n° 22307 | Fiche technique | 20223 caractères | 20223 3566 Temps de lecture estimé : 15 mn |
08/03/24 |
Présentation: Un texte historique sur les joies d’une profession féminine de tout temps. | ||||
Résumé: Depuis que je suis jeunette, je suis obsédée, envoûtée par les queues, pas celle des vaches de la vallée de mon enfance, mais celle des hommes. Quoique les hommes sont souvent vaches… | ||||
Critères: #historique grp fellation | ||||
Auteur : Patrik (Carpe diem diemque) Envoi mini-message |
Un texte historique sur les joies d’une profession féminine de tout temps. Bonne lecture : )
Depuis que je suis jeunette, je suis obsédée, envoûtée par les queues, pas celle des vaches de la vallée de mon enfance, mais celle des hommes. Quoique les hommes sont souvent vaches…
Quand je regarde autour de moi, quand je contemple les tableaux accrochés aux murs de ma maison de maître, les lourdes tentures, mon personnel qui s’affaire, je me dis qu’un simple coup de langue peut mener très loin et très haut. En ce début de vingtième siècle, je suis une femme presque respectable, adulée par les hommes, jalousée par les femmes. J’ai même à présent ma propre voiture automobile et le chauffeur qui va avec. J’ai aussi décroché une particule, inspirée lointainement du nom de ma mère. Même si je fraye maintenant avec la Haute Société, je n’oublie pourtant pas ma verte vallée, et la simplicité de cette vie d’autrefois. Mais le progrès a du bon, je le reconnais…
Encore un que je vais remplir par le haut et vider par le bas !
La première fois que j’ai sucé, c’était le fils d’un des amis de mon paternel, garçon qui avait le même âge que moi. Alors que nous étions en train de discuter, j’ai remarqué une bosse sous son short. Étant curieuse de nature, j’ai voulu savoir le pourquoi du comment. Mon camarade s’est laissé faire, et j’ai mis à jour un petit machin tout mignon, mais bien raide. Aimant les vraies sucettes, par intuition, j’ai enfourné ce petit bout de chair bien dure, et j’ai fait comme si c’était en sucre. J’ai découvert trente secondes plus tard que ce genre de sucette produisait une autre variété de sucrerie plutôt amère. Néanmoins, j’ai tout avalé pour savoir quel goût ça pouvait avoir. Mon camarade était carrément en apoplexie, j’ai même cru qu’il allait mourir. Mais il s’est vite remis, un sourire béat de crétin sur les lèvres !
Comme la contrée était petite, la nouvelle s’est vite répandue, et depuis, j’ai un succès fou auprès de la gent masculine ! Ce qui a permis à mon expérience en la matière d’augmenter graduellement, avec des queues de toutes les tailles, de toutes les formes, de tous les goûts. Et croyez-moi, les queues sont toutes différentes ! Pas une pareille !
En revanche, depuis ce jour, les autres filles et femmes me regardent d’un sale œil. Mais en contrepartie, c’est fou ce que j’obtiens comme cadeaux et avantages de la part de leurs hommes !
Et puis, un beau jour de printemps, j’ai quitté ma vallée natale pour aller avaler d’autres queues dans la grande ville !
Dans la grande ville, j’ai vite découvert que les choses n’étaient pas pareilles que dans ma riante campagne. Ici, tout est gris, et en plus des chevaux, il y a aussi des véhicules automobiles bruyants qui sentent mauvais, et qui remplacent petit à petit les calèches. Partout, les clochers sont remplacés par des hautes cheminées qui crachent continuellement des nuages noirs.
C’est sale, ça pue, mais l’argent est beaucoup plus facile.
Et j’ai rapidement découvert que les hommes des villes, tels des coqs qui se croient supérieurs à ceux des campagnes, sont encore plus facilement manipulables, surtout si la poule a de belles plumes ! Je ne suis pas une adoratrice des corsets, de ces bas, de ces porte-jarretelles et de toutes ces dentelles, mais je dois reconnaître que ça fait son effet quand je me regarde dans la psyché. Et je ne parlerai pas de ce que je vois dans les yeux brillants des hommes qui bavent devant mes tenues.
J’adore voir l’extase qu’ils éprouvent quand je les prends en bouche, quand ma langue les câline, quand mes lèvres épousent la forme ronde de leurs verges. En parlant d’elles, j’ai mes petites préférences, j’aime les bons bâtons (de berger) consistants et veinés, j’adore aussi les plus petites et mignonnes que je peux engloutir sans problème. Mais finalement, je les aime toutes.
Sauf celles qui ne sont pas foutues de bander et de juter pour moi ! Je prends ça pour un affront personnel, une goujaterie sans nom !
La plupart du temps, ça va vite : je branle un peu, je taquine de mes doigts et de ma langue, puis je suce suavement, et paf, la chose éjacule. Vite fait, bien fait. Parfois trop vite d’ailleurs. Le truc qui fait sauter au plafond la plupart des hommes, c’est quand ils constatent que j’avale tout. C’est encore plus fort et violent pour eux que de juter !
Étonnant mais véridique…
Maintenant, en regardant le chemin parcouru, je peux dire que j’ai sucé des centaines, des milliers de vits, de queues, de phallus, de bites. Je ne compte plus ! J’imagine avec un petit frisson tous ces kilomètres de verges, tous ces litres de foutre que j’ai pu ingurgiter. Avec le recul, je me dis que c’est quand même un peu fou, tout ça !
Quand j’y songe, j’ai bâti ma fortune sur la trop bonne éducation des femmes des hommes que j’ai pompés. Un homme est un homme, et la fellation est sa gâterie adorée, c’est comme ça depuis sans doute Adam et Éve. Et une femme qui ne pratique pas la sucette, risque d’être trompée, tôt ou tard. Il en est ainsi depuis que le monde est monde.
Ce soir, je suis invitée chez un riche industriel, un de ceux qui polluent cette ville, mais qui est si riche. Richesse, saleté, une relation curieuse mais souvent vérifiée. Après les traditionnelles présentations et autres amabilités un peu hypocrites, avec d’autres personnes et le maître des lieux, nous nous sommes retirés dans un salon particulier.
Une fois les portes refermées, prenant ma main, l’industriel déclare au petit groupe d’hommes présents :
Il s’éloigne un peu, et tire un cordon caché derrière une tenture. Peu après, une femme un peu plus âgée que moi entre par une petite porte nichée dans les boiseries. Un certain murmure s’empare des hommes qui semblent tous assez surpris. Je m’en étonne, qui est cette femme dont la présence semble stupéfier les autres mâles ?
L’explication vient tout de suite :
Puis il se tourne vers sa moitié afin de me présenter :
Il ne faut pas demander ce qu’elle a pu entendre à mon sujet, vu son sourire un peu narquois, même si elle le cache tant bien que mal derrière son éventail. Néanmoins, je constate que les autres personnes qui sont avec nous sont assez perplexes, moi aussi, étant donné la nature que ce qui devrait se passer ici. Notre hôte poursuit :
Un murmure de stupéfaction parcourt le petit groupe. Puis l’industriel se tourne vers moi :
Comme la situation m’amuse, tout autant que la tête des autres hommes, j’en profite pour demander à l’épouse conciliante :
Bonne réponse qui ne se mouille pas, tout en laissant la porte ouverte. Je me demande qui est exactement cette Émilienne. Peut-être a-t-elle eu un cheminement pas si éloigné du mien, mais en plus éthéré…
Je sais aussi que, derrière bien des façades respectables, se déroulent des choses étranges, curieuses, voire dégoûtantes. Si, en général, les épouses sont la partie respectable et visible de tous, les maris s’offrent souvent le service de femmes qui le sont nettement moins, et c’est justement ce « nettement moins » qui les fait bander comme des taureaux ! Parfois, la nouvelle épouse possède deux faces, blanche et noire : la femme respectable, et la catin des ruisseaux. Et tel que je connais certains hommes, ça doit les exciter à mort de bénéficier de ces deux facettes : sainte et putain à la fois.
Blanc ou noir, sans nuance de gris, ni de couleur. C’est triste…
En ce qui concerne Émilienne, je pense qu’il s’agit plutôt d’une bien-née, mais qui ne déteste pas glisser parfois vers le bas. J’aurai peut-être confirmation dans peu de temps.
Je demande :
Sans complexe, mon hôte se propose :
L’instant d’après, agenouillée entre les cuisses de l’homme assis sur un vaste canapé, je fais une belle démonstration de mes talents, sous l’œil très intéressé des divers invités, y compris celui de sa femme qui semble observer avec acuité comment je m’y prends.
Mon hôte ne résiste pas longtemps à ma science consommée de la sucette, surtout que ce n’est pas la première fois que je l’ai en bouche, je commence à bien connaître cette verge et sa résistance. Je sais qu’en massant ses testicules d’une certaine façon, j’accélère considérablement la montée de la sève, puis l’éruption du petit volcan !
Tandis que le riche industriel est en train d’émerger de sa petite mort, je m’attaque allègrement au suivant de ces messieurs. Du coin de l’œil, je constate qu’Émilienne ne se cache plus d’observer comme je m’emploie à dégorger ces mâles. Mon expérience en la matière me confirme que les hommes des villes sont souvent des petits joueurs face aux hommes des campagnes. Parfois, en moins de dix secondes, le barrage cède, et en moyenne, il suffit de compter jusqu’à trente pour obtenir une victoire liquide.
Sans complexe, j’enchaîne les invités à la queue leu leu, c’est le cas de le dire !
Le dernier achevé de la première ronde, je me redresse pour me diriger vers la table où sont posés verres et bouteilles. À ma grande surprise, c’est Émilienne qui remplit mon verre de champagne. M’emparant de la coupe, je la remercie :
Je bois cette coupe bien méritée. Reposant mon verre, je m’adresse à Émilienne :
C’est avec amusement que je constate qu’Émilienne est surprise par ma réponse. Peut-être fait-elle partie de ces gens qui pensent qu’il n’existe qu’une seule façon de voir et de faire les choses, ce qui ne serait pas étonnant, vu le milieu social où elle vit. Les gens de la Haute Société sont intimement persuadés de tout savoir, de tout connaître, et d’avoir raison sur tout, mais lâchez-les dans une ferme avec pour mission d’y vivre une quinzaine de jours, ils seront à deux doigts de mourir de faim !
Un homme bien membré s’approche de moi pour que j’assure le deuxième service. Ce sera une belle entrée en matière, car sa verge est jolie. À nouveau, je m’occupe d’elle, la léchant, la bisoutant, la suçant comme il se doit. Je sens ses veines palpiter sous ma langue, j’adore cette sensation. Tout comme j’adore ce fin tremblement du mâle qui essaye de se retenir pour ne pas ouvrir les écluses trop vite !
Mais le combat est perdu d’avance, car je sais choyer comme il se doit les verges. Souvent, en promenant le bout de ma langue le long du frein ou dans les replis, je déclenche très rapidement le geyser souhaité. Parfois, il convient de se montrer un peu plus vicieuse en allant introduire le bout de ma langue dans le méat déjà un peu ouvert et légèrement poisseux d’un sperme qui ne demande qu’à jaillir en longues salves.
Je ne m’attendais pas à cette exclamation religieuse. En tout cas, sans doute aidé par le Saint Esprit, l’homme déverse en moi un long jet tiède et poisseux ! Comme son flot n’est pas trop abondant, je ne m’étouffe pas en avalant.
Tandis qu’il mollit entre mes lèvres, j’en profite pour continuer à le sucer un peu pour faire durer le plaisir. Peu de femmes s’amusent à ce genre de chose, c’est ce genre de détail qui fait que je suis très en vogue dans les soirées privées. Mon bonhomme soupire d’aise, puis il chasse gentiment ma tête, ça commence à devenir trop douloureux pour lui.
Puis, je passe au suivant qui affiche déjà une mine ravie que je vienne m’occuper de lui. Il pousse carrément un petit cri de satisfaction quand ma bouche enveloppe sa verge. Encore un qui ne doit pas être gâté par sa femme ou sa maîtresse. C’est la première fois que je le vois, il faudra que je sache qui est-ce. On ne sait jamais, il y a peut-être quelque chose de bien à entreprendre avec cet homme qui me semble avoir la quarantaine.
Mon nouveau venu sait bien résister, c’est un bon point pour lui, mais moins pour moi. Son sperme est assez musqué, ce qui m’étonne un peu, mais ce n’est pas désagréable, ça change un peu des saveurs habituelles.
En revanche, les hommes suivants seront vite expédiés, ce qui m’arrange.
À nouveau, Émilienne me tend une coupe de champagne que je bois en trois gorgées. L’épouse de mon hôte me félicite, d’une façon légèrement ironique :
Je me mets à rire :
Avec un petit geste de recul, Émilienne s’exclame spontanément :
Je suis étonnée qu’elle m’appelle par mon prénom. Je lui adresse un large sourire :
Puis, je m’occupe des survivants de la deuxième vague. Beaucoup d’hommes se vantent mais s’en tiennent à la première salve, comme s’ils avaient tout donné d’un seul coup.
Émilienne est agenouillée entre les jambes de son mari, en train de le branler avec délicatesse. Autour d’elle, la pièce est devenue un lupanar, avec des hommes repus, épuisés et vidés. Certains dorment, d’autres sont avachis, les yeux dans le vague, et un dernier récite à mi-voix des poèmes.
Et hop, encore un qui vient de jaillir dans ma bouche. Ce quidam sombre aussitôt dans une sorte de coma. Je m’essuie négligemment les lèvres avant d’attaquer le suivant. Mais avant, je regarde ce que la maîtresse de maison est en train de faire à son époux.
Elle se penche sur le vit bien raide de son époux, et dépose un premier baiser, ce qui fait frémir d’aise la colonne de chair. Puis l’instant d’après, le gland disparaît dans une bouche qui commence à le choyer.
Pour une Dame de la Haute, je trouve qu’elle sait s’y prendre. Ou qu’elle apprend vite…
L’homme gémit, tandis que sa femme continue son petit manège. Celui-ci serre les poings, proche de se laisser aller. Je constate qu’Émilienne surveille ses réactions comme le lait sur le feu.
Aussitôt, Émilienne recule précipitamment la tête, un premier fuse sous son nez. Je constate du coin de l’œil qu’elle semble soupirer de satisfaction. On dirait qu’elle n’apprécie pas avoir du sperme en bouche. C’est idiot pour elle, car elle ne fait que le tiers du travail. Les hommes apprécient beaucoup ce premier tiers, mais sont fous du reste.
J’étais jeunette quand j’ai compris cette histoire d’un tiers, deux tiers, pour mon plus grand profit !
De mon côté, je suis en train de finir un comte ou un financier, je ne sais plus. Tout ce dont je suis certaine, c’est que son vit frémissant est dans ma bouche et qu’il va bientôt exploser. Comme avec tous les autres qui l’ont précédé, je me ferai un plaisir de tout avaler, procurant ainsi un second orgasme (plutôt mental) à cet homme. Il ne leur faut pas grand-chose à ces mâles, mais c’est sur ce « pas grand-chose » que je suis en train de bâtir « vit après vit » ma fortune.
Tandis que les hommes, totalement épuisés et vidés, sont vautrés dans les canapés, les sofas, les fauteuils ou par terre, je m’approche de notre spectatrice qui est en train de réajuster ses cheveux après s’être occupée deux fois de son époux. La prenant par la main, je l’entraîne un peu à part :
Elle fait la moue :
Entendant cette question, elle me regarde d’un air intrigué :
Émilienne devient pensive. Puis elle finit par me demander :
Mon interlocutrice fait la moue :
Regardant dans le vide, Émilienne semble songeuse :
Puis je la regarde dans les yeux, ajoutant malicieusement :
Émilienne écarquille d’abord les yeux, puis elle fronce fugacement des sourcils. Elle flotte quelques instants, puis elle décide de prendre ma réflexion à la plaisanterie :
Ce jour-là, je ne le savais pas encore, mais j’avais gagné sur tous les tableaux. En perdant un peu d’un côté, j’ai gagné Émilienne, ce qui m’a facilité bien des choses par la suite. Sans parler des chaleureux remerciements du mari d’avoir débridé sa chère épouse, ce qui est la panacée aux yeux de bien des hommes.
Mais tout ceci est une autre histoire…