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n° 22285Fiche technique40142 caractères40142
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Temps de lecture estimé : 30 mn
20/02/24
Résumé:  John fait le trajet Orléans - Toulouse dans la voiture de Sam qui en profite pour l’initier aux plaisirs entre mecs.
Critères:  hh jeunes inconnu hépilé vacances voyage voiture autostop hsoumis hdomine lingerie hmast fellation uro attache
Auteur : 3615Tokmak            Envoi mini-message
Autostop initiatique

Juillet 2019, je termine ma première année de fac. En plus des bases de la bio, chimie, … j’ai appris à faire du stop en faisant plusieurs fois l’aller-retour depuis mon campus à Rouen jusqu’à Lille chez mes parents. Pour cet été, Ariel, un pote de la fac, m’a proposé de le rejoindre dans un appartement de sa famille à la Costa del Sol. Pour économiser et me lancer un défi, j’ai décidé de faire le trajet en stop.


Je pars à l’aube pour éviter de devoir refaire face aux craintes de ma mère. Les premières heures de voyage j’avance bien mais je galère pour contourner Paris et perd beaucoup de temps. Je me retrouve donc en début d’après-midi avec Paris enfin derrière moi. Après 15 minutes de stop, je vois une splendide Tesla s’approcher. D’habitude les belles bagnoles ne s’arrêtent pas pour les stoppeurs. Aussi je suis très surpris de la voir ralentir et s’arrêter sur le bas-côté. Je me presse de la rejoindre et me penche à la fenêtre côté passager qui est ouverte en cette belle journée d’été. Je vois un homme souriant qui doit avoir une bonne trentaine d’années, habillé d’un pantalon de coton et chemise à manches courtes.



Je m’installe et admire cette splendide voiture de l’intérieur. Il m’explique que presque tout est automatisé et que sur autoroute il ne faut presque plus rien faire. Puis la conversation prend le cours habituel pour un stoppeur : mon projet de voyage, mon année à la fac, etc… Mais ce conducteur ci m’a l’air de porter une attention plus intense à ce que je raconte. Lui se présente comme un entrepreneur Toulousain qui doit souvent monter à Paris. Puis la conversation tourne vers ma vie privée.



Je reste silencieux, ne sachant quoi répondre. Je suis mal à l’aise de parler de ma vie sexuelle ou plutôt de mon absence de vie sexuelle. Mais à la fois, je n’en ai jamais parlé avec personne alors que j’y pense beaucoup. Ce type est un inconnu que je ne verrai plus jamais donc autant en profiter pour parler de tout ça.

Après quelques minutes de silence à écouter la radio, je me lance.



De nouveau je marque un temps, puis me décide en me disant que ce type me rassure et ne va clairement pas se moquer de moi. Puis, c’est un inconnu alors je lui parle d’une première question même si ce n’est pas la principale.



J’en reste bouche bée. Je le regarde pour voir s’il se moque de moi, mais il me regarde très calmement semblant prendre plaisir dans notre conversation.



Je le regarde muet une fois de plus.



Je me rends compte que toute cette conversation m’a donné un bon début d’érection. Heureusement ma bite est coincée sur le côté. Du coup je jette un coup d’œil à l’entrejambe de Sam. Je pense voir une bosse chez lui aussi mais c’est trop tard pour reculer. Je soulève mon T-shirt jusqu’à mon nombril puis de mes deux pouces je descends l’élastique de mon short et de mon boxer de trois centimètres. Cela dévoile une bonne part de mon pubis. Sam me regarde faire avec intérêt et un petit sourire approbateur.



Je souffle une longue fois par la bouche pour contrôler mon stress mais j’ai envie de le faire à la fois. Pris par le jeu, je suis les instructions de Sam et me retrouve avec le short aux chevilles. Je bande dur, du coup je reste assis assez droit en me redressant pour masquer la grosse bosse que ça me fait.



Je regarde Sam en pensant que oui j’ai envie de voir à quoi ressemble son boxer qui soi-disant vaut mieux que 90% des autres. Il me regarde droit dans les yeux et son sourire s’élargit.



Réticent, je reviens poser mon dos contre le dossier de mon siège.



Je suis ses conseils et me retrouve semi-allongé, avec mon érection complètement visible, moulée dans mon boxer gris. Sam me mate sans gêne, son regard me rassure, aucun jugement, aucune moquerie, juste un intérêt bienveillant.



De la tête je lui fais signe que oui. Sans un mot, il commence par déboutonner sa chemise. Je vois qu’il a une poitrine et des abdos bien musclés, entièrement lisses et bronzés. Puis il défait sa ceinture, ouvre son pantalon et le fait lui aussi glisser jusqu’à ses chevilles. En se rasseyant il avance lui aussi ses hanches de sorte que son boxer est complètement exposé. Il est bleu nuit avec les coutures et l’élastique blanc. C’est une matière très fine donc on voit ou plutôt on devine son sexe gonflé qui est coincé vers le bas et fait une grosse bosse.




Machinalement j’ai saisi ma bite par-dessus mon boxer et la malaxe doucement tout en lui parlant. Sam lui fait courir ses doigts sur son boxer pour me montrer où les femmes aiment embrasser son boxer. J’essaie de deviner la taille de sa bite mais comme elle est toujours coincée vers le bas c’est compliqué.





Je déglutis. J’avais clairement envie de libérer ma bite mais je flippe maintenant que je suis au pied du mur. En plus je dois le faire en parlant cochon. J’adore ça dans les films pornos quand ils parlent bien vulgaire, mais le faire moi ça va être compliqué.




Je ne dis rien, attendant ses instructions, tout excité. Ma bite toujours tendue et palpitante, mes mains sous mes fesses dans cette voiture qui file à cent trente kimomètre-heure sur la A71.





Je n’hésite pas mais je fais les choses très lentement. Je me penche vers Sam, passe mes pouces sous l’élastique de son boxer, sentant le souffle de Sam s’accélérer quand nos peaux rentrent en contact. Toujours très lentement, je baisse le boxer jusqu’à la base de sa bite.





J’arrête mon geste, me redresse un peu pour pouvoir poser ma main gauche sur son pubis et ma main droite sur le mien. Je fais la même caresse sur nous deux.





Je reviens me pencher au-dessus de Sam qui garde sa main gauche sur le volant. Je découvre lentement sa bite, elle est bien large, presqu’aussi large que la mienne. Centimètre par centimètre, je découvre qu’elle est bien longue, enfin l’élastique arrive à son gland décalotté. Une fois libérée, sa queue se redresse rapidement et viens cogner mon avant-bras gauche. Ce contact avec son gland tout chaud et mouillé m’électrise, je pousse un soupir d’excitation. Sam lui grogne de plaisir. Je continue mon geste, il m’aide en soulevant les fesses puis les pieds un à un. Je commence aussitôt à passer mes jambes dans son boxer.





C’est maintenant Sam qui est à poil avec juste sa chemise ouverte, affalé sur son siège. Il me jette un regard entendu en passant sa main droite sous ses fesses, la gauche reste tout de même sur le volant. Je n’ai plus besoin qu’il me donne d’exercice et prend l’initiative de venir toucher sa bite. Je commence par le pubis, puis monte sur la base de sa queue puis sur toute la longueur qui doit bien faire dix-huit centimètres. Les soupirs de Sam m’encouragent, je passe un doigt sur son gland, récolte un peu de mouille que j’étale. Il grogne de plaisir. Puis je viens prendre sa bite bien en main et commence à le branler lentement tout en me malaxant la queue à travers le boxer.





Avec ma main droite pleine de bave, je reviens caresser son gland puis descends pour l’étaler sur tout sa longue et grosse tige. Sam grogne de plaisir. Je recommence à le branler, ça glisse beaucoup mieux et ça fait des bruits mouillés. De ma main gauche, je viens caresser ses couilles et l’intérieur de ses cuisses toutes lisses. Il écarte bien les cuisses pour me laisser l’accès. Encouragé par ses grognements, j’accélère le mouvement et serre plus ma main.





Il lève son bassin en tendant ses cuisses et ses fesses et crie de plaisir, je sens sa queue tressaillir et vois un premier jet de sperme éjaculer et retomber sur sa poitrine. Je serre encore plus ma main et fais encore sortir quatre gros jets de sperme qui viennent couvrir sa poitrine et son ventre d’une impressionnante quantité de foutre.





Je suis de nouveau vautré sur mon siège, mains sous les fesses et bites coincées dans le boxer transparent. Sam vient récolter son sperme sur sa poitrine puis il passe sa main pleine de foutre dans mon boxer et étale tout sur ma bite qui frémit de désir.





Je vois que Sam a récolté plus de son sperme sur ses doigts qu’il me présente. De sa main gauche il vient me branler. Je gémis de plaisir, ouvre mes lèvres et avance vers ses doigts. Le contact de ses doigts mouillés sur mes lèvres et l’odeur de sexe qui envahit mes narines me font lâcher prise. J’ouvre plus la bouche et viens y entrer ses deux doigts, je sens le sperme sur ma langue et en avale une partie. Je gémis comme un fou et Sam accélère sa branlette. Je suce ses doigts et les lèche à l’intérieur de ma bouche.





Ses mots me font basculer, je commence à faire un aller-retour sur ses doigts comme si je pompais une bite. Ça finit de m’exciter et je gémis de plaisir en sentant mes premiers jets de sperme qui sortent.





Sam retire ses mains et lui aussi se nettoie puis se rhabille sans rien sous son pantalon. J’ai juste le temps de voir son sexe débandé mais déjà un peu gonflé il me semble.



Je ne sais pas quoi dire après cette expérience si forte et ce méga orgasme. Mais justement, Sam met un film sur l’écran de la Tesla (Fast and Furious 4, le meilleur ! ) comme ça on passe deux heures sans rien dire. Sam sort des chips et du Red-Bull de son sac de voyage.



Il est dix-sept heures quand le film se termine, on vient de dépasser Clermont-Ferrand.





Je n’hésite pas longtemps et on s’arrête sur un parking très calme. On sort de la voiture.





C’est vrai que les toilettes n’ont pas l’air très propres. Je suis Sam qui s’enfonce dans le sous-bois puis s’arrête après vingt mètres. Il se retourne, sourit quand il voit que je suis toujours derrière lui, puis tout naturellement il ouvre son pantalon et sort son sexe, de profil par rapport à moi. Ça me fait bizarre de le voir au repos pour la première fois. Mais à la fois ça me rappelle que je dois trop pisser donc je me mets à côté de lui et sors le mien. On commence à pisser tous les deux, ça fait du bien de se soulager ! Sam s’amuse à croiser son jet avec le mien, puis il décalotte son gland pour avoir un jet plus précis et puissant. Je fais pareil et on se marre. Quand on a terminé Sam ressort ses lingettes, je nettoie bien mon gland et sens ma bite commencer à gonfler dans ma main. Je le regarde et vois que lui aussi a repris des formes.





Je suis prêt à me rebranler tout de suite dans ce sous-bois, mais Sam se rhabille et retourne à la voiture. Quand je suis installé, il me dit qu’il doit aller chercher un truc dans le coffre et disparait deux minutes avant de revenir avec une petite trousse de voyage. Il me tend un petit morceau de tissu.





En effet, je déplie le bout de tissu qui s’avère être un boxer ultrafin, complètement transparent. Alors que Sam remonte sur l’autoroute vers Toulouse, j’enlève une fois de plus mon pantalon et passe le boxer blanc transparent. Mon sexe lisse et gonflé est bien moulé parfaitement visible dans ce boxer qui sert plus à le mettre en valeur qu’à le cacher.



Je suis encore excité par notre séance d’exhibition dans les bois, par ce boxer tellement sexy et j’ai envie de me rebranler avec Sam. Je suis sûr que lui aussi mais il fait mine de rien et me parle musique en me passant sa liste Spotify sur la radio. Je remonte donc mon pantalon et parle musique avec lui. Mais le sexe reste dans un coin de ma tête et quand il passe un morceau de Karol G je lui tends une perche.





Une fois de plus Sam a réussi à me surprendre. Je fais signe que oui de la tête en rougissant. Ça fait marrer Sam. Je me dis que même ça, c’est pas les trucs les plus pervers que je regarde.







Un coup d’œil me confirme que Sam aussi recommence à bander. Mais sa bosse a l’air contenue, il a dû lui aussi passer un boxer quand il a été chercher sa trousse dans le coffre.



Mon dossier est toujours penché en arrière, j’avance les hanches et commence à me malaxer le paquet sans gêne.





Je n’attendais que ça. En une minute je me déshabille ne gardant que mon boxer blanc dans lequel on voit parfaitement ma bite tendue toute droite contre mon pubis. Pour tenter ma chance, je mets mes mains sous mes fesses, bassin bien en avant comme Sam m’a appris.





Là-dessus Sam remet ses deux mains sur le volant et fait mine de se concentrer sur sa conduite et sa musique.



Je comprends que c’est un test. J’ai envie de me branler là à côté de lui qui mate, mais ça serait trop un truc de petit branleur.



Alors je me mets à genoux sur mon siège, tourné vers Sam. Je commence par ouvrir sa chemise pour découvrir sa poitrine lisse et musclée. Lui aussi a les tétons qui pointent. Je viens les pincer maladroitement. Ça agace Sam qui grogne et passe une main derrière ma tête. Il m’attire vers sa poitrine. Je mets un moment à comprendre, mais finis par ouvrir la bouche et venir lécher son téton et le sucer. Sam grogne son contentement. Sa façon de me tenir fermement la tête m’excite à fond, j’en veux plus !



Je passe d’un téton à l’autre et mes mains s’activent à ouvrir puis baisser son pantalon. Je m’écarte de sa poitrine pour regarder ce qu’il porte sous son pantalon et suis surpris de voir que sa queue en érection est difficilement contenue par un triangle de tissus bleu électrique qui est maintenu en place par deux ficelles qui lui entourent les hanches. À mon tour je grogne de plaisir et d’excitation devant ce string plein de promesses.





Sam a toujours sa main sur ma nuque, mais il ne doit même pas appuyer pour me faire descendre le visage vers son entrejambe, il accompagne juste le mouvement. Je regarde le string de près, Sam s’affale encore plus en écartant les cuisses, me laissant voir la ficelle du string qui part entre ses fesses lisses et musclées. Instinctivement, je viens me frotter le visage contre son paquet, le nez, les joues, les lèvres. J’inspire profondément excité par son odeur de sexe. Sam accentue la pression pour venir écraser mon visage contre son sexe emprisonné par le tissu. Ça me plait, je gémis pour l’encourager et sors ma langue. Il prend mon visage entre ses deux mains et me dirige pour que je vienne lécher tout autour du triangle de tissu, y compris à l’endroit où commencent ses fesses. Je ne me dérobe pas, au contraire, j’essaie de glisser ma langue entre ses fesses pour suivre la ficelle mais je ne vais pas bien loin à cause de sa position assise.





Ma main vient tirer le tissu sur le côté, sa bite jaillit d’un coup et vient cogner contre ma bouche et mon nez. Je sens que son gland est tout chaud et mouillé.

Sam a lâché mon visage, il me laisse décider ce que je vais faire. Je prends sa bite en main et reviens lécher son pubis puis descends lécher ses couilles toutes lisses. Petit à petit je lèche la base de sa queue bien épaisse puis remonte lentement.

Avant d’arriver en haut je m’arrête. Je viens placer mon nez juste à un centimètre de son gland et respire son odeur. Puis n’y tenant plus, j’y pose mes lèvres et tout de suite je les écarte pour goûter son gland.

Sam grogne de plaisir, sa main puissante vient me peloter la fesse droite. Je garde son gland en bouche et viens le lécher. Je gémis de plaisir, j’ai l’impression que je vais jouir dans mon boxer ultrafin sans même toucher à ma bite.

Je continue à sucer son gland et commence à le branler en même temps. Je salive beaucoup, ma bave coule le long de sa queue et vient lubrifier ma branlette. Sam me pelote toujours la fesse, je change de position pour lui faciliter l’accès, il passe d’une fesse à l’autre et glisse parfois le long de ma raie à travers le boxer.

Je m’applique à bien lécher la fente de son gland et tout le tour, ses réactions me montrent qu’il adore ça.





Inspiré par ses caresses, je glisse une main sous sa fesse gauche et viens la prendre en main en y enfonçant bien mes ongles. Sam gémit, me montrant que lui aussi est sensible des fesses. En réaction il enfonce ses ongles dans ma fesse, je gémis fort tout en gardant son gland en bouche.

J’essaie de le pomper, mais j’ai du mal à entrer plus de cinq centimètres de bite dans ma bouche. Alors je reprends ma branlette de plus belle et suce son gland avec gourmandise.





Je reprends son gland en bouche, suce bien fort, le caresse de ma langue, accélère ma branlette et de mon autre main je descends mes doigts dans sa raie des fesses où je trouve la ficelle du string. Sam se met à crier, serre ses fesses et son sexe se tend encore plus. Je reçois la première giclée de sperme. Je suis surpris par la puissance et quantité mais garde son sexe bien en bouche qui est vite remplie de sperme, j’en avale un peu. Puis Sam se détend, j’arrête mes caresses, mais garde mes mains et ma bouche en place. J’avale plus de sperme, excité par le gout.





Sam fait baisser mon siège au maximum, je suis presque couché à côté de lui. Puis il m’ordonne de prendre l’appuie tête entre mes mains et de les laisser là tant qu’il s’occupe de moi. Je suis tout exhibé à lui, mains au-dessus de la tête. Rien que ça m’excite à fond, mon bassin ondule d’anticipation. Il revient s’occuper de mes tétons avec ses doigts mouillés, je me tortille et finis par le supplier.





Sam se penche vers moi et vient directement mettre mon gland dans sa bouche. C’est tout chaud et mouillé et si excitant comme situation avec mes mains immobilisées au-dessus de ma tête et Sam qui me fait ce qu’il veut.




John commence à me pomper, centimètre par centimètre il arrive à rentrer tout mon sexe dans sa bouche, ça me donne des sensations impressionnantes et je suis très vite au bord de l’orgasme.





Je commence à jouir après deux minutes de pipe intense. Sam garde bien ma bite en bouche et avale tout. Je hurle de plaisir puis finis par m’écrouler. Nous sommes tous les deux repus de sexe. On se rhabille et on se mate triple X de Vin Diesel pour la fin du trajet. Vers vingt heures Sam me dépose sur la dernière station-service avant Toulouse.





Et c’est ainsi que commencèrent mes vacances 2019…