arrivent pas à rester cachés derrière le tablier. Le constatant lui aussi, Blaise s’en amuse :
En effet, le pantalon du cinéaste est en train de se tendre. Martine devine aisément que le cinquième membre n’est pas précisément minuscule. C’est d’ailleurs la même chose chez Tyrion. Blaise donne ses directives :
Sur l’écran de la tablette s’affiche un message peu directif : Faire la cuisine.
Laurent règle la caméra qui est posée sur le plan de travail, puis il se place derrière une des deux caméras, tandis que Martine s’occupe de préparer le plat qui est devant elle. L’œil vissé sur sa caméra, Tyrion se déplace ci et là. D’autres messages s’affichent, indiquant la marche à suivre. Tout en chantonnant, la jeune femme évite de trop regarder vers les objectifs ou la tablette, essayant d’être la plus naturelle possible.
S’affairant dans ce studio improvisé, elle songe tout bas :
Ce qui ne l’empêche pas de jouer le jeu avec application. Elle en oublie presque le contexte et les caméras. Quelques secondes plus tard, elle pense :
Du coin de l’œil, elle constate que l’autre caméra posée sur trépied semble la suivre dans ses mouvements entre les armoires et le plan de travail. Elle songe alors :
Le plat devant elle est presque fini, une fois la dernière touche achevée, il ne reste plus qu’à le mettre dans le four. Une nouvelle diapo s’affiche à l’écran. Alors elle se tourne, puis elle se penche pour vérifier la température. Les caméras filment ses fesses bien en évidence.
La jeune femme dit à voix haute :
Puis elle se retourne face aux caméras, vers lesquelles elle avance lentement mais posément. Puis faisant demi-tour, elle revient vers le plan de travail, exhibant ostensiblement ses fesses aguichantes. Elle s’affaire autour du plat. Oui, ça commence à l’amuser de jouer les actrices.
Un nouveau message s’affiche sur la tablette. Se penchant fortement, ce qui révèle parfaitement son popotin, Martine allume le four :
Puis elle se redresse, refermant la porte vitrée. Un nouveau message s’affiche sur la tablette. L’ayant lu, Martine enchaîne :
Martine prend un air pensif. Soudain, elle écarquille les yeux, découvrant la nouvelle diapo sur l’écran. Une petite exclamation lui échappe :
Puis continuant à jouer le jeu, elle enchaîne afin que ça paraisse naturel :
S’asseyant posément sur le plan de travail, face à la caméra de Tyrion, jambes largement écartées, elle relève son tablier à carreaux pour révéler une fente légèrement luisante et entrouverte. Puis léchant d’abord ses doigts pour bien les humecter, elle commence à se masturber, lentement, sereinement, sensuellement, les yeux rivés dans l’objectif.
Les deux hommes en ont des bouffées de chaleur, et pas que…
Amusée par la double réaction fort visible des deux hommes qui lui font face, Martine se prend au jeu. Jetant le peu de pudeur qu’elle possédait encore, elle dévoile à présent toute son intimité, jouant avec ses lèvres roses luisantes. Elle s’offre parfois le luxe d’enfoncer un doigt ou deux dans ses moites profondeurs.
La jeune actrice continue son manège, puis prise d’une impulsion subite, elle descend du plan de travail. Offrant son postérieur à la caméra de Tyrion, elle se met aussitôt à quatre pattes, cuisses bien écartées pour que les futurs spectateurs puissent bien contempler les doigts agiles farfouiller une chatte aux lèvres largement ouvertes et détrempées.
Bien sûr, durant tout ce temps, Tyrion ne perd aucune miette de la scène avec sa caméra, se disant que Martine apprend instinctivement très vite les ficelles du métier.
Loin de ce rapide apprentissage, Laurent s’occupe toujours de son tableau des turpitudes. Parfois, il songe à sa femme qui est sans doute en train de se faire papatouiller par Blaise, activité qu’il découvrira en vidéo par la suite. Il a d’ailleurs prévu de regarder la prestation de Martine sur le grand écran du salon, en sa compagnie, bien sûr. Il veut qu’elle puisse se contempler en train d’être baisée et jouir dans un film X.
Ce n’est pas la première fois que Martine se découvre en vidéo. Mais ça l’a été, soit avec son mari, ou avec son amant, et une fois avec les deux en même temps. Mais aujourd’hui, on sort du cercle, se dit Laurent, même si Blaise est une bonne connaissance de l’amant de sa femme.
Le mari se plaît à imaginer son épouse entreprise longuement dans un gang bang, et ce, avec des milliers de spectateurs devant leur écran. L’idée est amusante, mais entre imaginer et concrétiser, il y a une grosse marge. Est-il bon que tous les fantasmes soient réalisés ? Bonne question.
En attendant, Laurent ajoute ou modifie des éventuelles futures étapes dans le dévoiement de son épouse infidèle. Et il y a de quoi faire…
Tandis que Martine est toujours lascivement à quatre pattes devant le four, en train de se donner du plaisir, Blaise entre à son tour en scène, entrant dans le champ des caméras. Découvrant le spectacle, il s’exclame d’une voix de stentor :
Sans se retourner et sans cesser sa masturbation, Martine répond :
Trivialement, Blaise donne une petite tape sur les fesses rebondies :
À ces mots, mue par une intuition subite, la jeune femme se retourne prestement. Bouche bée, elle écarquille les yeux en découvrant l’engin bien en forme de son hôte. Outch, mais quel machin, c’est dingue de chez dingue !!
Assez inquiète, vu la taille de la colonne de chair, Martine obéit quand même, son nez à deux doigts de la tablette qui sert de prompteur. Celui affiche « gros ramonage sans capote », ce qui fait frissonner la jeune femme et actrice débutante.
Émoustillée, Martine remue légèrement du popotin. Puisque son mari veut qu’elle se fasse ramoner par un inconnu, qu’il assume ! Elle est partante, surtout avec un type si mignon ! Néanmoins, elle préfère lui demander d’y aller modérément :
Posément, Blaise pose ses mains sur ses hanches, puis Martine sent distinctement quelque chose d’un peu chaud venir taquiner ses lèvres intimes. Instinctivement, elle écarte un peu plus les jambes pour lui faciliter l’accès. Elle s’étonne d’être si consentante avec un inconnu, même si celui-ci est plus proche d’Apollon que de Quasimodo. Elle a mis nettement plus de temps à céder dans les bras de Didier !
Elle tressaille un peu quand le gland s’enfonce en elle sans difficulté sous le coup de rein de Blaise.
Frémissante, Martine reprécise :
Durant ce temps, la longue verge continue toujours de coulisser en elle. Son ventre sur le plan de travail, Martine sent distinctement chaque millimètre en elle. Puis Blaise commence à coulisser délicatement en elle. La jeune actrice apprécie cette modération.
Autour d’eux, le cameraman filme à tout-va. Il semble avoir le génie de trouver le bon angle au bon moment. Sans doute une certaine expérience de la chose.
Martine cligne des yeux, la tige entre toujours un peu plus loin en elle. Non, ça ne fait pas mal, mais la sensation est étrange. Où diable réussit-il à caser tout ça ? Il la roule en boule ? Il est parvenu dans l’une de ses trompes ? Martine découvre qu’elle ne connaît pas bien sa propre anatomie.
En tout cas, Blaise commence à la pistonner profondément et sur toute la longueur, la jeune femme sait maintenant ce que veut dire sentir une verge sur toute sa longueur. Elle n’est pas habituée à de telles dimensions, mais l’excitation aide beaucoup. Martine sait très bien que, dans peu de temps, elle sera inondée du sperme d’un inconnu qu’elle n’a même pas choisi.
Pense-t-elle tout bas ! Puis elle ajoute pour elle-même :
À sa grande stupéfaction, Blaise lui répond :
Ce qui fait rire aussitôt Blaise, qui n’en continue pas moins son travail de pistonnage, lent et profond. Martine en a des éblouissements. Ce n’est pas qu’elle n’en a jamais eu, mais si vite et avec un inconnu, ça la surprend. Et si ce Blaise était finalement le type d’amant qu’il lui fallait ? Il y a les amis de cœur, et il y a les amis que cul, lui disait un de ses copines un peu plus âgée qu’elle et qui menait une vie assez dissipée mais jouissive.
Oui, jouissive…
À cette pensée, la jeune femme commence à se masturber. Autant en profiter à fond ! D’ailleurs, elle avait déjà commencé tout à l’heure, mais n’avait pas pu se finir. Durant ce temps, Blaise se sent prodigieusement bien en Martine, d’autant que toute sa verge peut rentrer en elle sans trop de problème. Il se souvient alors des soucis qu’il a pu avoir avec certaines femmes. Ne pas pouvoir être entièrement dans une chatte, dans un corps est une frustration, sans oublier le plaisir divin de venir faire cogner ses testicules à l’entrée !
Durant ce temps, Tyrion virevolte autour du couple, se disant que c’est une belle scène. Il y a une alchimie entre ces deux-là, une harmonie, alors qu’ils ne se connaissaient pas, il y a une heure environ. Il songe alors :
Blaise continue ses longs va-et-vient, Martine le subit toujours avec ravissement, tandis que ses doigts s’agitent frénétiquement entre ses lèvres intimes détrempées.
Martine commence à se laisser aller, ce qui augmente le désir de Blaise qui accélère un peu plus ses entrées-sorties dans le corps offert sur le plan de travail. Oui, il a bien fait de dire oui à Didier, même si au tout début, il était circonspect. C’est en voyant la photo de Martine qu’il a commencé à fléchir. Quand son ami lui a relaté comment sa maîtresse se comportait (oui, il baisait avec elle depuis un certain temps), il a fini par dire oui.
Toujours agrippé aux hanches de la jeune femme, Blaise commence à avoir du mal à se contenir, d’autant qu’il n’a pas mis de préservatif qui atténue un peu les sensations. Drôle de coco que ce mari qui accepte sans sourciller qu’un troisième homme puisse éjaculer sans protection dans sa femme ! Bien sûr, il a fallu prouver qu’il était clean, avec zéro maladie, ce qui est parfaitement logique et recommandé. Mais quand même…
Mais Blaise ne va pas faire la fine bouche : il n’a pas pu baiser depuis un certain temps et la femme qu’on lui a offerte est un très bon numéro ! Il pense qu’il a gagné un bon gros lot sexuel !
Blaise cligne des yeux, il sent qu’il est arrivé à sa limite. De ce fait, il préfère prévenir sa partenaire :
D’une voie rauque, l’actrice débutante se laisse aller :
Blaise ouvre grandes toutes ses écluses, se vidant en longues saccades. Excitée par le fait qu’un nouvel homme se vide en elle, Martine décolle à son tour dans d’innombrables petits cris :
Ensembles, ils s’envolent très haut, le plus haut possible, sous l’œil impassible des caméras qui ne perdent pas une seule expression, un seul frémissement, un seul cri, immortalisant le tout de façon numérique pour très longtemps.
Puis le voile blanc et cotonneux s’empare des nouveaux amants, les berçant dans une cotonneuse quiétude, toujours enfichés l’un dans l’autre.
Un doux et tendre repos pour la jeune femme, même si son ventre et ses seins sont écrasés sur le plan de travail d’une cuisine inconnue, avec au-dessus d’elle le poids et la chaleur d’un nouvel homme bien rivé en elle, qui vient de l’inonder sans modération.
Elle se laisse bercer… c’est si bon d’être ainsi…
Il se repose sur elle, toujours ancré dans ses profondeurs… c’est si bon d’être ainsi…
Ailleurs et lointain, mais si proche à la fois…
Reprenant le premier ses esprits, Blaise entreprend de se retirer petit à petit, la sensation reste très forte, même si son sexe devient de plus en plus avachi. Blaise se demande si la puissance de cette jouissance est due à la nouveauté ou au fait que ce soit Martine elle-même et non une autre femme. Il se dit qu’il aura tout le temps d’y réfléchir par la suite et aussi de vérifier bientôt si c’est du lard ou du cochon, même si cette expression n’est pas très appropriée.
Martine est un peu déçue que son nouvel amant se soit retiré. Elle commence à remuer, à faire mine de se relever. Un plan de travail, c’est quand même moins douillet qu’un lit classique !
Intriguée par cet ordre, Martine reste immobile. Elle comprend quand elle lit le prompteur qui demande de filmer le sperme qui s’évacue. Presque aussitôt, elle sent quelque chose de liquide glisser le long de ses cuisses. Affichant un étrange sourire, elle pense :
Pour elle aussi, ça lui a fait quelque chose d’être inondée par la semence d’un inconnu. Aujourd’hui est décidément une grosse étape. Jusqu’où son mari a-t-il décidé d’aller aujourd’hui ?
Après être restée immobile de longues secondes, elle entend la voix de Blaise résonner :
Martine se retourne pour voir Blaise lui présenter sa verge qui faiblit peu à peu. Obéissante, elle commence par faire glisser ses lèvres le long de la tige souillée, puis après divers longs aller-retours, elle prend en bouche la verge qui vient d’explorer son intimité. Un mélange de cyprine et de sperme s’invite sur sa langue. Lentement, longuement, elle suce le bâton de chair qui lui est proposé. S’activant autour de la colonne mollissante, elle songe :
Elle se demande si, un jour, toute cette belle verge entrera dans sa bouche puis dans sa gorge. Quelle idée ! Mais elle s’étonne à penser que ce ne serait pas chose impossible à faire… Juste pour savoir ce que ça fait…
Plus haut, Blaise caresse les longs cheveux sombres de la jeune femme.
Dans son salon, Laurent s’offre un petit verre. Assis dans un fauteuil, il regarde incidemment le grand écran de la télévision, sur lequel s’affichera ces prochains jours une vidéo avec Martine en vedette, puis d’autres sans doute.
Après avoir jeté un furtif coup d’œil sur un magazine, Laurent fait la moue :
Sa colère retombe aussitôt. Oui, Martine a été infidèle, mais il y est quand même pour quelque chose dans l’histoire. Et puis, c’est aussi à cause de lui que la situation perdure, bien qu’il en retire un évident avantage.
Au début de son mariage, il n’envisageait pas une seule seconde de partager sa femme. Puis avec les années, les idées changent, souvent petit à petit, insensiblement. Ne dit-on pas qu’il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis ?
Mais à y réfléchir, Martine peut être deux femmes en une seule : elle est bien restée sa femme, tout en étant la maîtresse de Didier, sachant se couper en deux, et érigeant une barrière étanche entre ses deux vies.
Idem actuellement pour son couple, Laurent fait bien attention que les diktats ne viennent pas perturber leur vie de famille avec leurs enfants. Il y a d’un côté la Martine épouse et mère, et aussi l’autre Martine, plus pervers, pour ne pas dire autre chose.
Oui… c’est peut-être par là qu’il faut creuser…
Durant ce temps, dans la cuisine, Martine et Blaise font une petite pause. Blottie dans les bras de son nouvel amant, la jeune femme fait remarquer :
Tyrion propose :
Sans doute embarqué par le fait qu’on se dit facilement « tu » sur un plateau, le cameraman bascule dans le tutoiement :
Aussitôt, Tyrion se positionne. Se libérant des bras de Blaise, s’étant munie d’un gant isolant, Martine enfourne d’abord le plat. Comme convenu, elle garde la pose pour que le cameraman puisse la filmer de profil. Puis elle referme la porte, avant de se redresser.
Le petit homme la félicite :
Puis le cameraman s’adresse à son grand ami :
La jeune femme affiche un large sourire :
Posant sa main sur le torse de Blaise, les yeux brillants, Martine sourit :
L’actrice en herbe grimace :
Elle explique sa situation :
Claquant dans ses mains, Tyrion invite dans la conversation :
Le cameraman désigne le petit prompteur :
Blaise hoche la tête :
Se consultant du regard, Blaise et Tyrion se contentent de sourire. Face à eux, Martine continue sur sa lancée :
Martine pose ses mains sur ses hanches :
Blaise semble gêné, Tyrion se dévoue :
Mains toujours sur les hanches, Martine ricane :
La jeune femme constate que Blaise est presque à nouveau en forme, elle l’apostrophe :
La préparation de certaines scènes n’est pas forcément folichonne. En témoigne une certaine canule que Martine est en train d’utiliser, tandis que son partenaire lubrifie consciencieusement sa verge toujours raide.
La jeune femme murmure :
Peu après, tous les protagonistes se mettent en place. Le prompteur affiche les nouvelles indications pour la suite et fin de la vidéo. Tyrion se cale contre un meuble pour assurer son assise. Puis Blaise enchaîne pour faire raccord avec la précédente scène :
Docile, Martine s’aplatit sur le plan en bois, présentant au mieux ses fesses. Blaise se positionne aussitôt derrière, il semble chercher le meilleur angle pour s’enfoncer dans un petit trou fort luisant. De ses mains, il écarte un peu plus les jambes de la jeune femme, puis de sa paume, il creuse doucement ses lombes pour magnifier vallée et monts.
L’actrice débutante s’exécute, révélant une rondelle ourlée brillante de lubrifiant. Blaise respire un grand coup, posant son gland sur la cuvette légèrement évasée.
Puis donnant un coup de rein progressif, il s’enfonce jusqu’à ce que son bout écarlate soit absorbé. Écartant toujours les fesses, Martine soupire sous l’intrusion. Écartant à son tour les fesses offertes pour mieux dégager l’accès, Blaise s’exprime spontanément :
La longue tige bien lubrifiée s’enfonce sans problème dans les sombres profondeurs. Une fois de plus, Martine sent chaque millimètre, mais c’est beaucoup moins pénible qu’elle ne l’aurait cru. Blaise pistonne délicatement le conduit, s’introduisant toujours un peu plus loin à chaque fois.
Affalée sur le plan de travail, se masturbant avec application, Martine se dit :
Cette pensée la fait sourire. Visiblement, la verge est dans le bon axe, puisque la jeune femme n’éprouve pas de douleur particulière, sauf l’étrange gêne d’être investie en entrée dans une sortie. Mais elle a connu des moments autrement plus difficiles.
Elle s’offre alors une réplique improvisée :
Ses mains toujours agrippées aux hanches offertes, Blaise répond :
Il est vrai que le scénario stipule que Madame et Monsieur forment un couple. Blaise est bien dans son rôle. Fugacement, Martine pense que, si c’était vrai, ce serait bien. Elle s’étonne alors de penser ce genre de choses au sujet d’un homme qu’elle connaît à peine !
La lente avancée de la colonne de chair se poursuit toujours. La sensation devient de plus en plus étrange, mais pas désagréable. Le postérieur bien offert, Martine se demande jusqu’où Blaise s’enfoncera de la sorte en elle.
Soudain, Martine sent les testicules de Damien venir s’aplatir contre ses fesses. Elle s’étonne qu’il ait pu mettre ainsi toute sa longueur. Pourtant, il avait un sacré matos à caser !
Puis cela dit, Blaise commence à ramoner l’étroit conduit, ce qui occasionne des sensations fortes à Martine, des papillons qui la font décoller, pour sa plus grande stupeur. Ce n’est pas la première fois qu’elle se fait sodomiser, son mari a pris l’habitude de souvent passer par l’entrée des artistes, mais aujourd’hui, c’est différent, et dans le bon sens !
Martine se met à glapir, elle s’étonne de proférer de tels sons incongrus, mais c’est trop bon !
De son côté, Blaise essaye de se retenir, mais ce n’est pas évident ! Il est trop bien là où il est enfiché ! Cette Martine possède une belle facilité pour engloutir toute sa verge, la plupart des femmes exigent qu’il s’arrête avant que ses testicules ne viennent les cogner. Didier lui avait bien mentionné que la jeune femme était souvent entreprise par l’étroite porte, aussi bien par lui que maintenant le mari, mais Blaise ne pensait pas que la voie était devenue si aisée.
N’y tenant plus, Blaise éjacule de tout son saoul. Telle une avalanche, son foutre se rue dans les profondeurs afin de les remplir, de les noyer. Dieu que c’est bon, surtout avec une femme un peu salope comme Martine !
Tandis qu’il se déverse, et que sa raison commence à s’évaporer, l’acteur se dit que Martine peut devenir une réelle vraie salope dans le bon sens du terme. Avant que la lucidité ne pointe aux abonnées absentes, il a le sentiment très net qu’il reverra bientôt Martine, ce qui l’arrange énormément, peu importe le scénario.
Et peut-être qu’un jour, il baisera avec elle en tant qu’amant, comme Didier.
Laurent regarde l’heure. Peut-être que sa femme en a fini, peut-être que non… Il songe qu’il aurait dû surveiller tout ça par webcam. Didier lui a assuré que Blaise était de confiance et qu’il respecterait les termes du deal convenu.
Préoccupé, Laurent fronce des sourcils :
Didier demande :
Bien que Laurent ait confiance en Didier et que celui-ci ait confiance en Laurent, le mari de Martine ne peut s’empêcher d’avoir une légère appréhension. Surtout quand le type en question est solidement bien doté par la nature. Même s’ils s’en défendent, beaucoup d’hommes jouent quand même à celui qui a la plus grosse…
Tandis que Tyrion visionne rapidement sur l’ordinateur ce qui a été enregistré, y compris la dernière scène qui montre le sperme qui s’évacue lentement des sombres profondeurs de l’actrice débutante, Blaise apporte un verre qu’il tend à la jeune femme qui est en train de se reposer :
Elle soupire :
L’homme boit une première gorgée, puis il lâche :
Tendant à bout de bras son verre vers son nouvel amant qu’elle sait qu’elle va souvent revoir, Martine porte un toast à sa façon :
Blaise ne répond rien, se contentant de hocher la tête. Durant ce temps, Martine boit à son tour une première gorgée, puis retirant ses lèvres, elle conclut :
Puis, avec un air de défi sur le visage, elle finit son verre en un seul coup.