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n° 22318Fiche technique21560 caractères21560
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Temps de lecture estimé : 16 mn
14/03/24
Résumé:  Lors d’un week-end entre amis, je retrouve mon ami Stéphane qui n’a plus les blocages de notre adolescence.
Critères:  hh copains fellation anulingus 69 hdanus hsodo -gay
Auteur : francky442001            Envoi mini-message
Week-end surprise

Ce week-end, c’est deux nuits et trois jours entre potes, sans les femmes, dans la maison de vacances d’un ami, au bord de la mer, sa belle-famille a cette très belle villa depuis un moment, avec un grand jardin qui finit directement sur la plage. Un beau moment en perspective qui va me réserver une superbe surprise. En arrivant dans la maison, je salue tout le monde et je retrouve mon pote Stéphane, celui avec qui j’ai eu de nombreuses branlettes et que j’ai sucé si souvent quand nous étions adolescents. Nous n’avons jamais été plus loin, car il ne le voulait pas, et depuis de nombreuses années, nos rencontres restaient très basiques, il évitait de dormir dans le même lit que moi lors d’autres week-ends entre potes, ou dans des soirées où nous étions venus sans nos familles, etc. Sachant que dans la maison, il y a une chambre tranquille au deuxième étage, dans les combles, j’y monte pour y déposer mes affaires en espérant qu’il reste une place, et je la trouve libre. À cet étage ne se trouvent que la chambre et une salle de bains. Je pose mes affaires, entends du bruit dans l’escalier et vois Steph qui a la même idée que moi.



Un moment de flottement, puis je me dis que si ça le dérange il peut partir, je suis installé.



Ce « à l’ancienne » me fait monter des picotements dans le bas des reins, et j’essaye de ne pas m’enflammer, mais il me semble que le message est clair. Durant la soirée, tout est normal, Steph m’évite un peu comme d’habitude, je discute, bois, danse, etc. Vers quatre heures, je pars me coucher, un peu fatigué, un peu imbibé, sans être trop soûl non plus. Je passe aux toilettes, me lave les dents, etc., et en revenant je trouve Steph en train de se déshabiller. J’avais pris un rouleau de PQ comme mouchoirs, mais j’espère une autre utilité.



Pas de bon augure, ça… le ton est plein de reproches.



Je passe sous les draps, m’allonge sur le dos et il me rejoint. Le silence entre nous est pesant, même si on entend bien la musique, les rires, les discussions en dessous, pas un bruit dans la chambre. Il est lui aussi sur le dos. J’ai trop envie de retenter quelque chose, j’hésite, puis finalement je me lance. Après tout, au pire il me repousse, je m’endors et on verra demain si je me sens mal ou pas. Au mieux, une bonne branlette mutuelle « à l’ancienne ». Je tends ma main droite vers lui et je la pose directement sur son paquet, son sexe est en semi-érection. Tout de suite, je palpe le tout, et attends avec anxiété sa réaction. Elle ne se fait pas attendre, et il baisse son caleçon, et tend lui aussi sa main vers mon sexe. Je retire mon caleçon également et nous voilà revenus vingt ans en arrière, lors de nos caresses mutuelles en fin de soirée. Après avoir bien palpé ses couilles, je prends son sexe à pleine main, commence de lents aller-retours et il m’imite. C’est trop bon, trop excitant, comme dans mon souvenir, de se branler avec des gens pas loin, savoir que l’on va jouir et faire jouir un homme, mais que personne autour ne se doute de ce qui se trame là-haut. Au bout de quelques minutes, je n’en peux plus et je descends pour prendre son sexe en bouche. Je m’attendais à un commentaire, mais non, il soulève seulement la couette et me laisse faire. Je le suce du mieux que je peux, ses soupirs semblent indiquer que ça lui plaît. Il me caresse les cheveux et gémit doucement quand je prends son sexe le plus profondément possible. Je me redresse et je le regarde :



Il descend alors et prend ma queue dans sa bouche et me suce divinement.



Il ne répond pas, mais essaye d’enfoncer ma queue en entier. Je tends mon bras droit et je lui caresse les fesses, passe entre celles-ci et mon doigt effleure plusieurs fois son anus qui est tout humide. Après quelques passages furtifs, je me concentre sur son anus, je fais tourner mes doigts autour, appuie doucement, excite cet orifice de plus en plus. Puis j’enfonce une première phalange, mon autre main se posant sur sa tête pour imprimer le rythme de sa succion. Mon doigt est entièrement en lui, je le fais aller et venir, je relâche mon emprise sur sa tête, mais il ne s’arrête pas. J’humidifie mes doigts et repars à l’assaut de son cul, enfonçant cette fois deux doigts qui rentrent sans problème. Je m’active de plus en plus et il lâche ma queue pour gémir sous mes assauts.



Il s’exécute, et je caresse tout son dos, j’embrasse ses fesses et finalement, je lèche ce petit trou avec délectation.



Je me relève et me positionne derrière lui, je frotte ma queue entre ses fesses et je lui dis doucement à l’oreille :



Je mets de la salive sur mon gland, et pointe mon dard vers l’entrée de ses fesses. On est tous les deux sains, mariés, donc je n’ai aucun doute au sujet d’éventuelle maladie. Je pousse doucement et je le sens qui pousse aussi de son côté.



Je le laisse faire, et il souffle fort quand mon gland est enfin entré. Je donne de tout petits coups de reins.



Je pousse, toujours centimètre par centimètre, et entre enfin entier en lui. Il souffle, je me recule doucement et re-rentre entier, il gémit, met sa tête dans l’oreiller et je recommence, je m’approche de son oreille.



Je continue doucement, puis je reste profondément enfoncé en lui.



Je m’allonge complètement sur lui, et mes coups de reins se font de plus en plus puissants, jusqu’à le défoncer, mon pubis claque sur ses fesses et j’entends ses gémissements, ses « oui », même avec l’oreiller. Heureusement que nous sommes au deuxième étage, sinon toute la maison saurait qu’il est en train de se prendre une bonne queue. Je calme le rythme, ça ne claque plus, mais je le baise fort quand même, je murmure à son oreille que j’aime le baiser, qu’il va me faire jouir, etc. Je sens que ça monte. Je me redresse et accélère à nouveau. Il se redresse aussi et se retrouve à quatre pattes, je vois son magnifique cul tendu vers moi. En levrette, je sens que je vais craquer.



Je ne tiens pas longtemps à la vue de ses fesses rondes et bien dessinées entre lesquelles disparaît ma bite et je jouis en me retenant de hurler, mais j’ai rarement joui aussi fort. Je reste un moment abasourdi par ce plaisir incroyable. J’attrape le PQ, me retire en essuyant le sperme qui coule de ses fesses. Il s’allonge sur le dos et je plonge sur sa queue, je veux le faire venir pendant que je suis encore excité, et c’est après quelques secondes seulement qu’il m’envoie une grosse dose de sperme dans la bouche en tenant ma tête. J’avale tout et je viens m’allonger à côté de lui. Nous sommes essoufflés, je ne sais pas comment il va réagir.



Je lui explique alors ce que j’ai essayé avec mon « amant » régulier, lui expliquant en détail nos ébats, que j’adore me faire prendre, sucer jusqu’au bout, mais aussi être plus actif comme avec lui. Lui m’explique qu’il s’est juste fait sucer par deux mecs durant ses années étudiantes, avant de connaître sa femme. Il avait revu régulièrement l’un d’eux, mais n’avait jamais été plus loin que le branler, l’autre le suçant jusqu’au bout à chaque fois, ou finissant par une faciale.

Nous sommes allongés sur le côté face à face sous la couette pour discuter et la conversation me fait bander à nouveau. Je caresse son sexe qui est bien dur lui aussi.



Il sourit et disparaît sous la couette, je sens sa bouche prendre possession de mon sexe. Je place ma main derrière sa tête et lui baise doucement la bouche. Je m’arrête, mais sa main attrape mes fesses et pousse pour que je continue. Si les autres en bas savaient qu’en ce moment, je ne dors pas, mais j’ai un mec à qui je baise tranquillement la bouche et qui en redemande ! Puis sa bouche lâche mon sexe, il remonte et je pensais qu’il voulait que je lui rende la pareille, mais il se retourne et vient coller ses fesses contre mon sexe, ondule et se frotte. Finalement, il guide mon sexe et s’enfonce seul dessus.



Il ne faut pas me le dire deux fois et je le prends fort pendant de longues minutes. Puis je le fais venir sur moi. Il s’assoit sur mon sexe, et se penche vers moi. Sa bouche est juste à côté de mon oreille, j’entends son souffle, les gémissements qu’il retient. Ses reins donnent le rythme et il se baise sur moi.



J’attrape ses fesses et prends le lead, je mets de grands coups de reins, je le défonce. Il a sa main sur sa bouche pour ne pas hurler. Je le redresse, et prends sa queue en main.



Je le branle franchement pendant qu’il ondule sur moi, je ne vais pas tarder, il se contracte, jouit sur moi tandis que je le remplis quelques secondes après. Nous n’avons pas su retenir nos gémissements, mais personne ne semble nous avoir entendus. Je prends son sperme sur mon doigt et le goûte à nouveau. Il me fixe et son regard laisse entrevoir le plaisir qu’il a pris. Nous nous nettoyons, nous rhabillons et nous endormons très vite.


Le lendemain, il doit être onze heures quand je me réveille, il est encore à mes côtés, sur le dos, semble juste se réveiller aussi. Je pose tout de suite ma main sur son caleçon, je sens qu’il bande. Il me sourit et je descends directement embrasser son sexe à travers son caleçon qu’il enlève rapidement pour me laisser accéder à cette belle queue bien dure que je suce directement, avec grand appétit. Je veux son foutre comme petit-déj. Il semble avoir la même idée et m’attire vers lui, retire mon caleçon et me suce à son tour. Un 69 au réveil, quoi de mieux pour commencer une belle journée. Je suis hyper excité par la situation et le fait d’entendre des voix venant d’en bas. Je lui indique que je vais jouir et il prend tout mon jus dans sa bouche et avale le tout. Je me place entre ses jambes et reprends ma succion, quelqu’un monte, je me remets sous la couette. On entend la douche couler, sans attendre, j’enlève la couette, je me mets entre ses jambes et reprends sa queue dans ma bouche. Je le suce en le regardant droit dans les yeux jusqu’à voir son visage se crisper tandis qu’il m’envoie sa semence sur la langue. Il me dit en me caressant le visage tandis que je nettoie sa queue :



Nous descendons l’un après l’autre et la journée se passe, la soirée est bien avancée et je pars au fond du jardin, pour uriner en plein air, derrière un petit buisson d’où l’on voit la maison, les fumeurs sur la terrasse, mais assez dans le noir pour ne pas être vu. J’ai un peu plus bu que la veille et la fatigue aidant, je suis un peu chancelant. Il est déjà quatre heures trente et je vais retrouver mon lit rapidement. J’ai fini de pisser quand je sens quelqu’un qui se glisse derrière moi, se colle à moi et se frotte.



Steph est déjà dur contre mes fesses, et ça m’excite à mort. Je passe ma main sur son paquet.



Je ne comprends pas tout de suite, mais il me force à me retourner et à m’accroupir. Je me retrouve face à son entrejambe, il ouvre sa braguette et sort sa queue bien dure.



Je m’exécute, j’entends la musique dont le volume varie avec les fumeurs qui sortent et/ou rentrent, la situation m’excite au plus haut point, je ne veux pas me faire gauler, mais en même temps j’adore prendre ce risque. Je le suce du mieux que je peux, le branlant au rythme de mes succions. Il met ses mains derrière ma tête et me baise la bouche sans ménagement en murmurant.



Il relâche son étreinte et je le pompe à mon rythme, il se contracte et jouit. Je sens une première giclée bien chaude sur ma langue, suivie d’une deuxième puis d’une autre. J’avale tout sans rechigner. Il referme sa braguette, et repart vers la maison. Je rejoins la terrasse quelques secondes plus tard. Je bois quelques gorgées de bière avant de discuter avec les potes sur la terrasse, puis annonce que je vais me coucher. Je monte les escaliers, accompagné de Jo, un pote qui va aux toilettes en haut.



J’entre dans la chambre, ferme la porte, et Steph me plaque contre le mur commun avec la salle de bains, colle sa bouche à mon oreille.



Je m’exécute et il passe sa main dans ma raie.



Sans attendre, il me met un doigt, j’ai envie de gémir, mais Jo entendrait tout de l’autre côté du mur. Son doigt va et vient frénétiquement en moi, il en met un deuxième et je dois me retenir pour ne pas couiner. Enfin, Jo redescend et je peux gémir, avec retenue, mais gémir quand même. Steph sort ses doigts et je sens son sexe pointer à l’entrée de mon cul déjà bien dilaté. Il pousse, je sens mon anus s’écarter et Steph entre sans souci toute sa queue en moi.



Il me lime sans retenue, c’est trop bon de sentir sa vigueur, ses coups de reins déchaînés, mais je commence à gémir très fort ces petits bruits qui sortent de la gorge à chaque coup de boutoir sans que l’on ne les contrôle vraiment.



Je me déshabille en quatrième vitesse, me mets en position, la tête dans l’oreiller, et écarte mes fesses avec mes deux mains pour lui dire que je n’attends que ça. J’entends ses vêtements tomber au sol et je sens son gland passer sur mon trou, sans entrer, il passe et repasse, je deviens fou. Il pousse enfin et re-rentre en moi doucement. Je sens à nouveau mon cul s’ouvrir, son gland glisser, puis toute sa queue dure et chaude prendre possession de mon corps. Il la ressort totalement pour la remettre doucement plusieurs fois, chaque introduction me faire gémir dans l’oreiller, j’adore ça, je ne pense plus à rien qu’à sa queue qui me donne du plaisir. Ses mains se posent finalement sur mes hanches et il accélère le rythme jusqu’à me défoncer, ses cuisses claquent sur mes fesses, je ferme les yeux et profite au maximum de l’instant, Steph me baise fort et le plaisir est incroyable. Je crie dans l’oreiller, sans la musique en bas, toute la maison m’entendrait. J’ai étendu mes bras devant moi, je suis une poupée de chiffon secouée par un homme qui me défonce le cul ! Cette pensée me fait bander fort. Steph a toujours été endurant, et avec la pipe de tout à l’heure, il va tenir un moment. Au bout de longues minutes, je sens la vitesse de Steph augmenter encore un peu jusqu’à ce qu’il se tende, se crispe et se libère en moi. Il attend que sa queue ait ramolli pour sortir de mes fesses. Je suis épuisé, j’ai pris un plaisir dingue. Je m’allonge sur le dos, souriant, il me regarde triomphant.



Il attrape ma queue, me masturbe, et il ne faut que quelques secondes pour que le premier jet ne passe au-dessus de ma tête pour atteindre le sol de l’autre côté du lit, puis deux jets inondent mon visage et encore trois autres sur mon torse. L’éjaculation est incroyable, j’ai réussi à garder les yeux ouverts pour capter son regard et mon sperme est tombé dans ma bouche ouverte, je l’avale. Je suis tout tremblant, j’ai eu du mal à contenir un hurlement. Tendrement, Steph m’essuie, nettoie mon torse, mon visage.



On s’endort et il est déjà tard quand on se réveille. Nous sommes face à face, on se regarde sans se parler, un petit sourire aux lèvres, le week-end a été intense, sa main se pose délicatement sur mon sexe, je fais de même et nous nous flattons mutuellement nos queues maintenant bien dures.



Il descend sous la couette, enlève mon caleçon et je sens la chaleur de sa bouche enrober mon sexe. Il suce avec tendresse et je profite de chaque seconde de ce cadeau. Il remonte dans le lit, se retourne et se colle à moi. Son caleçon a disparu et je sens la peau douce de ses fesses contre mon sexe. Il ondule, positionne mon gland et pousse doucement pour me faire entrer en lui. Je suis complètement en lui et je le prends doucement, tendrement, je l’embrasse dans le cou tandis que je coulisse en lui, il tourne sa tête, passe son bras derrière ma nuque et m’attire à lui. Pour la première fois du week-end, nos bouches fusionnent, nos langues tournent l’un autour de l’autre. Le monde a arrêté de tourner et seul son plaisir compte maintenant. Je me redresse un peu, accélère mes coups de reins et le regarde qui me sourit, le visage déformé par le plaisir. Je l’embrasse à nouveau, prends son sexe en main et le masturbe doucement tandis que je le prends ainsi pendant un bon moment.



Je ressors de son antre, le mets sur le dos, le suce en le regardant dans les yeux et m’assois ensuite sur sa queue raide qui entre en moi me tirant un gémissement de contentement. Je bouge mes hanches et me baise avec cette bite que je voudrais en moi pour toujours, je m’avance vers lui et nous nous embrassons à nouveau. Au bout de quelques minutes, je me relève, m’allonge sur le dos et l’invite à me prendre en missionnaire, il s’introduit à nouveau en moi, me regarde, un sourire ne quitte plus ses lèvres, il m’embrasse, se relève, accélère le rythme, ralentit, ses mains caressent mon torse, triturent mes tétons et je sens sa jouissance proche. Ses yeux toujours plantés dans les miens, je vois son regard changer, devenir plus bestial tandis qu’il me pilonne maintenant. Je l’embrasse pour ne pas hurler et il jouit en moi tandis que nos langues s’entremêlent. J’ai presque joui en sentant sa semence se répandre dans mes entrailles.



Il se retire et s’empale sur mon sexe. Il ondule, monte et descend sur ma bite, nos regards ne se lâchent plus.



Ma jouissance monte et jaillit finalement en lui, je m’abandonne et j’ai l’éjaculation la plus forte de ma vie, un plaisir que je n’avais jamais connu auparavant. Je reste hébété un long moment, Steph est toujours assis sur mon sexe, il est un peu perdu lui aussi. Il m’embrasse.



Il rigole et ondule à nouveau, je caresse ses cuisses, ses fesses, son sexe tandis qu’il arrive à me faire bander de nouveau.



Il se relève, me laissant le sexe bandé, sur le lit. Il va se doucher, je le rejoins, sans faire attention aux autres, nous nous savonnons, je passe et repasse sur son sexe bandé, mais nous n’avons plus le temps. Nous nous séchons, et je me penche pour prendre son sexe en bouche une dernière fois, juste un aller-retour, sans aller plus loin. Quelques minutes après, il est sur le départ, son train ne l’attendra pas.


Quel merveilleux week-end que je ne suis pas près d’oublier !