Juillet 2019, je termine ma première année de fac. En plus des bases de la bio, chimie, … j’ai appris à faire du stop en faisant plusieurs fois l’aller-retour depuis mon campus à Rouen jusqu’à Lille chez mes parents. Pour cet été, Ariel, un pote de la fac, m’a proposé de le rejoindre dans un appartement de sa famille à la Costa del Sol. Pour économiser et me lancer un défi, j’ai décidé de faire le trajet en stop.
Je pars à l’aube pour éviter de devoir refaire face aux craintes de ma mère. Les premières heures de voyage j’avance bien mais je galère pour contourner Paris et perd beaucoup de temps. Je me retrouve donc en début d’après-midi avec Paris enfin derrière moi. Après 15 minutes de stop, je vois une splendide Tesla s’approcher. D’habitude les belles bagnoles ne s’arrêtent pas pour les stoppeurs. Aussi je suis très surpris de la voir ralentir et s’arrêter sur le bas-côté. Je me presse de la rejoindre et me penche à la fenêtre côté passager qui est ouverte en cette belle journée d’été. Je vois un homme souriant qui doit avoir une bonne trentaine d’années, habillé d’un pantalon de coton et chemise à manches courtes.
- — Bonjour jeune homme, où vas-tu comme ça ?
- — En Espagne Monsieur.
- — Ah ! Je vais pas si loin, mais je peux t’avancer jusqu’à Toulouse si c’est sur ta route. Ou bien jusqu’à Clermont-Ferrand si tu préfères bifurquer vers la méditerranée ou l’Atlantique.
- — Je vais à la Costa del Sol. Ça fait un sacré bond en avant ! Super !
- — Mets ton sac sur le siège arrière et monte !
- — Oui, merci Monsieur !
- — Appelle moi Sam !
Je m’installe et admire cette splendide voiture de l’intérieur. Il m’explique que presque tout est automatisé et que sur autoroute il ne faut presque plus rien faire. Puis la conversation prend le cours habituel pour un stoppeur : mon projet de voyage, mon année à la fac, etc… Mais ce conducteur ci m’a l’air de porter une attention plus intense à ce que je raconte. Lui se présente comme un entrepreneur Toulousain qui doit souvent monter à Paris. Puis la conversation tourne vers ma vie privée.
- — Est-ce que tu as une petite amie John ?
- — Euh, … non.
- — Bah pourquoi ? Ça ne t’intéresse pas les filles ?
- — Oh, si, si ! Mais j’ai très peu d’expérience malheureusement. Au lycée, j’ai jamais eu de copine et cette année, en soirée, j’ai roulé des pelles à deux filles sur toute l’année. Mais genre juste en soirée un peu bourrés, j’ai essayé de leur envoyer des messages par la suite, mais sans succès.
- — Aie, mon pauvre ! Tu es pourtant joli garçon, je pense que tu manques surtout d’assurance, dit-il pour me remonter le moral.
- — Oui sans doute mais je sais pas comment faire…
- — Moi aussi tu sais j’étais très timide et totalement puceau jusqu’à mes vingt ans.
- — Ah bon ??? Pourtant vous avez l’air d’avoir beaucoup de succès.
- — Oui, là, comme tu me vois j’ai une compagne et des aventures à côté parfois, mais à l’époque j’étais comme toi tu sais.
- — Et comment vous avez fait pour gagner en confiance en vous ?
- — Bon ça va te paraître bizarre, mais j’ai eu le déclic quand j’ai eu mes premières expériences sexuelles avec des potes.
- — Ah … avec des garçons… ?
- — Oui avec un copain qui vivait dans ma résidence étudiante, puis avec quelques autres, dit-il en guettant ma réaction.
- — Mais alors vous êtes homosexuel ?
- — Non pas du tout ! Je suis même pas sûr que je me définirais comme bisexuel. C’est juste qu’on était entre puceaux avec zéro succès auprès des meufs, donc on s’est … donnés quelques coups de main, dit-il en faisant un geste suggestif de sa main droite.
Je reste silencieux, ne sachant quoi répondre. Je suis mal à l’aise de parler de ma vie sexuelle ou plutôt de mon absence de vie sexuelle. Mais à la fois, je n’en ai jamais parlé avec personne alors que j’y pense beaucoup. Ce type est un inconnu que je ne verrai plus jamais donc autant en profiter pour parler de tout ça.
Après quelques minutes de silence à écouter la radio, je me lance.
- — Mais alors vous vous êtes masturbé avec quelques copains et après vous avez trouvé une copine, dis-je sans oser regarder dans sa direction.
- — Oui, à peu près. J’ai trouvé un pote avec qui je pouvais parler. Il y avait pas toute la pornographie du net à l’époque donc on se posait plein de questions. Et de fil en aiguille on a eu envie de faire quelques expériences ensemble. Juste pour voir ce que ça ferait.
- — Ah oui je comprends mieux. C’est vrai qu’avec internet il y a moyen de voir plein de choses mais quand même c’est pas pareil…
- — Tu n’as pas un pote avec qui tu pourrais parler du porno que tu regardes ? Un mec avec qui t’es à l’aise ?
- — Ah, il y a bien Ariel, le pote qui m’a invité à la Costa del Sol. Il est toujours en train de faire des blagues et allusions au porno genre « Ah t’as vu la meuf ? Elle ressemble à Abella Danger ! » ou bien « J’ai vu un porno qui commençait comme ça lol ».
- — Et bien voilà ! Cet Ariel a l’air d’un bon candidat, tu fais quoi quand il aborde le sujet ?
- — Je suis trop gêné, je vois bien de quoi il parle, mais je fais mine de rien et change de sujet.
- — Tu as tort, ça te ferait du bien de parler du porno que tu regardes, à partir de là tu pourrais aborder les sujets qui te tracassent. Tu pourrais profiter de ces vacances pour essayer, dit-il pour m’encourager.
- — Oui mais même vu comme ça j’oserai pas, j’aurais peur qu’il se moque de moi.
- — A mon avis, il n’attend que ça Ariel et il te tend des perches en mentionnant le porno. Ces vacances à deux c’est une bonne occasion. Mais bon qu’est-ce que j’en sais, comme je t’ai dit de mon temps il y avait quasi rien sur le net, on se contentait de magazines pornos et des films cryptés sur Canal Plus.
- — Oui c’est sûr que vous deviez avoir encore mille fois plus de questions que moi, alors.
- — C’est quoi par exemple les questions qu’on se pose encore quand on a grandi avec le porno ? me dit-il l’air de rien.
De nouveau je marque un temps, puis me décide en me disant que ce type me rassure et ne va clairement pas se moquer de moi. Puis, c’est un inconnu alors je lui parle d’une première question même si ce n’est pas la principale.
- — Il en reste beaucoup, mais par exemple, je me demande ce que je devrais faire avec … avec mes poils.
- — Ah, tu veux dire avec tes poils pubiens et ton entrejambe ?
- — Oui… dis-je soulagé qu’il ait trouvé les mots pour moi.
- — C’est clair que presque tous les acteurs et la plupart des actrices pornos sont rasés aujourd’hui. Tu en penses quoi quand tu mates ça ?
- — Bah j’aime plutôt bien, j’évite les films avec des femmes poilues et les mecs encore plus !
- — Alors tu ne regardes que du porno avec des sexes tout lisses ?
- — Pas systématiquement, mais en tout cas j’aime pas quand il y a des poils partout.
- — Je vois, donc un ticket de métro ou un triangle de poils sur le pubis ça te va, mais pas de chatte ni de bite poilue ?
- — Exactement !
- — Et tu te demandes si tu devrais faire pareil ?
- — Oui.
- — Et tu as déjà essayé ? De te raser je veux dire. Tu n’as pas l’air fort poilu ça doit être gérable de le faire au rasoir sous la douche.
- — …
- — Allez dis-moi, il y a rien de gênant, c’est des trucs qu’on a tous testé !
- — Oui j’ai essayé cette année au rasoir.
- — Ah et tu as aimé ? Tu as senti la différence quand tu t’es branlé sans aucun poils ?
- — Oui c’était beaucoup plus sensible et kiffant. Mais ça repousse après, puis je me demande ce que les meufs en penseraient.
- — Là-dessus je peux te rassurer, elles préfèrent presque toutes un mec qui se rase ou au moins s’entretient. Ça fait plus propre et ça les rassure.
- — Ah c’est rassurant d’entendre ça.
- — Mais c’est vrai que ça repousse vite après, parfois ça gratte puis il y a moyen que de faire l’avant par soi-même. Moi ça fait longtemps que je suis passé à l’épilation par une professionnelle.
J’en reste bouche bée. Je le regarde pour voir s’il se moque de moi, mais il me regarde très calmement semblant prendre plaisir dans notre conversation.
- — Je vois que tu es facilement choqué, c’est encore ce manque de confiance. Vas-y, n’aie pas peur, dis ce que tu penses.
- — C’est-à-dire que j’imaginais pas que les gens… normaux, enfin qui font pas du porno quoi, font vraiment des épilations intégrales.
- — Oh tu serais étonné ! C’est fort répandu. Et les femmes aiment ça, je t’assure, en plus de la propreté ça leur montre qu’elles sont avec un mec qui a de l’expérience sexuelle et ça aussi ça les rassure.
- — Sauf que moi j’ai aucune expérience.
- — Justement ! C’est pour ça que tu devrais faire tes premières expériences comme tu peux, même si c’est avec ton pote Ariel.
- — Oui, c’est vrai, je me suis déjà demandé si Ariel se rase lui aussi. Mais quand même, j’oserais jamais aborder ces sujets là avec lui.
- — Tu as tort, je pense qu’il te manque juste un petit peu de confiance en toi pour sauter le pas. Je pourrais te donner quelques exercices si tu veux.
- — Quel genre d’exercices ? Dis-je intrigué.
- — Par exemple, est-ce que tu serais capable de me montrer ton pubis pour que je puisse voir comment est ton rasage.
- — …
Je le regarde muet une fois de plus.
- — Allez, c’est juste ton pubis, rien de sexuel. Quand tu seras en maillot sur la plage avec Ariel il aura l’occasion de voir au moins le haut de ton pubis tu sais.
- — C’est vrai, je dois apprendre à être moins coincé…
Je me rends compte que toute cette conversation m’a donné un bon début d’érection. Heureusement ma bite est coincée sur le côté. Du coup je jette un coup d’œil à l’entrejambe de Sam. Je pense voir une bosse chez lui aussi mais c’est trop tard pour reculer. Je soulève mon T-shirt jusqu’à mon nombril puis de mes deux pouces je descends l’élastique de mon short et de mon boxer de trois centimètres. Cela dévoile une bonne part de mon pubis. Sam me regarde faire avec intérêt et un petit sourire approbateur.
- — Félicitation John, je pensais pas que tu oserais le faire !
- — Moi non plus, dis-je en gardant mon pubis exposé.
- — Tu vois, tu fais déjà des progrès ! Tu es bien rasé en tout cas. Ça a l’air tout propre et tout lisse.
- — Oui, je me suis rasé hier soir.
- — Ça se voit ! Mais dans deux jours ça va de nouveau piquer.
- — C’est vrai, dis-je en laissant remonter mon short.
- — Attend ! Pas si vite ! Laisse-moi mieux voir ton boxer, ça aussi c’est important si tu veux convaincre les filles de s’y intéresser.
- — Vous montrer mon boxer ? C’est un autre exercice ?
- — Exactement John. Descends ton short jusqu’à tes chevilles et montre-moi que tu es capable de te montrer en sous-vêtements.
Je souffle une longue fois par la bouche pour contrôler mon stress mais j’ai envie de le faire à la fois. Pris par le jeu, je suis les instructions de Sam et me retrouve avec le short aux chevilles. Je bande dur, du coup je reste assis assez droit en me redressant pour masquer la grosse bosse que ça me fait.
- — Ah c’est ce que je craignais, un boxer gris super banal et pas tout neuf en plus…
- — Bah… c’est juste un boxer, ils sont tous les mêmes, non ?
- — Pas du tout John ! 90% des boxers se ressemblent, c’est vrai. Mais si tu peux faire partie des 10% d’hommes qui prennent plus de soin dans le choix de leurs sous-vêtements, ça te donnera plus de confiance en toi et plus de succès, je te le garantis.
- — Ah oui ? Vous parlez d’expérience là aussi ?
- — Exactement ! Tu voudrais voir ?…
Je regarde Sam en pensant que oui j’ai envie de voir à quoi ressemble son boxer qui soi-disant vaut mieux que 90% des autres. Il me regarde droit dans les yeux et son sourire s’élargit.
- — OK, je vais te montrer, mais après ton troisième exercice. Tu es assis comme un coincé là, assieds toi comme un mec sûr de lui.
Réticent, je reviens poser mon dos contre le dossier de mon siège.
- — Mieux que ça, avance tes hanches jusqu’au milieu du siège, dit Sam tout en faisant baisser mon dossier de deux crans.
Je suis ses conseils et me retrouve semi-allongé, avec mon érection complètement visible, moulée dans mon boxer gris. Sam me mate sans gêne, son regard me rassure, aucun jugement, aucune moquerie, juste un intérêt bienveillant.
- — Voilà, dans cette position tes hanches sont tournées vers l’avant et ça fait ressortir ton sexe. C’est important de savoir comment positionner ses hanches quand tu couches avec une fille.
- — Alors j’ai bien réussi mon troisième exercice ?!
- — Tout à fait ! Ça t’intéresse toujours de voir mon boxer à moi ?
De la tête je lui fais signe que oui. Sans un mot, il commence par déboutonner sa chemise. Je vois qu’il a une poitrine et des abdos bien musclés, entièrement lisses et bronzés. Puis il défait sa ceinture, ouvre son pantalon et le fait lui aussi glisser jusqu’à ses chevilles. En se rasseyant il avance lui aussi ses hanches de sorte que son boxer est complètement exposé. Il est bleu nuit avec les coutures et l’élastique blanc. C’est une matière très fine donc on voit ou plutôt on devine son sexe gonflé qui est coincé vers le bas et fait une grosse bosse.
- — Ah oui, c’est pas un boxer banal ça !
- — Tu vois qu’ils ne sont pas tous pareil !
- — Vous avez raison. On voit que c’est une qualité supérieure. La matière a l’air plus confortable aussi.
- — Oui, c’est à la fois plus moulant et plus agréable qu’un boxer normal.
- — Mais du coup c’est quasi transparent, dis-je en hochant de la tête en direction de son sexe qui pousse contre le tissu.
- — Justement ça fait partie de l’intérêt, ça laisse deviner ce qu’il y a dedans. Du coup les meufs ont tendance à venir m’embrasser à travers le boxer, ça me chauffe toujours ces caresses limitées par le tissu. Je sens leur salive, la chaleur de leur bouche.
Machinalement j’ai saisi ma bite par-dessus mon boxer et la malaxe doucement tout en lui parlant. Sam lui fait courir ses doigts sur son boxer pour me montrer où les femmes aiment embrasser son boxer. J’essaie de deviner la taille de sa bite mais comme elle est toujours coincée vers le bas c’est compliqué.
- — Alors ? Tu es convaincu ? Tu vas faire plus d’effort quand tu t’achètes tes sous-vêtements ? Il faut aller dans les bons magasins, ça coute plus cher, mais tu verras il y a beaucoup plus de choix et tu kifferas d’en porter je suis sûr.
- — Oui ça a l’air agréable à porter, j’aimerais bien essayer à l’occasion, dis-je en regardant les véhicules qui nous entourent sur la route, inquiet de ce qu’ils puissent voir, surtout les camions qui nous surplombent et pourraient nous voir à moitié nus.
- — Ne t’inquiète pas, les vitres sont teintées, ils ne risquent pas de voir ce qu’on fabrique. Crois-moi, je me suis déjà bien amusé dans cette voiture !
- — J’imagine ! On peut continuer à faire des exercices alors ? Dis-je bien chaud.
- — Ah ah ! Tu t’es bien décoincé dis donc John ! Du coup je vais relever le niveau de mes exercices pour que ça ne soit pas trop facile.
- — Euh OK, dis-je moins enthousiaste d’un coup. Je lâche ma bite et attends d’entendre ce qu’il va me demander.
- — Comme quatrième exercice, tu vas m’enlever ce boxer banal. Mais pas juste comme ça, tu vas le faire en parlant bien cochon. Comme si tu voulais chauffer une meuf en parlant cul !
Je déglutis. J’avais clairement envie de libérer ma bite mais je flippe maintenant que je suis au pied du mur. En plus je dois le faire en parlant cochon. J’adore ça dans les films pornos quand ils parlent bien vulgaire, mais le faire moi ça va être compliqué.
- — Ah ah ! On fait moins le malin d’un coup ! Commence par me dire des trucs cochons pour voir.
- — Hmm mon zizi est tout dur. Il demande qu’à sortir… dis-je assez bas.
- — Mort de rire ! C’est n’importe quoi ! Déjà « zizi » ça se dit pas, ça fait penser à un zizi tout petit et tout mou ! Ensuite tu dois parler plus fort et avec assurance.
- — OK, je vais essayer : « Putain, ma bite est trop coincée dans mon boxer, il faut que je la sorte ! »
- — C’est déjà mieux, mais je sais que tu peux faire mieux, dis Sam qui se malaxe la bite en la plaçant sur le côté pour lui donner plus de place.
- — Humm cette conversation me fait bien bander, j’ai envie de sortir ma queue et de vous la montrer. Je veux que vous me disiez si la taille de ma pine est dans la moyenne de celle que vous avez déjà vues. Savoir si les femmes auront envie de jouer avec.
- — Ah tu vois que tu y arrives ! Vas-y, tu as ma permission pour me la montrer, ta « pine », mais continue à parler bien sexe.
- — D’accord Sam, je vais baisser mon boxer banal. Ça me fait bander de montrer ma bite, je kiffe trop de sentir votre regard sur ma bosse, dis-je en passant les pouces dans l’élastique de mon boxer et en le descendant lentement, centimètre par centimètre, jusqu’à libérer ma bite qui vient se dresser bien droite contre mon ventre.
- — Ah la voilà enfin ! Tu as une belle queue je peux te rassurer là-dessus. J’en ai vu quelque unes depuis le temps et tu es un peu au-dessus de la moyenne. Pour la largeur surtout, c’est un cran au-dessus, tu pourras bien remplir la chatte de tes partenaires, leurs bouches aussi, elles se sentiront bien remplie !
- — Comme c’est kiffant d’être à poil devant quelqu’un. Ma queue est super sensible, mon gland est déjà tout rouge et baveux vous avez vu ! Je pourrais gicler super vite ! Dis-je en saisissant ma bite et en commençant à me branler lentement et sans serrer pour ne pas risquer de jouir trop vite.
- — Holà ! Pas si vite mon petit puceau ! Lâche ta queue, assieds-toi sur tes mains pour éviter tes habitudes de petit branleur ! Me dit Sam d’un ton plus autoritaire. Je suis surpris et lui obéis vite, ma bite reste dressée devant nos yeux.
- — Vous êtes vraiment bon pour faire monter le désir et sauter mes barrières. J’aurais jamais cru être capable de m’exhiber comme ça, devant un homme en plus.
- — Je pensais bien que tu avais un côté exhibitionniste mon cher John. Regarde-toi, tu es au bord de l’orgasme sans même te toucher.
- — Oui c’est trop bon. Mais je kiffe aussi de regarder, j’aimerais bien voir votre bite à vous Sam.
- — Ah oui ? Pourquoi ? Je pensais que tu t’intéressais qu’aux filles ??
- — Mais c’est comme vous avez expliqué, c’est juste pour pouvoir comparer nos deux zizis, pour en apprendre plus et être plus sûr de moi le jour où je serai avec une fille.
- — Bonne réponse John, mais arrête de parler de « zizi ». Si tu veux voir ma queue tu vas devoir le mériter…
Je ne dis rien, attendant ses instructions, tout excité. Ma bite toujours tendue et palpitante, mes mains sous mes fesses dans cette voiture qui file à cent trente kimomètre-heure sur la A71.
- — Pour commencer tu vas enlever ton T-shirt. Ensuite, si tu veux voir ma bite, tu vas me retirer mon boxer et tu vas le mettre.
- — Hmm ça se corse encore… dis-je tout en enlevant déjà mon T-shirt.
- — Oui, mais tu apprends vite mon petit John !
Je n’hésite pas mais je fais les choses très lentement. Je me penche vers Sam, passe mes pouces sous l’élastique de son boxer, sentant le souffle de Sam s’accélérer quand nos peaux rentrent en contact. Toujours très lentement, je baisse le boxer jusqu’à la base de sa bite.
- — Hm oui on voit que votre pubis est vraiment tout lisse !
- — Oui, touche le pour comparer au tien.
J’arrête mon geste, me redresse un peu pour pouvoir poser ma main gauche sur son pubis et ma main droite sur le mien. Je fais la même caresse sur nous deux.
- — Oui je vois bien que c’est nettement mieux l’épilation ! Soupirai-je en continuant à nous caresser.
- — Heureux de t’avoir convaincu ! Je sens que tu seras tout épilé en arrivant à la Costa del Sol !
- — Ha ha, c’est possible, je sais juste pas comment j’expliquerai ça à Ariel.
- — Tu lui expliqueras que c’est pour plaire aux meufs, ça l’intéressera surement ! Mais revenons à ton exercice John.
- — Oui, je veux voir votre bite épilée maintenant.
Je reviens me pencher au-dessus de Sam qui garde sa main gauche sur le volant. Je découvre lentement sa bite, elle est bien large, presqu’aussi large que la mienne. Centimètre par centimètre, je découvre qu’elle est bien longue, enfin l’élastique arrive à son gland décalotté. Une fois libérée, sa queue se redresse rapidement et viens cogner mon avant-bras gauche. Ce contact avec son gland tout chaud et mouillé m’électrise, je pousse un soupir d’excitation. Sam lui grogne de plaisir. Je continue mon geste, il m’aide en soulevant les fesses puis les pieds un à un. Je commence aussitôt à passer mes jambes dans son boxer.
- — C’est vrai que j’avais envie de l’essayer…
- — Tu vas adorer John ! Et je pense qu’il t’ira très bien.
- — Oui c’est vrai que la sensation est différente, il me moule beaucoup plus qu’un boxer normal, j’ai l’impression que ma bite et mes fesses sont caressées, dis-je en terminant de coincer ma bite vers la gauche sous le boxer.
- — Et quand tu marches c’est une caresse à chaque pas.
C’est maintenant Sam qui est à poil avec juste sa chemise ouverte, affalé sur son siège. Il me jette un regard entendu en passant sa main droite sous ses fesses, la gauche reste tout de même sur le volant. Je n’ai plus besoin qu’il me donne d’exercice et prend l’initiative de venir toucher sa bite. Je commence par le pubis, puis monte sur la base de sa queue puis sur toute la longueur qui doit bien faire dix-huit centimètres. Les soupirs de Sam m’encouragent, je passe un doigt sur son gland, récolte un peu de mouille que j’étale. Il grogne de plaisir. Puis je viens prendre sa bite bien en main et commence à le branler lentement tout en me malaxant la queue à travers le boxer.
- — Hmm c’est bon John mais tu manques de technique !
- — Ah bon ? Pourtant en branlette je m’y connais…
- — Ah, ah, mais même une simple branlette ça s’apprend ! Pour commencer, lâche ta bite et sers-toi de ta main droite.
- — OK, puis c’est vrai que je dois laisser la mienne en paix si je veux pas jouir dans ton boxer.
- — Ensuite, une branlette ou autre chose, il faut toujours bien lubrifier. Dépose une bonne dose de salive dans ta main et viens l’étaler sur mon gros zizi.
- — Ah ah c’est vrai que ça fait bizarre quand vous dites zizi, m’exclamai-je avant de venir récolter ma salive.
Avec ma main droite pleine de bave, je reviens caresser son gland puis descends pour l’étaler sur tout sa longue et grosse tige. Sam grogne de plaisir. Je recommence à le branler, ça glisse beaucoup mieux et ça fait des bruits mouillés. De ma main gauche, je viens caresser ses couilles et l’intérieur de ses cuisses toutes lisses. Il écarte bien les cuisses pour me laisser l’accès. Encouragé par ses grognements, j’accélère le mouvement et serre plus ma main.
- — Oh oui John, tu vas me faire gicler, tu es prêt ?
- — Oui Sam, videz-vous les couilles ! J’ai envie de vous sentir jouir dans ma main !
Il lève son bassin en tendant ses cuisses et ses fesses et crie de plaisir, je sens sa queue tressaillir et vois un premier jet de sperme éjaculer et retomber sur sa poitrine. Je serre encore plus ma main et fais encore sortir quatre gros jets de sperme qui viennent couvrir sa poitrine et son ventre d’une impressionnante quantité de foutre.
- — Aaaaah, comme c’est bon. Une simple branlette et pourtant j’y ai pris beaucoup de plaisir !
- — Oui, vous avez joui super fort !
- — Maintenant c’est à moi de m’occuper de toi, mon petit puceau !
- — Oui, s’il vous plait, j’ai trop envie de juter moi aussi !
- — On va faire ça bien, reprends ta position les mains sous les fesses.
- — À vos ordres chef ! Ah, ah !
- — Je vais te montrer comment faire une branlette bien cochonne !
Je suis de nouveau vautré sur mon siège, mains sous les fesses et bites coincées dans le boxer transparent. Sam vient récolter son sperme sur sa poitrine puis il passe sa main pleine de foutre dans mon boxer et étale tout sur ma bite qui frémit de désir.
- — Oh mais vous allez salir votre beau boxer.
- — Pas grave, j’en ai d’autres dans ma valise et puis le sexe c’est mieux quand c’est bien cochon !
- — Oui, une branlette au sperme c’est bien excitant ! Puis c’est tout chaud et bien glissant !
- — Oui, ça fait un très bon lubrifiant. Est-ce que tu as déjà gouté ton sperme John ? Dit-il en me caressant mon gland, toujours à l’intérieur du boxer.
- — Hmmm c’est trop bon ! Non, je regarde parfois des vidéos où la fille m’instruit de lécher mon sperme mais j’ai jamais osé le faire.
- — Ah les vidéos, j’adore moi aussi ! Tu devrais suivre leurs instructions jusqu’au bout, c’est encore plus trippant, dit Sam en baissant le boxer dont il vient placer l’élastique sous mes couilles.
- — Oui je vais le faire la prochaine fois que je mate du porno maintenant que vous m’avez bien décoincé.
- — Pas la peine d’attendre ta prochaine session de branlette, tu peux gouter tout de suite, dit-il en portant sa main droite à mon visage.
Je vois que Sam a récolté plus de son sperme sur ses doigts qu’il me présente. De sa main gauche il vient me branler. Je gémis de plaisir, ouvre mes lèvres et avance vers ses doigts. Le contact de ses doigts mouillés sur mes lèvres et l’odeur de sexe qui envahit mes narines me font lâcher prise. J’ouvre plus la bouche et viens y entrer ses deux doigts, je sens le sperme sur ma langue et en avale une partie. Je gémis comme un fou et Sam accélère sa branlette. Je suce ses doigts et les lèche à l’intérieur de ma bouche.
- — Hmmm tu aimes sucer mon salaud ! Un jour tu seras assez décoincé pour accepter que tu as envie de savoir ce que ça fait de sucer une bite !
Ses mots me font basculer, je commence à faire un aller-retour sur ses doigts comme si je pompais une bite. Ça finit de m’exciter et je gémis de plaisir en sentant mes premiers jets de sperme qui sortent.
- — Oh oui, je savais que ça allait te faire jouir !
- — Hmmmm
- — Tu vas avoir une descente d’excitation maintenant que tu as juté, nettoie-toi bien avec ces lingettes puis rhabille toi mais sans boxer parce que le tien est trop moche et le mien est plein de sperme maintenant.
Sam retire ses mains et lui aussi se nettoie puis se rhabille sans rien sous son pantalon. J’ai juste le temps de voir son sexe débandé mais déjà un peu gonflé il me semble.
Je ne sais pas quoi dire après cette expérience si forte et ce méga orgasme. Mais justement, Sam met un film sur l’écran de la Tesla (Fast and Furious 4, le meilleur ! ) comme ça on passe deux heures sans rien dire. Sam sort des chips et du Red-Bull de son sac de voyage.
Il est dix-sept heures quand le film se termine, on vient de dépasser Clermont-Ferrand.
- — Bon, moi j’ai besoin d’une pause pipi, pas toi John ?
- — Oui, ça fait une demi-heure que j’y pense aussi.
- — On peut s’arrêter au prochain parking, ça sera plus tranquille qu’une grosse station-service… sauf si justement tu préfères la station-service avec beaucoup de passage pour pouvoir faire du stop après. Tu ne m’as pas encore dit si tu poursuis jusqu’à Toulouse avec moi ou si on se quitte ici, me demande Sam avec un regard qui en dit long sur le programme de la suite de la route si je reste.
Je n’hésite pas longtemps et on s’arrête sur un parking très calme. On sort de la voiture.
- — Ça fait du bien de se dégourdir les jambes !
- — Oui, dit Sam, qui prend la direction d’un sous-bois.
- — Tu devais pas pisser, demandai-je en faisant signe vers les toilettes.
- — Si, mais j’aime pas les toilettes publiques, je préfère faire ça au grand air.
C’est vrai que les toilettes n’ont pas l’air très propres. Je suis Sam qui s’enfonce dans le sous-bois puis s’arrête après vingt mètres. Il se retourne, sourit quand il voit que je suis toujours derrière lui, puis tout naturellement il ouvre son pantalon et sort son sexe, de profil par rapport à moi. Ça me fait bizarre de le voir au repos pour la première fois. Mais à la fois ça me rappelle que je dois trop pisser donc je me mets à côté de lui et sors le mien. On commence à pisser tous les deux, ça fait du bien de se soulager ! Sam s’amuse à croiser son jet avec le mien, puis il décalotte son gland pour avoir un jet plus précis et puissant. Je fais pareil et on se marre. Quand on a terminé Sam ressort ses lingettes, je nettoie bien mon gland et sens ma bite commencer à gonfler dans ma main. Je le regarde et vois que lui aussi a repris des formes.
- — Alors c’est décidé ? Je t’emmène jusqu’à Toulouse ?
- — Oui, j’ai envie de continuer ce voyage avec toi Sam…, dis-je le sexe en main.
Je suis prêt à me rebranler tout de suite dans ce sous-bois, mais Sam se rhabille et retourne à la voiture. Quand je suis installé, il me dit qu’il doit aller chercher un truc dans le coffre et disparait deux minutes avant de revenir avec une petite trousse de voyage. Il me tend un petit morceau de tissu.
- — Euh, c’est quoi ???
- — C’est un boxer pour toi, je vais pas te laisser finir la route à poil sous ton pantalon !
- — Un boxer ???
En effet, je déplie le bout de tissu qui s’avère être un boxer ultrafin, complètement transparent. Alors que Sam remonte sur l’autoroute vers Toulouse, j’enlève une fois de plus mon pantalon et passe le boxer blanc transparent. Mon sexe lisse et gonflé est bien moulé parfaitement visible dans ce boxer qui sert plus à le mettre en valeur qu’à le cacher.
Je suis encore excité par notre séance d’exhibition dans les bois, par ce boxer tellement sexy et j’ai envie de me rebranler avec Sam. Je suis sûr que lui aussi mais il fait mine de rien et me parle musique en me passant sa liste Spotify sur la radio. Je remonte donc mon pantalon et parle musique avec lui. Mais le sexe reste dans un coin de ma tête et quand il passe un morceau de Karol G je lui tends une perche.
- — Ah Karol G je la kiffe trop ! Sa musique, mais surtout ses clips !
- — Tout à fait d’accord avec toi ! J’adore son style de Latina avec les courbes qu’il faut ! Dit Sam en dessinant une forme de sablier avec ses mains.
- — Oui, j’ai jamais compris le succès des modèles anorexiques, je préfère celles qui ont de la poitrine et des fesses !
- — Ah, ah, je vois bien le genre de catégorie de porno que tu regardes John ! Tu as raison moi aussi j’aime mieux les gros culs.
- — C’est vrai, c’est avec le porno que j’ai appris les termes comme « Big tits », « Big ass », « PAWG », « Big booty », dis-je ravi de réaborder ce sujet de conversation.
- — Je suis sûr que tu as aussi appris les termes « assparade », « rimjob », « buttplug », « asslick »…
- — …
Une fois de plus Sam a réussi à me surprendre. Je fais signe que oui de la tête en rougissant. Ça fait marrer Sam. Je me dis que même ça, c’est pas les trucs les plus pervers que je regarde.
- — Oui mais ça, c’est juste le porno.
- — Oh, selon mon expérience les femmes sont bien sensibles du cul et pas seulement les femmes…
- — C’est vrai que dans les films parfois c’est le mec qui…. se fait bouffer le cul…
- — Exact et je te confirme que c’est délicieux comme caresse.
- — C’est vrai ??? Dis-je en regardant Sam plein d’intérêt.
- — Ah, ah, ouais mais t’emballe pas, c’est pas un truc de débutant. Surtout un débutant même pas épilé.
- — C’est sûr ! Je vais clairement passer chez une esthéticienne le plus tôt possible.
Un coup d’œil me confirme que Sam aussi recommence à bander. Mais sa bosse a l’air contenue, il a dû lui aussi passer un boxer quand il a été chercher sa trousse dans le coffre.
Mon dossier est toujours penché en arrière, j’avance les hanches et commence à me malaxer le paquet sans gêne.
- — Putain, j’aimerais trop avoir une femme avec un gros cul qui vient s’asseoir sur mon visage !
- — Ah c’est bien tu finis par dire ce que tu penses John. Mais vas-y mets-toi à l’aise aussi.
Je n’attendais que ça. En une minute je me déshabille ne gardant que mon boxer blanc dans lequel on voit parfaitement ma bite tendue toute droite contre mon pubis. Pour tenter ma chance, je mets mes mains sous mes fesses, bassin bien en avant comme Sam m’a appris.
- — Aaaah, je connais des meufs qui seraient ravies de venir se frotter la chatte et le cul sur ta bouche de puceau ! Me dit Sam tout en venant stimuler mes tétons avec deux doigts mouillés de salive.
- — Oh oui, comme dans les films où une « milf » vient se taper un petit jeune ! Dis-je en gémissant de plaisir.
- — Dis-moi John, tu aurais pas des fantasmes de soumission ? Dit-il en pinçant mon téton qui pointe.
- — Si Sam, je regarde souvent des films où la meuf est dominante… avouai-je en me trémoussant de plaisir.
- — Je le savais ! C’est pour ça que tu aimes tant suivre des instructions, mais est incapable de prendre des initiatives !
- — C’est vrai, tout à l’heure quand on a fait pipi je voulais venir tenir ton zizi mais j’ai pas osé comme tu as rien dit.
- — Tu as encore beaucoup à apprendre. Quand tu es avec quelqu’un qui est clairement consentant il faut savoir prendre des initiatives et pas attendre qu’on te dise tout.
Là-dessus Sam remet ses deux mains sur le volant et fait mine de se concentrer sur sa conduite et sa musique.
Je comprends que c’est un test. J’ai envie de me branler là à côté de lui qui mate, mais ça serait trop un truc de petit branleur.
Alors je me mets à genoux sur mon siège, tourné vers Sam. Je commence par ouvrir sa chemise pour découvrir sa poitrine lisse et musclée. Lui aussi a les tétons qui pointent. Je viens les pincer maladroitement. Ça agace Sam qui grogne et passe une main derrière ma tête. Il m’attire vers sa poitrine. Je mets un moment à comprendre, mais finis par ouvrir la bouche et venir lécher son téton et le sucer. Sam grogne son contentement. Sa façon de me tenir fermement la tête m’excite à fond, j’en veux plus !
Je passe d’un téton à l’autre et mes mains s’activent à ouvrir puis baisser son pantalon. Je m’écarte de sa poitrine pour regarder ce qu’il porte sous son pantalon et suis surpris de voir que sa queue en érection est difficilement contenue par un triangle de tissus bleu électrique qui est maintenu en place par deux ficelles qui lui entourent les hanches. À mon tour je grogne de plaisir et d’excitation devant ce string plein de promesses.
- — Ah je savais qu’il allait te plaire. Tu es un grand amateur de lingerie qui s’ignorait !
- — Je savais que je kiffe les lingeries féminines mais j’ignorais que j’apprécie également la lingerie masculine, dis-je en venant caresser son paquet à pleine main.
- — Hmmm, vas-y régale toi alors !
Sam a toujours sa main sur ma nuque, mais il ne doit même pas appuyer pour me faire descendre le visage vers son entrejambe, il accompagne juste le mouvement. Je regarde le string de près, Sam s’affale encore plus en écartant les cuisses, me laissant voir la ficelle du string qui part entre ses fesses lisses et musclées. Instinctivement, je viens me frotter le visage contre son paquet, le nez, les joues, les lèvres. J’inspire profondément excité par son odeur de sexe. Sam accentue la pression pour venir écraser mon visage contre son sexe emprisonné par le tissu. Ça me plait, je gémis pour l’encourager et sors ma langue. Il prend mon visage entre ses deux mains et me dirige pour que je vienne lécher tout autour du triangle de tissu, y compris à l’endroit où commencent ses fesses. Je ne me dérobe pas, au contraire, j’essaie de glisser ma langue entre ses fesses pour suivre la ficelle mais je ne vais pas bien loin à cause de sa position assise.
- — Vas-y sors la maintenant, tu m’as bien chauffé !
Ma main vient tirer le tissu sur le côté, sa bite jaillit d’un coup et vient cogner contre ma bouche et mon nez. Je sens que son gland est tout chaud et mouillé.
Sam a lâché mon visage, il me laisse décider ce que je vais faire. Je prends sa bite en main et reviens lécher son pubis puis descends lécher ses couilles toutes lisses. Petit à petit je lèche la base de sa queue bien épaisse puis remonte lentement.
Avant d’arriver en haut je m’arrête. Je viens placer mon nez juste à un centimètre de son gland et respire son odeur. Puis n’y tenant plus, j’y pose mes lèvres et tout de suite je les écarte pour goûter son gland.
Sam grogne de plaisir, sa main puissante vient me peloter la fesse droite. Je garde son gland en bouche et viens le lécher. Je gémis de plaisir, j’ai l’impression que je vais jouir dans mon boxer ultrafin sans même toucher à ma bite.
Je continue à sucer son gland et commence à le branler en même temps. Je salive beaucoup, ma bave coule le long de sa queue et vient lubrifier ma branlette. Sam me pelote toujours la fesse, je change de position pour lui faciliter l’accès, il passe d’une fesse à l’autre et glisse parfois le long de ma raie à travers le boxer.
Je m’applique à bien lécher la fente de son gland et tout le tour, ses réactions me montrent qu’il adore ça.
- — Hmmm tu suces vraiment bien pour une première fois.
- — …
- — Il faudra juste que tu apprennes à pomper pour pouvoir sucer sans les mains, mais ça viendra avec la pratique !
Inspiré par ses caresses, je glisse une main sous sa fesse gauche et viens la prendre en main en y enfonçant bien mes ongles. Sam gémit, me montrant que lui aussi est sensible des fesses. En réaction il enfonce ses ongles dans ma fesse, je gémis fort tout en gardant son gland en bouche.
J’essaie de le pomper, mais j’ai du mal à entrer plus de cinq centimètres de bite dans ma bouche. Alors je reprends ma branlette de plus belle et suce son gland avec gourmandise.
- — Tu vas me faire jouir mon petit John ! Tu veux te retirer ou tu veux que je gicle dans ta bouche.
- — Gicle dans ma bouche Sam ! Murmurai-je avec les lèvres restées contre son gland, comme si je parlais dans un micro.
- — OK alors prépare toi ça vient !
Je reprends son gland en bouche, suce bien fort, le caresse de ma langue, accélère ma branlette et de mon autre main je descends mes doigts dans sa raie des fesses où je trouve la ficelle du string. Sam se met à crier, serre ses fesses et son sexe se tend encore plus. Je reçois la première giclée de sperme. Je suis surpris par la puissance et quantité mais garde son sexe bien en bouche qui est vite remplie de sperme, j’en avale un peu. Puis Sam se détend, j’arrête mes caresses, mais garde mes mains et ma bouche en place. J’avale plus de sperme, excité par le gout.
- — Hmmm c’était pas ma meilleure pipe, mais quand même très bonne pour une première fois ! Puis tu m’avais bien excité John ! Dit Sam en me repoussant doucement maintenant qu’il débande.
- — Ouah quel trip, j’aurais jamais imaginé faire ça, et jusqu’au bout en plus ! Dis-je en me léchant les lèvres et en replaçant sa bite dans le string pour pouvoir la manipuler encore un peu.
- — Oui tu t’es bien décoincé John et je vois que tu bandes toujours autant, c’est à moi de m’occuper de toi maintenant.
Sam fait baisser mon siège au maximum, je suis presque couché à côté de lui. Puis il m’ordonne de prendre l’appuie tête entre mes mains et de les laisser là tant qu’il s’occupe de moi. Je suis tout exhibé à lui, mains au-dessus de la tête. Rien que ça m’excite à fond, mon bassin ondule d’anticipation. Il revient s’occuper de mes tétons avec ses doigts mouillés, je me tortille et finis par le supplier.
- — Hmmm, Sam occupe-toi de ma bite s’il te plaît j’en peux plus !…
- — Ah tu vois que tu supplies comme un petit soumis !
- — Oui Sam, tu m’as trop bien chauffé, je suis prêt à tout pour que tu me branles !
- — Ah oui ? et tu es prêt à quoi alors ? dit Sam en posant sa main sur mon boxer pour malaxer ma bite.
- — Je vais te donner mon numéro de téléphone, après les vacances tu pourras me dire quand tu montes sur Paris et je viendrai te rejoindre pour te sucer.
- — Mais John je pensais que tu étais hétéro et maintenant tu es prêt à descendre sur Paris pour sucer ma bite, dit Sam amusé tout en baissant mon boxer.
- — Oui je suis hétéro mais tu m’as montré qu’on peut aussi s’amuser entre mecs et j’ai envie de continuer à faire ce genre de cochonneries !
- — C’est bien tu as tout compris John.
Sam se penche vers moi et vient directement mettre mon gland dans sa bouche. C’est tout chaud et mouillé et si excitant comme situation avec mes mains immobilisées au-dessus de ma tête et Sam qui me fait ce qu’il veut.
- — Wouah c’est trop bon ! Tu devras m’apprendre à sucer aussi bien que toi !
John commence à me pomper, centimètre par centimètre il arrive à rentrer tout mon sexe dans sa bouche, ça me donne des sensations impressionnantes et je suis très vite au bord de l’orgasme.
- — Aaaaah je vais jouir Sam, c’est trop bon.
Je commence à jouir après deux minutes de pipe intense. Sam garde bien ma bite en bouche et avale tout. Je hurle de plaisir puis finis par m’écrouler. Nous sommes tous les deux repus de sexe. On se rhabille et on se mate triple X de Vin Diesel pour la fin du trajet. Vers vingt heures Sam me dépose sur la dernière station-service avant Toulouse.
- — Merci pour la route et pour le reste, voici mon numéro de téléphone Sam, j’étais sérieux tout à l’heure !
- — Ah content de l’apprendre, je t’envoie mon contact comme ça tu me raconteras tes aventures en Espagne. Je suis sûr que tu vas te trouver une espagnole bien chaude. Mais je pense que tu peux t’amuser avec ton pote Ariel aussi, tu as des choses à lui apprendre maintenant.
- — Ah, ah, oui ! Je te raconterai tout, c’est promis !
Et c’est ainsi que commencèrent mes vacances 2019…