Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
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Temps de lecture estimé : 8 mn
20/03/24
Présentation:  Un texte, que je ne lui ai jamais donné, reprenant une de nos séances, et que j’ai écrit en me mettant dans sa tête. Elle le découvrira en le lisant sur Revebebe.
Résumé:  Parfois, avec mon mari, nous essayons de « jouer à un jeu de rôle ». C’est une manière de pimenter notre relation et de cimenter notre amour. Mais c’est toujours lui qui le propose et je me laisse guider.
Critères:  fh couple lingerie fgode jouet
Auteur : Aramis2531      Envoi mini-message
Un scénario enfin réalisé : le vendeur de sex-toys

Cela commence par un SMS qu’il m’envoie du genre « Veux-tu jouer avec un gros câlin cet après-midi ? ». Très souvent, ma réponse positive provoque en conséquence une étreinte passionnée et un baiser langoureux sur la bouche, avec la remise d’une feuille manuscrite sur laquelle plusieurs scénarios sont listés. Il s’éclipse dans son bureau pour me laisser le temps de choisir et pour éviter de me mettre la pression.

La liste cette fois est réduite à quatre propositions. Le peintre et son modèle avec deux déclinaisons (nue ou en dessous sexy), la pâtissière sexy (nouveau celui-là !), le représentant d’articles sexy et le masseur avec cette fois trois niveaux de prestation, soft, coquin et hard. C’est ce dernier que je préfère la plupart du temps, quand il figure dans sa liste, car devenu une habitude, je me sens en sécurité même si parfois des variations surviennent, bien à l’image de son imagination… et j’avoue que j’adore faire l’amour après le plaisir prodigué par son massage, ses caresses, ses doigts qui me parcourent le corps… qui me détendent d’abord puis m’excitent très fortement.


Mais en ce beau printemps 2022, ce n’est pas le scénario du masseur que je choisis : je cède à une de ses demandes récurrentes, et choisis le représentant d’articles sexy, qui sur rendez-vous, propose à domicile ses produits.

Ma réponse par SMS doit le ravir. Son retour consiste en de brèves consignes : dans trente minutes, je dois m’habiller sexy, ce qui montre une évidente préméditation de ce que la cliente voudrait, le recevoir dans le salon… et me laisser séduire par le représentant… Je connais mon homme et ses fantasmes qu’il projette sur moi depuis tant d’années ; il doit espérer me faire l’amour sur le canapé ou le fauteuil, comme quand nous étions plus jeunes ou surtout lors d’une séance mémorable, il n’y a que quelques années, mais cela est une autre histoire que je vous confierai peut-être.

Mon chéri est allé dans notre chambre préparer sa mallette de représentant, je ne sais pas exactement ce qu’il va y mettre, mais j’ai quelques idées : quelques dessous que je ne mets pas si fréquemment et « les jouets » que nous avons depuis longtemps, et également pas assez utilisés… d’après mon homme. Je les réclame rarement, un frein pudique me retient, mais je lui fais confiance dans ses initiatives qui, je dois bien l’avouer, me procurent beaucoup de plaisir. Hypocrisie ? Je me fais la réflexion que cet après-midi ce sera l’occasion d’en réessayer un ou deux…

Il descend ensuite dans la cave, changé en costume très élégant, avec en guise de mallette, son cartable ! À mon tour de me préparer.

Je m’habille donc d’une robe sexy, mais pas trop, la rouge de marque anglaise qu’il apprécie, car elle s’ouvre par devant avec une longue fermeture éclair. Dessous, le body intégral en fines résilles à manches courtes mais seins nus et ouvert à l’entre jambes, et aux pieds une paire de bottines noires à très hauts talons, celles que nous avions acheté sur internet voilà déjà dix ans. Les bottines sont vraiment très hautes et je ne les ai pas portées souvent. Il va être content. C’est vrai que je me trouve séduisante quand je passe devant notre miroir… Le plaisir commence par les yeux.

Un léger maquillage, pour rester ce que je suis. Je ne suis pas une femme aguichante mais élégante qui va recevoir un vendeur chez elle. Certes, le vendeur est spécial.

Je me sens d’humeur curieuse, le jeu peut commencer.


Il frappe à la porte, je vais ouvrir, il se présente et nous nous saluons, je le fais entrer et passant devant lui, je m’assois sur le canapé, les jambes croisées. Je sais qu’il apprécie mes jambes gainées et mes pieds bien chaussés mis en évidence par ma posture. Il me scrute rapidement, je le sens heureux de me voir ainsi, sexy, mais classe ; cela m’amuse et m’émoustille intérieurement. Il doit se demander ce que je porte en dessous de cette robe si pratique à ouvrir puisqu’il m’a précédé dans la chambre pour remplir sa mallette et son imaginaire doit fonctionner à fond : guêpière avec les bas résille, ou un collant cul nu, ou celui ouvert ?


Il commence son baratin en me remerciant de le recevoir, me précise son rôle de représentant multimarque, patati patata… et pose sa mallette sur la table basse, l’ouvre. Il me propose d’abord des dessous coquins. Tiens donc, comme c’est original ! Il me sort en les commentant, un à un quelques dessous sortis des tiroirs de la commode. Rien de bien nouveau, je reconnais les dessous que j’ai parfois portés lors de sorties restaurant ou cinéma et lors d’occasions spéciales comme les soirées réveillons… Les plus emblématiques pièces que mon chéri a prises sont un ensemble slip porte-jarretelles, l’autre body seins nus d’une marque de lingerie de luxe, au nom évocateur de lieux de perdition aujourd’hui disparu, et acheté l’année passée, ou encore ce mini maillot commandé sur internet pour nos jeux aquatiques coquins dans le spa ou la piscine que j’ai mis quelques fois pour montrer ma disponibilité pour plus qu’une baignade.

À sa question de ce qui m’intéresserait, je lui réponds que j’ai déjà beaucoup de dessous sexy. Il me répond, dans son rôle, que cela prouve que je sais comment me rendre désirable et que mon mari a beaucoup de chance. Il aurait certainement souhaité que je lui propose si je pouvais en essayer un…


Mais je lui demande s’il a d’autres articles, car je sais qu’il veut aussi que j’aille jusqu’au bout de son fantasme. Dans un sex-shop, timide, on commence par aller voir les articles de mode avant d’être irrésistiblement attiré par les sex-toys !

Il commence alors à me sortir, notre l’huile de massage, les pinces à seins, les boules de geisha… et notre godemichet rose « le niçois », puisque c’est ainsi qu’il le nomme en souvenir à son achat dans le sex-shop face à la gare de Nice lors de notre séjour de Pâques 2001… Pour chacun, il m’explique, très dans son rôle, comment utiliser chaque objet et avoir du plaisir avec. J’écoute distraite ses explications… car mon attention est captée par ce que j’aperçois : à côté de notre petit plug vibrant qu’il n’a pas encore sorti de son cartable, et d’un autre dessous qu’il ne m’a pas montré, un gros godemichet beige très réaliste, que je n’avais jamais vu !! Quand a-t-il acheté cela ??? Je sens bizarrement un trouble m’envahir.

Je me lève et déclare « si nous pouvions en essayer certains ». Il est scotché !! Il ne devait pas s’attendre à ce que je cède si tôt ! Je vois cependant une bosse se former au niveau de sa braguette… Le coquin, il bande et il n’a pas dû mettre de slip.

Certes, on peut ! « Lequel voulez-vous ? »

Je ne réponds pas ! J’ai envie qu’il comprenne ! Comme souvent, il sait souvent lire en moi.


Je me lève et monte à l’étage, en lui disant « venez ». Ce ne sera pas sur le canapé. Je suis déjà sur la mezzanine. J’aime imaginer ce qui va suivre. Je commence à mouiller.

Il a dû prendre un peu de temps à réfléchir car il arrive dans la chambre et me trouve déjà allongée sur le lit, la robe un peu relevée, une jambe repliée, les yeux mi-clos…

Il s’approche de moi… m’embrasse sur la bouche et sa langue me fouille. Sa main droite me caresse les jambes, passe le genou, puis attaque l’intérieur de la cuisse. Son baiser est prolongé, et sa main remonte encore… Il m’embrasse le cou, et sa main frôle mon sexe sans barrière : j’avais opté pour le sans-culotte et l’ouverture du body expose ma chatte humide ! Il reprend ma bouche, certainement heureux de la découverte. Coquine, me dit-il !

Je sais qu’il a quelque chose dans son autre main…, j’ai entendu un bruit sur le sol lorsqu’il a pris ses deux mains pour tirer la fermeture éclair. Je ne sais pas si c’est la mise à nu de mes seins qui apparaissent avec mes bouts qui commencent à me faire mal ou l’idée que je me fais de ce qu’il a apporté mais je frémis. Mon esprit commence à imaginer ce qu’il va me faire.

J’ai maintenant la robe ouverte, je ne suis pas nue mais je dois apparaître vraiment indécente, les seins nus et les bouts tendus, ma peau blanche enveloppée par le tissu rouge. Il m’embrasse encore, me touche les seins exposés par ce body. Les doigts de son autre main me touchent le clitoris. Je gémis. Il dépose maintenant des baisers autour de mon sexe. Puis me lèche le clitoris. Il me déplace un peu pour qu’il puisse se mettre à genoux et me faire une minette. Sa langue me fouille, il me lèche et je me tortille le bassin. Je lui demande de me pénétrer… il ne répond pas et poursuit sa minette. Je comprends que je dois attendre. Enfin, il se lève, enlève ses chaussures et enlève son pantalon, sa chemise… il est nu : lui aussi n’a pas mis de slip. Sa bite est tendue mais elle peut mieux faire.


Il me dit de lui tailler une pipe et se présente à moi. Je lui prends la queue et la porte à mes lèvres. C’est une caresse que je fais rarement, son sexe est gros, large. D’une main, il reprend son massage sur mes lèvres intimes, sur mon petit clito… pendant que je commence à le branler et à le sucer.

Soudain, je sens quelque chose qui se présente à l’entrée de ma grotte luisante de ma mouille. Il va me goder pendant que je le suce… Il a compris ce que j’espérais. L’image de ce gros godemichet inconnu me fait m’ouvrir. Il m’a déjà godée avec le niçois et je sais qu’il aimerait me le faire plus souvent.

Je sens sa bite grossir dans ma bouche un peu plus au fur et à mesure qu’il me pénètre avec le gode. Il me parle en me disant ce qu’il voit : une femme en train de sucer une bite et de se faire goder.

Il m’enfonce le gode, c’est fort. Il fait des va-et-vient et je vois en image dans ma tête ce qu’il me fait. Il abuse de moi, le salaud ! Mais j’aime et je ne lui avouerai pas. Encore une fois, il a compris sans que je m’épanche sur mes désirs.

Et puis le plaisir monte, et je ne peux garder sa bite dans ma bouche, je gémis. Il m’embrasse la bouche, me pénètre avec sa langue, et il se branle au-dessus de mon sein. Ma main va à la rencontre de mon clitoris et je me branle aussi. Il continue à me goder, pendant qu’il s’astique la bite. J’ai le feu au ventre, mon clito et mon vagin sont hyper sensibles.

Et puis c’est l’orgasme, je pars la première, je serre les jambes emprisonnant sa main et le gode, un long orgasme… qui le fait éjaculer sur mes seins et mon ventre.

Je n’en peux plus, il m’a « tuée ». Lui aussi est épuisé, mais il me sourit heureux de m’avoir fait jouir.

Toujours allongée sur le dos, j’ai gardé ma robe ouverte. J’ouvre un peu les cuisses, et le sex-toy sort lentement de mon sexe. Il est luisant de ma mouille, mais ce n’est que notre bon vieux jouet niçois !

J’ai l’audace de lui dire que ce n’est pas un nouveau celui-là !

J’espère qu’une autre fois, il prendra l’autre, le nouveau vu dans la mallette.


Mais cela est une autre histoire… que je vous dévoilerai peut-être.